Playlist (120)

Pierre Boulez : Sonate n°1 pour piano        1946 / Rosen

Éric Tanguy : Océan N.Y. Fantaisie pour piano        1989 / Guy

Éric Tanguy : Solo pour violoncelle        1993 / Linale

Éric Tanguy : Azur C pour flûte basse amplifiée ou flûte en ut        1990 / Nessi
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Éric Tanguy : Towards pour percussions        1991 / Geoffroy

Éric Tanguy : Alloys pour clarinette basse ou clarinette en si bémol        1988 / Dutrieu
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Éric Tanguy : Azur B pour clarinette         1990 / Dutrieu
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Éric Tanguy : Avènement de la ligne pour orgue        1988 / Bourcier

Berlioz : L'Enfance du Christ (Laurence Equilbey - Ensemble Orchestral de Paris, 2010 : Vesselina Kasarova, Paul Groves, Matthew Brook, Laurent Naouri, Jean-Louis Georgel, Romain Champion)

Quel souvenir cette soirée... douce, légère, parfaitement stylée (Groves!!), émouvante (Kasarova toute en douceur)...

Renaud François : ...un regard oblique... pour ensemble        1983 / Ensemble 2e2m (Méfano)

Renaud François : Deuxième récit pour piano       1988 / Roqué Alsina
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Renaud François : Sonnet pour voix, tuba et piano        1983 / Carmelli, Legris, Mefano (J)

Renaud François : Reflets II pour piano et ensemble        1978 / Méfano (J), Ensemble 2e2m (Méfano)
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Renaud François : Tu/les écoutes... pour deux flûtes        1976 / Artaud, François

Renaud François : Les chemins de la Nuit pour orchestre        1984 / Prin

Et une demi-douzaine de concertos de Vivaldi joués par Giuliano Carmignola.


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Saint-Saëns : Requiem, opus 54 (Jacques Mercier - Orchestre National d'Île de France, 1989 : Françoise Pollet, Magali Charlmeau-Damonte, Jean-Luc Viala, Nicolas Rivenq, Jacques Amade)

Wahoo!! ça faisait des années que je ne l'avais pas écouté de Requiem... il est assez génial Puissant et recueilli...
Une vraie claque! Va falloir que je regarde ce qui existe d'autre comme version...

Gioachino Rossini - Ouverture de Guillaume Tell

Riccardo Chailly
The National Philharmonic

C'est la première fois que j'écoute cette ouverture (alors qu'elle est archi connue pour deux thèmes au moins), trilles et trémolos, que c'est revigorant !

Boris Tishchenko : Requiem Aeternam Op. 150 (2008)
Saint-Petersburg Capella Chorus
Saint-Petersburg Philharmonic Orchestra
Alexander Dmitriev & Co.

C'est dommage que le son soit si dégueulasse... un live du 29 mai 2010... tsss...

Bruneau : Requiem (Jacques Mercier - Orchestre National d'Île de France, 1992 : Françoise Pollet, Mary Saint-Palais, Sylvie Sullé, Jean-Luc Viala, Laurent Naouri)

Chouette découverte là encore... j'avais dû l'écouter il y a longtemps, mais plus aucun souvenir...

Robert Schumann - Quintet pour piano et cordes, op. 44

Alexander Melnikov - Piano
Jerusalem Quartet - Ensemble de chambre

Etonnant second mouvement, cadencé de silences

Frédéric Chopin - Ballade No.4 in F minor Op.52

Nikolai Lugansky

Felix Mendelssohn - Concerto pour violon , op. 64

Renaud Capuçon
Mahler Chamber Orchestra - Daniel Harding






Ce soir, ma préférence va au quintet de Schumann Bonne nuit à tous

Le Duo Crommelynck qui me bouleverse tant à chaque écoute.

Les 7 Solos de Dusapin sont des oeuvres symphoniques composées de 1992 à 2009, d'une durée de 8 à 19 minutes. L'ensemble fait 90 minutes. Il s'agit, selon les propos de Dusapin, d'un Cycle des 7 formes. Les notes du livret (du compositeur) me semblent un peu fumeuses (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?)

La musique par contre est passionnante. Pour qui aime des oeuvres telles que les 3 Essays for Orchestra de Barber, voici un cycle orchestral contemporain à la sonorité très moderne.

Alexandre Tansman
Oeuvres pour orchestre vol.4
* Symphonies de chambre
Orchestra della Svizzera Italiana
Oleg Caetani



Quelques similitudes avec Chostakovitch, le tragique en moins.
Un compositeur que j'affectionne beaucoup surtout.

René Koering : Sonate pour piano        1974 / Levinas

Edison Denisov : Le Soleil des Incas pour soprano et ensemble        1964 / Zagorinskaïa, The Moscow Contemporary Ensemble
 +

Robert Schumann - Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur op 129 - Edgar Moreau/Orchestre Philharmonique de Radio France_Mikko Franck (23/09/2016 Grande Salle de la Philharmonie)

Rossini : Ermione (Alberto Zedda - Orchestre de l'Opéra de Lyon, 2016 : Angela Meade, Ève-Maud Hubeaux, Michael Spyres, Dmitri Korchak, Patrick Bolleire, Enea Scala, Rocio Perez, Josefine Göhmann, André Gass)

Assez vertigineux tout de même ce qu'ils font... après ça reste beaucoup de gymnastique pour pas beaucoup d'émotions je trouve... mais quelle gymnastique!!

Berg:Concerto de chambre (Boulez Decca)
Berg:Altenberg Lieder (Abbado)
Berg:3 Pièces pour orchestre (Abbado)

Ce type est un génie...

Johannes Brahms
The Complete Variations
Garrick Ohlsson, piano



Pour piano solo, n'inclut pas les Variations sur un thème de Haydn.

Après la glotte musclée et démonstrative, la glotte musclée mais plus sombre et nuancée...


Rachmaninov : Mélodies (Dmitri Hvorostovsky, Ivari Ilja, 2011)

(ça a une résonance toute particulière en ce moment vu ses soucis de santé )
Mais que c'est beau et triste la mélodie chez Rachmaninov... encore plus que Tchaikovsky. Moins sombre et tourmenté que Moussorgksy par contre.
Et quel belle partie pour le piano en général!

Mahler, symphonie 7, Giuseppe Sinopoli / Philarmonia Orchestra

Ravélavélo a écrit:

Alexandre Tansman
Oeuvres pour orchestre vol.4
* Symphonies de chambre
Orchestra della Svizzera Italiana
Oleg Caetani



Quelques similitudes avec Chostakovitch, le tragique en moins.
Un compositeur que j'affectionne beaucoup surtout.

Immense compositeur sous-estimé, ses quatuors à cordes sont indispensables !

ovni231 a écrit:

Immense compositeur sous-estimé, ses quatuors à cordes sont indispensables !

Il conserve une pureté enfantine,
je l'affectionne particulièrement pour son recueil au piano: Mireille et les animaux.

The Nights of the glotte...






Au programme ce soir :   W. Walton - G. Finzi - J. Dowland - J. Blow - W. Byrd

Edison Denisov : Sur la nappe d'un étang glacé pour neuf instruments et bande magnétique        1991 / The Moscow Contemporary Music Ensemble

Edison Denisov : Symphonie de chambre n°2 pour orchestre de chambre        1994 / The Moscow Contemporary Music Ensemble
 +

André a écrit:

Les 7 Solos de Dusapin sont des oeuvres symphoniques composées de 1992 à 2009, d'une durée de 8 à 19 minutes. L'ensemble fait 90 minutes. Il s'agit, selon les propos de Dusapin, d'un Cycle des 7 formes. Les notes du livret (du compositeur) me semblent un peu fumeuses (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?)

La musique par contre est passionnante. Pour qui aime des oeuvres telles que les 3 Essays for Orchestra de Barber, voici un cycle orchestral contemporain à la sonorité très moderne.

Une autre version de ces solos pour les N°2 et N°3 et la melancholia ("opératorio" pour voix solistes, choeur, cuivres, orchestre et bande) (que j'aime moins autant que les solos pour orchestre (mais car je suis pas très opératoriophile))

Pascal Dusapin (1955)
Extenso
Apex
La melancholia

orchestre national de lyon
emmanuel krivine
david robertson
le tout sans majuscules ainsi le veut la pochette, avec sans doute une photo de Dusapin par Dusapin mais le macaron de ma bibliothèque préférée brouille un peu les pistes

P. I. Tchaïkovski
Le Lac des Cygnes + Casse-Noisette (Suites)
Orchestre Philharmonique de Leningrad
Boris Tolstav

Richard Cassily - Janet Baker - Gerald English - Benjamin Luxon - Elizabeth Bainbridge - Richard Van Allan - Malcolm Rivers - Robert Lloyd


1) William Walton (1902-1983) :

Troilus and Cressida, opéra en trois actes

Troilus : Richard Cassily, ténor
Cressida : Janet Baker, mezzo-soprano
Pandarus : Gerald English, ténor bouffe
Diomede : Benjamin Luxon, baryton
Evadne : Elizabeth Bainbridge, mezzo-soprano
Calkas : Richard Van Allan, baryton
Antenor : Malcolm Rivers, baryton
Horaste : Robert Lloyd, baryton

Lawrence Foster, Chœurs et Orchestre du Royal Opera House de Londres

(Emi, live novembre 1976)

Antonio Vivaldi
* Gloria
Kirkby/Nelson/Preston

Neil Jenkins


2) Gerald Finzi (1901-1956) :

A young's Man's Exhortation, dix mélodies

A young's Man's Exhortation - Ditty - Budmouth Dears - Her Temple - The Comet at Yell'ham - Shortening Days - The Sigh - Former Beauties - Transformations - The Dance continued

= Neil Jenkins, baryton ; Howard Ferguson, piano

(Lyrita, avril 1970)

Emma Kirkby


3) John Dowland (1563-1626) :

Awake, sweet love
Can she excuse my wrongs
Alle ye whom Love
Dear, if you change
Sorrow, stay!
Die not before thy day
Mourn! Mourn!
Woeful heart
Now cease, my wandering eyes
Behold a wonder here
The lowest trees
Me, me, and none but me
Farewell, too fair
Stay, Time
Shall I strive
Thou mighty God

= Emma Kirkby, soprano ; Anthony Rooley, luth, orpharion

(Virgin, septembre 1988)

xoph a écrit:

André a écrit:

Les 7 Solos de Dusapin sont des oeuvres symphoniques composées de 1992 à 2009, d'une durée de 8 à 19 minutes. L'ensemble fait 90 minutes. Il s'agit, selon les propos de Dusapin, d'un Cycle des 7 formes. Les notes du livret (du compositeur) me semblent un peu fumeuses (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?)

La musique par contre est passionnante. Pour qui aime des oeuvres telles que les 3 Essays for Orchestra de Barber, voici un cycle orchestral contemporain à la sonorité très moderne.

Une autre version de ces solos pour les N°2 et N°3 et la melancholia ("opératorio" pour voix solistes, choeur, cuivres, orchestre et bande) (que j'aime moins autant que les solos pour orchestre (mais car je suis pas très opératoriophile))

Pascal Dusapin (1955)
Extenso
Apex
La melancholia

orchestre national de lyon
emmanuel krivine
david robertson
le tout sans majuscules ainsi le veut la pochette, avec sans doute une photo de Dusapin par Dusapin mais le macaron de ma bibliothèque préférée brouille un peu les pistes

J'ai ce disque, c'est d'ailleurs ce qui m'a fait rechercher l'intégrale. En 2009 (année de cet enregistrement, Pascal Rophé était le dernier chef en date de l'OPL. Il a créé le Solo no 7 et a tenu à enregistrer le cycle, dont les parties avaient été créées par Rostropovich (1), Krivine (2 et 3), Plasson (4), Udo Zimmermann (un illustre inconnu, 5) et Rattle (6).

Mélomaniac a écrit:

Emma Kirkby

Une voix angélique.

Rosemary Joshua - Gerald Finley - Robin Blaze - Maria Cristina Kiehr - Christopher Josey - John Bowen - Jonathan Brown


4) John Blow (1649-1708) :

Venus and Adonis, masque pour le divertissement du roi

Vénus : Rosemary Joshua, soprano
Adonis : Gerald Finley, baryton
Cupidon, Grâce : Robin Blaze, contre-ténor
Bergère, Grâce : Maria Cristina Kiehr, soprano
Berger, Chasseur : Christopher Josey, contre-ténor
Berger : John Bowen, ténor
Berger, Grâce : Jonathan Brown, basse

Chœur de la Clare College Chapel, dir. Timothy Brown

René Jacobs, Orchestra of the Age of Enlightenment

(Harmonia Mundi, octobre 1998)

David James - Paul Elliott - Leigh Nixon - Paul Hillier


5) William Byrd (1543-1623) :

Messe à quatre voix

David James, contre-ténor
Paul Elliott, ténor
Leigh Nixon, ténor
Paul Hillier, baryton

(Emi, octobre 1983)

Berg:Concerto à la mémoire d'un ange (Mutter/Levine)
Haydn:Symphonie n°84 (Bernstein)

Musique française pour harpe
Fauré * Busser * Tournier * Saint-Saëns
Nicole Mastero, harpe
Étienne-Jack David, violon



Parmi les oeuvres écoutées:
Impromptu en ré bémol majeur op.86 de Fauré et Deux Fantaisies de Saint-Saëns: op. 95 & 124.

Karol Szymanowski - Lieder des verliebten Muezzin - Gertrud Ottenthal/Radio-Symphonie-Orchester Berlin_Guido Maria Guida

Hugo Wolf Quartett - Tristans langer Schatten : Wagner, Webern, Berg

Tomaso Giovanni Albinoni (1671-1751)
Concerti con Oboe
Op.7 > 3, 6, 9, 12
Op.9 > 2, 5, 8, 11
Paul Dombrecht (hautbois) / Il Fondamento
Fuga Libera 2008

"Albinoni est un merveilleux mélodiste, notamment dans ces concertos pour hautbois opus 7 et surtout opus 9"
Holliger in https://classik.forumactif.com/t746-albinoni#1075547

Franz Liszt - Hungarian Rhapsody No.2 in C sharp minor, S.244
Franz Liszt - Hungarian Rhapsody No.3 in B flat, S.244

Michele Campanella

¶ Pierné – L'An Mil – ON Lorraine, Mercier
¶ Pierné – Paysages franciscains – ON Lorraine, Mercier
¶ Pierné – L'An Mil – ON Lorraine, Mercier. bissé.

¶ Kantelinen – Lumikunigatar (ballet « La Reine des Neiges ») – chez Ondine, par un excellent chef
Pas la peine de perdre votre temps, ce n'est vraiment pas intéressant.

¶ Tchaïkovski – Snegourotchka – Moscou SO, Golovschin
¶ Dauvergne – Les Troqueurs – Amarillis
¶ Korngold – The Sea Hawk – Moscou SO, Stromberg
¶ Martinů – Concerto pour violoncelle n°1 – J. Moser, Radio Saarbrücken, Poppen

Quatre bijoux interprétés au plus haut niveau dans des interprétations très typées !

Richard Wagner - Prélude et mort d'Isolde

Daniele Gatti
Orchestre National de France






Johannes Brahms - Sextet n^o 1, op 18

Cello – Madeline Foley, Pablo Casals
Viola – Milton Katims, Milton Thomas
Violin – Alexander Schneider, Isaac Stern

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Korngold – The Sea Hawk – Moscou SO, Stromberg

Le "main thème" claironnant m'a fait un peu penser au climat altier et frondeur d'une vie de héros de l'ami Strauss.
De bonnes choses (quel métier!) même si je décroche un peu sur la durée...

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Martinu:Symphonie n°1 (Thomson)

Une petite merveille avec un final peut être un petit ton en dessous.

arnaud bellemontagne a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Korngold – The Sea Hawk – Moscou SO, Stromberg

Le "main thème" claironnant m'a fait un peu penser au climat altier et frondeur d'une vie de héros de l'ami Strauss.
De bonnes choses (quel métier!) même si je décroche un peu sur la durée...

Ce que je trouve le plus fascinant (outre le thème principal, exaltant et querelleur), c'est qu'il y a des ponts tout le temps ; on ne s'en rend pas compte en regardant le film, mais la musique ne cesse jamais, et c'est justement dans ces moments qu'on trouve des raffinements qui doivent davantage à la musique française, ou qu'aurait pu écrire Schreker !

Ensuite, forcément, une musique rhapsodique sans son support, on peut y trouver des baisses d'intérêt, mais globalement, quel massif formidable !

Quel ennui! Ce n'est pas ma période de la musique française que je préfère et ce sont ici des pièces d'inspiration populaire mais
les différentes pièces se ressemblent toutes et l'accompagnement genre flûtes à bec et musette m'ont fait tombé en léthargie (je sais : c'est la saison!).
Le concerto de noël de Corelli est par contre agréable mais reste une musique "d'ameublement".