Playlist (107)

anaëlle a écrit:

Absolument. J'ambitionne la place d'admin de Cololi, je commence dès maintenant l'opération séduction ...

Je vois qu'on a les dents longues. Et non ... désolé ... mais pouvoir dire à David "arrête ton troll où je te ban" c'est réservé à une élite

Cololi a écrit:

anaëlle a écrit:

Absolument. J'ambitionne la place d'admin de Cololi, je commence dès maintenant l'opération séduction ...

Je vois qu'on a les dents longues. Et non ... désolé ... mais pouvoir dire à David "arrête ton troll où je te ban" c'est réservé à une élite

Et franchement, je te conseil d'essayer de prendre ma place plutôt... Cololi est obligé d'écouter de l'orgue et du Haendel (c'est dans son contrat, tu imagines bien que sinon il n'en écouterait pas...) alors que moi je n'ai comme consigne que l'écoute de musique de qualité... et vu mes goûts c'est pas trop difficile!

Mozart: Don Giovanni, acte 2/Blu Ray Luisotti-Holten



Tiens, première fois que j'entends Mi tradi transposé d'un demi-ton.
Le plus étonnant c'est que pour l'occasion on a rajouté 2 mesures dans le récitatif pour faire la modulation adéquate. (mais c'est assez bien fait)

Cololi a écrit:

anaëlle a écrit:

Absolument. J'ambitionne la place d'admin de Cololi, je commence dès maintenant l'opération séduction ...

Je vois qu'on a les dents longues. Et non ... désolé ... mais pouvoir dire à David "arrête ton troll où je te ban" c'est réservé à une élite

Que vous allez quitter bientôt, si j'ai bien suivi . Frère lai, ne devriez vous pas songer à continuer vos efforts pour monter dans l'ordre de bénédictins ?

Xavier a écrit:

Mozart: Don Giovanni, acte 2/Blu Ray Luisotti-Holten



Tiens, première fois que j'entends Mi tradi transposé d'un demi-ton.
Le plus étonnant c'est que pour l'occasion on a rajouté 2 mesures dans le récitatif pour faire la modulation adéquate. (mais c'est assez bien fait)

Ah? C'est Véronique Gens qui transpose? Etonnant... vu comme elle assume des rôles de soprano romantique maintenant (Lilia dans Herculanum par exemple demande de vrais aigus de soprano il me semble, peut-être plus que Donna Elvira j'avais l'impression).

Oui, Véronique Gens.
Tout ça pour un demi-ton en plus... surtout qu'elle fait bien des si bémol au 1er acte...

Xavier a écrit:

Oui, Véronique Gens.
Tout ça pour un demi-ton en plus... surtout qu'elle fait bien des si bémol au 1er acte...

Après, je ne peux pas dire si c'est une habitude pour elle... Pour moi, un demi-ton ça ne change pas grand chose

Ca m'a frappé mais ça ne veut pas dire que je trouve ça grave ou dérangeant.
Après, la justification reste un peu obscure pour moi...

Xavier a écrit:

Ca m'a frappé mais ça ne veut pas dire que je trouve ça grave ou dérangeant.
Après, la justification reste un peu obscure pour moi...

Oui, autant que DiDonato transpose dans le même rôle, ça peut se comprendre (je ne sais pas si c'est le cas dans le DVD avec Keenlisyde), mais Gens... une histoire de confort peut-être.

Polyeucte a écrit:

Xavier a écrit:

Ca m'a frappé mais ça ne veut pas dire que je trouve ça grave ou dérangeant.
Après, la justification reste un peu obscure pour moi...

Oui, autant que DiDonato transpose dans le même rôle, ça peut se comprendre (je ne sais pas si c'est le cas dans le DVD avec Keenlisyde), mais Gens... une histoire de confort peut-être.

Il y a beaucoup d'attaques sur le sol aigü, et c'est vrai que ce n'est pas là qu'elle est le plus à l'aise.
Le fa# est peut-être beaucoup plus confortable pour elle.

Autre bizarrerie dans cette version: coupure de la 1ère moitié du dernier numéro, chanté hors-champ alors que Don Giovanni reste seul en scène: ça colle avec la mise en scène, certes, mais bon...

Xavier a écrit:

Polyeucte a écrit:

Xavier a écrit:

Ca m'a frappé mais ça ne veut pas dire que je trouve ça grave ou dérangeant.
Après, la justification reste un peu obscure pour moi...

Oui, autant que DiDonato transpose dans le même rôle, ça peut se comprendre (je ne sais pas si c'est le cas dans le DVD avec Keenlisyde), mais Gens... une histoire de confort peut-être.

Il y a beaucoup d'attaques sur le sol aigü, et c'est vrai que ce n'est pas là qu'elle est le plus à l'aise.
Le fa# est peut-être beaucoup plus confortable pour elle.

Autre bizarrerie dans cette version: coupure de la 1ère moitié du dernier numéro, chanté hors-champ alors que Don Giovanni reste seul en scène: ça colle avec la mise en scène, certes, mais bon...

Ces si bémol ne peuvent pas être attaqués durement, donc oui, un demi-ton, ça peut tout changer (et en particulier pour les notes autour du passage), elle trouvait probablement que c'était inconfortable ou peu joli. C'est étonnant effectivement, parce qu'elle en fait tout le temps sinon…

J'allais dire qu'elle avait l'habitude de 415 Hz, mais en réalité non, elle chante le rôle partout.

Semmy Stahlhammer, Love Derwinger : Swedish Turn of the Century
(Oeuvres pour violon de Hugo Alfvén, Tor Aulin, Laura Valborg Aulin, Johan Algot Haquinius, Armas Järnefelt, et Ture Rangström)

Boulez, Sur Incises (1996–98).  EIC (Boulez)
Manoury, Zones de turbulence (2013).  GrauSchumacher

Strauss: Le Chevalier à la rose, acte 1/DVD Bychkov-Carsen

Dmitri Chostakovitch - Symphonie n°5 (Vasily Petrenko, Orchestre philharmonique royal de Liverpool)

       

Wuorinen, Grand Bamboula (1971).  Levine
Carter, A Celebration of some 100 x 150 notes (1986).  Gielen

voilà du bref et de l’immédiat.

Meredith Monk (1942)
Volcano Songs

Ravel : Gaspard de la Nuit - Benedetti Michelangeli

Ravel : Concerto en sol majeur - Benedetti Michelangeli / Philharmonia Orchestra, dir. Gracis

Ravel : Valses nobles et sentimentales - Benedetti Michelangeli

Debussy : Children's Corner - Benedetti Michelangeli


Son Gaspard de la Nuit et son Concerto en sol sont vraiment excellent (en particulier le Concerto, je le trouve très touchant), par contre je n'aime pas du tout ses Valses nobles ...
Les aléas du live je pense.
Pas grand chose à dire sur le Children's Corner, je connait mal. Prise de son correcte, sans plus. J'avais pris ce CD pour son programme, je suis un peu déçue ...

Dans deux jours, ce sera disponible.

Sibelius:Symphonie n°3 (Barbirolli)

le final de cette symphonie est vraiment jouissif!

plenum a écrit:

Dans deux jours, ce sera disponible.

Spoiler:

Bof, ça ne m'enthousiasme pas trop.

Nous verrons.

Mais la tête sautillante est surtout reliée à ma curiosité très piquée, que la joie pour cette pianiste.

découverte: je ne connaissais ni l'oeuvre ni le pianiste, j'adore les deux premiers cahiers.

Faut que tu découvre l'intégrale de Miguel Baselga sur BIS.

plenum a écrit:

Faut que tu découvre l'intégrale de Miguel Baselga sur BIS.

merci, je note, je note, mais je vais d'abord m'approprier un peu l'oeuvre avant d'en découvrir de nouvelles interprétation.

plenum a écrit:

Nous verrons.

Mais la tête sautillante est surtout reliée à ma curiosité très piquée, que la joie pour cette pianiste.

Moi aussi, je me pose plein de questions sur le sens de ce smiley ! Je ne sais pas s'il exprime l'attente, l'admiration, ou la frustration ! Il ne sourit pas, mais il sautille ...

Pour ne pas troller complètement : j'ai écouté l'album Behind the Lines d'Anna Prohaska et Eric Schneider aujourd'hui. J'aime beaucoup ce choix, très original, autour d'un thème qui ne l'est pas moins.

plenum a écrit:

sur BIS.

Et merci aussi pour le site, je ne connaissais pas non plus, j'en reviens: ça n'a pas l'air mal du tout !

Tous les volumes sont disponibles en streaming gratuit sur Deezer: http://www.deezer.com/search/miguel%20baselga

Haydn: symphonie no 104. Royal Philharmonic Orchestra, Thomas Beecham (EMI). Seules les nos 93-94 me semblent réellement datées (anglicisme - je veux dire dans le sens de poussives). Les autres sont excellentes dans leur optique grand orchestre sans limite. Souvent dans les interprétations 'baroqueuses' ce sont précisément les limites de l'ensemble qui ressortent.

Rued LANGGAARD
—
Musique de Sphères
Inger Dam-Jensen [ soprano ]
Thomas Dausgaard :
Danish National Symphony Orchestra & Choir
Danish National Vocal Ensemble

György LIGETI
—
Atmosphères
Hannu Lintu : Finnish Radio Symphony Orchestra

Bruckner:Symphonie n°8 (Wand)

Un sommet absolu de la littérature symphonique.
L'adagio confine à l'indicible.  


@Col:tu es fâché avec Bruckner?  

arnaud bellemontagne a écrit:

@Col:tu es fâché avec Bruckner?  

Pas spécialement. Pourquoi ?

Tu ne le mentionne plus guère dans la playlist...

arnaud bellemontagne a écrit:

Tu ne le mentionne plus guère dans la playlist...

Mais je mentionne qui en playlist ?
Il t'a peut être échappé que ça fait 3 ans que je ne poste quasiment plus en playlist

Rav-phaël a écrit:

Rued LANGGAARD
—
Musique de Sphères
Inger Dam-Jensen [ soprano ]
Thomas Dausgaard :
Danish National Symphony Orchestra & Choir
Danish National Vocal Ensemble

György LIGETI
—
Atmosphères
Hannu Lintu : Finnish Radio Symphony Orchestra

Héhé, voilà un programme éclairé.

mais pas très éclairant  

**

Wuorinen, First Piano Sonata (1969).  Miller
Wuorinen, Second Piano Sonata (1976).  Swann
Wuorinen, Third Piano Sonata (1986).  Feinberg

je suis décidément très attaché à la première.

Gustav MAHLER - Symphonie n° 5 (Pierre Boulez, Philharmonique de Vienne)

Les deux volumes des sonates de Jean Barrière pour le violoncelle avec la basse continue
Guido Balestracci (viole de gambe)
Bruno Cocset (violoncelle)
Bertrand Cuiller (clavecin)
Les Basses Réunies


Mais aussi :

Il y a une telle profusion d'oeuvres classiques que j'ai du mal à savoir quoi écouter. Devrais-je réécouter plusieurs fois une oeuvre pour m'en impreigner ? Ou aller à la découverte d'autres compositions, voire compositeurs ? Et où aller dans ce cas... pfff

C'est vrai que c'est décourageant. J'ai l'impression que deux vies n'y suffirait pas...


@Col:Au temps pour moi et vive Bruckner!!!

Deux vies ou plus... Je comprends la démarche que l'on a déjà vu ici consistant à écouter une oeuvre connue par jour, même si c'est peut-être un peu délicat de s'approprier des oeuvres de cette façon.

Sur ce : Manuel DE FALLA - Le tricorne (El sombrero de tres picos) - Teresa BERGANZA, Seiji OZAWA, Boston Symphony Orchestra

Excellente démarche qu'il m'arrive de pratiquer parfois

Il y a une petite culpabilité à survoler ainsi des oeuvres qui demanderaient peut-être d'être écoutées dans leur ensemble, mais que c'est jouissif de naviguer ainsi de port en port !

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner:Symphonie n°8 (Wand)

Un sommet absolu de la littérature symphonique.
L'adagio confine à l'indicible.