Playlist (120)

shushu a écrit:

La Romantique de Mendelssohn

Je ne connaissais jusqu'ici que la Lobgesang, l'Écossaise, l'Italienne, la Réformation...

Enfin, avec ou sans Orchestra of the Enlightenments, Felix, c'est de saison: watch?v=akSu5dgy5Bo

Haendel : Water Music (Savall)

Benedictus a écrit:

shushu a écrit:

La Romantique de Mendelssohn

Je ne connaissais jusqu'ici que la Lobgesang, l'Écossaise, l'Italienne, la Réformation...

Enfin, avec ou sans Orchestra of the Enlightenments, Felix, c'est de saison: watch?v=akSu5dgy5Bo

C'est nouveau, ça vient de sortir pour les fêtes........

shushu a écrit:

Allez-y, bouleversez le hit-parade, faites valser les statistiques.

La Romantique de Mendelssohn en ce moment (Mackerras, Orchestre de l'Age des Loupiotes qui clignotent, ça va bien avec la saison).

Et après ça nous critique de fausser les stats avec des compositeurs rares, tout en citant des symphonies qui n'existent pas.

Mackerras n'a fait que la 4 avec cet orchestre (ni avec aucun autre, j'ai l'impression). Pas particulièrement nerveux, mais d'assez belles couleurs – les traversos sont superbes dans le saltarello qui les pousse au bord du gouffre ! (ce mouvement m'a toujours plus évoqué la chasse que la danse…)

Hier, aujourd’hui, pour une connaissance plus approfondie :

FAURE :
Quatuor Quatuor Ebène
sonate n° 1 op 13 Barbizet - Ferras
sonate n° 2 op 108 Barbizet – Ferras
sonate n° 1 op 109 Hubeau - Tortelier
sonate n° 2 op 117 Hubeau - Tortelier
élégie op 24 Hubeau - Tortelier
« Dolly » pour piano à quatre mains Palmier - Rigal
impromptu n° 3 Florence Delaage
impromptu n° 5 Robert Casadesus
improvisation n° 5 Florence Delaage
barcarolle n° 5 Robert Casadesus
nocturne n° 7 Robert Casadesus
pavane Maurice Handford – Hallé Orchestra

Hummel a arrangé de nombreux concertos et symphonies de Mozart  pour violon, violoncelle, flûte et piano. Le résultat est surprenant de grâce et de luminosité.

Dvorak:Requiem (Ancerl)

Je découvre.

François Bousch : Au-delà du rêve pour trio d'anches et piano préparé        1976 / L'Itinéraire

François Bousch : Espace-Temps pour basson, bande magnétique et dispositif électronique        1981 / L'Itinéraire

François Bousch : Site et sable pour bande magnétique        1988 / -

Wagner: Siegfried/Rattle-Bechtolf

Moussorgski : Khovanshchina (Kaykin 74)

Varèse: Arcana/Nelsons (vidéo Berlin 2016)

Ces derniers jours :

¶ Lalo : 3 Trios, Quintette, Sonate avec violon
¶ Chaminade : Trio
¶ Saint-Saëns : 2 quatuors avec piano
¶ Dubois : 2 Trios, Quintette avec hautbois et piano, Quatuor à cordes, Quatuor avec piano
¶ Widor : Trio, Quintette, Quatuor avec piano (bien meilleur), 2 Sonates avec violon
¶ Chausson : Trio
¶ d'Indy : Quatuor avec piano, Sonate avec violon
¶ R. Strauss : Quatuor avec piano
¶ Ladmirault : Trio

Et aussi :

¶ Dupont : mélodies, Peintre / Girod.

Prokofiev:Concerto pour violon n°1 (Bell/Dutoit)
Prokofiev:Concerto pour violon n°2 (Bell/Dutoit)
Sibelius:Symphonie n°6 (Karajan)
Sibelius:Tapiola (Karajan)

Brahms:Un requiem allemand (Giulini)

Habité.

Profitant d'un bref retour sur l'ordi :

Les Scarlatti de Fou T'song, Maria Grinberg, Clara Haskil, Robert Casadesus ...

Les Nocturnes de Fauré par Sofia Puche.

De très belles écoutes, bien sûr.

Bruckner:Symphonie n°9 (Giulini)

C'est grand et beau au delà de tout.

La plus belle symphonie inachevée ?

Jean Barraqué : Concerto pour six groupes instrumentaux, vibraphone et clarinette        1962-68 / Ensemble 2e2m (Méfano), Lerner
 +

Jacques-Martin Hotterre (1674-1763)
Georg Philipp Telemann (1681-1767)

Il Giardino Armonico / Giovanni Antonini (dir., flûte et chalumeau) / Tindaro Capuano (chalumeau)

(bien que ce soit plutôt les dieux de l'eau et du vent qui seraient à convoquer, pour le souffle et la fluidité de toute beauté)
Nota: diapason d'or ce mois

Jean Barraqué : Le temps restitué pour soprano, chœur et orchestre        1968 / Bartelloni, Groupe Vocal de France, Ensemble 2e2m (Méfano)
 +
Philippe Manoury : Ring pour orchestre        2016 / Roth

arnaud bellemontagne a écrit:

Brahms:Un requiem allemand (Giulini)

Habité.

J'avais cru lire "hébété"

..............................................................................

De Sofia Gubaidulina: Concordanza, Detto II, The Deceitful Face of Hope and Despair, et Introïtus.

J'aimerais bien trouver Offertorium, préférablement pas la version DG (le couplage ne m'intéresse pas).

le couplage comme le couple d’interprètes de la version Live Classics sont autrement réjouissants.

Oui, je sais. Ça fait un bout que j'essaie de trouver cette version Kagan à un prix raisonnable. Je ne désespère pas. Couplée avec Rejoice!

Jérôme Combier : Essere fumo pour flûte, alto et violoncelle        2005 / Ensemble Cairn

Jérôme Combier : Heurter la lumière encore pour guitare, percussions et piano        2005 / Ensemble Cairn
 +
Jérôme Combier : Feuilles des paupières pour flûte, clarinette, percussions et piano        2005 / Ensemble Cairn (Bourgogne)

Jérôme Combier : Bois sombre pour alto        2006 / Ensemble Cairn
 +
Jerôme Combier : Essere Neve pour clarinette, guitare et violoncelle        2005 / Ensemble Cairn

Jérôme Combier : Essere pietra pour guitare, percussions, piano, alto et violoncelle        2004 / Ensemble Cairn (Bourgogne)
 +
Jerôme Combier : Respirer l'ombre pour ensemble        2005 / Ensemble Cairn (Bourgogne)

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius:Symphonie n°6 (Karajan)
Sibelius:Tapiola (Karajan)

Je me suis écouté le double-cd DG cette nuit avant de dormir, c'était épique !

lucien a écrit:

le couplage comme le couple d’interprètes de la version Live Classics sont autrement réjouissants.

J'approuve !

Pascal Dusapin : Quatuor à cordes n°4        1997 / Quatuor Danel

René Koering : Quatuor à cordes n°2        1981 / Quatuor Danel

Une autre tournée des 7 solos pour orchestre de Dusapin.

Bruyant, surtout lorsqu'écoutés en séquence continue (peut-être pas l'idée du siècle, quoique le compositeur les décrive comme un cycle).

Strauss:La femme sans ombre Acte I (Bohm DG)

Il parait que Bohm pleurait en dirigeant les dernières mesures de cet acte.

Il n'est pas le seul.

Symphonie no 2.

Pascal Dusapin : Quatuor à cordes n°1        1983-92-96 / Quatuor Danel
 +
René Koering : Quatuor à cordes n°3        2001 / Quatuor Danel

Bruckner:Symphonie n°5 (Wand Berlin live)

Grandiose.

Laurent Cuniot : Cinq pièces pour Hamlet pour sept chanteurs, sept instrumentistes et dispositif électroacoustique        1987 / A Sei Voci, TM+ (Cuniot)

Laurent Cuniot : La Lice des Nuits pour grand orchestre        1989 / Tabachnik

Laurent Cuniot : L'Exil au miroir pour six voix d'hommes et dispositif électroacoustique        1984 / A Sei Voci

Mieczyslaw Weinberg : Concertino pour violon et orchestre à cordes Op. 42 (1948)
Symphonie No. 10 Op. 98 (1968)
Kremerata Baltica
Gidon Kremer, violin & Konzertmeister

Il n'y a pas la sécheresse et la rugosité obligatoire de l'ensemble de Barshaï, mais c'est une bien belle version, très esthétique !

Viktor Ekimovski : Kammervariationen pour treize musiciens        1974 / AMC Moscou (Vinogradov)
 +
Viktor Ekimovski : Cantabile Quartet pour quatuor à cordes        1977 / AMC Moscou (Vinogradov)
 +
Viktor Ekimovski : Mandala pour neuf musiciens        1983 / AMC Moscou (Vinogradov)

Viktor Ekimovski : Prélude et fugue pour orgue        1985 / Goloub
 +
Viktor Ekimovski : Dans la Constellation du Grand Chien pour trois flûtes et bande magnétique        1986 / AMC Moscou (Vinogradov)
 +
Viktor Ekimovski : Doppelkammerviarationen pour douze musiciens        1989 / AMC Moscou (Vinogradov)

Franz Schubert : Sonate n°14 pour piano        1823 / Wagner
 +

Strauss:La femme sans ombre Acte II (Bohm DG)

Quel engagement!  

Symphonie no 3 pour piano, orchestre et choeurs de Rued Langgaard.

La symphonie no 2 (1912-1914) m'était apparue proche de la deuxième symphonie et de l'Ouverture de concert de Szymanowski (1910). La 3ème (1916), avec son importante partie de piano obbligato m'apparaît cete fois proche de la 4ème du même Szymanowski (1932).

Comme on peut le voir, les dates de l'un s'entrecoupent avec celles de l'autre, chaque compositeur devançant son collègue de peu ou de beaucoup, selon le cas. Il est à noter que Busoni et son gigantesque concerto pour piano avec choeur date de 1904. Quoique e langage tonal et harmonique soit remarquablement semblable dans tous les cas, chacune de ces compositions a son caractère et son intérêt propre.

Procédant à rebours, j'écoute maintenant la monumentale symphonie no 1 (64 minutes), le premier grand essai symphonique de Langgaard.

André a écrit:

Procédant à rebours, j'écoute maintenant la monumentale symphonie no 1 (64 minutes), le premier grand essai symphonique de Langgaard.

... Et un coup de maître! Cela dit, dans mon souvenir, l'intégrale de Dausgaard (avec un orchestre un peu terne et des tempi plutôt modérés) ne rend pas vraiment justice à sa luxuriance et à ses climats exacerbés - je ne l'écoute plus que par Segerstam (Chandos), autrement expansif...

À mon sens, c'est aux elliptiques et proto-minimalistes 10, 11 et 12 que la manière un peu grise de cette intégrale convient le mieux. (Pour mes préférées, les géniales 4, 5 et 6, je préfère Neeme Järvi, lui aussi chez Chandos.)

Langgaard: j'ai commencé par des symphonies tardives (10 et 14), puis Insektarium (piano) et Antikrist (oratorio). Puis j'ai accédé à la Musique des sphères, les 3 premières symphonies, et finalement l'intégrale. C'est comme l'éducation sexuelle: faut laisser à chacun son propre cheminement et on finit par se faire une idée de ce qui nous plaît   .

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner:Symphonie n°5 (Wand Berlin live)
Grandiose.

Si tu parles bien du live de 1991 avec le Radio-Symphonie-Orchester Berlin, paru chez Hänssler, je ne puis qu'approuver: c'est une des versions les plus intenses que je connaisse (avec des cuivres au bord de la crise de nerfs) - très éloigné des versions plus confortables avec les Philharmoniker.

André a écrit:

Langgaard: [...] Puis j'ai accédé à la Musique des sphères

Ça, en revanche...
(Oui, Vino, même par le Père Noël...)

Domingo en difficulté dès son air d'entrée. Ça n'augure pas très bien. Millo a une bonne voix, mais pas le volume pour la faire passer par-dessus l'orchestre. J'ai entendu une retransmission du Met en direct avec cette même distribution, il y a de cela des lunes. Je croyais que le passage du temps avait mis un baume sur des souvenirs un peu douloureux. Pas vraiment. Comme il arrive souvent, ce sont les voix graves qui sauvent cette Aïda. Et Levine, que je ne me rappelais pas si agissant.

Wagner: Parsifal, acte 1/Blu-Ray Barenboïm-Tcherniakov

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Bruckner:Symphonie n°5 (Wand Berlin live)
Grandiose.

Si tu parles bien du live de 1991 avec le Radio-Symphonie-Orchester Berlin, paru chez Hänssler, je ne puis qu'approuver: c'est une des versions les plus intenses que je connaisse (avec des cuivres au bord de la crise de nerfs) - très éloigné des versions plus confortables avec les Philharmoniker.

Non, c'est le live de 96 avec les Philarmoniker et une prise de son RCA pour le moins flatteuse.

Je ne connais pas la version Hanssler dont tu parles.

Bruckner:Symphonie n°4 (Celibidache)

Wagner: Parsifal, acte 2/Blu-Ray Barenboïm-Tcherniakov

Jerôme Combier : Dawnlight pour flûte, piano, violon, violoncelle et électronique        2015 / Ensemble Cairn
 +
Jerôme Combier : Noir gris pour trio à cordes        2007 / Ensemble Cairn

Jerôme Combier : Dog eat dog pour violoncelle et guitare        2014 / Ensemble Cairn

Jerôme Combier : Terra d'ombra pour piano, harpe et violoncelle        2012-15 / Ensemble Cairn

Jerôme Combier : Gone pour clarinette, piano, trio à cordes et électronique        2010 / Ensemble Cairn
 +

Bruckner : Symphonie n°4 "Romantique" (Böhm)

Benedictus a écrit:

André a écrit:

Langgaard: [...] Puis j'ai accédé à la Musique des sphères

Ça, en revanche...
(Oui, Vino, même par le Père Noël...)

Rho tu sais, la seule oeuvre qui me touche de Langgaard, c'est bien sa sixième symphonie (par papa Järvi !). Autrement, sa première symphonie est un véritable coup de génie technique, le compositeur n'avait que 18 ans...

Strauss:La femme sans ombre Acte 3 (Bohm DG)

Je le classe avec Tristan et le Ring parmi les grands live de Bohm celui-là.  

Edit: Par contre la coupure du sprechgesang de l'impératrice c'est vraiment pas top.