Playlist (95)

ça ressemble à quoi, Verunelli (si tu sais un peu dire) ?

Rihm, Vigilia für sechs Stimmen und Ensemble (2001–6).  ChorWerk Ruhr, Filidei, Ensemble Modern (Huber)

lucien a écrit:

ça ressemble à quoi, Verunelli (si tu sais un peu dire) ?

, comme ses copains

Tournemire, L’orgue mystique : Noël, Paraphrase.  Delvallée
Tournemire, L’orgue mystique : Épiphanie, Fantaisie.  Delvallée

Nicola CAMPOGRANDE :

. Sinfonietta (2004)

Orchestre Philharmonique de Turin
dir : Marzio Conti

. Absolut, concerto pour violoncelle, basse électrique et orchestre (2004-2007)

Umberto Clerici, violoncelle
Angelo Liziero, basse électrique
Orchestre Philharmonique de Turin
dir : Mario Ancillotti

www.campogrande.it

Rodion Chtchédrine : Carmen-Suite (1967)/Gennady Rozhdestvensky
La Dame au Petit Chien (1985)/Alexander Lazarev
Le Voyageur Ensorcelé (2002)/Valery Gergiev
Concerto pour piano No. 5 (1999)/Denis Matsuev & Valery Gergiev

Résonances médiévales de la féminité celte

Claudia Caffagni : voix, luth
Livia Caffagni : voix, fllûte à bec, vielle, chifonie
Elisabetta de Mircovich : voix, flute à bec, rebec, chifonie
Ella de Mircovich : voix, harpe gothique, harpe romane
Doron David Sherwin : voix, cornetto, percussion, cloches
Claudia Pasetto : vielle

(Arcana, mars 1997)

Pour en savoir plus sur le programme, cf cet intéressant commentaire : http://www.amazon.fr/Insula-Feminarum-Compilation/dp/B002AHJUOI

Lehar. La veuve joyeuse. Harwood, Stratas, Hollweg, Kollo, Kelemen. Ch. Opéra Berlon, Berliner Philhamoniker, Karajan. 1972. DGG

Marius Constant (1925–2004),

  Nana-Symphonie (1980)
  Cent-trois regards dans l’eau, concerto pour violon et orchestre (1981) *

        * Patrice Fontanarosa, violon
        Radio-Symphonie-Orchester Berlin
        Marius Constant, direction

lucien a écrit:

Marius Constant (1925–2004),

  Nana-Symphonie (1980)
  Cent-trois regards dans l’eau, concerto pour violon et orchestre (1981) *

        * Patrice Fontanarosa, violon
        Radio-Symphonie-Orchester Berlin
        Marius Constant, direction

Ah, c'est beau, ça.

oui, je sais (que tu dirais ça).

Rodion Chtchédrine : Concerto pour piano No. 1 (1954)/Rodion Chtchédrine & Evgeny Svetlanov
Symphonie No. 1 en mi bémol majeur (1958)
Tintement des Cloches (1968)/Evgeny Svetlanov
Dialogues avec Chostakovitch (2001)/Mariss Jansons
Offrande Romantique (2010)/Mischa Maïsky, Martha Argerich & Neeme Järvi

Diablotin a écrit:

Lawrence est d'une énergie époustouflante et incarne une Brünnhilde jeune et enflammée comme on l'a rarement -jamais ?- entendue.

Rien qu'avec son Immolation de Brünnhilde en français, on tient déjà un des sommets absolus de l'histoire du chant et du théâtre wagnériens; alors une Walküre intégrale et sur scène, j'imagine volontiers que ça doit être prodigieux.

Sinon:

Klaus Huber: Schattenblätter pour clarinette basse, violoncelle et piano; Des Dichters Pflug pour trio à cordes.
Ensemble Recherche
Accord, 1991

(Je n'ose pas trop dire «à écouter si l'on aime la musique de chambre de Kurtág et de Takemitsu», parce que j'entends déjà certaines récriminations...)

Cavalieri: Rappresentatione di Anima, et di Corpo
Johannette Zomer, Marco Beasley, Jan van Elsacker, Stephan McLeod, Dominique Visse, Nuria Rial, Béatrice Mayo Felip, Christina Pluhar / L'Arpeggiata
Alpha, 2004

Prodigieux. Entre art de la déclamation expressive, austérité des moyens instrumentaux et archaïsmes d'écriture, le premier baroque est décidément un des moments de l'histoire de la musique où je me sens le plus chez moi. Pendant quelques années, Christina Pluhar aura été la meilleure interprète de ce répertoire (mais ça, c'était avant...)

Benedictus a écrit:

(Je n'ose pas trop dire «à écouter si l'on aime la musique de chambre de Kurtág et de Takemitsu», parce que j'entends déjà certaines récriminations...)

pense un peu à la santé émotionnelle de David.

lucien a écrit:

pense un peu à la santé émotionnelle de David.

C'était précisément le sens de ma remarque.
(Cela dit, je trouve vraiment une parenté dans le type de textures et de timbres.)

il me semble que je préfère largement ça à la musique de chambre de Kurtág et de Takemitsu, cela dit.

lucien a écrit:

il me semble que je préfère largement ça à la musique de chambre de Kurtág et de Takemitsu, cela dit.

Curieusement, je n'en suis pas vraiment surpris...

Ronald Stevenson (1928–),

  Piano Concerto No.1 “Faust Triptych” (1959–60)
  Piano Concerto No.2 “The Continents” (1970–72)

        Murray McLachlan, piano
        Chetham’s Symphony Orchestra
        Julian Clayton, direction

quel fou.

Prokofiev, Sonate pour piano n°6, Mari Asakawa


Prokofiev, Sonate pour piano n°7, Mari Asakawa


Wagner, Das Liebesverbot (Ouverture), Weigle


Rott, Symphonie n°1, Weigle

Motets à 1, 2 et 3 voix, Monteverdi

René Jacobs et Concerto Vocale

Olalala c'est    

Les Trésors du phonographe


Nikolaï Rimsky-Korsakov (1844-1908) :

Schéhérazade, suite symphonique Op. 35

= Artur Rodzinski, Orchestre de Cleveland
avec Joseph Fuchs, violon

(Columbia, décembre 1939)

Cavalieri, Rappresentatione di Anima, et di Corpo

L'arpeggiata et Christina Pluhar

Benedictus a écrit:

Cavalieri: Rappresentatione di Anima, et di Corpo
Johannette Zomer, Marco Beasley, Jan van Elsacker, Stephan McLeod, Dominique Visse, Nuria Rial, Béatrice Mayo Felip, Christina Pluhar / L'Arpeggiata
Alpha, 2004

Prodigieux. Entre art de la déclamation expressive, austérité des moyens instrumentaux et archaïsmes d'écriture, le premier baroque est décidément un des moments de l'histoire de la musique où je me sens le plus chez moi. Pendant quelques années, Christina Pluhar aura été la meilleure interprète de ce répertoire (mais ça, c'était avant...)

Quelle est la supériorité des enregistrements actuels sur Pluhar ?

CPE Bach (1714-1788)
Würrtemberg sonatas
Mahan Esfahani, clavecin

Rien qu'au doux froissement du cellophane, on pressent déjà un disque somptueux. Absolument! (évidement j'en parlerai mieux - en tous cas plus - quand je l'aurais écouté)

Läbipaistev a écrit:

Quelle est la supériorité des enregistrements actuels sur Pluhar ?

Je ne voulais pas dire qu'on a fait mieux depuis, mais que, depuis lors, Pluhar a cessé d'explorer ce répertoire du premier baroque pour se tourner (et de manière apparemment exclusive) vers un sorte de crossover gentiment jazzoteux-baroquisant, certes pas désagréable pour le peu que j'en ai entendu, mais dont l'intérêt est à mes yeux quasi nul par rapport à ses disques avec Alpha.

Oui, dommage. Je ne savais pas. Peut-être qu'elle gagne mieux sa vie maintenant?

Jean Sibelius, Symphonie n°3 en ut majeur Op. 52

Anthony Collins, Orchestre symphonique de Londres


Merci Mélomaniac, je ne pensais pas parvenir à aimer Sibélius.

Wolfgang Rihm (1952–), „umsungen“ pour baryton et ensemble (1984)
Peter Ruzicka (1948–), „...der die Gesänge zerschlug“ (Stele für Paul Celan) pour baryton et ensemble (1985)

        Dietrich Fischer-Dieskau, baryton
        Ensemble Modern
        Ernest Bour, direction

Läbipaistev a écrit:

Jean Sibelius, Symphonie n°3 en ut majeur Op. 52

Anthony Collins, Orchestre symphonique de Londres

C'est super, hein ?

Oui, ça en jette ! Quel entrain. Moi qui prenait Sibélius pour un sous-Tchaïkovsky

Läbipaistev a écrit:

Moi qui prenait Sibélius pour un sous-Tchaïkovsky

 

  Ceci dit, la valse du second mouvement, c'en est un peu non ?


Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°6 en ré mineur Op. 104

= Paavo Berglund, Orchestre symphonique de Bournemouth

(Emi, juin 1973)

Un peu Tchaïkovsky, un peu Dvorak en plus mou.

Mais je l'aime bien quand même, cette Valse. C'est surprend le plaisir que je prends à écouter cette symphonie, même ses passages les plus mielleux moelleux.

Läbipaistev a écrit:

Mais je l'aime bien quand même, cette Valse.

Oui, et le tempo qu'adopte Collins est un des plus rapides de la discographie.
Quand j'écoute cette interprétation, j'ai l'impression de voir une chorégraphie de flocons de neige, voletant derrière les vitres embuées...

Beaucoup de charisme aussi dans les deux autres mouvements, propre à euphoriser l'oreille.

Bon, suffit maintenant, tu me donnes envie de réécouter ce disque

Glazunov: Courante (Andante sostenuto), Cinq Novelettes op.15, Prélude et Fugue

Artciboucheff: Serenade

Liadov: Sarabande, Mazurka, Fugue

Rimsky-Korzakov: Allegro

Borodin: Scherzo

Blumenfeld: Sarabande

Maximilien D'Osten-Sachen: Berceuse

Kopylow: Polka

Withold: Menuet

Sokolov: Scherzo, Canon, Mazurka

Quatuor Reger
Raimund Fleischer, 1er violon
Volker Sprang, second violon
Eberhard Klemmstein, alto
Thomas Kanitz, violoncelle

Turnabout 1981

Charles Tournemire (1870-1939) :

Office n°17 « Dominica Resurrectionis » pour le dimanche de Pâques, Op. 56

= Georges Delvallée, orgue Cavaillé-Coll de l'Abbatiale Saint-Ouen de Rouen

(Accord, octobre 1996)

Un des plus beaux orgues du monde et de tous les temps.

Mélomaniac a écrit:

Läbipaistev a écrit:

Mais je l'aime bien quand même, cette Valse.

Oui, et le tempo qu'adopte Collins est un des plus rapides de la discographie.
Quand j'écoute cette interprétation, j'ai l'impression de voir une chorégraphie de flocons de neige, voletant derrière les vitres embuées...

Beaucoup de charisme aussi dans les deux autres mouvements, propre à euphoriser l'oreille.

Bon, suffit maintenant, tu me donnes envie de réécouter ce disque

J'ai Collins dans les 7 symphonies, mais aussi Rozhdestvensky . Pour moi ce dernier est encore plus dynamisant que Collins dans la Troisième. Ce sont mes deux intégrales préférées.

Oui ok, c'est sûr que là on est euphorisé avec cette intégrale Melodiya, mais Rojdé et son orchestre, ça arrache un peu trop les oreilles...

Charles Ives (1874–1954),

  Study No. 20: Even durations – unevenly divided (ca 1909)
  Study No. 21: Some South-Paw Pitching! (ca 1909)
  Study No. 22 (ca 1912)
  Varied Air and Variations – “Study No. 2 for Ears” or “Aural and Mental Exercise!!!” (ca 1923)
  Waltz-Rondo (1911)
  Three-Page Sonata (1905)
  Study No. 9: The Anti-Abolitionist Riots in the 1830’s and 1840’s (1908–9)
  Three Quarter-tone Pieces for Two Pianos (1903–23) *

        Herbert Henck, piano
        * Deborah Richards, piano

C'est dangereux d'écouter Puccini

Mélomaniac a écrit:

Oui ok, c'est sûr que là on est euphorisé avec cette intégrale Melodiya, mais Rojdé et son orchestre, ça arrache un peu trop les oreilles...

Euh ?

Rav-phaël a écrit:

Ouch ...      ça en devient tellement beau de mourir avec Puccini, je ne sais pas ce qui me retient ...[/font]

Écoute Gianni Schicchi, ça t'empêchera de mourir!
Mais sinon je suis assez d'accord!

Polyeucte a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Ouch ...      ça en devient tellement beau de mourir avec Puccini, je ne sais pas ce qui me retient ...[/font]

Écoute Gianni Schicchi, ça t'empêchera de mourir!
Mais sinon je suis assez d'accord!

Je conseillerais plutôt une cure massive de Mozart -------> Cosi, Nozze, Zauberflöte entre autres opéras

Polyeucte a écrit:

Rav-phaël a écrit:

Ouch ...      ça en devient tellement beau de mourir avec Puccini, je ne sais pas ce qui me retient ...[/font]

Écoute Gianni Schicchi, ça t'empêchera de mourir!
Mais sinon je suis assez d'accord!

 .
J’adore les trois ! Peut-être ce que j’aime le plus chez Puccini finalement. mais là j’accuse le coup, laisse moi digérer quelques jours avant d'attaquer Gianni Schicchi ^^ , ça fait longtemps en plus  !

Rodion Chtéaldrin : Anna Karénina (1971)/Yuri Simonov
La Mouette (1980)/Alexander Lazarev


Décidément, il n'a écrit que des chefs-d’œuvre pour le ballet (Merci à Maïa l'indéfectible !).

Rav-phaël a écrit:

 .
J’adore les trois ! Peut-être ce que j’aime le plus chez Puccini finalement. mais là j’accuse le coup, laisse moi digérer quelques jours avant d'attaquer Gianni Schicchi ^^ , ça fait longtemps en plus  !

Moi je place vraiment Angelica au dessus des trois.
Après, difficile de choisir chez Puccini... Tosca, Butterfly, Triptyque, Turandot,... Donc je ne choisi pas et me fait des cures Puccini!
Et récemment, Le Villi qui est quand même super chouette!