Playlist (118)

Massenet : Cendrillon, par Gressier (1943) : mignon, remarquable surtout pour Lucien Lovano en tendre papa.

bAlexb a écrit:

Ravélavélo a écrit:

J.S. Bach
Concerto brandebourgeois no.6 en si bémol majeur
Philharmonie de Berlin
Herbert von Karajan

Version 60's ou 70's ; ça ne change pas fondamentalement la donne mais j'ai tendance à préférer la première mouture à laquelle je trouve plus "d'angles", peut-être un esprit plus concertant justement qu'orchestral proprement dit, aussi (un effet de la prise de son qui est toujours plus sèche, je trouve, dans les premières gravures DGG ?).
Dans la même veine et pour les mêmes raisons (et la même décennie, sauf erreur), j'aime beaucoup les Suites 2 & 3 :

1960!
Et en long-jeu.

Bertram a écrit:

Massenet : Cendrillon, par Gressier (1943) : mignon, remarquable surtout pour Lucien Lovano en tendre papa.

Quel esprit qui circule ; libre comme l'air (le juste poids au moment juste). Je regrette seulement que Denise Scharley n'ait pas été distribuée en Madame de la Haltière... ou en Prince !
(Mais Lovano, en effet, quelle leçon .)

bAlexb a écrit:

Dans la même veine et pour les mêmes raisons (et la même décennie, sauf erreur), j'aime beaucoup les Suites 2 & 3 :

Pour revenir aux Brandebourgeois, ma version de référence reste celle de Rudolf Baumgartner avec le Festival des Cordes de Lucerne sur DGG parce que je les ai connus dans cette version et j'ai pour eux une sorte d'attachement sentimental. Ça ne m'empêche pas d'apprécier les versions modernes qui m'époustouflent par leur rapidité d'exécution.
Quant à Karajan, il a cette tendance (c'est du moins mon impression) de donner un aspect symphonique à ces concertos en adoptant des tempi plutôt lents, à l'exception des passages pour solistes: là, il leur laisse carte blanche et ça redevient de la musique de chambre.

Rihm : Quatuor à cordes nº7 (1985).  Minguet
Rihm : Quatuor à cordes nº8 (1988).  Arditti
Rihm : Quatuor à cordes nº9 (1993).  Danel

Rihm : Grave (2005).  Minguet Quartett

ça, c’est une des plus belles choses que je connaisse.

Montsalvatge: Simfonia de Requiem/Mena



Bien mieux que le reste du disque!

Montsalvatge: Partita 1958/Mena

+

Ravel:Concerto en sol (Queffelec/Lombard)

Buxtehude

Vol. 1 de l'intégrale par Helga Schauerte

Syrius (2012)


Superbe version. Schauerte n'hésite aucunement à utiliser les deux jeux de 32' pieds pour les Praeludium du maître de Lübeck et
sa conception stylistique d'exécution est idéale dans ce genre de musique.

L'orgue Schnitger de Saint-Jacques à Hambourg, a vu sa tuyauterie avoit été préservée au début de la deuxième guerre dans un
espace creusé sous la tour de l'église spécifiquement pour cela. C'est grâce à ce geste que cet orgue est authentique à 80%,
ce qui est unique. Cependant, le buffet, ses sommiers ont hélas brûlés lors des bombardements. C'est une des restaurations qui
coûtée le plus cher, environs 3 millions de dollars! Arhend a fait un excellent travail de reconstitution de l'orgue Schnitger, ce que
son prédécesseur Kemper de Lübeck n'a pas réussi totalement dans les années 60, hormis le buffet reconstitué comme à l'originale
que pourtant Arhend décida de démolir pour en reconstruire un autre, pourtant donnant quasiment le même résultat. Seul le positif
de dos de Kemper fut préservé et réutilisé comme corps central de l'orgue de choeur.

L'orgue avec son buffet original de même que les tuyaux de façade des tours de la pédale, vers 1900:

En 1917, les soldats allemands avaient réquisitionnés les gros tuyaux de pédale pour leurs munitions.

Reconstitution du buffet Schnitger par Kemper dans les années 60:


Enfin la nouvelle reconstitution du buffet Schnitger par Ahrend en 1993:


Si on compare le buffet par Arhend et celui de Kemper, je préfère nettement celui de Kemper, à cause de sa polychromie, qui
est pourtant plus fidèle à Schnitger que celui de Arhend, car celui de ce dernier, est maintenu à la couleur du bois naturel, ce qui
n'est pas fidèle!

Aujourd’hui:


● Bruckner: Symphonie nº9 en ré mineur (éd. Nowak)
Claudio Abbado / Orchestre du Festival de Lucerne
En public, Lucerne, VIII.2013
DG
J’aurais aimé pouvoir dire du bien de l’ultime concert d’Abbado; malheureusement... Voir ici.


● Villa-Lobos: Rudepoema. Prole do Bebê, Suites nº1 et nº2
Marc-André Hamelin (piano)
Londres, VIII.1999
Hyperion
Comme tout le monde ici, j’ai beaucoup aimé Rudepoema (mais beaucoup moins Prole do Bebê). Voir ici.


● Steigleder: Livre d’orgue. 40 Variations sur le choral Vater unser pour l’orgue, la voix et les instruments
Martin Gester (orgue G. Lesselier, 1630, de Bolbec), Le Parlement de Musique
Bolbec, IX.2000
Tempéraments
Comme me le disait Mélo, «le Steigleder, c’est du sur mesure pour [m]oi». Voir ici.


● Misato Mochizuki [望月京] (1969-): Si bleu, si calme (1997) pour ensemble
All that is including me (1996) pour flûte basse, clarinette et violon
Chimera (2000) pour ensemble
Intermezzi I (1998) pour flûte et piano
La chambre claire (1998) pour ensemble
Johannes Kalitzke / Klangforum Wien; Eva Furrer (flûte basse, flûte), Bernhard Zachhuber (clarinette), Sophie Schafleitner (violon), Marino Formenti (piano)
Vienne, VIII.2001, II.2002
Kairos
Une musique très séduisante, et très «française» (dans le sens de Murail ou du dernier Boulez). Des sonorités instrumentales très claires et un beau travail sur les textures, mais sans que ça tourne jamais aux jolis aplats coloristes planants qui sont un peu le péché mignon des compositeurs japonais (Hosokawa, Fujikura): il y a toujours quelque chose de très mobile et de très vif, les progressions sont très articulées et les persistances rythmiques assez nettes, et la dissonance n’y est jamais atténuée.

Les Pianos de la Nuit...




Au programme ce soir :   C. Saint-Saëns - A. Khatchatourian - S. Rachmaninov

Benedictus a écrit:

● Misato Mochizuki [望月京] (1969-): Si bleu, si calme (1997) pour ensemble
All that is including me (1996) pour flûte basse, clarinette et violon
Chimera (2000) pour ensemble
Intermezzi I (1998) pour flûte et piano
La chambre claire (1998) pour ensemble
Johannes Kalitzke / Klangforum Wien; Eva Furrer (flûte basse, flûte), Bernhard Zachhuber (clarinette), Sophie Schafleitner (violon), Marino Formenti (piano)
Vienne, VIII.2001, II.2002
Kairos
Une musique très séduisante, et très «française» (dans le sens de Murail ou du dernier Boulez). Des sonorités instrumentales très claires et un beau travail sur les textures, mais sans que ça tourne jamais aux jolis aplats coloristes planants qui sont un peu le péché mignon des compositeurs japonais (Hosokawa, Fujikura): il y a toujours quelque chose de très mobile et de très vif, les progressions sont très articulées et les persistances rythmiques assez nettes, et la dissonance n’y est jamais atténuée.

je n’avais pas beaucoup aimé ce cd (ni d’autres choses d’elle)... je réessaierai peut-être.

lucien a écrit:

Benedictus a écrit:

● Misato Mochizuki [望月京] (1969-): Si bleu, si calme
Johannes Kalitzke / Klangforum Wien
Kairos

je n’avais pas beaucoup aimé ce cd (ni d’autres choses d’elle)... je réessaierai peut-être.

Pas sûr que des réécoutes y changeraient grand-chose: je crois qu'il faut un minimum d'affinités avec l'univers ravélo-debussyste pour aimer cette musique.  

connais-tu Noriko Hisada et Liza Lim (la deuxième est australienne, mais il y a manifestement quelque chose d’asiatique) ?

1) Camille Saint-Saëns (1835-1921) :

Concerto n°5 en fa majeur, Op. 103 « égyptien »

= Aldo Ciccolini, piano ; Friedemann Layer, Orchestre national de Montpeller

(Accord, juillet 2006)

lucien a écrit:

connais-tu Noriko Hisada et Liza Lim (la deuxième est australienne, mais il y a manifestement quelque chose d’asiatique) ?

Non, je vais voir ce que je peux trouver. C'est bien?
(Cela dit, je ne fais pas non plus de fixette sur les compositrices asiatiques, hein.)

Benedictus a écrit:

Non, je vais voir ce que je peux trouver. C'est bien?
(Cela dit, je ne fais pas non plus de fixette sur les compositrices asiatiques, hein.)

non non, mais ça m’y a fait penser.
Hisada, c’est une découverte récente, je connais pas bien, mais Lim, c’est vraiment une très grande compositrice à mon avis. c’est proche de la New Complexity anglo-australienne (donc la moitié de ses œuvres sont jouée par ELISION), c’est assez proche de certains Barrett en particulier (chez qui l’ouverture vient plutôt de son expérience en improvisation et en électronique), mais avec une influence aborigène ou asiatique qui fait qu’elle crée des univers vraiment particuliers, pas très occidentaux... très marquant pour moi.

/watch?v=bhSU23jLWyM

Plus j'écoute du Tournemire par Delvallée (j'ai presque fini ma deuxième écoute intégrale) et plus je suis frustré, mais difficile de dire si ça vient de l'interprétation peu fouillée et pantouflarde ou de la musique griffonnée sur partition dans un élan d'inspiration et jamais relue par la suite... Il faudrait vraiment que j'en travaille, plus tard, pour être fixé.

Ces derniers jours, hormis pas mal de sonates piano de Beethoven

• John Cage (1912-1992)
Trombone et piano: Two , variations 1, Music for Two
Mike Svoboda, trombone / Steffen Schleiermacher, piano

• Olivier Greif (1950-2000)
Trio piano, violon, violoncelle  
Emmanuelle Bertrand, Pascal Amoyel, Antje Weithaas

• Johannes Brahms (1833-1897)
Trio piano 1 & 2
Trio Wanderer

2) Aram Khatchatourian (1903-1978) :

Concerto en ré bémol majeur

= Moura Lympany, piano ; Anatole Fistoulari, Orchestre philharmonique de Londres

(Decca, novembre 1952)

Ne pas confondre avec le précédent enregistrement de l'oeuvre par Lympany et Fistoulari chez Decca, réalisé avec le Symphonique de Londres en mai 1945.

Liszt

Années de Pélerinage Suisse

André Laplante, piano

Analekta (2010)


C'est du très grand! D'ailleurs il est frustrant que mon illustre compatriote n'ait pas songé à enregistrer l'intégrale.

Ceux qui aiment ces pièces de Liszt, écoutez cette version, sinon ça manquerait à votre culture.

Dispo chez Deezer de toute façon.

lucien a écrit:

Benedictus a écrit:

Non, je vais voir ce que je peux trouver. C'est bien?
(Cela dit, je ne fais pas non plus de fixette sur les compositrices asiatiques, hein.)

non non, mais ça m’y a fait penser.
... c’est proche de la New Complexity anglo-australienne ...

bon sang, mais c'est bien sûr!

Spoiler:

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Sur les conseils de lucien

Liza Lim (1966)
Songs Found in Dream
/watch?v=bhSU23jLWyM
pour moi beaucoup de réminiscences côté free-jazz

3) Sergueï Rachmaninov (1873-1943) :

Concerto n°3 en ré mineur, Op. 30

= Moura Lympany, piano ; Anthony Collins, New Symphony Orchestra de Londres

(Decca, mai 1952)

4) Sergueï Rachmaninov (1873-1943) :

Variations sur un thème de Corelli, Op. 42

= Nikolaï Lugansky, piano

(Warner, juin 2004)

Alifie a écrit:

www.deezer.com/album/987003

La pochette ressemble à celle contenant un ancien long-jeu de format réduit.

Chtcherbatchov : Symphonie No.2, mvt II et III.  American SO, dir. Botstein

Michel Philippot : Carrés magiques : hommage à Évariste Gallois pour orchestre        1983 / de Vinogradov
 +
Michel Philippot : Composition pour double orchestre        1959 / Scherchen

Michel Philippot : Composition 2 pour orchestre à cordes, piano et harpe        1974 / Schic, Lautmann, Girard

Rihm : Quatuor à cordes nº10 (1997).  Minguet
Rihm : Quatuor à cordes nº11 (1998/2007).  Minguet
Rihm : Quartettstudie (2004).  Minguet

Thierry Pécou (1965–) :
— L’oiseau innumérable (2006) concerto pour piano et orchestre
— Outre-mémoire, variances (2004) pour piano
— Petit Livre pour clavier (1995) pour orgue positif, épinette et clavicorde
— Après Rameau, une sarabande ? (2001) pour piano
Alexandre Tharaud
Ensemble orchestral de Paris (Andrea Quinn)

Padre Antonio Soler

Les six sonates pour deux claviers ou deux orgues.

Ambitus


Un véritable bijou discographique. A mon avis, c'est la meilleure version de ces sonates de Soler, enfin interprétées sur des orgues historiques
ibériques de réputations mondiales. Bönig, le titulaire de la vénérable Cathédrale de Cologne démontre son savoir faire souverainement,
même niveau pour son collègue. Les tempis sont parfaits, leurs maîtrise de la registration est de la réussite totale et d'ailleur, qu'elle superbe
mise en valeur des couleurs sonores que ces orgues sont si pouvus!

Bref un nouvel arrivage dans ma collection, que je me lasserai jamais. Je vous le recommande sans hésitation.

Aujourd'hui:


● Strauss: Vier letzte Lieder
Elisabeth Grümmer (soprano), Richard Kraus / Berliner Sinfonie Orchester
Berlin, 1970
Gala
Voilà qui pourrait bien être ma version préférée. Voir ici.


● Tchaïkovski: Symphonie nº2 en ut mineur, op. 17 «Petite Russie» (version 1879 révisée)
Mariss Jansons / Orchestre Philharmonique d’Oslo
Oslo, IX.1985
Chandos
J’ai sensiblement moins accroché qu’à la 1. Même si là aussi j’ai entendu beaucoup de belles choses qui m’avaient échappé jusqu’à présent (surtout dans le cisellement de l’orchestration - les bois! - et l’écriture rythmique), j’y ai retrouvé ce que je n’aime pas trop chez Tchaïkovski symphoniste, à savoir l’épanchement mélodique et un certain pompiérisme.


● Buxtehude: Chaconne (“Ciacona”) en ré mineur BuxWV 160. Passacaille en ré mineur BuxWV 161. Chaconne (“Ciacona”) en ut mineur BuxWV 159
Jean-Charles Ablitzer (orgues historiques Wilde-Schnitger, 1598-1683, de l’Église Sankt Jacobi de Cuxhaven-Lüdingworth; Schnitger, 1685-1687, de l’Église Sankt Martini und Nicolai de Steinkirchen; Schnitger, 1688-1692, de l’Église Sankt Ludgeri de Norden)
Cuxhaven-Lüdingworth, IX.1987; Steinkirchen, V.1988; Norden, VIII.1989
Harmonic Records

Les Tuyaux du dimanche après-midi...



Au programme :   F. Couperin - J.S. Bach

Au fond, le clocher de la Nikolaj Kirke de Copenhague


1) François Couperin (1668-1733) :

Messe pour les Couvents

= Gunnar Svensson, orgue Marcussen de l'église Saint-Nicolas de Copenhague

(Danacord, juillet 1999)

Le concerto de Schumann avec Arrau (avril 1977) et celui de Grieg avec Gilels (janvier 1979). Jochum dirige le Concertgebouworkest dans les deux cas.

Ravélavélo a écrit:

Alifie a écrit:

www.deezer.com/album/987003

La pochette ressemble à celle contenant un ancien long-jeu de format réduit.

En effet, un 25 cm (10"), cf. www.discogs.com/fr/Virgil-Thomson-Louisiana-Story-Five-Portraits/release/7571355

Haydn:Symphonie n°94 "La surprise" (Jochum)

La Martinuskirche de Hagen am Teutoburger Wald
(Allemagne, -Basse-Saxe)


2) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Partita Christ, der du bist der helle tag, BWV 766
Partita O Gott, du frommer Gott, BWV 767

= Wolfgang Stockmeier, orgue Kreienbrink de l'église Saint-Martin de Hagen am Teutoburger Wald

(Psallite, 1977-1981)

Pour ces Partitas très mélodieuses, j'aime bien ce genre d'approches intimistes sur de petits instruments qui sonnent dans leur jus.

L'église Saint-Oswald de Zoug (Suisse centrale)


3) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Partita O Gott, du frommer Gott, BWV 767

= Hans Vollenweider, orgue de l'église Saint-Oswald de Zoug

(Accord, 1975)

Je ne connaissais pas cet instrument. Quelle ampleur, quelle suavité du vent !
Écouté deux fois  

Michel Philippot : Composition 4 pour orchestre        1980 / Soudant

Michel Philippot : Concerto pour violon, alto et orchestre        1984 / Bernède, Laluose, Chamis

Enno Poppe : Speicher I pour grand ensemble        2008-13 / Klangforum Wien (Poppe)

L'abbaye d'Ottobeuren (Bavière -Souabe)


4) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Fantaisie en sol majeur, BWV 572
Fugue en si mineur, BWV 579
Fantaisie et Fugue en ut mineur, BWV 537
Fantaisie en ut mineur, BWV 562
Pastorale en fa majeur, BWV 590
Partita Sei gegrüsset Jesu gütig, BWV 768

= Bernard Foccroulle, orgue Riepp de l'épitre de l'abbaye d'Ottobeuren

(Ricercar, 1982)

Après des petits instruments méconnus, un monstre sacré.
La parure très claire, absolument compatible avec le répertoire français (les anches !), convient comme un gant à la Fantaisie et la Pastorale.
Un de mes orgues préférés, toutes catégories confondues, d'une sonorité enjôleuse dans une acoustique de rêve.

L.V. Beethoven
* Symphonie no.3 'Eroica' op.55
Philharmonie de Berlin
Karl Böhm (1962)

Un classique indémodable (oeuvres & interprétation) :

Claudio Monteverdi : Secondo Libro de Madrigali pour cinq voix        1590 (?) / Alessandrini
 +

bAlexb a écrit:

Un classique indémodable (oeuvres & interprétation) :

Ah oui, c'est sûr, et tout-à-fait circonstanciel à ce temps-ci de l'année.