Playlist (96)

Jof a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Pour l'interprétation des londoniennes essaie plutôt Bernstein (plus de peps que Dorati) ou Colin Davis (plus beau que Dorati).

Bernstein avec qui ? Je suppose qu'il y en a plusieurs (et je ne me rappelle plus laquelle j'ai).
Merci du conseil.  

Bernstein avec New-York (Sony)

une sorte de "LOVA MOORE" pianiste ! son jeu ? BLUFFANT !!!!!

SONYA KAHN



Sonya Kahn - Khachaturian Toccata in E flat minor

watch?v=cBkz2A1z8xM
_____

Sonya Kahn - Chopin Sonata No. 3 Op. 58 4th mvt

watch?v=y8unXwUeE4Q

hommepiano a écrit:

une sorte de "LOVA MOORE"

Spoiler:

En arrivant sur la page playlist, j'ai cru m'être trompé de Forum...


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Georg Friedrich Haendel (1685-1759) :

Jephtha, oratorio en trois actes HWV 70

Jephtha : Anthony Rolfe-Johnson, ténor
Iphis : Margaret Marshall, soprano
Storgé : Alfreda Hodgson, mezzo-soprano
Hamor : Paul Esswood, contre-ténor
Zebul : Christopher Keyte, basse
L'Ange : Emma Kirkby, soprano

Southend's boys Choir

Neville Marriner, Choeurs et Academy of St Martin in the Fields

(Argo, mars 1979)

Jephta, chef d'armée choisi par les Israélites, demande la victoire à Jéhovah, promettant en échange de sacrifier la première personne qu'il croisera sur son retour.
Qui hélas se trouve être sa fille, venue à sa rencontre célébrer son triomphe...

Rav-phaël a écrit:

Ouch ...  Je n’ai jamais autant aimé le piano !

WYSCHNEGRADSKY.
——   Arc-en-ciel

oui d'accord je comprends bien....mais vous l'avez écouté jouer ?......bonne pianiste quand même la jeune femme !!

Très bien !

Néanmoins, pour rectifier un peu la route de ce fil qui à mon humble avis cours de traviole et afin de donner de l'inspiration et du grain à moudre aux statisticiens des siècles 22 et 23 :

Rachmaninov/concerto pour piano n°2/Andrei Gavrilov au piano bien ventilé/Riccardo Muti/1989

Et en plus c'est pas mal ce truc, v'la la Rachmachine en marche de nouveau.

Brice Pauset (1965–), Adagio dialettico pour saxophone, percussion et piano (2000)
Hans Thomalla (1975–), Lied pour saxophone, percussion et piano (2008)

        Trio Accanto : Markus Weiss, Christian Dierstein, Nicolas Hodges

Rachmaninov
Etudes-Tableaux, Jean-Philippe Collard
       

Vaughan Wiliams
The Wasps-Overture *
     
Fantasia on « Greensleeves » *
     
Five variants of « Dives & Lazarus » *
   

Edward Elgar
Cockaigne- Overture *
   

* Hallé Orchestra, dir. Barbiolli

anaëlle a écrit:

Rachmaninov
Etudes-Tableaux, Jean-Philippe Collard
       

Vaughan Wiliams
The Wasps-Overture *
     
Fantasia on « Greensleeves » *
     
Five variants of « Dives & Lazarus » *
   

Edward Elgar
Cockaigne- Overture *
   

* Hallé Orchestra, dir. Barbiolli

Très bien tout ça !

=> Moses und Aron, Cambreling.

Pas beaucoup plus varié que du seria, mais ça s'écoute très facilement.

Georg Friedrich Haendel (1685-1759) :

Jephtha, oratorio en trois actes HWV 70

Acte III

Jephtha : Anthony Rolfe-Johnson, ténor
Iphis : Margaret Marshall, soprano
Storgé : Alfreda Hodgson, mezzo-soprano
Hamor : Paul Esswood, contre-ténor
Zebul : Christopher Keyte, basse
L'Ange : Emma Kirkby, soprano

Southend's boys Choir

Neville Marriner, Choeurs et Academy of St Martin in the Fields

(Argo, mars 1979)

Jephta se résout à son sinistre voeu, et prépare sa fille au sacrifice. Mais celle-ci est sauvée par l'intercession d'un ange, qui la promet au Ciel.

Xavier a écrit:

Berg: 3 pièces opus 6/Rosbaud



Exceptionnelle version.

Meilleure que la version Abbado?

Ca, je ne me prononcerai pas... mais une des grandes versions à mon avis.

Xavier a écrit:

Ca, je ne me prononcerai pas... mais une des grandes versions à mon avis.

C'est noté.

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Schubert:Symphonie n°9 (Furtwangler)

Quelle oeuvre!!!

Rav-phaël a écrit:

Chez les finlandais - et en dehors de Sibelius bien sûr - j'écoute plutôt les compositeurs contemporains ou de la 2ème moitié du XXème. Je ne m'étais donc pas encore penché sur Madetoja qui est antérieur. Ayant vu ton post je suis en train d'écouter ce disque en streaming. Et j'aime beaucoup ! Ce n'est pas révolutionnaire, mais inspiré, d'une forme qui ne génère pas l'ennui, et avec des couleurs et une pâte orchestrale qui correspondent bien à ce qu'on peut attendre de ces compositeurs (en tout cas à ce qui me séduit chez eux). Merci pour la découverte

Michael Pelzel (1978–), Chatoiements de l’air für Kammerorchester (2012)
Philippe Manoury (1952–), Zones de turbulences pour deux pianos et orchestre (2013) *
Pascal Dusapin (1955–), Reverso, solo pour orchestre nº6 (2006)
Simon Steen-Andersen (1976–), Double Up for sampler and small orchestra (2010)

        * GrauSchumacher Piano Duo
        Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
        Franck Ollu, direction

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Fugues en ut mineur, sol majeur, sol mineur, si mineur BWV 574-579

= Simon Preston, orgue Klais du St John's Smith Square de Londres

(DG, décembre 1995 - juin 1996)

Tchaikovsky : Symphonie n°6    1893 / Chung

Schulhoff: Flammen (Acte 1) / Westi, Eaglen, Vermillion & DSO Berlin, dir. Mauceri

Superbe !

Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788)
Württemberg sonatas
Mahan Esfahani, clavecin


"...elles sont trop bien écrites, trop convaincantes et trop belles pour se voir simplement rangées comme une transition entre deux grandes périodes. Comment expliquer que leur vocabulaire musical soit aux antipodes de celui du haut baroque, pourtant supposé fleurir pendant six ans encore*? Nos catégories sont-elles seulement pertinentes? Avons-nous décidé d'ignorer une musique authentiquement grande parce que nous sommes incapables de remettre en questions notre conception simplifée de l'histoire de la musique? Pour dire les choses simplement, à coté de quoi passons nous?" Mahan Esfahani

En tous cas Mahan Esfahani est en un plein dedans. Dans ces oeuvres qui marquent un peu l'acte de naissance de CPE Bach (ultérieures aux sonates "prussiennes" et amorçant le vocabulaire qui lui est propre). Il tire CPE (le jeune CPE de trente ans) vers une ivresse inventive plus que vers une introspection douloureuse. Encore que... Une conduite musicale fluide et formidablement expressive qui ne sacrifie jamais à forcer le trait pour faire de toute page une conversation entre un sanguin et un mélancolique.

Le déploiement de la richesse du clavecin est superbe

* 1744: publication des Württemberg sonatas
1750: décès de JS Bach

PS1. Nombreuses (et méritées, enfin pour moi) distinctions
PS2 Quelqu'un a écouté son Rameau?

Sibelius - Symphonie n°4 - BBC Philharmonic_John Storgårds

Widor: - Introduction et rondo / Hartig & Moriarty
- Symphonie n° 10 "Romane" / Hans Ole Thers (Helligaandskirken, Copenhague)

Elle se laisse écouter, cette 10ème, avec ses guirlandes et sa mouvance qui annoncent Tournemire.

Mélomaniac a écrit:

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Fugues en ut mineur, sol majeur, sol mineur, si mineur BWV 574-579

= Simon Preston, orgue Klais du St John's Smith Square de Londres

(DG, décembre 1995 - juin 1996)

C'est un très beau Klais dont ce facteur de Bonn d'Allemagne a tellement amélioré, tout comme pour l'orgue de l'Abbaye de Bath!

D'ailleurs tu me donnes envie d'écouter un cd à l'orgue St-John's Smith Square et un autre cd à l'orgue de l'Abbaye de Bath.

Jean Langlais
Trois Paraphrases Grégoriennes
Première Symphonie

Jane Watts, au Klais de St-John's Smith Square
Priory 1994


Dispo via Deezer: http://www.deezer.com/album/2050581

Buxtehude: Praeludium en Do, Praeludium en Sol mineur
Böhm: Choral ''Vater unser him Himmelreich''
Liszt: Orpheus
Jesu Giuridi: Triptico Del Buen Pastor
Saint-Saëns: Fantaisie en Ré bémol op.101
Petr Eben: Hommage à Buxtehude

Peter King, au Klais de Bath Abbey
Priory 1997


Dispo via Deezer pour les curieux:http://www.deezer.com/album/2050001

Michael Pelzel (1978–), Sempiternal lock-in für Ensemble (2012–13).  Klangforum Wien (Johannes Kalitzke)
Luca Francesconi (1956–), Herzstück per sei voci, su testo di Heiner Müller (2012).  Neue Vocalsolisten Stuttgart
Sarah Nemtsov (1980–), white wide eyes für Ensemblekollektiv, Elektorink und Projektion (2014).  Ensemblekollektiv Berlin (Manuel Nawri)
Pierluigi Billone (1960–), Legno.Intile, Studie für Ensemble (2002).  Ensemblekollektiv Berlin (Manuel Nawri)

Dukas: L'Apprenti sorcier/Roth

+

Roslavets: Sonates n^os 1, 2 & 5 / Emeliantseva

JS Bach_Contrapunctus 19 l'Art de la fugue, André Isoir.
Écouté hier soir en dernier, très content.

Boléro de Ravel, Orchestre du théâtre national de l'opéra de Paris, dir. Manuel Rosenthal (1959)
Il se passe quelque chose de spécial à la fin aux percussions. Un Boléro endiablé mais longuet car les derniers refrains avant la modulation se ressemblent trop.

Ravel : Ballade de la reine morte d'aimer, chez Naxos, je ne peux pas lire les interprètes (Deezer).


Schubert : Valses nobles et sentimentales
Piano : Guillaume Coppola
Les valses sentimentales sont plus à mon goût ce soir que les nobles. Et la sonate D. 537 accompagne le tout.

Pour l'Art de la Fugue de Bach, écoutes la version de Kei Koïto à l'orgue de Bordeaux.

Marcel Landowski (1915-1999) :

Symphonie n°1 « Jean de la Peur »

Car elle naquit des mystères du monde, la Peur qui se dressa et regarda Jean
Et Jean pensa détruire la Peur en tuant les mystères
Mais lentement une autre Peur se leva et cette Peur-là le regardait du dedans

= Georges Prêtre, Orchestre national de France

(Erato, octobre 1988)

Ah tiens, Melo, ça m'intéressera de savoir ce que tu en as pensé.

plenum a écrit:

Pour l'Art de la Fugue de Bach, écoutes la version de Kei Koïto à l'orgue de Bordeaux.

Ah, j'ai déjà lu et noté ce nom quelque part. Je recommence, avec le temps j'y viendrai.

Siegfried Wagner: Sonneflammen, prélude/Epple

Langlais: Symphonie pour orgue n° 1 / Watts (Klais de St-John's Smith Square, Londres)

C'est quand même bizarre Langlais.

Mélomaniac a écrit:

Marcel Landowski (1915-1999) :
Symphonie n°1 « Jean de la Peur »
[...]
= Georges Prêtre, Orchestre national de France
(Erato, octobre 1988)

Xavier a écrit:

Ah tiens, Melo, ça m'intéressera de savoir ce que tu en as pensé.

On peut déjà affirmer sans trop risquer de se tromper que Mélo a dû aimer la pochette.

Ferneyhough : Quatuor à cordes n°2    1980 / Arditti Quartet

Jof a écrit:

Langlais: Symphonie pour orgue n° 1 / Watts (Klais de St-John's Smith Square, Londres)

C'est quand même bizarre Langlais.

Disons que sa première symphonie peut semblez bizarre, de par son langage moins modal que d'habitude, car cette oeuvre fut composée peu de temps après l'armistice de 1940. C'est une oeuvre de guerre, donc très tourmentée, d'un chromatisme exacerbé. On ressent davantage
Dupré de sa suite op.29, de sa deuxième symphonie et même le premier mouvement de sa Symphonie Passion.

plenum a écrit:

Disons que sa première symphonie peut semblez bizarre, de par son langage moins modal que d'habitude, car cette oeuvre fut composée peu de temps après l'armistice de 1940. C'est une oeuvre de guerre, donc très tourmentée, d'un chromatisme exacerbé.

Oui, c'est assez... bordélique, dirais-je.

Rav-phaël a écrit:

ROSLAVETS.
Irina Emeliantseva
__   Sonate pour piano 3

Ah, si seulement...

Arion : Cinquième cantate avec flûte, basse de viole et clavecin
André Campra
William Christie et Les Arts Florissants

Pas la rencontre la plus cruciale que j'aie faite ces derniers temps, mais j'aime bien

Jof a écrit:

plenum a écrit:

Disons que sa première symphonie peut semblez bizarre, de par son langage moins modal que d'habitude, car cette oeuvre fut composée peu de temps après l'armistice de 1940. C'est une oeuvre de guerre, donc très tourmentée, d'un chromatisme exacerbé.

Oui, c'est assez... bordélique, dirais-je.

Dramatique, caustique, tourmenté, oui, mais bordélique, absolument pas si tu dis ça dans l'optique du cacophonisme.

Jof a écrit:

Rav-phaël a écrit:

ROSLAVETS.
Irina Emeliantseva
__   Sonate pour piano 3

Ah, si seulement...

oups pardon oui : 5 !

plenum a écrit:

Dramatique, caustique, tourmenté, oui, mais bordélique, absolument pas si tu dis ça dans l'optique du cacophonisme.

Je dis ça dans le sens où, malgré un langage assez direct, on a du mal à le suivre.
__________

Bach: - Concerto en sol majeur, BWV 592
- Prélude et fugue en ré majeur, BWV 532
- Fantaisie et fugue en ut mineur, BWV 537
Simon Preston

C'est chouette ! Fin et peu démonstratif.