Playlist (102)

Anton Lubchenko (1985-) : Concertos pour piano Nos. 1 & 2 Opp. 7 & 14 (2001-2002)/Anton Lubchenko & Co.

C'est un génie !!!

Anton Lubchenko, Concerto pour piano nº4 (2010).  Krasnogorova/Lubchenko

Sergueï Rachmaninov : Rhapsodie sur un thème de Paganini, opus 43 -- Vladimir Ovchinnikov, Jonathan Brett, English Classical Players.
Piotr Tchaïkovsky : Symphonie n° 4 en fa mineur, opus 36 -- Jonathan Brett, English Classical Players.

 (en particulier Vladimir Ovchinnikov)

Anton Lubchenko, Quatuor à cordes nº7 (2007).  Quatuor Conservatoire (Saint-Pétersbourg)

Anton Lubchenko, Requiem sur le Psaume 85 (2006).  Antinov, Chœur Conservatoire St.Peterbourg, Orchestre Théâtre Mariinski (Uspenski)

Ca a l'air sympa ces Lubchenko.


Bouzignac: - Motets
- Te Deum
Les Pages de la Chapelle & Les Arts Florissants, dir. Christie

Très parlant comme musique.


Tournemire: - Suite évocatrice, op. 74
- Fantaisie symphonique, op. 64
- Sei Fioretti, op. 60
- Poème n° 3, op. 59
Georges Delvallée (Haerpfer-Erman de la basilique de St-Quentin)

L'orgue a peut-être des mutations un peu moches, mais .

Alexandre Scriabine : Sonate-fantaisie n° 2 en sol dièse mineur, opus 19 -- Vladimir Sofronitsky (au musée, apparemment le 12 juillet 1960).

(Sur le nouveau boîtier Profil Hänssler DCD PH15007 qui sera disponible à la vente sur Amazon à partir de la semaine prochaine. )

Complete evaporation to the core.

Scherzian a écrit:

Alexandre Scriabine : Sonate-fantaisie n° 2 en sol dièse mineur, opus 19 -- Vladimir Sofronitsky (au musée, apparemment le 12 juillet 1960).

(Sur le nouveau boîtier Profil Hänssler DCD PH15007 qui sera disponible à la vente sur Amazon à partir de la semaine prochaine. )

Complete evaporation to the core.

lucien a écrit:

 Pourquoi t'es afraid ? C'est l'enregistrement complet de l'opus 19, au musée (il y a aussi un enregistrement en studio en décembre 1960, mais il est limité au premier mouvement). Je crois que c'est sa première édition sur CD. Elle est excellente (juste un peu plus filtrée dans l'aigu durant le deuxième mouvement, je ne sais pas pourquoi). L'interprétation est... complete evaporation to the core (Bobby).

ah, bon, je pensais que c’était un “nouvel” enregistrement.

Il avait déjà été édité par Melodiya, mais en vinyle seulement (D019639/40).

George Gershwin (1898-1937) :

Rhapsody in Blue

= Misha Dichter, piano ; Neville Marriner, Philharmonia Orchestra

(Philips, juillet 1983)

Je n'attendais pas un swing délirant de la part d'une telle équipe, mais malgré une optique ample et symphonique, on peut quand même se réjouir de cette version fine, précise, distinguée et subtile, captée dans un luxueux écrin sonore.

Aujourd'hui, parce que je l'ai bien mérité :

=> Mozart : Sérénades 1,3,10,11,12 et autres petites choses. Par Herreweghe, Tapiola, Philidor, Scottish ChbO… car je n'écoute que de grandes versions. (Même la Première, K.100, est formidable !)


=> Nielsen, Symphonie n°1, BBCPO, Storgårds.
Très bien. Il y a plus ardent ou typé, mais c'est quand même assez parfait.


=> Rott, Symphonie en mi, Mainz StPO, Rückwardt.
Version de référence (avec P.Järvi/Frankfurt) d'une œuvre dont je ne puis plus me passer.


=> Schmidt, Symphonies 1 & 2, Malmö/Sinaisky et Vienne/Mitropoulos.
Là aussi, deux grands classiques personnels, très différents d'ailleurs (entre le lyrisme pur de la Première et le décadentisme encore lumineux de la Deuxième…).
et

DavidLeMarrec a écrit:

Aujourd'hui :

=> Mozart : Sérénades 1,3,10,11,12 et autres petites choses. Par Herreweghe, Tapiola, Philidor, Scottish ChbO… car je n'écoute que de grandes versions. (Même la Première, K.100, est formidable !)

C'est pour ça qu'il n'a que 4 tartelettes .

Josef Suk (1874-1935) :

Méditation sur le choral St Wenceslas - Légende des vainqueurs morts - En vie nouvelle, trilogie Op. 35

= Petr Altrichter, Orchestre symphonique de Prague

(Supraphon, juin 1992)

calbo a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Aujourd'hui :

=> Mozart : Sérénades 1,3,10,11,12 et autres petites choses. Par Herreweghe, Tapiola, Philidor, Scottish ChbO… car je n'écoute que de grandes versions. (Même la Première, K.100, est formidable !)

C'est pour ça qu'il n'a que 4 tartelettes .

Quatre tartelettes, c'est immense déjà (et en plus ce sont des œuvres supposément sans ambition majeure !). Les cinq tartelettes sont réservées ) des œuvres dont je me sens en plus complètement proche – là, il y a quand même des moments galants dans certaines. Mais oui, la Gran Partita est un sans faute, c'est vrai.

● Fineberg: Empreintes, Veils, and Shards
Jeffrey Milarksy / Ensemble Fa, Eric Daubresse (informatique); Dominique My (piano); Patrice Bocquillon (flûtes), Olivier Voize (clarinettes), Isabelle Veyrier (violoncelle)
Mode, 2005-2006
Du post-spectral élégant et subtil. Comme dans le premier CD que j’avais de lui (Streamlines, Tremors, A ripple-ringed pool... par Valade et l’Ensemble Court-Circuit, Accord «Una corda»), Fineberg se révèle plus séduisant et plus personnel pour petit effectif que pour ensemble: ici le trio Shards est plus dense qu’Empreintes - et surtout Veils, pour piano seul, est vraiment une pièce magnifique, lyrique, mouvante, délicate et un peu mystérieuse (excellente interprétation de Dominique My).

● Hurel: Loops
Jean-Marie Cottet (piano), Jean Geoffroy (vibraphone, percussion), Anne-Cécile Cuniot, Sophie Dardeau, Juliette Hurel (flûtes)
Soupir, 2000-2005
A mon sens, un des compositeurs français les plus importants d’aujourd’hui. Du post-spectral aussi, mais linéaire et pulsé. Ici, le deux séries d’œuvres semblent illustrer les deux versants de l’écriture de Philippe Hurel: d’un côté les trois Loops, respectivement pour une flûte, deux flûtes et vibraphone s’inscrivent dans la lignée des œuvres énergiques, ludiques et virtuoses, qui jouent sur des cellules répétées et variées et une pulsation rythmique marquée par le jazz; de l’autre les deux in memoriam (Ritornello pour Berio et Tombeau pour Grisey) qui travaillent, m’a-t-il semblé, le même type de structures mais déployées sur un autre type de temporalités en faisant alterner les moments méditatifs et une sorte de violence éruptive qui prend une dimension de rituel.
J’aime vraiment beaucoup (et Emeryck aussi, je crois...)
 Bizarrement, le Tombeau in memoriam Gérard Grisey semble être la même bande Radio France de 2000 que sur le disque Play Back chez Aeon.

Symphonie n°4 / Paul Büttner
Gerhard Pflüger & Berlin Radio Symphony Orchestra

Romances sans paroles, Op. 17 / Gabriel Fauré
Emma Boynet

Oriane a écrit:

Symphonie n°4 / Paul Büttner
Gerhard Pflüger & Berlin Radio Symphony Orchestra

Qu'en as-tu pensé ?

Bohuslav Martinů (1890-1959) :

Symphonie n°5

= Karel Ančerl, Orchestre philharmonique tchèque

(Supraphon, mars 1955)

Mélomaniac a écrit:

Oriane a écrit:

Symphonie n°4 / Paul Büttner
Gerhard Pflüger & Berlin Radio Symphony Orchestra

Qu'en as-tu pensé ?

C'est très chouette!

L'interprétation, tour à tour fougueuse et majestueuse, ne fait aucun tort à l'œuvre.

DavidLeMarrec a écrit:

=> Schmidt, Symphonies 1 & 2, Malmö/Sinaisky et Vienne/Mitropoulos.
Là aussi, deux grands classiques personnels, très différents d'ailleurs (entre le lyrisme pur de la Première et le décadentisme encore lumineux de la Deuxième…).
et

Oriane a écrit:

Gerhard Pflüger & Berlin Radio Symphony Orchestra [...]
L'interprétation, tour à tour fougueuse et majestueuse [...]

On doit d'ailleurs au même Pflüger une 6ᵉ de Bruckner d'anthologie qui témoigne des mêmes qualités.

Non, non, je ne suis pas du tout monomaniaque du postromantisme autrichien. La preuve, j'écoute aussi de la musique post-spectrale.

A l'entendre dans Büttner, il ne m'a pas semblé être une petite pointure. Pourtant, je ne me souviens pas d'en avoir entendu parler avant.

Il faudra bien que je me penche sur les symphonies de Bruckner un jour ... La sixième ne fait pas partie de celles que j'ai déjà écoutées.

Oriane a écrit:

Il faudra bien que je me penche sur les symphonies de Bruckner un jour ...

Préviens-moi à l'avance, pour que je puisse fourbir mes recommandations...
Tu pourras également demander à André, qui est lui aussi un brucknéromane passionné (et plus érudit que moi): en règle générale, nos préférences sont, sinon opposées, du moins très complémentaires.

Bah, intégrale Karajan, intégrale Andreae, et le tour est joué.

Ne me remerciez pas.

Le pire étant que je suis sérieux.

Wagner: Le Hollandais volant (Sinopoli) et Lohengrin (Solti). surpris par la qualité des interprétations. L'un dans l'autre ces versions modernes ne le cèdent pas vraiment aux gravures historiques. Surtout avec des voix aussi typées que Domingo, Norman, Fischer-Dieskau.

Fauré: Pénélope. version Erato avec Norman et Vanzo. Quel dommage que Vanzo et Crespin n'aient pas enregistré l'oeuvre vers le milieu des années soixante. Chacune a de grandes qualités, mais n'emporte pas complètement l'adhésion. je vais tenter de me procurer la version Veasey / Turp pour comparer. ceci dit, quelle oeuvre superbe...

anaëlle a écrit:

Brahms: Symphony #4 In E Minor, Op. 98 - Karl Böhm: Vienna Philharmonic Orchestra

Pas la version la plus orgiastique, la plus transcendante de la discographie, mais certainement une des plusévidentes. Et quel orchestre !! Une telle chimie, ça ne s'improvise pas. Böhm a appris son Brahms très près de la source.

Dvořák: symphonies n°4, 5 et 6 (Suitner, Staatskapelle de Berlin). Belle version, verte et roborative, de la cinquième …

Oriane a écrit:

Gerhard Pflüger & Berlin Radio Symphony Orchestra [...]
L'interprétation, tour à tour fougueuse et majestueuse [...]

On doit d'ailleurs au même Pflüger une 6ᵉ de Bruckner d'anthologie qui témoigne des mêmes qualités.

Non, non, je ne suis pas du tout monomaniaque du postromantisme autrichien. La preuve, j'écoute aussi de la musique post-spectrale.[/quote]

Konwistchny a enregistré du Buttner aussi je crois , la 9ème si ma mémoire est bonne ?
Bénédictus , ce n'est pas la 5ème de Bruckner plutôt que la 6ème par Pflüger ?

Benedictus a écrit:

● Fineberg: Empreintes, Veils, and Shards
Jeffrey Milarksy / Ensemble Fa, Eric Daubresse (informatique); Dominique My (piano); Patrice Bocquillon (flûtes), Olivier Voize (clarinettes), Isabelle Veyrier (violoncelle)
Mode, 2005-2006
Du post-spectral élégant et subtil. Comme dans le premier CD que j’avais de lui (Streamlines, Tremors, A ripple-ringed pool... par Valade et l’Ensemble Court-Circuit, Accord «Una corda»), Fineberg se révèle plus séduisant et plus personnel pour petit effectif que pour ensemble: ici le trio Shards est plus dense qu’Empreintes - et surtout Veils, pour piano seul, est vraiment une pièce magnifique, lyrique, mouvante, délicate et un peu mystérieuse (excellente interprétation de Dominique My).

● Hurel: Loops
Jean-Marie Cottet (piano), Jean Geoffroy (vibraphone, percussion), Anne-Cécile Cuniot, Sophie Dardeau, Juliette Hurel (flûtes)
Soupir, 2000-2005
A mon sens, un des compositeurs français les plus importants d’aujourd’hui. Du post-spectral aussi, mais linéaire et pulsé. Ici, le deux séries d’œuvres semblent illustrer les deux versants de l’écriture de Philippe Hurel: d’un côté les trois Loops, respectivement pour une flûte, deux flûtes et vibraphone s’inscrivent dans la lignée des œuvres énergiques, ludiques et virtuoses, qui jouent sur des cellules répétées et variées et une pulsation rythmique marquée par le jazz; de l’autre les deux in memoriam (Ritornello pour Berio et Tombeau pour Grisey) qui travaillent, m’a-t-il semblé, le même type de structures mais déployées sur un autre type de temporalités en faisant alterner les moments méditatifs et une sorte de violence éruptive qui prend une dimension de rituel.
J’aime vraiment beaucoup (et Emeryck aussi, je crois...)
 Bizarrement, le Tombeau in memoriam Gérard Grisey semble être la même bande Radio France de 2000 que sur le disque Play Back chez Aeon.

j’approuve.

Je ne le connais pas encore, celui-là. Tu nous en diras un mot ?

WAGNER :Die Meistersinger von Nurnberg

Berlin Radio Chorus, Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, Marek Janowski

Matti Salminen, Michelle Breedt, Dietrich Henschel, Thorsteen Scharnke, Tuomas Pursio, Tobias Berndt, Robert Dean Smith, Sebastian Noack, Hyung-Wook Lee, Jorg Schorner, Georg Zeppenfe

Ravel:Miroirs (Meyer)
Strauss:Don Quichotte (Rostro/Karajan)
Proust:A l'ombre des jeunes filles en fleurs (L.Wilson)

Szymanowski: Symphonie n°3/Gardner

Arnold Bax, Symphonie 7, Bryden Thompson

décidément le symphonisme anglais du XX éme siécle me parle beaucoup

Ligeti: Requiem/Nott

DavidLeMarrec a écrit:

Bah, intégrale Karajan, intégrale Andreae, et le tour est joué.
Ne me remerciez pas.
Le pire étant que je suis sérieux.

En effet, c'est bien ça, le pire - enfin, je veux dire: si au moins tu avais précisé «intégrale Karajan pour les amateurs de chantilly»...

gluckhand a écrit:

Bénédictus , ce n'est pas la 5ème de Bruckner plutôt que la 6ème par Pflüger ?

Si, au temps pour moi: c'est bien la 5ᵉ (rééditée par Lys - mais je ne suis pas sûr que ce disque soit très facilement disponible).

Läbip a écrit:

WAGNER :Die Meistersinger von Nurnberg
Berlin Radio Chorus, Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, Marek Janowski
Matti Salminen, Michelle Breedt, Dietrich Henschel, Thorsteen Scharnke, Tuomas Pursio, Tobias Berndt, Robert Dean Smith, Sebastian Noack, Hyung-Wook Lee, Jorg Schorner, Georg Zeppenfe

Une de mes versions préférées - il y a plus parfait vocalement (Kubelik), mais pour la vivacité théâtrale et la clarté de l'orchestre, on pourrait difficilement trouver mieux.

Parsifal a écrit:

Arnold Bax, Symphonie 7, Bryden Thompson
décidément le symphonisme anglais du XX éme siécle me parle beaucoup

Et encore, Thompson est loin d'être l'interprète le plus passionnant de Bax: qu'est-ce que ce sera quand yu auras entendu Handley (pour les structure et les couleurs) et Lloyd-Jones (pour la tension)!
Et tu as écouté les deux symphonies de Walton? le corpus de Vaughan Williams?

Vladimir Gorlinsky (1984–),

  Accent Sequence pour piano et électronique (2009).  Tchekarova
  Beiklang I pour ensemble (2007).  Nostri Temporis (Gorlinsky)
  Beiklang III: Sun.Disc.Minotaurus pour ensemble et électronique (2010).  Klangforum Wien (Poppe)
  Paramusic pour orchestre (2008).  Russian National Orchestra (Lednyev)
  Ultimate Granular Paradise pour ensemble et électronique (2008).  Studio for New Music (Gorlinsky)

Sanzhar Baiterekov (1987–),

  Aspan pour ensemble (2013).  Moscow Contemporary Music Ensemble (Lednyev)
  Architectonics of Meditations pour ensemble (2014).  Tchirkov, Studio for New Music (Dronov)
  El Niño pour ensemble (2012).  Studio for New Music (Dronov)
  Halo, version pour cinq musiciens (2012).  Studio for New Music (Dronov)
  The Circles of Moray pour accordéon (201?).  Tchirkov

lucien a écrit:

c’est étonnant, tout de même, ce grand écart : Saint-Pétersbourg perpétue toujours sa longue tradition, tandis que le conservatoire de Moscou produit des compositeurs plus radicaux que les européens les plus radicaux.

Ils avaient Youri Falik comme professeur de composition à St-Pétersbourg je crois. Tandis-qu'à Moscou une association de musiciens a tissé de nombreux contacts avec Paris, d'abord avec Denisov, maintenant avec Kasparov comme président de ce truc. J'aime bien ces trois compositeurs.

J'imagine qu'il y a d'autres raisons.

Au passage, j'ai cru comprendre que le conservatoire de St-Pétersbourg mettait des vidéos de ses concerts sur youtube. Par exemple les trois mouvements de :
Yulia Steshina - Music for strings, harp and vibraphone -      
(compositrice inconnue au bataillon... je m'y perd sur leur page...)

Leonid Desyatnikov (1955–), Les Saisons russes pour violon, soprano et orchestre à cordes (2000)
Alexander Raskatov (1953–), Les Saisons d’après Tchaikovski, pour violon, cordes, percussion et piano préparé (2001)

        Gidon Kremer, violin
        Julia Korpacheva, soprano
        Reinut Tepp, piano
        Andrey Pushkarev, percussion
        Kremerata Baltica

Machaut : Messe de Notre-Dame (Organum)

Tu dois aimer Léonin?

j’ai toujours un peu de mal avec l’Ars nova, moi (alors que j’adore ce qu’il y a avant et après).

Donc toi tu devrais aimer Léonin.