Playlist (118)

Observe sa boîte crânienne sur le tube: watch?v=FnmRcig29Do Ça explique en bonne partie cet immense musicien.

Oui, j'écoute les Mazurkas de Chopin aussi.
C'est vrai, pour sa tête.

Adams:Harmonium (Himself)

Hans Pfitzner: concerto pour violon. Rainer Küchl, Wiener Philharmoniker, Valery Gergiev. Concert de novembre 2004. Küch est devenu violon solo du WP à l'âge de 20 ans. Plus tard il a fondé le Musikverein Quartet. Très belle oeuvre.

Richard Wetz: Requiem. Un contemporain de Pfitzner.

plenum a écrit:

Pas seulement. Il est musicien, non show off!  On sent ces biceps d'une force d'un gorille (ou bûcheron) mais non esclave de ça, il a la capacité de nuances subtiles dans le cadre de sa force brute! Regardes-le sur You tube interprétant en live deux mazurkas de Chopin,
on voit qu'il a la boîte crânienne disproportionnée en rapport du reste de son corps. Un cerveau extra terrestre! Un immense musicien!

Il faut une énorme tête de gorille pour bien piano jouer ?

m.gruber a écrit:

plenum a écrit:

Pas seulement. Il est musicien, non show off!  On sent ces biceps d'une force d'un gorille (ou bûcheron) mais non esclave de ça, il a la capacité de nuances subtiles dans le cadre de sa force brute! Regardes-le sur You tube interprétant en live deux mazurkas de Chopin,
on voit qu'il a la boîte crânienne disproportionnée en rapport du reste de son corps. Un cerveau extra terrestre! Un immense musicien!

Il faut une énorme tête de gorille pour bien piano jouer ?

Une tête de gorille?  Non, mais il avait toute une cervelle!

Antônio Guedes Barbosa (Piano)

Né: 9 Décembre, 1943 - João Pessoa, Paraíba, Brésil Décès: 2 Septembre, 1993 - São Paulo, SP, Brésil

Le pianiste et pédagogue brésilien, Antônio Guedes Barbosa, a étudié le piano avec Claudio Arrau . Barbosa a été distingué par Vladimir Horowitz et Claudio Arrau comme l' un des cinq meilleurs pianistes de sa génération - aux côtés de Martha Argerich , Daniel Barenboim , Krystian Zimerman et Garrick Ohlsson . Il fut l' un des musiciens brésiliens les plus prolifiques en termes d'enregistrements de la plus haute qualité. Son héritage sur le disque comprend importante collection d'œuvres de Frédéric Chopin , un panel de critiques américains, réunis en 1992 par le American Record Guide , même les plus grands par rapport aux enregistrements, "Rubinstein à Alfred Cortot , Guiomar Novaes , Martha Argerich ." Thomas Givre est allé plus loin. Dans une lettre à Allan Kozin, le critique du New York Times , producteur de Vladimir Horowitz , qui a aussi produit la deuxième version Antônio Guedes Barbosa des 51 Mazurkas, appelé les "considérablement plus poétique que celles de Rubinstein." Et Stereo Review , New York, qui a donné le titre de «Best of the Year" pour les 14 Valses, imprimés: "... Barbosa est peut - être le meilleur interprète de Chopin de sa génération." Le CD, avec les derniers enregistrements et les Lieder de Schubert, a été lancé aux Etats - Unis deux jours après son cœur a cessé de battre, à Sao Paulo, le 2 Septembre 1993.

bAlexb a écrit:

Grande version! Peut-être celle à laquelle je reviens le plus souvent alors que je ne suis pas un fan de Fidelio (bon, y a aussi la version russe avec Vishnevskaya et Nelepp... mais est-ce encore vraiment Fidelio?)

Une des très très grandes versions, c'est vrai grâce à l'engagement furieux de chacun dans une vraie ambition humaine, collective, "universelle" ; mais je me plais à asséner dès que possible que Barenboim est un beaucoup plus grand chef qu'on ne veut le (laisser) penser . Au même niveau, ici, que Böhm/Karajan (où, pour chacun, le choix ne manque pas, lives & studios confondus ; le choix-du-roi qui fait, un peu, l'opéra-roi, j'ai envie de dire), Walter, Furtwängler, Harnoncourt. Sans parler des interprétations singulières par nature ou par exception (Silja, typiquement). À cette différence près, par rapport à toi : j'adore cet opéra .

bAlexb a écrit:

Une des très très grandes versions, c'est vrai grâce à l'engagement furieux de chacun dans une vraie ambition humaine, collective, "universelle" ; mais je me plais à asséner dès que possible que Barenboim est un beaucoup plus grand chef qu'on ne veut le (laisser) penser . Au même niveau, ici, que Böhm/Karajan (où, pour chacun, le choix ne manque pas, lives & studios confondus ; le choix-du-roi qui fait, un peu, l'opéra-roi, j'ai envie de dire), Walter, Furtwängler, Harnoncourt. Sans parler des interprétations singulières par nature ou par exception (Silja, typiquement). À cette différence près, par rapport à toi : j'adore cet opéra .

Moi je l'aime quand il y a de fortes personnalités un peu partout... sinon je reste sur la touche et m'ennuie pendant une partie de l'ouvrage

plenum a écrit:

Le pianiste et pédagogue brésilien, Antônio Guedes Barbosa, a étudié le piano avec Claudio Arrau . Barbosa a été distingué par Vladimir Horowitz et Claudio Arrau comme l' un des cinq meilleurs pianistes de sa génération - aux côtés de Martha Argerich , Daniel Barenboim , Krystian Zimerman et Garrick Ohlsson .

Je ne connais pas le classement Horowitz. Ca se place comment par rapport au classement ATP ?

Haydn:Symphonie n°86 (Bernstein)

Stockhausen : Chöre für Doris Nr. 1/11 (1950).  NDR Chor (Stockhausen)
Stockhausen : Drei Lieder Nr. 1/10 (1950).  Anderson / SWF SO Baden-Baden (Stockhausen)
Stockhausen : Choral Nr. 1/9 (1950).  NDR Chor (Stockhausen)
Stockhausen : Sonatine Nr. 1/8 (1951).  Gawriloff, Kontarsky
Stockhausen : Kreuzspiel Nr. 1/7 (1951).  Klangforum Wien (Pomàrico)
Stockhausen : Formel Nr. 1/6 (1951).  SWF SO Baden-Baden (Stockhausen)
Stockhausen : Étude concrète Nr. 1/5 (1952)
Stockhausen : Spiel Nr. 1/4 (1952/73).  SWF SO Baden-Baden (Stockhausen)
Stockhausen : Schlagtrio Nr. 1/3 (1952/74).  Kontarsky, Batigne, von Gucht

m.gruber a écrit:

plenum a écrit:

Le pianiste et pédagogue brésilien, Antônio Guedes Barbosa, a étudié le piano avec Claudio Arrau . Barbosa a été distingué par Vladimir Horowitz et Claudio Arrau comme l' un des cinq meilleurs pianistes de sa génération - aux côtés de Martha Argerich , Daniel Barenboim , Krystian Zimerman et Garrick Ohlsson .

Je ne connais pas le classement Horowitz. Ca se place comment par rapport au classement ATP ?

Stockhausen : Punkte Nr. 1/2 (1952/62).  SWF SO Baden-Baden (Boulez)
Stockhausen : Punkte Nr. 1/2 (1952/62–93).  WDR SO Köln (Eötvös)
Stockhausen : Kontra-Punkte Nr. 1 (1952–53).  Ensemble Linea (Wurtz)

Bof! Grande déception après son récital "scène".

Wagner:Tristan Acte III (Barenboim)

Ce prélude est toujours aussi saisissant.

plenum a écrit:

Barbosa a été distingué par Vladimir Horowitz.
Le CD, avec les derniers enregistrements et les Lieder de Schubert...

Horowitz, malgré ses bons mots et sa reconnaissance, lui a certainement fait ombrage, l'a occulté en quelque sorte.
Barbosa dans les Lieder de Schubert, ça doit être intéressant.
Je crois aussi que le fait d'avoir une tête un peu disproportionnée peut l'avoir désavantagé dans sa carrière, en dépit de tout son talent et de tout son génie.

Auber : Gustave III ou le Bal masqué (Michel Swierczewski, 1993 : Laurence Dale, Rima Tawil, Christian Treguier, Brigitte Lafon, Valérie Marestin, Roger Pujol, Gilles Dubernet, Patrick Foucher, Franck Leguérinel)

Très chouette découverte! On retrouve vraiment exactement la trame de l'ouvrage de Verdi composé par la suite, mais avec un ton différent...

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner:Tristan Acte III (Barenboim)

Ce prélude est toujours aussi saisissant.  

Quelle version Arnaud ?

Wagner n'est pas bien servi par ce genre d'exercice. Mais c'est utile pour positionner cette voix dans les rôles de ténor wagnérien. Bref, une bonne carte de visite.

André a écrit:

Wagner n'est pas bien servi par ce genre d'exercice. Mais c'est utile pour positionner cette voix dans les rôles de ténor wagnérien. Bref, une bonne carte de visite.

L'album de Gösta Winbergh est à connaître, dans un genre comparable ; lumineux mais pas nécessairement plus éthéré ou moins pertinent :

Petrus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner:Tristan Acte III (Barenboim)

Ce prélude est toujours aussi saisissant.  

Quelle version Arnaud ?

Les Berliner avec Jérusalem et Meier.

arnaud bellemontagne a écrit:

Petrus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner:Tristan Acte III (Barenboim)

Ce prélude est toujours aussi saisissant.  

Quelle version Arnaud ?

Les Berliner avec Jérusalem et Meier.

(En général et dans le détail !)

Mendelssohn : Concerto en mi mineur, opus 64 (Georges Enesco, 1938 : Yehudi Menuhin)
Dvorak : Concerto en la mineur, opus 53 (Georges Enesco, 1936 : Yehudi Menuhin)
Wieniawski : Légende, opus 17 (Georges Enesco, 1938 : Yehudi Menuhin)
Novacek : Perpetuum Mobile (Pierre Monteux, 1934 : Yehudi Menuhin)
Mozart : Concerto N°3 en sol majeur KV 216, cadences de Sam Franko (Georges Enesco, 1935 : Yehudi Menuhin)
Mozart : Concerto N°7 en ré majeur KV 271a, cadences de Georges Enesco (Georges Enesco, 1932 : Yehudi Menuhin)

Menuhin au violon... Enesco à la direction...
J'adore ces disques!!

Alf Hurum. Compositeur norvégien (1882-1972), surtout connu pour sa très belle symphonie en ré mineur (1927).

Stale Kleiberg, compositeur norvégien né en 1958.

Symphonie no 1 (1991); symphonie de chambre no 2

Les Pianos de la Nuit...




Au programme ce soir : P.I. Tchaikovsky - D. Chostakovitch - L. Beethoven

1) Piotr I. Tchaikovsky (1840-1893) :

Concerto n°1 en si bémol mineur, Op. 23

= Eugene Istomin, piano ; Eugene Ormandy, Philadelphia Orchestra

(Columbia, avril 1959)

De Ludwig Irgens-Jensen, compositeur norvégien (1894-1969), trois oeuvres pour orchestre:

- Tema con variazioni (1925). Orch. phil d'Oslo, Odd Gruner-Hegge
- Passacaglia (1927)
- Partita Sinfonica (1938). Orch. phil d'Oslo, Ole Kristian Ruud.

2) Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Concerto n°1 en ut mineur, Op. 35
Concerto n°2 en fa majeur, Op. 102

= Elisabeth Leonskaja, piano ; Hugh Wolff, Saint Paul Chamber Orchestra

(Teldec, septembre 1991)

bAlexb a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Petrus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner:Tristan Acte III (Barenboim)

Ce prélude est toujours aussi saisissant.  

Quelle version Arnaud ?

Les Berliner avec Jérusalem et Meier.

(En général et dans le détail !)

Oui , une bien belle version.

--------------

Florentz:L'Anneau de Salomon (Soudant)

Je ne m'explique pas l'absence des oeuvres de Florentz dans les programmes de concert...
Par le biais de sa musique on pourrait pourtant fidéliser un très large public.
C'est triste.  

3) Dimitri Chostakovitch (1906-1975) :

Sonate n°2 en si mineur, Op. 61

= Emil Gilels, piano

(RCA, janvier 1965)

4) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°23 en fa mineur, Op. 57

= Vladimir Horowitz, piano

(Columbia, octobre 1972)

 Horowitz violente cette Appassionata comme c'est pas permis (on se prend trois gifles à la seconde), il éclabousse mais obtient aussi une lisibilité, une clarté, un scintillement exceptionnels.
On a l'impression qu'il y a deux fois plus de notes, et paradoxalement qu'on les entend mieux.
Et bizarrement, la taille assez normale de sa tête ne l'empêchait pas de jouer plutôt bien  

C'est que son nez contrebalance.

Mais justement, compares-donc la Waldstein entre Horowitz et Barbosa.

Mais sois vraiment objectif hein! http://classical-music-online.net/en/performer/13951?composer_sort=33&prod_sort=383

Mélomaniac a écrit:

Et bizarrement, la taille assez normale de sa tête ne l'empêchait pas de jouer plutôt bien

Lui, c'est pas la tête qu'il avait plus grosse, mais les mains beaucoup plus grandes que la normale!

Florentz:L'Enfant des Iles (Soudant)

Cette oeuvre irradie littéralement.

Ravélavélo a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Et bizarrement, la taille assez normale de sa tête ne l'empêchait pas de jouer plutôt bien

Lui, c'est pas la tête qu'il avait plus grosse, mais les mains beaucoup plus grandes que la normale!

Voir ce court extrait du livre de Charles Rosen sur le sujet. Intéressant

J. S. Bach
* Variations Goldberg BWV 988
Charles Rosen, piano (Odyssey, 1969)

André a écrit:

Voir ce court extrait du livre de Charles Rosen sur le sujet. Intéressant

Merci André, pour l'article.

Tu as de la suite dans les idées !

La première symphonie (1935) de Olav Kielland est remarquable. Dirigée ici par le compositeur (1901-1985). À mettre sur le même pied que la 1ère de Klaus Egge.

La symphonie no 2 de Johan Kvandal (1962) est courte mais substantielle et envoûtante. Dirigée par Herbert Blomstedt Finalement, la symphonie en ré mineur de Ludvig Irgens Jensen est la meilleure des trois que j'ai entendues de ce compositeur.  Dirigée par Oivin Fjeldstad. Un disque Simax. Orchestre philharmonique d'Oslo dans les deux cas.

André a écrit:

Tu as de la suite dans les idées !

En fait c'est toi qui m'a donné l'idée de réécouter Rosen.
J'ignore si l'enregistrement sur Odyssey (écouté en ligne) est le même qui a paru sur étiquette Sony:

Oui, c'est le même (enregistré en 1967). Cet enregistrement célèbre a beaucoup circulé et il y a plusieurs rééditions sur Sony, repris par Newton, etc.

Haydn:Symphonie n°85 (Bernstein)

Marco Momi (1978–) :
— Les Mots (2005) pour soprano, flute, clarinette, trompette, percussion, piano et trio à cordes
— Almost Vanishing for E.P. (2011) pour flute
— Almost Pure for E.P. (2011) pour quatuor à cordes
— Cinque Nudi (2012) pour saxophone ténor et pédales
— Iconica I (2007) pour flute, clarinette, piano et trio à cordes
— Iconica III (2009) pour six voix
Valentina Valente, soprano
Matteo Cesari, flute
David Brutti, saxophone
md ensemble (Marino Formenti)
Solistes XXI (Rachid Safir)

Et la 29, 36 & 39 de la même série ; avec une (assez nette) préférence pour les prises DGG plus ou moins contemporaines (tellement plus "d'air" alors qu'objectivement, l'interprétation varie peu ou prou).

Bach : Double Concerto pour violon en Ré mineur BWV 1043 (Pierre Monteux, 1932 : Yehudi Menuhin, Georges Enesco)
Paganini : Caprice n°6 (Yehudi Menuhin, Georges Enesco)
Bach : Concerto pour violon n°1 en la mineur BWV 1041 (Georges Enesco, 1936 : Yehudi Menuhin)
Bach : Concerto pour violon n°2 en mi majeur BWV 1042 (Georges Enesco, 1933 : Yehudi Menuhin)
Bach : Partita n°2 en Ré mineur BWV 1004, Chaconne (Yehudi Menuhin, 1934)
Enesco : Sonate pour violon et piano n° 3 (Georges Enesco, Yehudi Menuhin)

Stockhausen : Klavierstück I Nr. 2 (1952).  Bernhard Wambach
Stockhausen : Klavierstück II Nr. 2 (1952).  Bernhard Wambach
Stockhausen : Klavierstück III Nr. 2 (1952).  Bernhard Wambach
Stockhausen : Klavierstück IV Nr. 2 (1952).  Bernhard Wambach
Stockhausen : Studie I Nr. 3 (1953)
Stockhausen : Studie II Nr. 3 (1954)
Stockhausen : Klavierstück V Nr. 4 (1954).  Ellen Corver
Stockhausen : Klavierstück VI Nr. 4 (1954–61).  Ellen Corver
Stockhausen : Klavierstück VII Nr. 4 (1954–55).  Ellen Corver
Stockhausen : Klavierstück VIII Nr. 4 (1954).  Ellen Corver
Stockhausen : Klavierstück IX Nr. 4 (1954–61).  Ellen Corver
Stockhausen : Klavierstück X Nr. 4 (1954–61).  Frederic Rzewski