Playlist (116)

shushu a écrit:

xoph a écrit:

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Sonate 29 Op. 106 "Hammerklavier"
Sonate 26 Op. 81a "Lebewohl"

Alfred Brendel

C'est une Hammerklavier live si je me rappelle bien.

Tout à fait. Musikverein, Vienna, 2/1995, quatrième de couverture. Live recording by the ORF

Bruckner, symphonie 9, Giuseppe Sinopoli, Staatskapelle Dresden

Alexey Shmurak (1986–) :
— Control (2010) pour flute, clarinette, violon, violoncelle et piano
— Farewell (2011) pour hautbois, contrebasse et piano
— Doll’s Disease (2011) pour voix, violon et clavier
— Fragility (2011) pour 11 interprètes et bande
— Golem (2011) pour 9 instruments
— And the words are actually beautiful (2009) pour flute et hautbois
— The War (2011) pour alto
— TV (2011) pour clavier, vents, cordes et bande
— In the chasm of ouzel (2009) pour flute, violon et violoncelle
Ensemble Nostri Temporis

Même si je pencherais plus volontiers du côté de l'autre version de Walter, un brin plus ancienne ; affaire de distribution plus que d'énergie propre au chef, d'une intensité équivalente :

Antonio Vivaldi (1679-1741)
Vivaldi l'ange d'ivoire
Concertos hautbois tardifs

Simone Toni (dr. et hautbois) / Silente venti!

Vivaldi comme préquelle du "Sturm und Drang"* et de CPE Bach. Malheureusement interprété comme lorsqu'on force le trait chez CPE. Encore un album clandestin de Philippe Katerine sponsorisé par Orangina. Dommage, ce n'est pourtant pas la charge de mélancolie et de désirs enfouis qui manque chez Vivaldi. Beau projet, mais j'ai failli arrêter le disque. A réécouter pour moi, histoire de voir si je suis pas passé à côté.

"Comme si soudainement, Vivaldi et nous mêmes étions transportés dans le furur, jusqu'à l'idée musicale du Sturm und Drang..." S. Toni*

Maxym Kolomiiets (1981–) :
— Cold flame of freedom (2011?)
— Mumu in the cloulds of stars (2011?) pour objets sonores
— Pavane (2011) pour violoncelle, contrebasse et percussion
— Empty pedestals (2010) pour flute, clarinette, violoncelle et piano
— Charred ruins of scared rainbows (2009–10) pour 10 interprètes
Ensemble Nostri Temporis

Jean Roger-Ducasse : Arabesques... pour piano       1917-19 / Merlet

Emeryck a écrit:

Roger Ducasse : Arabesques... pour piano       1917-19 / Merlet

Fameux Nocturne de printemps :



https://classik.forumactif.com/t264-roger-ducasse-1873-1954?highlight=ducasse

Maxym Kolomiiets (1981–) : Echo of drowning reflections pour flute, clarinette, piano, violon et violoncelle (2013)
Ensemble musikFabrik (Manuel Nawri)

W. A. Mozart
* Sérénade no.10 K. 361 'Gran Partita'
German Wind Soloists
1 CD Naxos 8.550060

César Franck (1822-1890) :

Psyché, -poème symphonique

Sommeil de Psyché - Psyché enlevé par les Zéphyrs - Les Jardins d'Eros - Psyché et Eros

= Daniel Barenboim, Orchestre de Paris

(DG, juin 1976)

Luca Francesconi (1956–) :
— Wanderer (1998–99) pour grand orchestre
— Cobalt, Scarlet (2000) pour grand orchestre
yle Radion sinfoniaorkesteri (Hannu Lintu / Rolf Gupta)

Giuseppe Verdi
* Otello: Musique de ballet
Berlin Radio Symphony Orchestra
Ferenc Fricsay (1960)

Ravélavélo a écrit:

Giuseppe Verdi
* Otello: Musique de ballet
Berlin Radio Symphony Orchestra
Ferenc Fricsay (1960)

Au rayon des exotiques :

bAlexb a écrit:

Au rayon des exotiques :

Merci!
J'écoute par curiosité et je découvre...
C'est bon,
Verdi reste un compositeur lyrique qui s'écoute aisément, sans trop de superficialité et, comme Rossini, un brillant orchestrateur.

Puccini: Turandot/DVD Carignani-Marelli

+

Surement la meilleure mise en scène de Turandot que j'aie vu.

Ravel: Daphnis et Chloé/Bernstein

Ravel: Shéhérazade/Horne, Bernstein

Max E. Keller (1947–) :
— Erinnerungen IV (1987) pour guitare.  Christoph Jäggin
— Gesänge IV (1992) pour soprano et ensemble.  Martina Bovet / Ensemble Opera Nova (Jürg Henneberger)
— Neungestalt (1993) pour percussion.  Christoph Brunner
— zerblasen (1992/93) pour sept vents et contrebasse.  Ensemble Aventure (Bernhard Wulff)
— aushalten und bewegen (1988) pour accordéon.  Teodoro Anzellotti

Gustav Mahler (1860-1911) :

Des Knaben Wunderhorn

Christa Ludwig, mezzo-soprano
Walter Berry, baryton
Leonard Bernstein, piano

(CBS, avril 1968)

Ravel: Sonatine/Perlemuter II

Xavier a écrit:

Ravel: Sonatine/Perlemuter II

C'est Ravel/Ravel en ce moment, apparemment !
(Je comprends ; mais moi l'accumulation se fait souvent plus sous l'angle de l'interprète. Menuhin présentement ; Karajan, il y a peu encore et d'ailleurs toujours, en fait !)

Là c'est un peu l'interprète aussi, je n'avais jamais trop aimé Perlemuter, mais je suis en train de lire son livre sur son travail avec Ravel, donc je l'écoute sous cet éclairage.

Xavier a écrit:

Là c'est un peu l'interprète aussi, je n'avais jamais trop aimé Perlemuter, mais je suis en train de lire son livre sur son travail avec Ravel, donc je l'écoute sous cet éclairage.

Gaspard ; les couleurs (ou les non-couleurs ; le phrasé blafard) qu'il met au "Gibet" ...

Yuri Kasparov (1955–) :
— Sonata infernale (1989) pour basson
— Goat Song (1991) pour basson, contrebasse et percussion
— Chaconne (1992) pour basson, violoncelle et électronique
Valeri Popov, basson / Renat Ibragimov, contrebasse / Sergri Ampleyev, percussion / Natalia Savinova, violoncelle

Trois très beaux concertos pour violoncelle de compsiteurs américains contemporains.

Giuliano D’Angiolini (1960–) :
— Simmetrie di ritorno (2000) pour 10 instruments
— Ita vita zita rita (1997) pour piano amplifié, extrait
— Orizzonte fisso, bordoni mobili (2007) pour 8 instruments
— Und’ho d’andà (1995) pour 9 cuivres
— Ho visto un incidente (1991–92) pour voix seule
— Notturno in progressione (2004) pour quatuor à cordes
Barbara Morihien, soprano
Monique Bouvet, piano
Quatuor Parisii
Ensemble 2e2m (Franck Ollu / Pierre Roullier)

Luca Francesconi : Cobalt Scarlet pour grand orchestre       2000 / Abbado (R)
+

Ingram Marshall : Holy Ghosts.

Hautbois d'Amour : Libby Van Cleve.

C'est sûrement grisant pour une soliste d'un instrument si confidentiel de jouer solo sur ses propres boucles.
Cependant, pourquoi le son de fait si travaillé est aussi dégueulasse ?
En sus des boucles, ça réverbe en deçà de l'audible !

Ou alors c'est un concept....
En ce cas aucun plaisir ! Pourtant c'était prometteur !

Qu'est-ce qu'il y a de la basse dans cet enregistrement . Très différent comme impression de l'écoute à l'aveugle. C'est très viandeux comme sonorité collective.

André a écrit:

Qu'est-ce qu'il y a de la basse dans cet enregistrement . Très différent comme impression de l'écoute à l'aveugle.  C'est très viandeux comme sonorité collective.

La première impression est souvent la plus forte, la plus durable, celle qui nous marque le plus.
Le fait d'avoir connu cet enregistrement en .mp3 lui donne une toute autre allure et t'a sans doute marqué de façon quasi-indélébile.

J. S. Bach
* Prélude en ré mineur BWV 851 (Livre I, CBT)
Martha Goldstein, clavecin

C'est joué trop vite à mon goût.

Pas le plus grand opéra de l'ère bel canto, mais certainement une des interprétations les plus en touche avec le genre. Difficile d'imaginer une meilleure incarnation. Vocalement, c'est la perfection. Les bras m'en tombent. Et ça adonne que chacun des chanteurs connaissait (il y a 50 ans) une période de grâce vocale.

André a écrit:

Et ça adonne que chacun des chanteurs connaissait (il y a 50 ans) une période de grâce vocale.

On retrouve le ténor Alfredo Kraus qui fait bonne figure dans Rigoletto (malgré le bémol de David qui lui préfère Del Monaco), version Solti 1963, RCA.

Del Monaco dans Rigoletto ?

Rarement Duc de Mantoue ne fut plus plébéien et bovin.

Non que je ne l'apprécie pas dans certains rôles - plusieurs en fait, dans lesquels son squillo et le volume incroyable qu'il savait générer étaient un atout indéniable. Mais à part l'excitation purement épidermique, son Duc n'a pas l'élégance, la morgue, le snobisme du rôle. Le machisme, si. Mais ce n'est pas suffisant.

André a écrit:

Del Monaco dans Rigoletto ?  

Rarement Duc de Mantoue ne fut plus plébéien et bovin.

Non que je ne l'apprécie pas dans certains rôles - plusieurs en fait, dans lesquels son squillo et le volume incroyable qu'il savait générer étaient un atout indéniable. Mais à part l'excitation purement épidermique, son Duc n'a pas l'élégance, la morgue, le snobisme du rôle. Le machisme, si. Mais ce n'est pas suffisant.

Merci pour ton avis qui ne manque pas de panache.
C'est toujours une affaire de goût.

Elgar : Concerto pour violon ( Kremer,Orchestre national de Belgique, René Defossez)

Pour une recension de l'album "Populaires" : http://www.forumopera.com/cd/populaires-pas-pour-les-bolosses .
Le récital "Les routes du thé" donné à Montpellier est à la réécoute, ici : http://www.francemusique.fr/emission/le-concert-de-18h/2016-ete/amel-brahim-djelloul-nicolas-jouve-jihad-darwiche-en-direct-de-la-salle-pasteur-le-18
Programme :

Henri Duparc
L'invitation au voyage

Francisco Salvador Daniel
Chansons arabes, mauresques et kabyles :
Chebbou-chebban
Yamina
Klaa beni-abbes

Georges Hüe
Croquis d'Orient (extr.) :
Berceuse triste

Francisco Salvador Daniel
Zohra

Camille Saint-Saëns
Mélodies persanes op.26 (extr.) :
La solitaire

Félicien David
Le Bédoin

Georges Hüe
Croquis d'Orient (extr.) :
La Fille du roi de Chine
Sur l'eau

Camille Saint-Saëns
Mélodies persanes op.26 (extr.) :
La splendeur vide
La Brise

Francisco Salvador Daniel
Chanson mauresque de Tunis

Amel Brahim-Djelloul, soprano
Nicolas Jouve, piano
Jihad Darwich, conteur

Hába : Quatuor à cordes nº3 (1922).  Stamic
Hindemith : Quatuor à cordes nº3 (1920).  Juilliard
Bartók : Quatuor à cordes nº3 (1927).  Juilliard II

Perla Barocca
Chefs d'oeuvre italiens du début de l'époque baroque
Frescobaldi, Marco Uccellini, Biagio Marini, Dario Castello, Antonio Bertali, Isabella Leonarda ... (1532.....1704)

Rachel Podger, violon
Marcin Świąkiewicz, orgue ou clavecin
Daniele Caminiti, théorbe.

Luca Francesconi : Rest pour violoncelle et orchestre       2004 / Karttunen, Abbado (R)
+

Toru Takemitsu (1930–1996) :
— Voice (1971) pour flutiste
— Stanza II (1971) pour harpe et bande
— Le Fils des Étoiles (1975) d’après Satie pour flute et harpe
— Equinox (1993) pour guitare
— Toward the Sea (1981) pour flute alto et guitare
— Munari by Munari (1967–72) pour percussionniste
— In the Woods (1995) trois pièces pour guitare
— Bryce (1976) pour flute, deux harpes, marimba et percussion
Ensemble Takemitsu

lucien a écrit:

Yuri Kasparov (1955–) :
— Sonata infernale (1989) pour basson
— Goat Song (1991) pour basson, contrebasse et percussion
— Chaconne (1992) pour basson, violoncelle et électronique
Valeri Popov, basson / Renat Ibragimov, contrebasse / Sergri Ampleyev, percussion / Natalia Savinova, violoncelle

L. V. Beethoven
* Quatuors nos. 15 & 16
Quatuor Talich (Caliope, 1977 & 1979)

Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Concerto brandebourgeois n°1 en fa majeur, BWV 1046

Michele Berrino, Enrico Longari, cors
Arrigo Galassi, Alfredo Panciroli, Guido Toschi, hautbois
Ovidio Danzi, basson
Giulio Franzetti, violon

Claudio Abbado, Orchestre de la Scala de Milan

(Dischi Ricordi, janvier 1976)

Toru Takemitsu (1930–1996) :
— Rain Tree Sketch (1982) pour piano
— Rocking Mirror Daybreak (1983) pour duo de violons
— Rain Tree Sketch II (1992) pour piano
— Masque (1959–60) pour deux flutes
— Waves (1976) pour clarinette solo, cor, deux trombones et grosse caisse
— Cross Talk (1968) pour deux bandonéons et bande
— Itinerant (1989) pour flute
— Stanza I (1969) pour guitare, piano/célesta, harpe et vibraphone avec voix de femme
— Rain Spell (1982) pour flute, clarinette, harpe, piano et vibraphone
Ensemble Takemitsu