Playlist (100)

Felix Woyrsch, Hamlet Overture, Symphonie n° 2, Oldenburgisches Staatsorchester dir. Thomas Dorsch (CPO encore !)

Hugo Alfvén (1872-1960) :

Symphonie n°5 en la mineur Op. 60

= Neeme Järvi, Orchestre philharmonique de Stockholm

(Bis, décembre 1992)

Mélomaniac a écrit:

Hugo Alfvén (1872-1960) :

Symphonie n°5 en la mineur Op. 60

= Neeme Järvi, Orchestre philharmonique de Stockholm

(Bis, décembre 1992)

Tu as trouvé ce petit fruit dans ton jardinet, c'est cela ?

Aho : Symphonie n°2     1970-95 / Vänskä
 +

Brahms:Symphonie n°3 (Reiner)

Villa-Lobos:

Choros #1, "Typico" - Norbert Kraft
12 Etudes - Norbert Kraft
5 Preludes, W 419 - Norbert Kraft

anaëlle a écrit:

Villa-Lobos:

Choros #1, "Typico" - Norbert Kraft
12 Etudes - Norbert Kraft
5 Preludes, W 419 - Norbert Kraft

Ah c'est sympa ça

Cololi a écrit:

anaëlle a écrit:

Villa-Lobos:

Choros #1, "Typico" - Norbert Kraft
12 Etudes - Norbert Kraft
5 Preludes, W 419 - Norbert Kraft

Ah c'est sympa ça

Carrément !!  Je viens d'écouter les Suite Populaire Bresilienne 1 à 5, c'est

anaëlle a écrit:

Cololi a écrit:

anaëlle a écrit:

Villa-Lobos:

Choros #1, "Typico" - Norbert Kraft
12 Etudes - Norbert Kraft
5 Preludes, W 419 - Norbert Kraft

Ah c'est sympa ça

Carrément !!  Je viens d'écouter les Suite Populaire Bresilienne 1 à 5, c'est

Oui c'est très sympa aussi.

Ecoute ça :

watch?v=IX29YNi7OGE

Cololi a écrit:

Ecoute ça :

watch?v=IX29YNi7OGE

C'est super sympa, très "coloré" ( ça doit être régulièrement dit à propos de Villa-Lobos je suppose ).
J'attaque la suite

anaëlle a écrit:

Cololi a écrit:

Ecoute ça :

watch?v=IX29YNi7OGE

C'est super sympa, très "coloré" ( ça doit être régulièrement dit à propos de Villa-Lobos je suppose ).
J'attaque la suite

Oui c'est en 2 parties

Un petit supplément : Uirapuru watch?v=IeeNYkzB7m8

Darius Milhaud (1892-1974) :

Symphonie n°5 Op. 322

= Alun Francis, Orchestre symphonique de la Radio de Bâle

(CPO, août 1992)

Cololi a écrit:

Un petit supplément : Uirapuru   watch?v=IeeNYkzB7m8

Je viens de le finir :

anaëlle a écrit:

Cololi a écrit:

Un petit supplément : Uirapuru   watch?v=IeeNYkzB7m8

Je viens de le finir :

Un ptit lien vers le Choros 10 (quand on a pas peur du mauvais goût ) - pour orchestre géant et chœurs (attention c'est en 2 parties là aussi) :

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Cololi a écrit:

Un ptit lien vers le Choros 10 (quand on a pas peur du mauvais goût   ) - pour orchestre géant et chœurs (attention c'est en 2 parties là aussi) :

watch?v=eyP6RI2twVo&index=4&list=RD7Z0OoCV2b1s

Ce n'est pas ça qui fait peur

Franco Donatoni (1927–2000),

  Arie per voce femminile e orchestra (1978)
  Voci, Orchesterübung per orchestra (1972/73)
  Prom per orchestra (1999)
  Doubles II per orchestra (1970)

        Pilar Jurado, soprano
        Nederlands Radio Symfonie Orkest
        Arturo Tamayo, direction

Cololi a écrit:

Un ptit lien vers le Choros 10 (quand on a pas peur du mauvais goût   ) - pour orchestre géant et chœurs (attention c'est en 2 parties là aussi) :

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C'est vrai que c'est du lourd  
Mais rien que pour la tête du chef à 5:44, ça vaut le coup

Pour la peine je le réécoute by Villa-Lobos himself
watch?v=HuLHxKF42f4

BARTOK, Le Château de Barbe-Bleue, Ludwig, Berry, LSO Kertesz
-, Sonate pour deux pianos et percussions, Kocsis et Ranki (superbe prise de son Hungaroton)


Le premier mouvement de cette sonate m'agace ; les deux suivants passent beaucoup mieux. Finalement, c'est une sonate pour quatre percussions : les pianos sont traités comme tels. De fait, ça circonscrit un peu l'intérêt de la chose.
Résumons. Bartok, c'est bien foutu, souvent divertissant (c'est déjà très bien....), mais j'ai l'impression que c'est creux.

BRAHMS, Trio pour clarinette, violoncelle et piano, Fröst, Thedéen, Pöntinen
Excellent.

Ces temps ci
emboîté le pas à Arnaud Bellemontagne.

Coffret Diapason des symphonies (deux intégrales) de Beethoven.

Bartok - Quatuors 1, 2 et 3 - Emerson SQ

Béla Bartók : Concerto pour piano No. 1 (1926)/Krystian Zimerman & Pierre Boulez
Concerto pour piano No. 2 (1931)/Vladimir Ashkenazy & Georg Solti
Concerto pour piano No. 3 (1945)/Peter Donohoe & Simon Rattle
Le Château de Barbe-Bleue Op. 11 (1911)/Sylvia Sass, Kolos Kovats & Georg Solti

GABRIEL FAURE

Pénélope

Jessye Norman [ Pénélope ] Alain Vanzo [ Ulysse ] José van Dam [ Eumée ] Jocelyne Taillon [ Euryclée ] . . . Charles Dutoit : Orchestre philharmonique de Monte-Carlo ⁃ Ensemble Vocal Jean Laforge

   !

Villa-Lobos: Gênesis

j'avais oublié que c'était génial

Allan Pettersson (1911–1980),

  Symphonie nº7 (1966–67)
  Symphonie nº11 (1971–73)

        Norrköpings Symfoniorkester
        Leif Segerstam, direction

Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Symphonie n°13 en si bémol mineur Op. 113

= Sergueï Koptchak, baryton ; Ensemble choral Nikikai

Vladimir Ashkenazy, Orchestre symphonique de la NHK

(Decca, octobre 2000)

Ashkenazy défend une conception tellement mobile qu'elle en devient instable ; cet empressement (le 4° mvt, Peurs, presque au pas de charge!) empêche l'oeuvre d'étayer sa grande arche structurelle et de laisser sourdre son émotion souterraine. Un choeur trop clair, un chanteur (pourquoi diable un baryton d'ailleurs ?) évasif : cet enregistrement japonais semble une pièce rapportée qui conclut bien mal le cycle chostakovien du chef chez Decca.

Romitelli: An index of metals / Michel-Dansac & Ensemble Ictus, dir. Otcors

C'est saisissant !


CPE Bach: Symphonies pour cordes n^os 1 & 2, Wq 182 / The English Concert, dir. Pinnock

Hallucinant comme c'est pas dense.


Villa-Lobos: - Chôros n° 1 pour guitare / Zanon
- Chôros n° 2 pour flûte et clarinette / Plunk & Buosi
- Chôros n° 3 pour chœur d'hommes et vents / Burgani, Pedroso, Polistchuck, Silvério, Yenque, Amaral, Hamzem & Chœur du São Paulo SO, dir. Neschling
- Chôros n° 4 pour 3 cors et trombone / Yenque, Arantes, Hamzem & Milling

Pas convaincu par ces premiers Chôros. J'espére que les suivants sont de meilleure facture.

Jof a écrit:

CPE Bach: Symphonies pour cordes n^os 1 & 2, Wq 182 / The English Concert, dir. Pinnock

Hallucinant comme c'est pas dense.

Pas assez de notes ?

Oh je n'ai pas dit ça, simplement on ne trouve pas grand chose là dedans, à part de la légèreté et du joli.
__________

Florentz: L'Enfant noir (Prélude) / Piertot (van den Heuvel de St-Eustache)

 Quel dommage qu'il n'ait pu achever cette oeuvre. Il comptait écrire le reste (sauf le final) de sorte à ce que ce soit accessible à des élèves organistes...
Ce Prélude n'en reste pas moins sublime.


Wiklund: Concerto pour piano n° 1 / Sturf & Malmö SO, dir. Sinaisky (live)

Ca non plus c'est pas hyper profond, mais quelle bonne dégoulinade !

C'est pas faux. Il a composé davantage, et largement, pour le clavier solo et concertant (je ne connais pas ce dernier corpus), et c'est là qu'il vaut mieux aller le chercher.

C'est effectivement ce qu'on m'avait déjà conseillé, mais j'ai voulu réessayer ces Symphonies.
La prochaine fois ce sera du clavier.

Igor Viesna a écrit:

BARTOK, Le Château de Barbe-Bleue, Ludwig, Berry, LSO Kertesz
-, Sonate pour deux pianos et percussions, Kocsis et Ranki (superbe prise de son Hungaroton)


Le premier mouvement de cette sonate m'agace ; les deux suivants passent beaucoup mieux. Finalement, c'est une sonate pour quatre percussions : les pianos sont traités comme tels. De fait, ça circonscrit un peu l'intérêt de la chose.

C'est ce que j'appelle un jugement à l'emporte pièce...
Ca va au contraire bien plus loin, le travail sur les timbres et le rapport entre pianos et percussion est évidemment plus fouillé que ce que tu dis; par exemple les percussions prolongent par moments certaines notes du piano, créant un nouveau timbre...

Per Nørgård (1932–), Symphonie nº6 (1998–99)

        Danmarks Radios Symfoniorkester
        Thomas Dausgaard, direction

Xavier a écrit:

Igor Viesna a écrit:

BARTOK, Le Château de Barbe-Bleue, Ludwig, Berry, LSO Kertesz
-, Sonate pour deux pianos et percussions, Kocsis et Ranki (superbe prise de son Hungaroton)


Le premier mouvement de cette sonate m'agace ; les deux suivants passent beaucoup mieux. Finalement, c'est une sonate pour quatre percussions : les pianos sont traités comme tels. De fait, ça circonscrit un peu l'intérêt de la chose.

C'est ce que j'appelle un jugement à l'emporte pièce...
Ca va au contraire bien plus loin, le travail sur les timbres et le rapport entre pianos et percussion est évidemment plus fouillé que ce que tu dis; par exemple les percussions prolongent par moments certaines notes du piano, créant un nouveau timbre...

Sans oublier l'aspect structurel novateur de l’œuvre, en particulier dans le premier mouvement justement. 

Chopin: Nocturnes, opp. 27 & 32 / Magaloff




Field: Nocturnes n^os 1 à 5 / Frith

Bien pâles face à leurs descendants.

Rav-phaël a écrit:

Paul LE FLEM — Sonate pour violon et piano, Philippe Koch [ violon ] Alain Jacquon [ piano ]

Oui, moi aussi, Koch me fait toujours vaciller.

Pardon.

Très beau disque (et très beau couplage), c'est vrai !

Hans Werner Henze (1926-2012) :

Le Radeau de la Méduse, oratorio en deux parties

= Charles Regnier (récitant) ; Edda Moser, soprano (La Mort) ; Dietrich Fischer-Dieskau, baryton (Jean-Charles)

Chœurs de la Radio de Hambourg ; Chœur de chambre de la RIAS ; Chœurs de garçons St Nikolai

Hans Werner Henze, Orchestre de la Radio de Hambourg

(DG, décembre 1968)

Chef d'œuvre !

Delius: Florida Suite.

Fauré: La Bonne Chanson et les autres moins bonnes. Suite de l'intégrale Brilliant Classics.

Bruckner: symphonie no 8: Klemperer et le New Philharmonia Orchestra. Absolument unique et ce, à tous les points de vue.

● Wolpe: Enactments for Three Pianos
Josef Christof, Benjamin Kobler, Irmela Roelcke (pianos), James Avery (direction)
hatART, 2003
Assez épatant! Ça sonne très «expérimental» mais on a vraiment le sentiment de suivre une progression, il y a une impressionnante poussée du discours - et, paradoxalement, les passages les plus expérimentaux (dans le IV, Inceptions), où les pianos sont utilisés pour recréer des sonorités de clavecin ou de contrebasse, sont aussi les plus poétiques. Un puis il y a une dimension quasi jazzistique dans ces rythmes souvent heurtés.

● Debussy: Images. Estampes
Jean-Efflam Bavouzet
Chandos, 2007-08
Se confirme ce que je disais hier à propos des Préludes: sauf à chercher dans Debussy un jeu très typé (comme moi avec Arrau), c’est probablement une des meilleures intégrales imaginables: réalisation d’une admirable précision, lecture vive et utilisant un vaste ambitus de ressources (dynamiques, rythme, pédale...), sonorité somptueuse (plus ça va, plus je suis persuadé qu’il faut jouer Debussy et Ravel sur des instruments début-de-siècle...)

● Pettersson: Symphonie nº6
Manfred Trojan / Deutsches Symphonie-Orchester Berlin
CPO, 1993
Assez différent des symphonies que j’ai déjà écoutées (7, 11 et 13) - et j’ai préféré, en fait. Voir ici.

ovni231 a écrit:

Xavier a écrit:

Igor Viesna a écrit:

BARTOK, Le Château de Barbe-Bleue, Ludwig, Berry, LSO Kertesz
-, Sonate pour deux pianos et percussions, Kocsis et Ranki (superbe prise de son Hungaroton)


Le premier mouvement de cette sonate m'agace ; les deux suivants passent beaucoup mieux. Finalement, c'est une sonate pour quatre percussions : les pianos sont traités comme tels. De fait, ça circonscrit un peu l'intérêt de la chose.

C'est ce que j'appelle un jugement à l'emporte pièce...
Ca va au contraire bien plus loin, le travail sur les timbres et le rapport entre pianos et percussion est évidemment plus fouillé que ce que tu dis; par exemple les percussions prolongent par moments certaines notes du piano, créant un nouveau timbre...

Sans oublier l'aspect structurel novateur de l’œuvre, en particulier dans le premier mouvement justement. 

C'est ce que j'appelle un jugement, qui pourra évoluer : se renforcer ou s'inverser.
L'aspect structurel novateur de l’œuvre : pas très convaincant ça...
L'argument de Xavier l'est davantage. J'entends ce travail sur les timbres. Peut-être ma concentration était-elle insuffisante. Je réécouterai, mais pas sûr que ça marche : je ressens, à l'écoute de cette musique, une certaine monotonie (harmonie?).

Sinon :
DEBUSSY, Le Martyre de Saint-Sébastien, Tilson-Thomas
Ca, c'est vraiment très bon!

Si ce n'était qu'une première écoute, alors je comprends mieux. Ce n'est pas une musique évidente, et des réécoutes ne pourront certainement que t'aider à l'apprécier davantage.
Il y a aussi des choses qu'on perçoit aussi mieux avec la partition... mais tout de même, l'utilisation des percussions est vraiment originale et très subtile.
Monotonie dans l'harmonie? Non, loin de là, mais après, il reste la part de subjectivité tout de même...

Si ce n'était qu'une première écoute, alors je comprends mieux. Ce n'est pas une musique évidente, et des réécoutes ne pourront certainement que t'aider à l'apprécier davantage.
Il y a aussi des choses qu'on perçoit aussi mieux avec la partition... mais tout de même, l'utilisation des percussions est vraiment originale et très subtile.
Monotonie dans l'harmonie? Non, loin de là, mais après, il reste la part de subjectivité tout de même...

André a écrit:

Bruckner: symphonie no 8: Klemperer et le New Philharmonia Orchestra. Absolument unique et ce, à tous les points de vue.

À ceci près que Klempy tronque le final au point de le défigurer . Mais sinon, pour le reste, je suis d'accord avec toi. Il dirige ça avec un sens unique de l'architecture. Il est d'autant plus surprenant qu'il ait à ce point déséquilibré le final avec ses coupures  ...

Mozart - Les 4 concertos pour cor - Hermann Baumann/Concentus Musicus Wien_Nikolaus Harnoncourt

[img]url=https://servimg.com/view/18420257/53][/url][/img]

Pas trouvé de post sur ce compositeur anglais Peter Maxwell Davies,,attaqué cette somme de 10 quatuors commandé par Naxos,j'ai commencé par les derniers,le 7 ème dure plus de 53 minutes, très inspiré par la longue tradition musicale anglaise dans plusieurs de ses quatuors,ils semblent pour les derniers très complexes et pas vraiment révolutionnaires question écriture,c'est ce qui frappe à la première écoute , mais ça n'empêche pas un tissu musical fourni et très développé et ça reste très intimidant à l'écoute.Le 8ème est dédié à la reine Elisabeth pour son 80 éme anniversaire.Plein de références et d'hommages dont Beethoven bien sûr,dans ce corpus très fourni, ou il faut vraiment patienter pour en savourer toute la richesse, pour l'instant les deux derniers 9et 10 m'ont vraiment beaucoup plu, j'y ai trouvé ce qu'on est en droit d'attendre de la part d'un quatuor du début de l'an 2000, mais on sait tous finalement que la musique n'a pas d'âge.
je poursuis mon écoute de ce coffret très passinnant!

je ne connais que le quatuor à cordes de 1961, ceux-là sont dans le même style ?

Lucien ,pas vraiment de dates de création, sur les livrets anglais et allemands,je pense que 1961 , ça doit être pour les premiers et je n'ai écouté pour l'instant que plusieurs fois, les 4 derniers?Désolé!