Playlist (88)

Enno Poppe (1969–), Arbeit pour orgue Hammond virtuel (2006–7).  Ernst Surberg
Enno Poppe, Wespe pour voix seule (2005).  Daniel Gloger
Enno Poppe, Trauben pour trio avec piano (2004–5).  ensemble mosaik, dir. Enno Poppe
Enno Poppe, Schrank pour neuf musiciens (1989–2009).  ensemble mosaik, dir. Enno Poppe
Enno Poppe, Salz pour ensemble (2005).  ensemble mosaik, dir. Enno Poppe

Domenico Scarlatti
Sonates Kk 31-->Kk 48

Scott Ross (clavecin)

Vol.3/34 Erato

Pour le contraste

Robert Schumann
Concerto pour piano en La Mineur-Op.54

Orchestre de la Suisse Romande & Ernest Ansermet
Dinu Lipatti (piano)

Live 1950

Et dans un même genre dit "musique classique", quelle diversité!

Dutilleux : Ainsi la nuit / Arditti Quartet

lucien a écrit:

Miroslav Kabeláč (1908–1979), Deux fantaisies op.32 pour orgue (1957/58).  Václav Rabas
Miroslav Kabeláč, Huit inventions op.45 pour percussions (1962).  Percussions de Strasbourg
Miroslav Kabeláč, Quatre préludes op.48 pour orgue (1963).  Václav Rabas

Ah, ça vaut quoi ?

Je suppose que tu as écouté ses Préludes pour piano (assez sympas à jouer, mais confinant à un étrange pré-minimalisme) ? Tu aimes ?

=> Magnard – Hymne à la Justice – OP de Luxembourg, Stringer

Messiaen : Quatuor pour la fin du temps / Schellhorn, Clark, Robson, Cohen

DavidLeMarrec a écrit:

Ah, ça vaut quoi ?

c’est très chouette, je trouve ; il y a une sorte de souffle Vierne un peu naïvement minimaliste qui essaie de s’exprimer derrière un langage plutôt moderne, c’est amusant (les fantaisies, c’est carrément du Vierne avec une teinte néo-jenesaisquoi un peu à la Orff ).

DavidLeMarrec a écrit:

Je suppose que tu as écouté ses Préludes pour piano (assez sympas à jouer, mais confinant à un étrange pré-minimalisme) ?  Tu aimes ?

non, ’pas écouté ; où peut-être quelques dizaines de secondes sur deezer ou autre, reportant ça à plus tard.

C'est très proche que tu décris, la richesse du début du vingtième, mais comme figée dans une gelée naïve, très étonnant.

=> Magnard – Suite d'orchestre dans le style ancien – Stringer
Tout le monde faisait la sienne à l'époque, de d'Indy à Laparra, mais Magnard a semble-t-il séché quelques cours d'écriture.
(C'est plus ennuyeux que d'habitude, mais ça n'a rien d'archaïsant.)

Tōru Takemitsu (1930–1996), Fantasma/Cantos pour clarinette et orchestre (1991).  Stoltzman/BBC Wales/Otaka
Tōru Takemitsu, Waterways pour clarinette, violon, violoncelle, piano, deux harpes et deux vibraphones (1978).  Stoltzman/Kavafian/Sherry/Serkin/Allen/Allen/Frost/Fitz
Tōru Takemitsu, Waves pour clarinette, cor, deux trombones et tambour (1976).  Stoltzman/Routch/Borror/Chamberlain/Frost
Tōru Takemitsu, Quatrain II pour clarinette, violon, violoncelle et piano (1975).  Stoltzman/Kavafian/Sherry/Serkin

lucien a écrit:

Tōru Takemitsu, Waves pour clarinette, cor, deux trombones et tambour (1976).  Stoltzman/Routch/Borror/Chamberlain/Frost

Il manque ceci :


Tu dois bien aimer celui-là, non ?

=> Magnard – Chant funèbre
Ah, pour sûr, c'est pas joyeux (et c'est un peu long).

=> Magnard – Ouverture Op.10

=> Magnard – Hymne à Vénus
Ça évoque beaucoup les Symphonies de Franck, Chausson et Rott. C'est beau.

=> Magnard – Hymne à Vénus (bis)

=> Magnard – Hymne à Vénus (ter)

DavidLeMarrec a écrit:

Tu dois bien aimer celui-là, non ?

je me demande si je ne préfère pas Waterways et le quatuor.

Bartok : Musique pour cordes, percussions et célesta / Fricsay

lucien a écrit:

et le quatuor.

Forcément, le truc un peu aride. Tu devrais essayer Coral Island, alors (même si c'est très orchestral, mais tu as fait du chemin il me semble).

J'aime bien Waterways, mais je le trouve beaucoup moins dense (et beaucoup moins émouvant) que Tree Line, Rain Coming ou Waves.

LULLY: Amadis (Rousset)

Très plaisant, acoustique un peu sèche et léger manque d'émotion mais c'est très bien chanté et bien conduit.

Dvoràk : Quintette pour piano en la majeur, B. 155 (op. 81). Emerson String Quartet avec Mehahem Pressler, piano

Rien que pour la Dumka (qui m'a fait songer par moments au 3è Mvt du quatuor n°2 de Borodine), oeuvre magnifique !!!

Johannes Ockeghem (1420-1497) :

Missa cuiusvis toni (chantée en ré)

= Ensemble Musica Nova, dir. Lucien Kandel

cantus : Christel Boiron, Marie-Claude Vallin
contraténors : Lucien Kandel, Xavier Olagne
ténors : Jérémie Couleau, Thierry Peteau
bassus : Marc Busnel, Guillaume Olry

(Aeon, avril 2007)

=> Pärt – Tabula rasa

=> Pärt – Collage sur B-A-C-H

=> Czerny – 2x8 Nocturnes

DavidLeMarrec a écrit:

Forcément, le truc un peu aride.  Tu devrais essayer Coral Island, alors (même si c'est très orchestral, mais tu as fait du chemin il me semble).

J'aime bien Waterways, mais je le trouve beaucoup moins dense (et beaucoup moins émouvant) que Tree Line, Rain Coming ou Waves.

cela me dépasse un peu, cette notion de densité...

Johannes Ockeghem (1420-1497) :

Missa cuiusvis toni (chantée en fa)

= Ensemble Musica Nova, dir. Lucien Kandel

cantus : Christel Boiron, Marie-Claude Vallin
contraténors : Lucien Kandel, Xavier Olagne
ténors : Jérémie Couleau, Thierry Peteau
bassus : Marc Busnel, Guillaume Olry

(Aeon, avril 2007)

Spéciale dédicace à Mélo :


Bach: Orgelbuchlein (Petit Livre d'Orgue), 1713-1722 -Olivier Vernet

Pour lel calme de l'esprit et le repos de l'âme...

L'Orgelbuchlein, ça me met plutôt la pêche



Les Tuyaux de la Nuit...



Au programme ce soir : Harwood - Saint-Saëns - Liszt





1) Basil Harwood (1859-1949) :

Sonate en ut dièse mineur Op. 5

= Adrian Partington, orgue Milton de l'abbaye de la Sainte Vierge Marie de Tewkesbury

(Priory, juin 1991)

Cette sonate de Harwood est hélas très peu jouée en dehors de l'Angleterre. Pourtant de belles envolées, de beaux passages, une écriture
de qualité. Cependant, la version must de cette sonate est par Jeremy Filsel mais non disponible nulle part sur le web, mais la deuxième meilleure version l'est via Deezer, également du label Priory, mais au bel orgue de Gloucester par John Sanders.



http://www.deezer.com/album/1883571

J'oubliais de préciser, que l'orgue de Gloucester lors de cet enregistrement étant dans l'état avant les grandes restaurations depuis David Briggs.

Enfin la version top par Filsell, c'est du label anglais Herald, enregistrés à l'orgue de Winchester en 1992:


Tant qu'à l'intégrale en trois volumes de ce compositeur, très bien exécutée par Graham Barber, refroidit l'enthousiasme à cause des instruments choisi plutôt insipides avec leurs plenum, tutti, batterie d'anches, en glaises. Oups, ''Anglaises''.

2) Camille Saint-Saëns (1835-1921) :

Prélude et Fugue n° 1 en mi majeur Op. 99

= Adrian Partington, orgue Grove de l'abbaye de la Sainte Vierge Marie de Tewkesbury

(Priory, juin 1991)

Ivan Wyschnegradsky (1893–1979), Arc-en-ciel pour six pianos accordés en douzièmes de ton (1956).  Chen, Grund, Hoelscher, Okabe, Kiebler, Vogelsänger, dir. Sylvain Cambreling
Ivan Wyschnegradsky, Arc-en-ciel II pour six pianos accordés en douzièmes de ton (1972).  Chen, Grund, Hoelscher, Okabe, Kiebler, Vogelsänger, dir. Sylvain Cambreling
Georg Friedrich Haas (1953–), Limited Approximations pour six pianos accordés en douzièmes de ton et orchestre (2010).  Chen, Grund, Hoelscher, Okabe, Kiebler, Vogelsänger / SWR Sinfonieorchester, dir. Sylvain Cambreling

3) Franz Liszt (1811-1886) :

Fantaisie et Fugue sur Ad nos ad salutarem undam

= Pierre Cochereau, orgue Cavaillé-Coll de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

(Oiseau Lyre, 1955)

Une tuerie...

Alfredo Casella: concerto pour piano (Naxos). Moderne et néo-classique (genre Stravinsky) comparé à la superbe Première symphonie qui l'accompagne sur ce disque.

Gaetano Donizetti: Roberto Devereux. Avec Beverly Sills. Royal Philharmonic Orchestra, Charles Mackerras.

James Dillon (1950–), String Quartet No.6 (2010).  Arditti SQ
Philippe Manoury (1952–), Stringendo, premier quatuor à cordes (2010).  Arditti SQ
Brian Ferneyhough (1943–), String Quartet No.6 (2010).  Arditti SQ

Charles Koechlin, Sonate pour piano et alto (1902–15).  Keller/Schiller
Charles Koechlin, Paysages et marines, version pour piano, flute, clarinette et quatuor à cordes (1915–17).  Keller/Schiller/etc.

Giacinto Scelsi, Sonate pour piano nº2 (1939).  Marianne Schroeder
Giacinto Scelsi, Sonate pour piano nº3 (1939).  Marianne Schroeder

la troisième n’est pas si mal.

Milhaud:Quatuor n°1 (Barisii)

David à raison, ce quatuor est un petit bijou de mélodicité.

c’est bas un beu gentillet ?

Je dirais plutôt "radieux".

lucien a écrit:

c’est bas un beu gentillet ?

Evidemment que oui par rapport à ce que tu aimes.

Mais je rejoins Arnaud, ce quatuor est magnifique. Je n'ai pas osé écouter les autres, de peur qu'ils ne soient pas de la même trempe. Je laisse Arnaud tester

Haendel : Le Messie Hogwood

Cololi a écrit:

Evidemment que oui par rapport à ce que tu aimes.

bah, aujourd’hui j’ai bien écouté les Paysages et marines de Koechlin, et je ne me suis (presque) pas ennuyé.

Cololi a écrit:

Je laisse Arnaud tester

moi aussi.
je ne connais vraiment que le troisième, plutôt d’un genre quinzième de Chosta.

lucien a écrit:

Cololi a écrit:

Je laisse Arnaud tester

moi aussi.
je ne connais vraiment que le troisième, plutôt d’un genre quinzième de Chosta.

Oui je vais continuer à explorer les autres.
Effectivement ce 3ème quatuor est atypique pour du Milhaud, très crepusculaire pour le coup.
Le 5ème aussi est surprenant , pas loin de Schoenberg.
J'ai bien aimé le 12ème qui est très lyrique.
Et l'experience 14ème+15ème=octuor est vraiment à tenter!!!

Un compositeur bien plus riche et divers qu'il n'y parait.

lucien a écrit:

Brian Ferneyhough (1943–), String Quartet No.6 (2010).  Arditti SQ

Tu as aimé ? 

plutôt, oui.

Elliott Carter, Enchanted Preludes pour flute et violoncelle (1988), pour l’anniversaire d’Ann Santen.  Pelletier/Darling
Elliott Carter, Con leggerezza pensosa pour clarinette, violon et violoncelle (1990), hommage à Italo Calvino.  Aldrich/Giguère/Darling
Elliott Carter, Triple Duo pour flute et clarinette, violon et violoncelle, piano et percussion (1982–83).  Nouvel Ensemble Moderne, dir. Lorraine Vaillancourt
Elliott Carter, Gra pour clarinette (1993), pour le 80e anniversaire de Lutosławski.  Simon Aldrich
Elliott Carter, Riconoscenza pour violon (1984), pour le 80e anniversaire de Petrassi.  Alain Giguère
Elliott Carter, 90+ pour piano (1994), pour le 90e anniversaire de Petrassi.  Jacques Drouin
Elliott Carter, Esprit rude / esprit doux pour flute et clarinette (1985), pour le 60e anniversaire de Boulez.  Pelletier/Aldrich
Elliott Carter, Esprit rude / esprit doux II pour flute, clarinette et marimba (1995), pour le 70e anniversaire de Boulez.  Pelletier/Aldrich/Grégoire
Elliott Carter, Clarinet Concerto pour clarinette et ensemble (1996).  Simon Aldrich / Nouvel Ensemble Moderne, dir. Lorraine Vaillancourt

Andreï Eshpaï : Symphonie No. 3 (1964)/Vladimir Fedoseyev

Avec partition.

Mélomaniac a écrit:

3) Franz Liszt (1811-1886) :

Fantaisie et Fugue sur Ad nos ad salutarem undam

= Pierre Cochereau, orgue Cavaillé-Coll de la Cathédrale Notre-Dame de Paris

(Oiseau Lyre, 1955)

Une tuerie...

Ouais, ça je connais, en réédition Solstice.

Charles Ives (1874–1954), The Unanswered Question (1908).  Bernstein
Charles Ives (1874–1954), Central Park in the Dark (1906–9).  Bernstein
Elliott Carter (1908–2012), Concerto for Orchestra (1969).  Bernstein

Schubert, symphonie N° 4: Avi Ostrowsky ****
Schubert, symphonie N° 5: Herbert von Karajan ***
Schubert, symphonie N° 6: Jos van Immerseel ****
Schubert, symphonie N° 9: Carl Schuricht *****

les * correspondent à mon opinion sur les oeuvres, pas sur les interprétations

Hanns Eisler (1898–1962), Scherzo für Streichtrio (1920).  Ulbrich/Zindler/Dillner
Hanns Eisler, Palmström op.5 pour voix et petit ensemble (1924).  Trexler, etc.
Hanns Eisler, Duo für Violine und Violoncello op.7 (1924).  Ulbrich/Dillner
Hanns Eisler, Zeitungsausschnitte für Gesang und Klavier op.11 (1925–27).  Trexler/Olbertz
Hanns Eisler, Präludium und Fuge über B-A-C-H für Streichtrio op.46 (1934).  Ulbrich/Zindler/Dillner
Hanns Eisler, Sonate für Flöte, Oboe und Harfe op.49 (1935).  Walter/Mahn/Zoff
Hanns Eisler, Sonate für Violin und Klavier (»Reisesonate«) (1937).  Schmahl/Czapski
Hanns Eisler, Nonett Nr. 1 (1939).  Erben, etc.
Hanns Eisler, Septett Nr. 2 (»Zirkus«) (1947).  Erben, etc.

Manoury : Stringendo / Arditti Quartet
 +

Paul Hindemith (1895-1963) :

Symphonie Die Harmonie der Welt

= Paul Hindemith, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, mars 1954)

Boulez : Dérive I / Ensemble InterContemporain

lucien a écrit:

c’est bas un beu gentillet ?

Si Rabel est gentillet, alors sans doute ce quatuor l'est.