Playlist (98)

Ah tiens, le n°1 fait partie des oeuvres de Shosta qui ne m'opposent aucune résistance et que je peux réécouter très volontiers. Je viens justement de découvrir son 8e quatuor qui reprend certains thème de ce concerto.

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Divertimento n°17 en ré majeur K. 334

= Anton Kamper, Karl Maria Titze, violon ; Erich Weis, alto ; Franz Kwarda, violoncelle ; Josef Hermann, contrebasse ; Hans & Othmar Berger, cor

(Westminster, 1954)

Arghhh...

Anthony a écrit:

Ah tiens, le n°1 fait partie des oeuvres de Shosta qui ne m'opposent aucune résistance et que je peux réécouter très volontiers. Je viens justement de découvrir son 8e quatuor qui reprend certains thème de ce concerto.

Je n'imagine pas le concerto N°2 t'opposer plus de résistance mais t'apporter encore plus de plaisir...
Il y a là un concertino pour percussions qui me réjouie !

Je ne l'ai jamais écouté en fait, j'ai le 1er sur un cd où c'est couplé avec un (ou le ?) concerto pour violon. Mais a priori, si le premier m'a plu je devrais tenter.

Dmitri Kourliandski (1976–),

  FL [falsa lectio] #2 pour flute (2008).  Ivan Bushuev
  prePositions pour violon (2008).  Vladislav Pesin
  Shiver pour accordéon (2010).  Sergej Tchirkov
  Voice-off pour voix (2008).  Natalia Pschenitschnikova

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Divertimento n°17 en ré majeur K. 334

= Willi Boskovsky, Philipp Matheis, violon ; Günther Breitenbach, alto ; Nikolaus Hübner, violoncelle ; Johann Krump, contrebasse ; Josef Veleba, Otto Nitsch, cor

(Decca, juin 1950)

Ah cet Andante con variazioni, il me fera mourir...

Marcel Landowski (1915–1999),

  Concerto pour piano nº2 (1963).  Annie d’Arco / Orchestre national de l’ORTF (Jean Martinon)
  Concerto pour ondes Martenot (1954).  Jeanne Loriod / Orchestre de chambre de musique contemporaine (Jacques Bondon)
  Concerto pour trompette (1975–76).  Maurice André / Orchestre philharmonique de Strasbourg (Alain Lombard)

[quote="lucien"]Marcel Landowski (1915–1999),

  Concerto pour piano nº2 (1963).  Annie d’Arco / Orchestre national de l’ORTF (Jean Martinon)
  Concerto pour ondes Martenot (1954).  Jeanne Loriod / Orchestre de chambre de musique contemporaine (Jacques Bondon)
  Concerto pour trompette (1975–76).  Maurice André / Orchestre philharmonique de Strasbourg (Alain Lombard)

Ça te plait ?
Je demande parce que je ne connais pas bien ce compositeur.

Schumann : Etudes symphoniques - Grinberg

Pierre Boulez, Trois psalmodies (1945).  Yvette Grimaud
Pierre Boulez, Premier mouvement de sonate.  Yvette Grimaud

Premier mouvement de sonate ? Qu'est-ce ?

aucune idée.

Chostakovitch - Quatuor n°6 - Rubio Quartet

lucien a écrit:

Pierre Boulez, Trois psalmodies (1945).  Yvette Grimaud
Pierre Boulez, Premier mouvement de sonate.  Yvette Grimaud

Tu as eu ça où ? 

http://www.francemusique.fr/emission/le-mitan-des-musiciens/2014-2015/pierre-boulez-maurice-jarre-faces-b-03-16-2015-13-00

Per Nørgård
——
Helle Nacht : Concerto pour violon 1
Borderlines : Concerto pour violon 2

Peter Herresthal [ violon ] Rolf Gupta : Stavanger Symphony Orchestra

——
Spaces of Time

Ida Mo [ piano ] Rolf Gupta : Stavanger Symphony Orchestra

  

Rihm : Morphonie pour orchestre avec quatuor à cordes soliste    1972 / Bour, Hock, Steeb, Santiago, Käsmeier

Isang Yun (1917–1995),

  Quatuor à cordes nº3 (1959/61)
  Concertino pour accordéon et quatuor à cordes (1983)
  Tapis pour quintette à cordes (1987)
  Quatuor à cordes nº4 (1988)

        Nomos-Quartett
        Mie Miki, accordéon
        Regine Bormann, contrebasse

Alexandre Scriabine (1872–1915), Prométhée (1908–10).  Goldenweiser/Golovanov

Chostakovitch - Quatuors n°7 et 8 - Rubio Quartet

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Divertimento n°10 en fa majeur K. 247

= Franzjosef Maier, Collegium Aureum

(BASF, 1964)

Joseph Jongen (1873–1953), Sonate pour violoncelle et piano op.39 (1911–12).  Spanoghe / De Groote
Max Reger (1873–1916), Introduktion, Passacaglia und Fuge op.121 (1913).  Rosalinde Haas
Sergei Rachmaninov (1873–1943), Études-Tableaux op.33 (1911).  Nikolai Lugansky

Thomas Tallis (1505-1585) :

Spem in alium, motet pour huit chœurs à cinq parties

= Paul van Nevel, Huelgas Ensemble

(Sony, septembre 1994)

Aaaaah là Lucien, je te serre la pince.

Pour cette grande oeuvre de Reger par la fameuse Haas, écoutes aussi la version de Martin Welzel chez Naxos?

ovni231 a écrit:

lucien a écrit:

Sergei Rachmaninov (1873–1943), Études-Tableaux op.33 (1911).  Nikolai Lugansky

Chef-d'oeuvre discographique.

Brahms, Concerto pour piano n°2, Buchbinder/Harnoncourt

Anthony a écrit:

Brahms, Concerto pour piano n°2, Buchbinder/Harnoncourt

Tu prépares une discographie comparée ?

Aïe..., ça chute pas mal depuis hier...

plenum a écrit:

Chef-d'oeuvre discographique.

dommage que ce ne soit pas un chef-d’œuvre en soi.

Mélomaniac a écrit:

Anthony a écrit:

Brahms, Concerto pour piano n°2, Buchbinder/Harnoncourt

Tu prépares une discographie comparée ?

Aïe..., ça chute pas mal depuis hier...

Non, je n'ai pas trop la patience pour ça. Mais oui, tu as raison, c'est moins exaltant que Gilels/Jochum (ou même avec Reiner). Enfin c'est quand même bien, et de toute façon ce concerto est tellement chef-d'oeuvresque que même une interprétation un peu moins bonne (mais tout de même de bonne tenue) reste captivante.
Il m'arrive comme ça de m'écouter en boucle une seule oeuvre plusieurs soirs d'affilée. Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps cela dit.

lucien a écrit:

plenum a écrit:

Chef-d'oeuvre discographique.

dommage que ce ne soit pas un chef-d’œuvre en soi.

lucien a écrit:

plenum a écrit:

Chef-d'oeuvre discographique.

dommage que ce ne soit pas un chef-d’œuvre en soi.

Si.

plenum a écrit:

lucien a écrit:

plenum a écrit:

Chef-d'oeuvre discographique.

dommage que ce ne soit pas un chef-d’œuvre en soi.

Si.

Tout dépend de quelle(s) oreille(s) Loutsian s'en sert.

Mais en tous cas ce n'est pas de la chnoutte c'est certain.

Boulez, Pli selon pli, Boulez (Sony)

Il faut dire que ce concerto pour piano de Brahms est l'un des plus magnifiques. Et avec Gilels, en plus ...

Tentes la version avec Gelber, tu m'en diras des nouvelles.

Tiens merci, je ne connais pas Gelber ! Ce sera pour demain soir, là je n'aurai pas le temps (d'autant que les plouc-plouc-plom tchap de Pli selon pli ne sont pas terminés).

Max Reger (1873-1916) :

Ach, Herr, strafe mich nicht, motet pour chœur mixte à cinq voix, Op. 110 n°2

= Eric Ericson, Chœur de la Radio de Stockholm

(Emi, 1968)

Sublime...

Brahms, Concerto n°1 (je sais, ce n'est pas hyper orignal en ce moment, les concertos pour piano de Brahms ), Schmitt-Isserstedt/ Brendel.

Quel orchestre!

Philipp Glass : BO du film Mishima (surtout pour Runaway horses, sous-titré "poetry written with a splash of blood" ... Tout un programme !!)

Eusèbe a écrit:

Brahms, Concerto n°1 Schmitt-Isserstedt/ Brendel.

C'est la toute première version qui m'a fait découvrir l'oeuvre en microsillon...

Eusèbe a écrit:

Brahms, Concerto n°1 (je sais, ce n'est pas hyper orignal en ce moment ), Schmitt-Isserstedt/ Brendel.

Quel orchestre!

Pour moi, il y a 3 ou 4 versions supérieures à celle-ci (dont Arrau/Giulini ou Ashkenazy/Haitink) mais elle est loin de me déplaire malgré tout !

Schubert: symphonies 5, 8 et 9. Mendelssohn: symphonies 4 et 5. Orchestre de la NBC, Arturo Toscanini. Du Schubert viril et tranchant. Pas sûr que la musique de Schubert supporte sans dommage cette approche. Les textures sont remarquablement mises en relief. Les rythmes sont incisifs et inflexiblement menés.

Rossini: Petite Messe solennelle. Antonio Pappano, Orch de l'Académie Ste-Cécile. Je préfère la version pour deux pianos et harmonium. C'est plus cool.

Mélomaniac a écrit:

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Sérénade eine kleine Nachtmusik en sol majeur K. 525

= Wiener Konzerthaus Quartett

Anton Kamper, Karl Maria Titze, violon ; Erich Weis, alto ; Franz Kwarda, violoncelle ; Josef Hermann, contrebasse

(Westminster, 1954)

L'oeuvre la plus célèbre et la plus belle de l'univers, dans son enregistrement le plus délectable jamais réalisé !

Je clignote de partout...

Surtout le phrasé et la respiration au début de la Romanza