Playlist (125)

Tannhäuser à certes des faiblesses (la procession de l'acte 2), mais aussi tant et tant d'atouts (l'ouverture absolument grandiose, le rôle-titre admirable d'intensité et de lyrisme, les sublimes apartés solitaires de Wolfram, ces moments suspendus et mystiques de l'acte 2 proches de l'oratorio)...
Je trouve une plus grande variété de climats (qui frise parfois le bigarrure et le patchwork) dans Tannhäuser que dans Lohengrin. Ce dernier est plus homogène d'un point de vue qualitatif, mais les grands moments de Tannhäuser me semblent plus marquants.

Plus mélodiques et emportés, clairement.

Ensuite, c'est purement personnel, dans Tannhäuser je ne suis surtout intéressé que par Wolfram (à peu près tout ce qu'il fait, à commencer par sa courte intervention au I, « Gegrüßt sei du, du kühner Sänger »).
J'aime bien le Venusberg, l'entrée d'Elisabeth, le Concours, le Récit de Rome, mais j'y reviens finalement peu souvent.

Alors que dans Lohengrin, tous les chœurs sont des moments de grâce indescriptibles, et il y a plusieurs beaux récitatifs (arrivée au I), ensembles (le trio du début du II, le concertato de la fin du II), et même de beaux airs. J'y trouve moins de discontinuité, de simple lyrisme.

Mais indiscutablement, ce que tu dis est vrai aussi.

¶ Hausegger – Aufklänge – Symphonistes de Bamberg, Hermus

¶ Hausegger – Dionysische Fantasie – Symphonistes de Bamberg, Hermus

¶ Hausegger – Wieland der Schmiedt – Symphonistes de Bamberg, Hermus

¶ Atterberg – Symphonie n°9 – Philharmonique de la Radio de Hanovre, Rasilainen

¶ Atterberg – Älven (le Fleuve) – Philharmonique de la Radio de Hanovre, Rasilainen
Même esprit que l'Alpestre, mais sans l'épate. Vraiment magnifique.

¶ Isang Yun – Concerto pour hautbois (et hautbois d'amour) – version Holliger

¶ Isang Yun – Concerto pour hautbois (et hautbois d'amour) – vidéo d'un orchestre coréen

¶ Isang Yun – Trio avec piano
Je n'ai pas l'impression que ce soit le même que celui avec hautbois gravé par l'Aulos Trio (et disponible dans deux couplages différents, donc l'un avec le superbe trio de Georg Katzer). Ou alors ça sonne vraiment, vraiment moins bien avec violon ! (ça fait des années que je n'ai pas réécouté, je ne trouve plus mon disque)

¶ Isang Yun – Symphonie n°1 – bande de la création au Concertgebouw
Très opaque formellement pour moi : des sons qui évoluent (certes des timbres superbes vu l'orchestre), pendant 45 minutes, c'est un peu trop pour moi.

Rav-phaël a écrit:

hehe, tu dois te douter un peu de qui je tiens ce choix d'interprètes

J'avais supposé de l'excellence naturelle de ton goût, mais l'autre hypothèse me convient aussi.

Citation :

D'ailleurs, je me suis endormi hier soir avec les mêmes dans l'Opus 135 de Beethoven ...

Le répertoire beethovenien est un peu plus encombré, mais on est sensiblement sur les mêmes cîmes ! Même dans les quatuors de jeunesse, la robustesse du son ne pose aucune difficulté devant la finesse de la lecture.

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Isang Yun – Trio avec piano
Je n'ai pas l'impression que ce soit le même que celui avec hautbois gravé par l'Aulos Trio (et disponible dans deux couplages différents, donc l'un avec le superbe trio de Georg Katzer). Ou alors ça sonne vraiment, vraiment moins bien avec violon !  (ça fait des années que je n'ai pas réécouté, je ne trouve plus mon disque)

le Aulos est une sonate pour hautbois, alto/violoncelle et harpe (joué au piano), donc non, rien à voir (le double en durée, déjà).
c’est plutôt le Katzer qui est disponible dans deux couplages différents dont un avec Yun, non ?

Jean-Claude Éloy (1938–) : Yo-In pour électroacoustique et percussions (1980)
Michael W. Ranta, personnage-percussioniste
Jean-Claude Éloy, projection sonore électroacoustique

Brahms : Quintette n°2 (Takacs)

Richard Wagner
Der Ring-An orchestral adventure
Arrangement de Henk de Vlieger

Netherlands Radio Philarmonic Orchestra & Edo de Waart

Label Challenge

J'aime bien. Quel est le degré de l' "arrangement" de HdV? Si un wagnérien passe par ici...

On ne cautionne pas de telles pratiques

charles.ogier a écrit:

Richard Wagner
Der Ring-An orchestral adventure
Arrangement de Henk de Vlieger

Netherlands Radio Philarmonic Orchestra & Edo de Waart

Label Challenge

J'aime bien. Quel est le degré de l' "arrangement" de HdV? Si un wagnérien passe par ici...

Il intègre un peu plus les différentes pièces. Mais globalement, c'est du Wagner, simplement un brin apprêté pour pouvoir être joué en concert de façon un peu plus cohérence. Sa part est plus intéressante dans sa Suite d'Isolde, où le travail de sélection et d'enchaînement est un peu plus poussé (et ça fonctionne mieux que les moments de bravoure du Ring mis bout à bout).

Après, on est quand même loin du frisson wagnérien authentique qu'on a en suivant le déroulement de l'ensemble de sa, évidemment.

Pour écouter du Wagner purement instrumental, je recommande les arrangements de Gergely Matuz (sur YouTube) pour septuor (cinq cordes, deux flûtes). Il fait le I de Tristan, le II et le III du Crépuscule, et il joue toute la musique orchestrale (en incluant quelques lignes vocales). Là, même sans le drame, même sans les masses orchestrales, on sent autrement s'épanouir la logique musicale de Wagner !

Vinko Globokar (1934–) :
— Eisenberg pour 16 instruments (1990)
University of Illinois New Music Ensemble (Vinko Globokar)
— Airs de voyages vers l’intérieur pour 8 chanteurs, clarinette et trombone (1972)
Nada Žgur, Darija Hreljanović, Sabira Hajdarović, Marinka Strenar, Mladen Katanić, Josip Derniković, Tomaž Faganel, Jože Fürst
Michel Portal, Vinko Globokar
— Labour pour orchestre symphonique (1992)
Simfonični orkester RTV Slovenija (Vinko Globokar)

Caspar David Friedrich (1774-1840) -Zwei Männer in Betrachtung des Mondes, huile sur toile (détail)

Les Nuits du lied et de la mélodie...




Au programme ce soir :     H. Berlioz – E. Granados – G. Mahler – R. Wagner – C. Debussy – P. Boulez

Cololi a écrit:

On ne cautionne pas de telles pratiques

Reçu 5/5!
mais, bon... "repartir" dans un peu plus de 13 heures de musique en suivant avec le livret se planifie, et c'est l'été.
et puis j'avoue: j'évite les longueurs de Siegfried

DavidLeMarrec a écrit:

charles.ogier a écrit:

Richard Wagner
Der Ring-An orchestral adventure
Arrangement de Henk de Vlieger

Netherlands Radio Philarmonic Orchestra & Edo de Waart

Label Challenge

J'aime bien. Quel est le degré de l' "arrangement" de HdV? Si un wagnérien passe par ici...

Il intègre un peu plus les différentes pièces. Mais globalement, c'est du Wagner, simplement un brin apprêté pour pouvoir être joué en concert de façon un peu plus cohérence. Sa part est plus intéressante dans sa Suite d'Isolde, où le travail de sélection et d'enchaînement est un peu plus poussé (et ça fonctionne mieux que les moments de bravoure du Ring mis bout à bout).

Après, on est quand même loin du frisson wagnérien authentique qu'on a en suivant le déroulement de l'ensemble de sa, évidemment.

Pour écouter du Wagner purement instrumental, je recommande les arrangements de Gergely Matuz (sur YouTube) pour septuor (cinq cordes, deux flûtes). Il fait le I de Tristan, le II et le III du Crépuscule, et il joue toute la musique orchestrale (en incluant quelques lignes vocales). Là, même sans le drame, même sans les masses orchestrales, on sent autrement s'épanouir la logique musicale de Wagner !

Pour écouter du Wagner purement instrumental
et c'est ce que je recherche, car je suis trop absorbé par le suivi avec livret, ce dernier finissant par prendre le dessus. Il faut savoir oublier le théâtre!

je recommande les arrangements de Gergely Matuz (sur YouTube)
Merci bien. C'est pour demain

charles.ogier a écrit:

Cololi a écrit:

On ne cautionne pas de telles pratiques

Reçu 5/5!
mais, bon... "repartir" dans un peu plus de 13 heures de musique en suivant avec le livret se planifie, et c'est l'été.
et puis j'avoue: j'évite les longueurs de Siegfried

C'était plus pour taquiner qu'autre chose Oui, ça demande un peu d'investissement, Wagner est à ce prix là (mais ce n'est pas cher payé vu les œuvres).
Siegfried il faut l'apprivoiser, voilà tout, et les longueurs disparaitront.

1) Hector Berlioz (1803-1869) :

Les Nuits d'été, mélodies Op. 7

Villanelle - Le Spectre de la Rose - Sur les lagunes - Absence - Au cimetière - L'Île inconnue

= Janet Baker, mezzo-soprano ; John Barbirolli, New Philharmonia Orchestra

(Emi, août 1967)

Dans quelques jours il fêtera son cinquantième anniversaire, ce légendaire enregistrement des Nuits  

Jean-Claude Éloy (1938–) :
— Étude IV : points-lignes-paysages, œuvre réalisée sur l’UPIC de Xenakis (1979)
— ...d’une étoile oubliée, partie électroacoustique seule de Sappho hikètis (1986)
— La Grande Vague... (hommage à Hokusai), partie électroacoustique seule de She (1991)

2) Enrique Granados (1867-1916) :

Canciones amatorias

Descúbrase el pensamiento de mi secreto cuidado
Mañanica era
Llorad, Corazón, que tenéis razón
Mira que soy niña, ¡amor, déjame!
No lloréis ojuelos
Iban al pinar
Gracia mía

= Montserrat Caballé, soprano ; Rafael Ferrer, Orchestre symphonique

(RCA, janvier 1964)

Un des tout premiers disques de « La Superba », qui venait de souffler ses trente bougies,
et déjà à l'époque elle disposait des poumons qui permettent de les éteindre d'un souffle

3) Gustav Mahler (1860-1911) :

Des Knaben Wunderhorn

Wo die schönen Trompeten blasen
Der Schildwache Nachtlied
Der Tambourg'sell
Rheinlegendchen
Lob des hohen Verstandes
Trost im Unglück
Das irdische Leben
Des Antonius von Padua Fischpredigt
Verlorne Müh'
Lied des Verfolgten im Turm
Wer hat dies Liedlein erdacht ?
Revelge

= Dietrich Fischer-Dieskau, baryton ; Daniel Barenboim, Orchestre philharmonique de Berlin

(Sony, avril 1989)

Un recueil dont DFD laissa plusieurs enregistrements (avec Bernstein au piano, avec Schwarzkopf et Szell à Londres...)
Chantant en solo, le baryton se charge ici de tous les lieder (sauf Urlicht).
Le souffle n'est plus celui des jeunes années, du fait, les héroïsmes de Revelge ou Lied des Verfolgten im Turm se trouvent émoussés.
En tout cas, les nuances, l'intelligence du texte, le pouvoir d'évocation restent intacts, d'autant que Barenboim se montre un accompagnateur attentif,
tirant de l'orchestre allemand des sonorités franches et nettes, mais dont les dégradés épousent finement les inflexions de la vénérable voix.

Szymanowski: Concerto pour violon n°1/Eschkenazy, Elder

André Boucourechliev (1925–1997) :
— Thrène pour bande magnétique (1974)
Roland Barthes, Valérie Brière
Chœur de l’ORTF
— Texte I pour bande magnétique (1958)
— Texte II pour bande magnétique (1959)
— Concerto pour piano (1975)
Claude Helffer
Orchestre National de France (Ivo Malec)

Schmidt: Symphonie n°1/N.Järvi

4) Pierre Boulez (1925-2016) :

Le Marteau sans Maître, pour contralto et six instruments

= Elizabeth Laurence, mezzo-soprano ; Pierre Boulez, Ensemble Intercontemporain

(CBS, mars 1985)

Une petite pause m'a donné idée de réagencer mon programme d'après entracte.
Car terminer avec du Boulez juste avant la nuit, y a risque de cauchemar, non ?  
Quoiqu'avec la cantatrice que j'ai choisie pour Wagner, ce ne sera pas de tout repos non plus  
Bon beh c'est parti pour découvrir ce célèbre Marteau, que je n'ai jamais entendu  
Au moins ça me permettra d'y comprendre quelque chose dans les salons privés du Forum : eh oui, il s'agit ici d'une écoute sous influence, -ça ne me serait pas venu à l'esprit d'intégrer spontanément Boulez dans un programme consacré au Lied  

5) Claude Debussy (1862-1918) :

Chansons de Bilitis

La Flûte de Pan - La Chevelure - Le Tombeau des Naïades

= Frederica von Stade, mezzo-soprano ; Martin Katz, piano

(CBS, décembre 1977)

Cette version avait été écartée au second tour de l'écoute comparative animée par Xavier, l'automne dernier.
Effectivement, c'est agréablement chanté, sans plus.

6) Richard Wagner (1813-1883) :

Wesendonck-Lieder

Der Engel - Stehe still - Im Treibhaus - Schmerzen - Träume

= Marylin Horne, mezzo-soprano ; Henry Lewis, Royal Philharmonic Orchestra

(Decca, juillet 1969)

Mossolov: Nocturnes opus 15/Andryushchenko

+

Mossolov: 3 petites pièces et danses opus 23/Andryushchenko

+

Mossolov: Nocturnes opus 15/Henck

+

Brahms : Symphonie n°4 (Haitink)

Vraiment une œuvre admirable (quelle maîtrise!).

Schoenberg : Symphonie de Chambre n°1 (Boulez)

cf. compositeur précédent avec une polyphonie encore plus retorse.

Wagner : Parsifal (Kna / Hotter / Thomas / Dalis / London / Neidlinger / Talvela)

Jean-Claude Éloy (1938–) :
— Butsumyôe (Chants pour l’autre moitié du ciel I) pour deux voix avec percussions (1989)
— Sappho hikètis (Chants pour l’autre moitié du ciel II) pour deux voix avec percussions et électroacoustique (1989)
Yumi Nara, Fatima Miranda
Jean-Claude Éloy

Bernd Alois Zimmermann (1918–1970) :
— Présence, ballet blanc en cinq scènes pour violon, violoncelle et piano (1961)
— Intercomunicazione per violoncello e pianoforte (1967)
Saschko Gawriloff, violon
Siegfried Palm, violoncelle
Aloys Kontarsky, piano



voilà un disque essentiel à coté duquel j’étais passé...

Mauricio Kagel (1931–2008) :
— Match für 3 Spieler (1964)
Siegfried Palm et Klaus Storck, violoncelles
Christoph Caskel, percussion
— Musik für Renaissance-Instrumente (1965/66)
Collegium Instrumentalis (Mauricio Kagel)

¶ Verdi – Aida – Met 63, Solti (Price, Gorr, Bergonzi, Sereni, Siepi)
Il n'y a pas mieux comme version. Je regarde aussi la partition, et il y a plein de jolies choses qui passent inaperçues… notamment des hommages au Ring (des solos de timbale pour l'Annonce de la mort de Radamès !).

¶ Gade – Symphonie n°3 – Aichi ChbO, Yuri Nitta
Symphonie danoise, orchestre japonais, chef russo-japonais. Faudra pas s'étonner si ça ressemble à rien.
¶ Gade – Symphonie n°8 – National du Danemark, Hogwood
Au moins, avec Gade, on est tranquille, on ne risque pas un surcroît dangereux d'exaltation. Qu'est-ce que c'est mesuré, comme toujours ! (Et puis écrire du pré-Mendelssohn en 1871, c'est un exploit aussi.)

lucien a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

¶ Isang Yun – Trio avec piano
Je n'ai pas l'impression que ce soit le même que celui avec hautbois gravé par l'Aulos Trio (et disponible dans deux couplages différents, donc l'un avec le superbe trio de Georg Katzer). Ou alors ça sonne vraiment, vraiment moins bien avec violon !  (ça fait des années que je n'ai pas réécouté, je ne trouve plus mon disque)

le Aulos est une sonate pour hautbois, alto/violoncelle et harpe (joué au piano), donc non, rien à voir (le double en durée, déjà).
c’est plutôt le Katzer qui est disponible dans deux couplages différents dont un avec Yun, non ?

Possible, je ne l'ai plus sous la main. Le Yun était le moins marquant du couplage, en plus.

JS Bach : Messe en si/Giulini + Philarmonia/live 1972 St Paul's Cathedral
BBC Legends BBCL 4062-2
(collection.....pour collectionneur, bandes radio BBC Radio 3)

agréable

Avant d'aborder les "grands" Wagner, un détour par Strauss.

Strauss : Salomé (Karajan)

Scintillant et décadent.

Ecrin idéal de Karajan pour Behrens.

Lukas Foss (1922–2009) : Paradigm pour percussionniste, guitare électrique et trois autres instruments (1968)
Jan Williams, Stephen Bell, Charels Haupt, Jerry Kirkbride, Marijke Verberne, George Ritscher
Lejaren Hiller (1924–1994) : Algorithms I, Version I pour ensemble (1968)
Lejaren Hiller : Algorithms I, Version IV pour ensemble (1968)
des gens (Lejaren Hiller)
Elliott Schwartz (1936–2016) : Signals pour trombone et contrebasse (1968)
James Fulkerson, Nicholas Molfese

¶ Je suis en train de finir mon intégrale Eugen d'Albert. Écouté toutes les versions de la Symphonie, et puis les trois concertos, les deux versions des quatuors, les ouvertures, la suite de Cendrillon, Tiefland bien sûr (Schmitz cette fois). Me restent quand même quelques opéras, mais j'arrive progressivement au bout de ce qu'on peut trouver (j'insiste parce que j'aime tout là-dedans !).

György Ligeti (1923–2006) : Quatuor à cordes nº2 (1967/68)
Earle Brown (1926–2002) : Quatuor à cordes (1965)
Wolf Rosenberg (1915–1996) : Quatuor à cordes nº3 (1960/61)
LaSalle Quartet

Witold Lutosławski (1913–1994) : Quatuor à cordes (1964)
Krzysztof Penderecki (1933–) : Quatuor à cordes nº1 (1960)
Toshiro Mayuzumi (1929–1997) : Prélude pour quatuor à cordes (1964)
LaSalle Quartet

Mauricio Kagel (1931–2008) : Phantasie für Orgel mit obbligati (1967)
Juan Allende-Blin (1928–) : Sonorités pour orgue (1962)
György Ligeti (1923–2006) : Volumina pour orgue (1961)
György Ligeti : Étude nº1 “Harmonies” pour orgue (1967)
Gerd Zacher



aïeaïeaïe

Chaya Czernowin (1957–) :
— The Quiet pour grand orchestre divisé en trois groupes (2010)
Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks (Brad Lubman)
— Zohar Iver pour ensemble et orchestre divisé en trois groupes (2011)
Ensemble Nikel
Berner Symphonieorchester (Mario Venzago)
— Esh pour orchestre avec contreténor (2012)
Kai Wessel
Philharmonisches Orchester des Staatsorchesters Cottbus (Evan Christ)
— White Wind Waiting pour guitare et orchestre (2013)
Stephan Schmidt
SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg (François-Xavier Roth)
— At the Fringe of our Gaze pour orchestre et ensemble (2012/13)
West-Eastern Divan Orchestra (Daniel Barenboim)

Bartók : Quatre pièces pour orchestre (Boulez Sony)
Bartók : Trois scènes de village (Boulez Sony)
Bartók : Le mandarin merveilleux (Boulez Sony)

Découverte des 2 premiers, et très bonne surprise, en revanche, toujours pas convaincu par le 3°

Naxos 8.572288 (enr. 2009)

Cololi a écrit:

Bartók : Quatre pièces pour orchestre (Boulez Sony)
Bartók : Trois scènes de village (Boulez Sony)
Bartók : Le mandarin merveilleux (Boulez Sony)

Découverte des 2 premiers, et très bonne surprise, en revanche, toujours pas convaincu par le 3°

En tout cas tu as là pour moi les meilleures versions de ces oeuvres.

Je suppose que tu connais déjà le Prince de bois et le Château de Barbe-Bleue? C'est assez proche des pièces opus 12. (mais en mieux)