Playlist (102)

Tu aurais pu trouver plus subtil, Vino...

On doit souvent toucher à son but, avec du Pécou...

Jean-Philippe Rameau (1683-1764) :

Les Paladins, comédie lyrique en trois actes -Suite d'orchestre

= Gustav Leonhardt, Orchestra of the Age of Enlightenment

(Philips, janvier 1991)

Webern
Diverses pièces pour orchestre

Benedictus a écrit:

 Tu aurais pu trouver plus subtil, Vino...

On doit souvent toucher à son but, avec du Pécou...

Pour vos fesses, vos petites fesses, quand ça presse...
Faites vite le bon choix :
Papier Q TOUDOUX.
Souple et solide à la fois !

A posteriori, non.

plenum a écrit:

A posteriori, non.

ça sent le vécu.

Xenakis : Evryali pour piano     1973 / Helffer
 +

ovni231 a écrit:

plenum a écrit:

A posteriori, non.

ça sent le vécu.

Non, c'est de l'expérience en prévention.

plenum a écrit:

ovni231 a écrit:

plenum a écrit:

A posteriori, non.

ça sent le vécu.

Non, c'est de l'expérience en prévention.

Cela dit, j'aime mieux ça.

Xenakis : Herma pour piano     1960-61 / Helffer

Emmanuel: In memoriam opus 11 pour baryton, mezzo-soprano, violon, violoncelle et piano/Peintre, Katz



Mon oeuvre préférée de ce compositeur jusqu'ici.

Emeryck a écrit:

lucien a écrit:

C'est dans Herma ? 

Non, profite, c'est une fuite pour le sujet de math de la semaine prochaine...

Xavier a écrit:

Emmanuel: In memoriam opus 11 pour baryton, mezzo-soprano, violon, violoncelle et piano/Peintre, Katz



Mon oeuvre préférée de ce compositeur jusqu'ici.

Très belle oeuvre, en effet. Tu connais ses sonatines pour piano?

Oui, mais ça fait un certain temps, ça ne m'avait pas trop marqué.

Emeryck a écrit:

lucien a écrit:

C'est dans Herma ? 

c’est pas plus ridicule que Evryali.

● Brahms: Concerto pour piano et orchestre nº1 en ré mineur, op. 15
- Clifford Curzon (piano), George Szell / London Symphony Orchestra
Decca, 1962
- Krystian Zimerman (piano), Simon Rattle / Berliner Philharmoniker
DG, 2004
Je ne voudrais pas être taxé d’autre-chosisme, mais...
La lecture de Zimerman et Rattle - distante, dépassionnée et d’une impeccable qualité de détail (ce qu’on doit appeler une version lisse; et pour le coup, j’imagine que la critique a dû la massacrer) - m’a finalement bien plus intéressé que la «référence historique» Curzon/Szell (je ne saurais pas trop dire pourquoi, cette dernière m’a agacé).
Cela dit, Buchbinder/Harnoncourt reste de loin ma préférée parmi les version relativement récentes.

- Elliott Carter, Quatuor n°5, Pacifica Quartet



Décidément, ce compositeur me plaît. Il va falloir que j'approfondisse l'écoute de ces quatuors

- Ives, Central park in the dark, NYP, Bernstein

Reçu aujourd'hui :

Juste une écoute éclair avant de dormir :
Faramineux !
Au fil du disque, très étonnant !

Vaughan Williams: Sinfonia antartica (Boult, Burrowes, London Philharmonic).

Palestrina, Messe du Pape Marcel - Veselka
Haydn, Symphonie n°83 "La poule" - Bernstein NY

Citation :

Franz Schubert : Sonate pour piano n° 19 en do mineur, D.958 -- un pianiste dont j'ignore le nom*.

* Un ami s'amuse à me faire écouter en aveugle cet enregistrement en public... que j'aime beaucoup. Beaucoup d'autorité (nécessaire pour le premier Allegro) et beaucoup de fluidité (nécessaire pour l'Adagio et surtout le finale).

Youri Egorov (en '82).  

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Hier soir :

J.-S. Bach : Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ, BWV 639 -- Grigory Sokolov (un récital à Salzbourg en 2008).

Ineffable.  

ovni231 a écrit:

Emeryck a écrit:

Pécou : Brèves du jaguar pour cinq voix de femmes, clarinette, trombone, violon et violoncelle     2002 / Lamaison, Cabaret, etc.

Pécou : Sous l'aile du vent pour percussions     2000 / Grare

Pécou : Sikus pour violoncelle et électronique     2001 / Lenzi, Carinola

Pour bien terminer la soirée, autant finir avec un PQ

désolé

En effet c'est vraiment pas ce que tu as dit de plus intelligent.


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Debussy:La Mer (Tabachnick)

Martin Matalon (1958–),

  Monedas de Hierro pour 10 instruments et électronique (1993).  Court-Circuit (Pierre-André Valade)
  Formas de arena pour flute, alto et harpe (2001).  Trio Nobis
  Dos formas del tiempo pour piano (2000).  Dimitri Vassilakis
  ...del matiz al color... pour 8 violoncelles (1998).  Octuor de violoncelles de Beauvais
  Las siete vidas de un gato pour 8 musiciens et électronique (1996).  Ictus (Georges-Élie Octors)

Kaija Saariaho (1952–),

  Laconisme de l’aile pour flute solo (1981–82)
  L’Aile du songe, concerto pour flute et orchestre (2001)

        Camilla Hoitenga, flute
        yle RSO
        Jukka-Pekka Saraste, direction

Scherzian a écrit:

Johannes Brahms : Premier Concerto pour piano et orchestre en ré mineur, opus 15 -- Rudolf Kehrer, Guennady Rojdestvensky, Grand Orchestre symphonique de la radio-télévision d'URSS (1974).

Définitif. Cet enregistrement vaporise (Alexandre) tous ceux qui ont essayé leur main à ce concerto, sauf sans doute Witold Małcużyński et Bruno-Leonardo Gelber. Le finale, en particulier, est prodigieux ; excellent antidote contre la constipation occidentale. Mais le I et le II sont magiques aussi. Les musiciens de l'orchestre jouent comme si leurs vies en dépendaient. Rojdestvensky sait tendre un arc d'un bout à l'autre de la forme : si on veut que son trait soit pur, ce n'est pas indiqué de casser la corde dès le début.

Ton commentaire a attisé ma curiosité, du coup j'ai écouté, c'est vrai que ça envoie du bois !
Je ne sais pas si c'est définitif pour moi (je connais assez peu de versions), mais vraiment à conseiller à tous ceux qui aiment les interprétations sans retenue et intenses !

Tiens, Jof, si tu as écouté une réédition sur CD, plutôt que le repiquage de vinyle « qui est disponible », ce serait chouette que tu indiques où tu l'as trouvé (éditeur, etc.). De mon côté, je n'ai rien trouvé d'autre que le vieux vinyle essoufflé repiqué. C'est un enregistrement que l'éditeur officiel serait vraiment bien inspiré de rendre disponible sur CD. Mon petit doigt me dit qu'avec un bon son ce serait limite infar'.

Brahms: Huit pièces pour piano op. 76 (J. Katchen)  

Beethoven: Musique de scène pour Egmont op. 84 (Klemperer, Nilsson, Philharmonia)

Beethoven: Ballet Les créatures de Prométhée op. 43 (Klemperer, New Philharmonia)

Tchaikovsky: La tempête op. 18 (Pletnev, Russian National)

Tchaikovsky: Le Voyévode op. 78 (Pletnev, Russian National)  

Fauré: Pelléas et Mélisande op. 80 (Ormandy, Philadelphia)

Fauré: Pavane op. 50 (Ormandy, Philadelphia)

Roussel: Bacchus et Ariane, suite n°2 (Ormandy, Philadelphia)      

Roussel: Symphonie n° 3 (Dutoit, Orch. National de France)

Scherzian a écrit:

Tiens, Jof, si tu as écouté une réédition sur CD, plutôt que le repiquage de vinyle « qui est disponible », ce serait chouette que tu indiques où tu l'as trouvé (éditeur, etc.). De mon côté, je n'ai rien trouvé d'autre que le vieux vinyle essoufflé repiqué. C'est un enregistrement que l'éditeur officiel serait vraiment bien inspiré de rendre disponible sur CD. Mon petit doigt me dit qu'avec un bon son ce serait limite infar'.

Pas trouvé de CD non plus en cherchant sur internet, je suis donc passé par un certain site...

Merci Jof    c'est un peu ce que je redoutais...    Ce serait bien que Melodiya réédite ça.

Brahms, Concerto pour piano et orchestre n°1 - Arrau / Giulini

Abnegor a écrit:

Brahms, Concerto pour piano et orchestre n°1 - Arrau / Giulini

Je trouve.

Rachmaninov : Concerto no 3 ( Trifonov, ORPF) en live sur medici

Radnam a écrit:

Rachmaninov : Concerto no 3 ( Trifonov, ORPF) en live sur medici

Ah oui y m'ont fait la pub.
Il est bon lui ?

Ce qu'il joue est plus important que l'aspect visuel non tu ne penses pas ?

Radnam a écrit:

Ce qu'il joue est plus important que l'aspect visuel non tu ne penses pas ?

Ceci est valable pour tous les musiciens du monde SAUF Lang Lang. Faut croire que Trifonov est du même genre ? (au moins par les mimiques, ce que j'ai écouté de lui présentait un minimum de musicalité...)

Emeryck a écrit:

Radnam a écrit:

Ce qu'il joue est plus important que l'aspect visuel non tu ne penses pas ?

Oui, je n'avais pas trouvé ça trop mauvais. 

Voilà exactement ce pourquoi je ne donne pas mon avis sur ce que j'écoute en général... en arriver à parler de "pas trop mauvais" pour quelqu'un qui a gagné Rubinstein et Tchaikovsky c'est quand même assez particulier.

Radnam a écrit:

quelqu'un qui a gagné Rubinstein et Tchaikovsky

Est-ce vraiment gage de talent ? Moi je vois ça un peu comme un étalement de virtuosité (peut-être à tort, je n'ai jamais suivi de concours), et celui qui fera tournoyer ses doigts avec le plus de joliesse (dans le sens péjoratif) musicale sera le grand vainqueur.

Au programme ce soir :  


les compositeurs dont le nom s'écrit avec la même lettre au début et à la fin

--soirée 1--

Radnam a écrit:

Bah je sais pas moi.  
Regarde, Lang Lang a gagné plein de concours...

Mélomaniac a écrit:

Au programme ce soir :  


les compositeurs dont le nom s'écrit avec la même lettre au début et à la fin

--soirée 1--

Tu t'ennuies dans ta vie, Mélo ?
Peut-être que tu peux te mettre à la couture ou au croquet, ça t'irait à merveille.

Manuscrit Bauyn
Louis Couperin** (1626-1661) Pièces en la (dont un prélude à l’imitation de M. Froberger), pièces en fa
L. Rossi (1598-1653) Passacaille
J-J Froberger (1616-1667) Toccata en ré, Allemande (faite à Paris), Gigue, Toccata en fa
G. Frescobaldi (1583-1643) Cappricio en sol
Clavecin Philippe Humeau 1998 (copie de Rückers par Humeau, retransformé (ravalé) par Humeau en 2006, ça devient complexe… mais très beau)

« Le manuscrit Bauyn est à Louis Couperin ce que l’Andreas-Bach-Buch*  est au jeune Bach: un florilège de compositions personnelles, mêlées à celles des maîtres et amis, proches ou lointains »
Cela donne à nouveau (/l’Andreas-Bach-Buch) une idée de la circulation des idées avant le web 3.0
*Auquel Benjamin Alard a consacré un disque captivant , sans recourir au moindre effet.
**Au fait Alard est l’organiste de Saint Gervais où « les »  Couperin exercèrent pendant plus d’un siècle…

● Delalande: Leçons de ténèbres
- Claire Lefilliâtre (dessus), Vincent Dumestre / Le Poème Harmonique
Alpha, 2002
- Isabelle Desrochers (soprano), Mauricio Buraglia (théorbe), Nima Ben David (viole de gambe), Pierre Trocelier (orgue)
Astrée/Auvidis, 1996
Une récoute de ces deux versions, avec des sentiments assez mitigés. Voir ici.