Playlist (113)

Plusieurs extraits de l'intégrale pour orgue de Pachelbel.

Marie-Claire Alain, aux orgues de Muri et Baden en Suisse.

L'Encyclopédie de l'orgue ERATO (7 lps 1972)

Mélomaniac a écrit:

Johann Ludwig Krebs (1713-1780) :

Prélude et fugue en fa dièse majeur
Ach Herr mich armen Sünder
Herr Jesu Christ, dich zu uns wend
Ich ruf zu dir
Jesu, meines Lenbens Leben
Wo soll ich fliehen hin
Nunt freut euch
Trio en ré mineur

= Dominique Merlet, orgue Kern de l'église Notre-Dame des Blancs-Manteaux de Paris

(Mandala, mars 2005)

Très beau disque, qui avait reçu un Diapason d'or en octobre 2005.

Tiens, lui qui est si bon pianiste, j'aimerais beaucoup entendre ce que ça donne.

La Domestica de Strauss.

Arild Sandvold
Toccata-Fantaisie sur un choral de Michael Haydn

Herman van Vliet
Variations et Fugue sur "Lof Zij De Heer, De Almachtige Koning Der Ere"
Fantaisie sur 'K Wil U O God Mijn Dank Betalen"

Hendrik de Vries
Postlude en do

Henry Smart
Aria Variations et Finale

Herman van Vliet, à l'orgue historique de Saint-Martin de Bolsward

FESTIVO (1975)

anaëlle a écrit:

Haydn : Symphonie No.102 - New York PO, dir. Bernstein

Haydn : Symphonie No.95 - New York PO, dir. Bernstein

Même pas 4 smaïlés ?!

On est en train de réanimer Arnold...

Mais j'ai vu que tu as aussi réécouté la 99° par Krips. C'est bien

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Haydn : Symphonie No.102 - New York PO, dir. Bernstein

Haydn : Symphonie No.95 - New York PO, dir. Bernstein

Même pas 4 smaïlés ?!

On est en train de réanimer Arnold...

3 et 3,5, c'est pas si horrible que ça, non ?

Mélomaniac a écrit:

Mais j'ai vu que tu as aussi réécouté la 99° par Krips. C'est bien

C'est un des enregistrements libre de droit que tu avais postés. 

Wolf : Quatuor à cordes - Wihan SQ
 + / 

Jolivet : Cinq Incantations - Balmer

Koechlin : Stèle funéraire - Balmer
 +

Mozart : Quatuor à cordes No.6 - Italiano SQ
 +
Mozart : Quatuor à cordes No.7 - Italiano SQ
 +

Berg : Der Wein - Libor / American SO, dir. Botstein

Le plus important compositeur anglais depuis Britten. Des oeuvres magnifiques. La cinquième est la plus 'populaire' de ses symphonies. L'art de marier le populisme et l'introspection.

Johannes Brahms (1833-1897) :

Symphonie n°1 en ut mineur, Op. 68

= Kiril Kondrachine, Orchestre symphonique de la Radio-télévision d'URSS

(Melodiya, fin 1960's)

Wagner, Siegfried, Acte II, Boulez / Chéreau, Jung, Zednik, McIntyre, Becht, Hübner, Sharp

Max ''Frankenstein'' Reger

Fantaisie sur ''Alle Menschen müssen sterben'' op.52 no.1
Suite op. 92 (Praeludium, Fugue, Intermezzo, Basso ostinato, Romanze , Toccata, Fugue)
Fantaisie et Fugue sur B.A.C.H. op. 46

Kurt Rapf, aux orgues de Saint-Florian à Linz (Fantaisie op.52 et Suite op.92) et l'ancien orgue de la Cathédrale de Münich

Volume 3 de l'intégrale
MPS BASF (1975)


Orgue ''Bruckner'' de Saint-Florian, Autriche


Ancien orgue Zeilhuber (1957) de la Cathédrale de Münich


Parmi les intégrales plus anciennes, ce fut la meilleure au point que même aujourd'hui, elle figure dans les références avec les intégrales
de Rosalinde Haas et Roberto Marini.

NB L'ancien orgue de la Cathédrale de Münich, malgré son apparence totalement insipide comme les gens savaient le faire durant ces années 40 et 50 ( ) avait cependant une sonorité de très grande qualité qui avait peu à envier du nouvel orgue Jann.

Maurice Ravel
* Concerto en Sol majeur
* Concerto pour la main gauche
* Menuet antique
* Une barque sur l'océan
* Fanfare (L'Éventail de Jeanne)
Pascal Rogé, piano
Orchestre symphonique de Montréal
Charles Dutoit (1983)

La Cathédrale Saint-Clément d'Århus (Danemark)


Franz Liszt (1811-1886) :

Fantaisie et Fugue sur Ad nos, ad salutarem undam

= Johannes Unger, orgue Frobenius de la Cathédrale d'Århus

(Querstand, septembre 2001)

Beethoven

Dix thèmes variés pour flûte et piano op. 107

Trio pour trois flûtes en sol majeur

J.P. Rampal, flûte
Alain Marion, flûte
Christian Larde, flûte
Robert Veyron-Lacroix, piano

Musidisc (aujourd'hui Accord)

Petros Shoujounian est né en 1957. Ses quatuors 3-6 ont été composés en 2013, composés sur des chants liturgiques arméniens écrits entre les 5ème et 15ème siècles. Une musique sinueuse, sonore et très chantante.

Liszt : Jeux d’eau de la Villa d’Este - Kocsis

Liszt : Marche funèbre (En mémoire de Maximilien I) - Kocsis


Debussy : Estampes - Weissenberg


Bartók : Château de BB - Ludwig, Berry / LSO, dir. Kertész

Johann Gottfried Walther (1684-1748) :

Partita Jesu, meine Freude
Schmücke dich, o liebe Seele
Meinem Jesum lass'ich nicht

= Olivier Vernet, orgue Ahrend de l'ancienne église des jésuites de Porrentruy

(Ligia, mars 1998)

Destouches / DeLalande : Les Éléments, version "de poche" (Louis-Noël Bestion de Camboulas - Les Surprises, 2015 : Élodie Fonnard, Eugénie Lefebvre, Étienne Bazola)

Très belle découverte, même si pour de tels sujets, j'imagine qu'avec un orchestre "complet" on doit avoir des passages dantesques.
Mais la réduction est très bien réalisée et on conserve de très belle choses

Beethoven - Symphonie n°7 - The Chamber Orchestra of Europe_Nikolaus Harnoncourt



Ce mouvement lent et ce finale

Je devais pas être tout à fait dedans parce que j'ai trouvé ça absolument terrible..

Dans ma playlist ?

Ben rien.

Je n'écoute plus rien. Un signe de déprime sans doute. C'est bien connu, quand on a plus la pulsion, on appelle ça "déprime".

Enfin si, ça recommence un petit peu.

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Haydn : Symphonie No.102 - New York PO, dir. Bernstein

Haydn : Symphonie No.95 - New York PO, dir. Bernstein

[color=#000099]Même pas 4 smaïlés ?!

On est en train de réanimer Arnold...

Non, ça va.
D'ailleurs, je trouve Bernstein plus percutant dans les parisiennes. Pour les londoniennes je lui préfère nettement un Jochum...

-------------

Villa-Lobos:Symphonie n°10 (St.Clair)

Mozart : Quintette avec clarinette - Emerson SQ, Shifrin

Immense

Falla : Psyché - los Angeles / Trio à cordes Français, Gérard, Challan
 +

Duparc : L’Invitation au voyage - Souzay / Bonneau
Duparc : Chanson triste - Souzay / Bonneau
Fauré : Après un rêve - Gens / Vignoles
Duparc : Extase - Souzay / Bonneau
Duparc : Chanson triste - Kaufmann / Deutsch
 +
Immense bis

Lalo : Quatuor à cordes - Simon SQ
 +

arnaud bellemontagne a écrit:

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Haydn : Symphonie No.102 - New York PO, dir. Bernstein

Haydn : Symphonie No.95 - New York PO, dir. Bernstein

[color=#000099]Même pas 4 smaïlés ?!

On est en train de réanimer Arnold...

Non, ça va.
D'ailleurs, je trouve Bernstein plus percutant dans les parisiennes. Pour les londoniennes je lui préfère nettement un Jochum...

Tiens, je ne connais pas du tout Jochum dans Haydn ! Si c'est aussi génial que ses Bruckner 

Wagner : Das Rheingold (Herbet von Karajan, 1967 : Dietrich Fischer-Dieskau, Robert Kerns, Donald Grobe, Gerhard Stolze, Zoltan Kelemen, Erwin Wholfahrt, Martti Talvela, Karl Ridderbusch, Josephine Veasey, Simone Mangelsdorff, Oralia Dominguez, Helen Donath, Edda Moser, Anna Reynolds)

Après une grande hésitation entre Solti, Levine et Karajan (oui, je voulais un beau studio enveloppant!) j'ai choisi Karajan...
Superbe prologue, y a pas à dire... maintenant que j'enchaîne sur la Walkyrie, ce début est impressionnant!

Polyeucte a écrit:

Wagner : Das Rheingold (Herbet von Karajan, 1967 : Dietrich Fischer-Dieskau, Robert Kerns, Donald Grobe, Gerhard Stolze, Zoltan Kelemen, Erwin Wholfahrt, Martti Talvela, Karl Ridderbusch, Josephine Veasey, Simone Mangelsdorff, Oralia Dominguez, Helen Donath, Edda Moser, Anna Reynolds)

Après une grande hésitation entre Solti, Levine et Karajan (oui, je voulais un beau studio enveloppant!) j'ai choisi Karajan...
Superbe prologue, y a pas à dire... maintenant que j'enchaîne sur la Walkyrie, ce début est impressionnant!

Les trois se conçoivent tout à fait ; on en a souvent parlé. Les mérites sont partagés (et ça vaut aussi pour Furtwängler, Janowski & Haitink aussi, d'ailleurs) mais Karajan, notamment dans le Prologue a beaucoup à faire valoir en chant (chant proprement dit et chant d'orchestre, celui-ci absolument formidable quelle que soit la manière dont on l'envisage : sous l'angle du théâtre ou de la musique pure) .

anaëlle a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Mélomaniac a écrit:

anaëlle a écrit:

Haydn : Symphonie No.102 - New York PO, dir. Bernstein

Haydn : Symphonie No.95 - New York PO, dir. Bernstein

[color=#000099]Même pas 4 smaïlés ?!

On est en train de réanimer Arnold...

Non, ça va.
D'ailleurs, je trouve Bernstein plus percutant dans les parisiennes. Pour les londoniennes je lui préfère nettement un Jochum...

Tiens, je ne connais pas du tout Jochum dans Haydn ! Si c'est aussi génial que ses Bruckner 

Oui, il tutoie les mêmes cimes.

La création du monde :

Polyeucte a écrit:

bAlexb a écrit:

Wagner : Das Rheingold (Herbet von Karajan, 1967 : Dietrich Fischer-Dieskau, Robert Kerns, Donald Grobe, Gerhard Stolze, Zoltan Kelemen, Erwin Wholfahrt, Martti Talvela, Karl Ridderbusch, Josephine Veasey, Simone Mangelsdorff, Oralia Dominguez, Helen Donath, Edda Moser, Anna Reynolds)

Après une grande hésitation entre Solti, Levine et Karajan (oui, je voulais un beau studio enveloppant!) j'ai choisi Karajan...
Superbe prologue, y a pas à dire... maintenant que j'enchaîne sur la Walkyrie, ce début est impressionnant!

Les trois se conçoivent tout à fait ; on en a souvent parlé. Les mérites sont partagés (et ça vaut aussi pour Furtwängler, Janowski & Haitink aussi, d'ailleurs) mais Karajan, notamment dans le Prologue a beaucoup à faire valoir en chant (chant proprement dit et chant d'orchestre, celui-ci absolument formidable quelle que soit la manière dont on l'envisage : sous l'angle du théâtre ou de la musique pure) .

Oui, c'est sûr que chacun a ses mérites... Jamais écouté Janowski (Adam me tente vraiment moyen vu ce qu'il fait chez Böhm ) ni Haitink...
Pour Karajan, il y a en effet ce chant vocal ou orchestral assez magnifique! Et tout ça sans sacrifier au théâtre et au drame...

Il y a pourtant des merveilles orchestrales à y entendre, surtout chez Janowski I.
Et puis Minton, Norman, Jerusalem, Altmeyer, c'est vraiment pas mal.
Chez Haitink: Morris, Studer, Meier, Marton...

Xavier a écrit:

Il y a pourtant des merveilles orchestrales à y entendre, surtout chez Janowski I.
Et puis Minton, Norman, Jerusalem, Altmeyer, c'est vraiment pas mal.
Chez Haitink: Morris, Studer, Meier, Marton...

Xavier a écrit:

Il y a pourtant des merveilles orchestrales à y entendre, surtout chez Janowski I.
Et puis Minton, Norman, Jerusalem, Altmeyer, c'est vraiment pas mal.
Chez Haitink: Morris, Studer, Meier, Marton...

Tu veux vraiment que je replonge corps et biens dans le Ring
Sinon oui je pense bien (et en plus on le trouve vraiment pour pas cher!). Mais j'ai jamais franchi le cap.

En fait je bloque dans les deux cas sur le Wotan. Adam qui est rêche chez Böhm et qu'on dit usé chez Janowski... et Morris j'ai toujours du mal avec le timbre très droit et raide. J'aime les Wotan plus ronds en général (genre Hotter ou Dohmen aussi dans un genre un peu plus sec déjà... et bien sûr Stewart la classe incarnée!)

Ah c'est étonnant, Morris pour moi c'est du beau chant et plutôt rond justement. (plus que Dohmen pour moi)
Adam n'est pas génial mais pas si mal.

Xavier a écrit:

Ah c'est étonnant, Morris pour moi c'est du beau chant et plutôt rond justement. (plus que Dohmen pour moi)
Adam n'est pas génial mais pas si mal.

Oui, pour Morris j'ai l'impression de ne pas entendre la même chose que tout le monde. J'entends un chant sec et cassant... je pensais que c'était plutôt quand il était âgé, mais même dans le studio de Levine, ça reste peu agréable à l'écoute pour moi.
ALors que Dohmen, il y a une emphase, une largeur qui compense un timbre un peu gris...

Froberger
Toccatas et Capriccios

Kerll
Kanzona III et Passacaille

Hofhaimer
Salve Regina

Erbach
Canzona à 4

Anton Heiller, à l'orgue historique Freundt (1642) de l'Abbatiale de Klosterneuburg, Autriche.

ERATO (1973) L'Encyclopédie de l'orgue, vol. 47


Heiller était une sommité dans son époque comme pédagogue et comme organiste. L'orgue de Klosterneuburg est exceptionnel, du fait
que durant son histoire, presque pas d'interventions sont survenus, ce qui place cet instrument parmi les plus authentiques et d'ailleurs
il possède également des jeux d'anches absolument authentiques, ayant leur timbre original depuis 1642, ce qui en fait un orgue possédant
les anches parmi les plus anciennes parvenus jusqu'à aujourd'hui.

Wagner : Die Walküre, Actes I et II (Herbert von Karajan, 1966 : Thomas Stewart, Régine Crespin, Gundula Janowitz, Jon Vickers Josephine Veasey)

Malcolm Arnold. 

Je vien de te me commander les symphonies 1, 4 et 5 interprétées par le compositeur, ainsi qu'un 3ème cycle de ses 9 symphonies (Hickox, LSO). Une musique totalement déroutante.

Fauré : Pénélope (Patrick Davin - Olivier Py, 2015 : Anna Caterina Antonacci, Marc Laho, Élodie Méchain, Sarah Laulan, Kristina Bitenc, Rocío Pérez, Francesca Sorteni, Lamia Beuque, Jean-Philippe Lafont, Edwin Crossley-Mercer, Martial Defontaine, Mark Van Arsdale, Arnaud Richard, Camille Tresmontant)

Chouette mise en scène Py... Antonacci impressionnante de charisme comme toujours mais la diction relâchée Laho super solide.

Schoeck : Sommernacht - Deutsche Kammerakademie Neuss, dir. Goritski
 +

Berg : Altenberg-Lieder - Price / LSO, dir. Abbado
 
C'est beau ...

Kalabis : Concerto pour violon No.1 - Neumann / des gens

C'est très beau ce concerto pour violon ! On sent un peu de Szymanowski et de Martinu. 

Johannes Brahms (1833-1897) :

Symphonie n°2 en ré majeur, Op. 73

= Kiril Kondrachine, Orchestre symphonique de la Radio-télévision d'URSS

(Melodiya, fin 1960's)

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Toccata et Fugue en ré mineur, BWV 538

= Vincent Warnier, orgue Aubertin de l'église Saint-Louis-en-l'Isle de Paris

(Intrada, juillet 2009)

Et hop, une petite Dorienne avant d'aller faire dodo...
Avec ce disque que je découvre ce soir.
Interprétation et prise de son supervitaminées, sur cet instrument qui est un fougueux pur-sang.
Fichtre je sens que ce CD va revenir souvent sur ma platine

Tu as pas tort, mais je préfère parmi les Aubertin, l'orgue de Vichy et quoi de mieux que Vernet exécutant les Praeludium de Bruhns?

   

Aribert Reimann (1936–)

Cantus für Klarinette und Orchester (2005)
Ollea, Vier Gedichte von Heinrich Heine für Sopran (2006)
Solo für Klarinette (2000)
... ni una sombra, Trio für Sopran, Klarinette und Klavier (2005–6)
Arietta für Bassettklarinette (2002)

Mojca Erdmann, soprano
Jörg Widmann, clarinette
Axel Bauni, piano
WDR Sinfonieorchester Köln (Peter Rundel)

Salvatore Sciarrino (1947–), 12 Madrigali per 7 cantanti (2007)

Neue Vocalsolisten Stuttgart

Salvatore Sciarrino, Aspern Suite per soprano e strumenti (1979)

Susanna Rigacci, soprano
Contempoartensemble
Mauro Ceccanti, direction