Playlist (110)

Benjamin Britten (1913-1976) :

Quatre interludes marins et Passacaille de l'opéra Peter Grimes, Op. 33 a et b

= Eduard van Beinum, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Decca, septembre 1953)

Violin Favorites
Kreisler * Chopin * Sarasate * Tartini * Fiocco
Norman Carol, violon
Julius Levine, piano
1 LP RCA CAL 419

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Fournier / Holteschek

Toujours dans le rôle du rabat-joie de service : son patronyme s'écrit Franz Holetschek  

  Je pensais que tout le monde avait compris que ce n'était qu'une innocente faute de frappe, mais bon, puisque tu as décidé d'être pénible pointilleux jusqu'au bout ...

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Schoenberg : Gurrelieder, Partie I - Deutsches Symphonie-Orchestrer Berlin, dir. Chailly

En fait, c'est l'Orchestre de la Radio -soyons odieux jusqu'au bout

 Mais qu'il est méchant ...
Pourtant, c'est marqué : "Deutsches Symphonie-Orchester Berlin (RSO)" 
Où l'on découvre que je suis incapable de lire une pochette ... et que je m'emmêle les pinceaux avec tout les orchestres berlinois ...

Mélomaniac a écrit:

Alors, que penses-tu de cette version ? C'est celle qui te fait découvrir l'oeuvre, n'est-ce pas ? Ce fut aussi mon cas, et je n'ai guère trouvé mieux 

  Tout à fait, je découvre, je découvre ... on peut dire que c'est débordant de lyrisme 
Pour l'instant, je crois que je préfère la partie I aux suivantes (en cours d'écoute).

Mélomaniac a écrit:

  Ça c'est de la pochette ... 

J'ai la ré édition avec la Nuit Transfigurée et la Symphonie de chambre No.1 -d'où ma légère confusion ...

tu tends des perches à David et à Mélo dans le même message, félicitations !

Les orchestres berlinois, c'était facile ...

Mendelssohn: la symphonie-cantate 'Lobgesang'.



Edith Mathis est exceptionnelle

Je suis en train d'écouter ce petit trésor, chef-d'oeuvre d'humour noir:



Interprétation fantasque et lunatique à souhait, avec les réactions à chaud du public en prime.

C'est un beau vinyle en effet, d'autant que ce genre de répertoire occupe peu dans la totalité de Klemperer, très teuton avant tout.

anaëlle a écrit:

Mais qu'il est méchant...

Ça n'a rien de naturel : David m'a juste demandé de tenir son rôle pendant la vacance qu'il nous offre  

anaëlle a écrit:

Tout à fait, je découvre, je découvre ... on peut dire que c'est débordant de lyrisme
Pour l'instant, je crois que je préfère la partie I aux suivantes (en cours d'écoute).

Je préfère plutôt à partir du Chant du Ramier, c'est là que l'action commence vraiment à m'intéresser.
Les airs croisés amoureux du couple à la première partie, ça ne me passionne pas.

anaëlle a écrit:

Pourtant, c'est marqué : "Deutsches Symphonie-Orchester Berlin (RSO)" 
Où l'on découvre que je suis incapable de lire une pochette... et que je m'emmêle les pinceaux avec tout les orchestres berlinois ...

Viens en discuter dans ce topic, tu t'apercevras que tu avais raison (sans que j'aie tort, -bien sûr)  
=> https://classik.forumactif.com/t7818-les-noms-de-code-des-orchestres#1023693

Mélomaniac a écrit:

Je préfère plutôt à partir du Chant du Ramier, c'est là que l'action commence vraiment à m'intéresser.
Les airs croisés amoureux du couple à la première partie, ça ne me passionne pas.

C'est quand même la musique qui est passionnante en premier lieu ici, non? Plus que le texte ou l'action à mon sens.
Et la musique de la 1ère partie, elle est vraiment extraordinaire. (je pourrais passer des heures sur la partition)
Je suis d'accord sur le fait que le Chant du Ramier en est peut-être le point culminant. (en y incluant l'interlude qui précède)

math a écrit:

Je suis en train d'écouter ce petit trésor, chef-d'oeuvre d'humour noir:



Interprétation fantasque et lunatique à souhait, avec les réactions à chaud du public en prime.

Très bien dit !

Pour ces 2 oeuvres, Klemperer demeure pour moi la version la plus caractérisée, atypique, soufflant le chaud et le froid. Il réinvente ces partitions. Klemperer ne craignait pas de faire la nique à l'establishment musical.

Xavier a écrit:

C'est quand même la musique qui est passionnante en premier lieu ici, non?

 Oui mais tu vas bondir quand je dirai que c'est la musique de la première partie ne me passionne pas.

Sauf le Ross, mein Ross, Es ist Mitternachzeit, et bien sûr le prélude orchestral. L'air Sterne jubeln, ça passe aussi.

Bon disons alors pour transiger qu'une moitié de la première partie ne me passionne pas.

Seulement voilà : comparé à la suite, où musique et action me comblent sans temps mort, pour moi y pas photo.

************************************************************************************************************

Anton Bruckner (1824-1873) :

Symphonie n°3 en ré mineur (éd. Nowak 1877)

= Nikolaus Harnoncourt, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Teldec, décembre 1994)

Pas besoin d'un caplet pour écouter ça, c'est anti mal de tête.

Franz Schubert (1797-1828) :

Sonate n°20 en sol majeur, D. 894

= Sviatoslav Richter, piano

(Philips, mars 1989)

Le molto moderato, une demi-heure de déréliction absolue... Quelle musique à faire pleurer les pierres !

 

Mahler: Das Knaben Wunderhorn. Heinz Rehfuss, Maureen Forrester; Vienna Festival Orchestra, Felix Prohaska; 5 Rückert Lieder. Maureen Forrester, Orchestre de la RIAS, Ferenc Fricsay. Label Praga.

plenum a écrit:

Pas besoin d'un caplet pour écouter ça, c'est anti mal de tête.

Absolument !

Spoiler:

***

Dutilleux : Métaboles - Seattle Symphony, Ludovic Morlot

Rachmaninov

Les Études-Tableaux

Nicolai Lugansky

Vanguard Classics (1994)


La majorité des autres pianistes, peuvent aller se recoucher.

plenum a écrit:

C'est très bien fait. Je viens de vérifier et tu peux l'écouter soit via Qobuz ou Spotify.

chez deezer aussi,
voilà un interprète (Ernst-Erich Stender) d'une grande originalité,
avec au moins deux CDs Buxtehude parmi ses enregistrements dont je me délecte.

Sergei Prokofiev - Concerto pour piano n°1 (Kissin, Abbado, BPO)

Frank Michael Beyer (1928–2008), Streichquartett II (1969)

Assmann-Quartett

Aribert Reimann (1936–), Drei Sonette nach William Shakespeare für Bariton und Klavier (1964)

Barry McDaniel, baryton
Aribert Reimann, piano

Friedrich Voss (1930–), Capriccioso für Solo-Flöte und Bläserquartett (1965)

Sebon-Quintett

Wolfgang Steffen (1923–1993), Les Spirales für Klavier (1969)

Manfred Reuthe, piano

Frederic Rzewski (1938–), The People United Will Never Be Defeated! (1975)

Igor Levit, piano

plenum a écrit:

La majorité des autres pianistes, peuvent aller se recoucher.

dommage, mais la majorité des autres pianistes ont un répertoire plus intéressant.

Anaxagore a écrit:

Berlioz: Roméo et Juliette op. 17, Les nuits d' été op. 7 (Diener, Tarver, Sedov, The Cleveland Chorus, The Cleveland Orchestra, Boulez). Rarement entendu une version de Roméo aussi soporifique . On dirait que Pierrot prend un malin plaisir à gommer tout dramatisme et tout lyrisme: il bat la mesure . En outre, le choeur de Cleveland est médiocre .

Oui, les Berlioz de Boulez n'ajoutent vraiment rien à sa gloire – et tendent plutôt à souligner ses angles morts.

Pierre Boulez (1925–2016)

Sonatine pour flute et piano (1946)
Première sonate pour piano (1946)
Livre pour quatuor (1948–49) : Ia à IIIc
Polyphonie X pour dix-huit instruments (1950–51) : première partie

Franco Evangelisti (1926–1980)

Proporzioni pour flute (1958)
Aleatorio pour quatuor à cordes (1959)
Ordini pour seize instruments (1955)

Severino Gazzelloni, flute
Frederic Rzewki, piano
Quatuor Parrenin
Gruppo Nuova Consonanza (Daniele Paris)
Orchestra della RAI (Bruno Maderna)

lucien a écrit:

plenum a écrit:

La majorité des autres pianistes, peuvent aller se recoucher.

dommage, mais la majorité des autres pianistes ont un répertoire plus intéressant.

Meuh non lulu, on s'en tient qu'aux pianistes qui ont enregistrés ces études-tableaux.

John Tuder - Lamentationes Jeremiae - Maria Jonas (voix)/Norbert Rodenkirchen (flûtes)

Reçu cette semaine

F. Couperin

Les deux messes

avec alternances vocales

James Tibbles, au bel orgue de l'église Notre Dame de Rozay-en-Brie.

Le Age of Discovery Vocal Ensemble

Paladino Music (2012)


Nul regret au contraire! Tout y est, l'excellente musicalité du musicien, de belles voix, un très bel instrument, malgré qu'un orgue de huit pieds avec bourdon 16' est excellent pour la Messe des Couvents, mais est un peu petit pour celle des Paroisses. Bref un bel album qui mérite de figurer dans sa cdthèque.

Webern : Passacaglia pour orchestre Op.1 - Berliner Philarmoniker, dir. Boulez
 

Schoenberg : Gurrelieder, Partie II et III - Jerusalem, Dunn, Fassbaender, Becht, Haage, Hotter / Deutsches Symphonie-Orchestrer Berlin, dir. Chailly

Schoenberg : Verklärte Nacht - Membres du Royal Concertgebouw Orchestra, dir. Chailly



Mompou : Música Callada I à XXVIII - Perianes

Mompou : Trois Variations - Perianes

 Très belle découverte, grâce au forum 


Janáček : 1.X.1905 (Sonáta) - Planès

Janáček : Sur un sentier recouvert, 1er cahier - Planès

Janáček : Sur un sentier recouvert, 2nd cahier - Planès
 +
Janáček : Dans les brumes - Planès

Janáček : Souvenir - Planès


 Très beau

Mompou à sa fille au levé: Bon matin ''ma puce''.

F. Couperin

Messe à l'usage des Paroisses

Till Aly, au superbe orgue Scherrer-Aubertin de Saint-Antoine l’Abbaye en Isère-France

Ambiente (2006)


Pour les amoureux de ce répertoire, c'est à se procurer sans hésitation.

Haydn: Les six quatuors à cordes op. 20 (The Angeles String Quartet). Magnifique op. 20 !

Die Walküre, Acte II, Barenboim/Kupfer

Je pense que je donnerai mon avis sur le Prologue et cette première journée dans le topic consacré à ce Ring avant de regarder Siegfried et Götterdämmerung.
Mon compagnon qui a vu ce Ring chaque été à Bayreuth ne m'avait pas dit du bien de Evans mais je pense ne pas m'être laissé influencé par son avis, j'ai écouté avec mes oreilles, regardé avec mes yeux. Je peux déjà dire que c'est une Brünnhilde qui ne m'a pas convaincu même s'il reste le troisième acte à regarder et écouter.

Hugues Dufourt : Erlkönig pour piano      2006 / Guy
 +

Sidéral

lucien a écrit:

Frederic Rzewski (1938–), The People United Will Never Be Defeated! (1975)

Igor Levit, piano

Bonjour Lucien,
ce disque attire mon attention avec Bach et Beethoven au programme, mais le nom de Rzewski est mentionné comme compositeur, pouvez-vous me donner un peu plus de détails svp,
merci et bon samedi!

L'église réformée date du XIII° Siècle,
une des plus anciennes de Frise orientale


François Couperin (1668-1733) :

Messe à l'usage des couvents

= Choeur d'hommes du Knabenchor de Hannovre ; Tobis Göting, orgue de l'église de Stapelmoor

(Thorofon, septembre 1999)

Interprétation très vivante et pertinente, superbement enregistrée sur un instrument de 1994, d'esthétique classique française, inspiré du célèbre Clicquot de l'église de Houdan.

Coincidence, je viens d'écouter cette messe de Couperin par Isoir.




Maintenant, Les Indes galantes, version clavecin avec Olivier Baumont

Statisticien du Futur, sois attentif !

Albert Roussel : Padmavati (ben c'est comme un opéra en fait), Michel Plasson

Bach : Sinfonias pour piano, Simone Dinnerstein

Ravelavélo a écrit:

Bonjour Lucien,
ce disque attire mon attention avec Bach et Beethoven au programme, mais le nom de Rzewski est mentionné comme compositeur, pouvez-vous me donner un peu plus de détails svp,
merci et bon samedi!

il y a trois œuvres sur ce triple cd (ambitieux) : les Goldberg, les Diabelli et ce Rzewski.

Franz Schubert (1797-1828) :

Messe n°6 en mi bémol majeur, D. 950

Karila Mattila, soprano
Marjana Lipovšek, contralto
Jerry Hadley, ténor
Robert Holl, basse

Claudio Abbado, Chœur de l'Opéra de Vienne, Orchestre philharmonique de Vienne

(DG, novembre 1986)

Sofia Gubaidulina (1931–)

Cinq études pour harpe, contrebasse et percussion (1965)
Pantomime pour contrebasse et percussion (1966)
Huit études pour contrebasse (1974/2009)
Sonate pour contrebasse et piano (1975)

Martin Heinze, contrebasse
Elsie Bedleem, harpe
Heike Gneiting, piano
Jan Schlichte, percussion

Ravelavélo a écrit:

lucien a écrit:

Ravelavélo a écrit:

Bonjour Lucien,
ce disque attire mon attention avec Bach et Beethoven au programme, mais le nom de Rzewski est mentionné comme compositeur, pouvez-vous me donner un peu plus de détails svp,
merci et bon samedi!

il y a trois œuvres sur ce triple cd (ambitieux) : les Goldberg, les Diabelli et ce Rzewski.

Merci pour cette précision,
ça doit être Rzewski qui suscite votre intérêt pour ce coffret.
Il y a un lien entre ces oeuvres de Bach et de Beethoven, celui des variations et la petite fugue incluse dans les Diabelli de Beethoven peut être considérée comme un hommage à Bach.

Pour le Rzewski, tu connais sans doute l'excellente version de M.A. Hamelin?

Ravelavélo a écrit:

Merci pour cette précision,
ça doit être Rzewski qui suscite votre intérêt pour ce coffret.
Il y a un lien entre ces oeuvres de Bach et de Beethoven, celui des variations et la petite fugue incluse dans les Diabelli de Beethoven peut être considérée comme un hommage à Bach.

et les variations de Rzewski sont écrites en référence aux deux œuvres ; le langage lui-même est en partie beethovennien.

André a écrit:

Maintenant, Les Indes galantes, version clavecin avec Olivier Baumont

Tu aimes Beaumont? Pour ma part je le trouve souvent plat.

plenum a écrit:

Ravelavélo a écrit:

lucien a écrit:

Ravelavélo a écrit:

Bonjour Lucien,
ce disque attire mon attention avec Bach et Beethoven au programme, mais le nom de Rzewski est mentionné comme compositeur, pouvez-vous me donner un peu plus de détails svp,
merci et bon samedi!

il y a trois œuvres sur ce triple cd (ambitieux) : les Goldberg, les Diabelli et ce Rzewski.

Merci pour cette précision,
ça doit être Rzewski qui suscite votre intérêt pour ce coffret.
Il y a un lien entre ces oeuvres de Bach et de Beethoven, celui des variations et la petite fugue incluse dans les Diabelli de Beethoven peut être considérée comme un hommage à Bach.

Pour le Rzewski, tu connais sans doute l'excellente version de M.A. Hamelin?

Ça serait mentir que de vous répondre par l'affirmatif.
Je mets un homme là-dessus.

Je crois si ma mémoire ne faillit pas qu'il est possible de l'écouter via Youtube.