Playlist (109)

Disons que chez moi il y a aussi au moins le Mandarin merveilleux, Khamma, le Sacre et Ogelala devant celui-là.
Mais ça aurait fait vraiment très long.

Haydn: Symphonies n° 21, 22, 23 et 24 (Austro-Hungarian Haydn Orchestra, Adam Fischer).

Debussy: Prélude à l'après-midi d'un faune, La Mer, Jeux, Children's Corner (Caplet)(Orch. National de Lyon, Jun Märkl).

Schumann: Symphonie n° 2 en ut majeur op. 61 (Wiener Philharmoniker, Bernstein) .

RAVEL:
La Valse - Zubin Mehta
Daphnis et Chloé, suite n° 2 - Seiji Ozawa
Alborada del Gracioso - Eugene Ormandy
Le Tombeau de Couperin - Eugene Ormandy

Pour info: http://wunderkammern.fr/2016/01/10/mozart-insolite-et-familier-oeuvres-pour-clavier-volumes-8-9-par-kristian-bezuidenhout/

Emeryck a écrit:

Wolfgang Amadeus Mozart : Sonate pour piano n°13      1783 / Bezuidenhout (pianoforte)

Tu t'es préparé pour Sur Incises ?

Rameau : Hippolyte et Aricie (Minkowski)

Glière

Concerto pour violon op.100

Deuxième Symphonie en Do mineur

Yuko Nishito, violon

La Philharmonia Orchestra

Yondani Butt, direction

ASV (2002)

Beethoven. Symphonies 1 et 4. Ouverture d'Egmont. Philharmonique de Berlin, Karajan (1977)

Beethoven

Symphonies 1 et 5

Arrangées et interprétées par Ernst Erich Stender, aux orgues de Saint-Marie de Lübeck

Ornament Records (2001)


Vraiment un beau cd!

Un des meilleurs disques de la musique de Pawel Szymanski. Avec le Silesian String Quartet. Une musique stimulante, intrigante et relativement accessible.

André a écrit:

Un des meilleurs disques de la musique de Pawel Szymanski.

merci, j’essaierai ça si je le trouve.
(jusque maintenant, son “surconventionnalisme” comme il l’appelle ne m’a pas tellement convaincu.)

Michel Corrette (1707-1795) :

Magnificat i-iv toni

= Olivier Vernet, orgue Pescheur-Désenclos de l'église Notre-Dame-des-Vertus d'Aubervilliers

(Chamade, 1999)

C'est en cette église de Seine-Saint-Denis qu'est ainsi préservé un des plus anciens instruments d'esthétique XVII° siècle en Île-de-France.

Olivier Greif : Quatuor à cordes n°4 "Ulysses"      1999 / Ensemble Synthonia

Alexandre Boëly (1785-1858) :

Messe du jour de Noël composée sur des airs populaires anciens (recueil Canaux, 1842)

= Marie-Ange Leurent, Éric Lebrun, orgue Callinet-Kern de l'église de Dannemarie

(Bayard, 2007)

Une jolie messe, qui recycle quelques timbres ancestraux de nos terroirs.
Parfait pour prolonger l'ambiance des fêtes de la Nativité qui viennent de se terminer.
Ici jouée sur le plus grand orgue subsistant de la manufacture Callinet, -célèbre atelier alsacien au milieu du XIX° Siècle qui construisit son plus édifiant instrument en l'église de Masevaux, hélas disparu dans l'incendie de 1966.

Boulez : Sur Incises (Boulez)

Diffusé sur Arte.
Que dire ? On est pénétré d'un double sentiment.
D'abord, quand même on est assez surpris car on croit "suivre quelque chose". Evidemment au fil du temps, la concentration s'émousse ... et on a l'impression que Boulez se répète dans ses procédés. En particuliers ses vagues de flot de notes aux pianos.
De temps en temps on semble saisir une sorte de ligne ... et c'est vrai qu'on a souvent la sensation d'une pulsation.
Si on abandonne toutes attentes liées à la musique passées ... ça a un intérêt. Le problème étant qu'elle ne me sera probablement jamais indispensable comme celle de certains compositeurs antérieurs.

pourquoi on croit, on semble, on a l’impression, etc. ?
sinon, oui, il y a beaucoup de répétitions dans cette œuvre (n’oublions pas que c’est une amplification — puis la “discussion” ? — d’une pièce de 4 minutes...), mais avec l’habitude on suit mieux le discours et on se rend compte que ce n’est pas si répétitif que ça.

Boulez, Structures I (1952).  Kontarsky/Kontarsky

Ravel : Chansons madécasses - Norman/Debost/Fontanarosa

Ravel : 3 Poèmes de Mallarmé -Lott/Orchestre de Paris : ensemble de chambre, dir. Plasson

Ravel : Don Quichotte à Dulcinée - Van Dam/Baldwin 

Ravel : Sainte/Ronsard à son âme - Van Dam/Baldwin
 +

Beethoven : Quatuors à cordes Op.59 No.1 & 2 - Quartetto Italiano
Beethoven : Quatuor à cordes Op.95 "Quartetto Serioso" - Quartetto Italiano
Beethoven : Quatuors à cordes Op.18 No.5 & 6 - Quartetto Italiano
 
Ça me plait moins que les tout derniers quatuors. 
Je crois que pour l'instant mon préféré est l'opus 132 (15è je crois), avec le superbe mouvement lent. 

Rued Langgaard (1893-1952) :

La Fin des Temps, pièce de concert pour solistes, choeur et orchestre

L'Antéchrist - A la Fin des Temps - Vers la Fin du Monde - La Catastrophe

Nina Pavlovski, soprano
Stig Andersen, ténor
Per Høyer, baryton

Guennadi Rojdestvenski, Choeurs et Orchestre de la Radio danoise

(Chandos, novembre 1999)

Enregistré en première mondiale juste avant le nouveau siècle, qui alimenta nombre de superstitions millénaristes, ce disque me laisse déçu : langage assez conventionnel malgré quelques trouvailles, et surtout bien peu d'effets pour brosser la fresque apocalyptique qu'on était en droit d'imaginer.
Vingt-cinq minutes pour un tel sujet, c'est bradé !
Pourtant la pochette m'inspirait confiance...

Hanna Kulenty (1961–), Preludium, Postludium and Psalm pour violoncelle et accordéon (2007)
Aleksander Nowak (1979–), Satin pour violoncelle et accordéon (2011)
Wojciech Blecharz (1981–), Hypopnea pour violoncelle et accordéon (2010)
Rafał Janiak (1986–), After Hours of Muteness pour violoncelle et accordéon (2010)
Krzysztof Penderecki (1933–), Divertimento pour violoncelle seul (1994)
Dariusz Przybylski (1984–), Discours 1 pour violoncelle et accordéon (2009)
Mikołaj Majkusiak (1983), Rhythms of Doubt [III] pour violoncelle et accordéon (2010)

Magdalena Bojanowicz, violoncelle
Maciej Frąckiewicz, accordéon

Mélomaniac a écrit:

Ici jouée sur le plus grand orgue subsistant de la manufacture Callinet, -célèbre atelier alsacien au milieu du XIX° Siècle qui construisit son plus édifiant instrument en l'église de Masevaux, hélas disparu dans l'incendie de 1966.[/color]

Petit correctif Mélo, le plus grand Callinet est celui de la Madeleine de Besançon

plenum a écrit:

Petit correctif Mélo, le plus grand Callinet est celui de la Madeleine de Besançon

Ah oui, lapsus.
Je suis d'autant impardonnable que j'avais écrit cette notice pour le superbe CD de Coudurier chez Syrius : http://www.amazon.fr/gp/product/B000CEZLZ8

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Franz Schubert (1797-1828) :

Symphonie n°5 en si bémol, D. 485

= Istvan Kertesz, Orchestre philharmonique de Vienne

(Decca, avril 1970)

  Mon tout premier enregistrement schubertien -qu'est-ce que j'ai pu l'écouter quand j'étais petit !
Cette oeuvre reste pour moi l'archétype du sentiment primesautier et bucolique. La musique qu'on aime et qui nous aime.
Surtout dans cette interprétation délicieuse, où la naïveté y dispute l'intelligence dans un équilibre absolument parfait.

Variations pour orchestre (orchestration de Gordon Jacob), Concerto accademico pour violon (Bradey Creswick), Two Hymn-Tune Preludes, Three Preludes Founded on Welsh Hymn-Tunes. Northern Sinfonia of England, Richard Hickox. De la musique civilisée. J'adhère et j'adore.

Je me demande ce que Boulez pensait de Vaughan-Wiliams ?

André a écrit:

Je me demande ce que Boulez pensait de Vaughan-Williams

A ma connaissance, il n'en a enregistré qu'un seul disque, bizarrement passé inaperçu

Bein, pas étonnant, ce compositeur en France, n'est connu que très marginalement, surtout de la musique anglaise...

Mélo, tu es en avance de près de 3 mois

André a écrit:

Mélo, tu es en avance de près de  3 mois

Euh non, j'avais déjà servi ça au 01er avril y a deux ans...

Il voulait dire par rapport à la majorité des français classic mens.

Les 7ème et 8ème symphonie de Kurt Atterberg. Label CPO. Comme toujours avec ce compositeur, de la musique tonale romantique sans complexe. Des mélodies franches et bien découpées, mais une organisation straussienne du développement: enrichissement et exaltation du thème par augmentation de l'effectif orchestral. Luxuriant.

Béla Bartók (1881 - 1945)
* Le Mandarin merveilleux
* Musique pour cordes, percussions et célesta
Choeur et Orchestre symphonique de Chicago
Pierre Boulez (1996)
1 CD 447 747-2

Ça fait partie des bonnes affaires chez le disquaire.

Jean Sibélius
Eugene Ormandy Conducts Sibelius
(coffret 8 CDs à prix économique)
8 CDs RCA 1795598

Brahms:Symphonie n°2 (Bernstein)

Cololi a écrit:

Boulez : Sur Incises (Boulez)

Diffusé sur Arte.
Que dire ? On est pénétré d'un double sentiment.
D'abord, quand même on est assez surpris car on croit "suivre quelque chose". Evidemment au fil du temps, la concentration s'émousse ... et on a l'impression que Boulez se répète dans ses procédés. En particuliers ses vagues de flot de notes aux pianos.
De temps en temps on semble saisir une sorte de ligne ... et c'est vrai qu'on a souvent la sensation d'une pulsation.
Si on abandonne toutes attentes liées à la musique passées ... ça a un intérêt. Le problème étant qu'elle ne me sera probablement jamais indispensable comme celle de certains compositeurs antérieurs.

Ecoute la sonate pour 2 pianos et percussions de Bartók puis passe à Sur Incises.Il y a un fil entre les deux œuvres.

Wilhelm Killmayer (1927–), Sinfonia II  Ricordanze (1968/69)

Lukas-Consort
Viktor Lukas, direction

Günter Bialas (1907–1995), 3. Streichquartett (1968)
Fritz Büchtger (1903–1978), 3. Streichquartett (1967)

Assmann-Quartett

Josef Anton Riedl (1929–), Komposition Nr. 4 (III) für konkrete und elektronische Klänge, Tonbänder, Stimmen und verschiedene Instrumente (1963/68–69)

Johannes Göhl et Peter Michael Hammel : instruments, voix
Nicolaus A. Huber : orgue Hammond, autres instruments, voix
Michael Lewis et Michael W. Ranta : percussion, autres instruments
Josef Anton Riedl, régie

Nicolaus A. Huber (1939–), von ... bis für Viola, Harmonium, Klavier und Schlagzeuger (1966)

Herbert Hechtel, alto
Nicolaus A. Huber, harmonium
Irmgard Huber, piano
Michael W. Ranta, percussion
Helmut Lachenmann, direction

Helmut Lachenmann (1935–), Intérieur I für einen Schlagzeugsolisten (1965–66)

Michael W. Ranta, percussion

Franz Schubert
Goethe Lieder

Wandrers Nachtlied I & II · Ganymed
Jägers Abendlied · An Schwager Kronos
Meeres Stille · Prometheus · Gesänge
des Harfners · An den Mond · Auf dem
See · Erster Verlust · Der Musensohn
Rastlose Liebe · Nähe des Geliebten
Heidenröslein · Wonne der Wehmut
Erlkönig · Der König in Thule · Geheimes
Grenzen der Menschheit · Am Flusse
Willkommen und Abschied

Dietrich Fischer-Dieskau, baryton
Gerald Moore * Jörg, piano

1 CD DGG  457 7472

Cololi a écrit:

Boulez : Sur Incises (Boulez)

Diffusé sur Arte.
Que dire ? On est pénétré d'un double sentiment.
D'abord, quand même on est assez surpris car on croit "suivre quelque chose". Evidemment au fil du temps, la concentration s'émousse ... et on a l'impression que Boulez se répète dans ses procédés. En particuliers ses vagues de flot de notes aux pianos.
De temps en temps on semble saisir une sorte de ligne ... et c'est vrai qu'on a souvent la sensation d'une pulsation.
Si on abandonne toutes attentes liées à la musique passées ... ça a un intérêt. Le problème étant qu'elle ne me sera probablement jamais indispensable comme celle de certains compositeurs antérieurs.

On ne peut mieux dire ! J'ai eu exactement la même impression.

Vive le flipper !

Gilbert Amy (1936–)

Orchestrahl pour grand orchestre (1985–89)
Quatuor à cordes nº1 (1992)

Quatuor Parisii
Orchestre Philharmonique de Radio France (Gilbert Amy)

Wagner, Das Rheingold, Barenboim / Kupfer

Beethoven: symphonies 5 et 8, Ouverture Fidelio. Berliner Philharmoniker, Karajan (1977)



Oeuvres pour orchestre de Jon Leifs. Orchestre de l'Islande, Osmo Vänskä (BIS)



Oeuvres pour orchestre d'Edward Elgar, LPO, Adrian Boult (EMI)

Claude Lefebvre (1931–2012)

Océan de Terre pour soprano, flute, clarinette, trompette, violoncelle et bande magnétique (1981)
Vallée pour cor solo (1987)
Oregon pour soprano et quintette de cuivres (1984)
Verzeigungen pour orgue (1976)
Savoure pour voix de basse (1984)
Mosella pour orgue, deux trompettes et bande magnétique (1984)

Sigune von Osten, soprano
Boris Carmeli, basse
Patrice Petitdidier, cor
Gerd Zacher, orgue
Ensemble 2e2m
Paul Méfano, direction

Tannhäuser  - Georg Solti, Wiener Philharmoniker

Atom

Tu reviens pour de vrai ?