Playlist (127)

Benedictus a écrit:

• Чайковский:

Евгений Владимиров (Князь Жемчужный), Тамара Милашкина (Наталья), Владимир Маторин (Молчан Митьков), Лариса Никитина (Боярыня Морозова), Лев Кузнецов (Андрей Морозов), Раиса Котова (Басманов), Олег Кленов (Князь Вязьминский), Нина Дербина (Захарьевна), Геннадий Проваторов / Симфонический Оркестр Центрального Телевидения И Всесоюзного Радио, Детский Хор, Большой Хор Центрального Телевидения И Всесоюзного Радио
1980
Aquarius

Bon je traduis :

Tchaikovsky : L'Oprichnik

Evgeny Vladimirov (Prince Zhemchuzhny), Tamara Milachkina (Natalya, sa fille), Vladimir Matorin (Molchan Mitkov, le fiancé de Natalya), Larissa Nikitina (Boyarinya Morozova, la veuve), Lev Kuznetsov (Andrei Morozov, son fils), Raissa Kotova (Basmanov, un jeune oprichnik), Oleg Klenov (Prince Vyazminsky), Nina Derbina (Zakharevna), Gennady Provatorov (chef d'orchestre) / Orchestre Symphonique de la Télévision et Radio Centrale de toute l'Union, chœur d'enfants, grand chœur de la Télévision et Radio Centrale de toute l'Union (en gros on peut traduire ça de manière beaucoup plus simple par l'Orchestre Symphonique et Chœur de la Radio de Moscow)
1980

C'est aussi simple que ça.

Trop fort!

D'autant que tu as même traduit des mots qui n'y étaient pas («sa fille», «le fiancé de Natalya», «un jeune oprichnik», «la veuve»...)

Par google translate
Evgeny Vladimirov (prince de Perle), Tamara Milachkina (Natalia), Vladimir Matorin (Molchan Mitkov), Larissa Nikitina (Boyaryryna Morozova), Lev Kuznetsov (Andrey Morozov), Raisa Kotova (Basmanov), Oleg Klenov (Prince Vyazminsky), Nina Derbina Zakharievna), Gennady Provatorov / Orchestre symphonique de la télévision centrale et de la radio communautaire, Chœur des enfants, Grand Chœur de la télévision centrale et de la radio communautaire
1980

ovni231 a écrit:

Benedictus a écrit:

• Чайковский:

Евгений Владимиров (Князь Жемчужный), Тамара Милашкина (Наталья), Владимир Маторин (Молчан Митьков), Лариса Никитина (Боярыня Морозова), Лев Кузнецов (Андрей Морозов), Раиса Котова (Басманов), Олег Кленов (Князь Вязьминский), Нина Дербина (Захарьевна), Геннадий Проваторов / Симфонический Оркестр Центрального Телевидения И Всесоюзного Радио, Детский Хор, Большой Хор Центрального Телевидения И Всесоюзного Радио
1980
Aquarius

Bon je traduis :

Tchaikovsky : L'Oprichnik

Evgeny Vladimirov (Prince Zhemchuzhny), Tamara Milachkina (Natalya, sa fille), Vladimir Matorin (Molchan Mitkov, le fiancé de Natalya), Larissa Nikitina (Boyarinya Morozova, la veuve), Lev Kuznetsov (Andrei Morozov, son fils), Raissa Kotova (Basmanov, un jeune oprichnik), Oleg Klenov (Prince Vyazminsky), Nina Derbina (Zakharevna), Gennady Provatorov (chef d'orchestre) / Orchestre Symphonique de la Télévision et Radio Centrale de toute l'Union, chœur d'enfants, grand chœur de la Télévision et Radio Centrale de toute l'Union (en gros on peut traduire ça de manière beaucoup plus simple par l'Orchestre Symphonique et Chœur de la Radio de Moscow)
1980

C'est aussi simple que ça.

Où l'on apprend donc que Bolchoï signifie "grand"

Et que depuis des années, l'on (enfin, je) parle donc de façon impropre du "Théâtre du Bolchoï", ce qui ne veut rien dire

Benedictus a écrit:

Si tu es sur Chrome, tu peux lancer une recherche d'image par Gougueule à partir d'un simple clic droit sur la photo.

www.russiancdshop.com/music.php?zobraz=details&id=30542

Alexandre Scriabine : Le Poème de l'Extase pour orchestre        1905-08 / Mariinsky Theatre (Gergiev)

Alexandre Scriabine : Prométhée : Le Poème de Feu pour piano, chœur et orchestre        1910 / Tordaze, Kirov Chorus, Kirov Orchestra (Gergiev)

Charles-Valentin Alkan : Douze études dans les tons mineurs op.39, Ronald Smith, piano.

On ne s'attend pas à en prendre pour près de deux heures de piano en lisant le titre "douze études" mais avec Alkan on ne fait pas dans la demi-mesure. Mais si c'est très (trop pour moi qui ne suis pas fan de ce genre de choses) virtuose, il y a quand même beaucoup de musique là-dedans, d'ailleurs j'ai tenu jusqu'au bout sans problème

Morton Feldman : Orchestra pour orchestre        1976 / WDR Sinfonieorchester Köln (Peter Rundel)

Morton Feldman : Elemental Procedures pour soprano, choeur mixte et orchestre        1976 / Barainsky, WDR Rundfunkchor Köln, WDR Sinfonieorchester Köln (Peter Rundel)

Morton Feldman : Routine Investigations pour six instrumentistes        1976 / WDR Sinfonieorchester Köln (Peter Rundel)

Jacqueline du Pre joue le concerto de Dvorak en Août 1968, concert dédié au peuple Tchèque

Tristan Murail : Tellur pour guitare        1977 / Andia
 +
Yoshihisa Taïra : Monodrame III pour guitare         1988 / Andia

Michèle Reverdy : Triade pour guitare        1986 / Andia

Philippe Drogoz : Prélude à la mise à mort pour guitare        1973 / Andia

Claude Ballif : Solfegietto n°6 pour guitare        1976 / Andia
 +

Mahler: symphonie n°2 « Résurrection » (C. Ludwig, B. Hendricks, The Westminster Choir, New York Philharmonic, Bernstein, live 1987). Je suis moins convaincu que pour la Première symphonie et régulièrement partagé entre enthousiasme et exaspération.  Comme à l'habitude avec Lenny, les tempi sont instables, mais cette souplesse qu'on peut juger légitime est doublée d'une tendance générale à la lenteur et cela jusqu'à l'alanguissement. À cet égard, l'Urlicht me semble hors propos. C'est dommage parce que cette lecture offre pourtant de très beaux moments .

Sergei Rachmaninov
Trio élégiaque N°2 en ré mineur Op.9 pour violoncelle, violon, piano.

Giedre Dirvanauskaite & Gidon Kremer & Daniil Trifonov

Label DGG

Saisissant d'émotion, surtout le 1er mouvement

Les petits rats de la Nuit...





Au programme ce soir :   E. Satie – C. Debussy – P. Hindemith – M. Theodorákis – I. Stravinsky

1) Erik Satie (1866-1925) :

Parade, ballet
Relâche, ballet

= Philippe Entremont, Royal Philharmonic Orchestra

(CBS, mai 1970)

Interprétation pas très connue (moins que Plasson, Auriacombe, Rosenthal, Dorati, Markevitch...)
mais excellente, et superbement enregistrée.

Spoiler:

ça grouille ici aussi.
Schnittke : Symphonie N°3.

Mouahahaha ! j'ai réussi un spoiler !
Pour le moment, premier mouvement.
J'adore le principe, et la transition !

2) Claude Debussy (1862-1918) :

La Boîte à joujoux, ballet en quatre tableaux

Le Sommeil de la boîte - La Maison des jouets - Le Champ de bataille - La Bergerie à vendre - Après Fortune faite - Épiloque

= André Cluytens, Orchestre National de la Radiodiffusion Française

(Columbia, avril 1954)

Une oeuvre que j'adore, dans une interprétation gorgée de saveurs idiomatiques.
Bref, c'est culte  

3) Paul Hindemith (1895-1963) :

Les Quatre Tempéraments, thème et variations

Tema - Melancolisch - Sanguinisch - Phlegmatisch - Cholerisch

= Samson François, piano ; Louis Auriacombe, Orchestre de chambre de Toulouse

(Pathé Marconi, mars 1958)

Ballet chorégraphié par George Balanchine, sur une musique qu'il avait commandée à Hindemith,
et qui évoque la théorie médiévale des humeurs.

tod a écrit:

Spoiler:

ça grouille ici aussi.
Schnittke : Symphonie N°3.

Mouahahaha ! j'ai réussi un spoiler !
Pour le moment, premier mouvement.
J'adore le principe, et la transition !

Il y a sûrement une mécanique là-dessous, dans cette Musine à forger des rails avec trois mesures de Mozart qui submergent comme des étincelles....
Je ne la connais pas, mais profite !
C'est un grand plaisir.

4) Míkis Theodorákis (1925-) :

Zorbas -suite de ballet (extraits)

= Charles Dutoit, Chœurs et Orchestre symphonique de Montréal

(Decca, octobre 2000)

 

5) Igor Stravinsky (1882-1971) :

Apollon Musagète, ballet en deux scènes

= Igor Stravinsky, Orchestre symphonique de la Columbia

(CBS, décembre 1964)

Mahler: symphonie n° 3 (C. Ludwig, New York Choral Artists, Brooklyn Boys Chorus, New York Philharmonic, Bernstein). C'est bien ! Remarquable premier mouvement. Mais ça s'alanguit à nouveau dans les second et troisième. Le final aussi est très lent, mais ça se défend mieux  ...

Eusèbe a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Josef Haydn
* Sonate en la bémol majeur Hob XVI/46
Catherine Collard (1992)

Étonnant Haydn !
Surtout pour le mouvement central joué avec grâce, d'une superbe lenteur métaphysique, abstraite et intemporelle.

Les trois disques Haydn de Collard sont absolument merveilleux. On a pu dire parfois que c'était un peu sage en comparaison de Richter, mais c'est surtout une approche d'une immense pudeur, d'une grande transparence et en même temps immensément chantante.  

Ton commentaire m'apporte des lumières radieuses:
j'ai entrevu les vidéos de Richter sans les avoir écoutées,
on s'en reparle bientôt,
pour comparer.

Alifie a écrit:

Alifie a toujours le sens du partage et de la générosité.

James Dillon : A Roaring Flame pour voix de femme et contrebasse         1981-82 / Kubler, Celea
 +
James Dillon : Agothan pour flûte        1984 / Daroux
 +
James Dillon : Evening Rain pour voix        1981 / Kubler

James Dillon : Crossing Over pour clarinette        1978 / Angster

James Dillon : Come live with me pour voix de femme et instruments        1981 / Kubler, Accroche-Note

Hugo Wolf - Goethe Lieder - Barbara Hannigan/Alexandre Tharaud

Mela Meierhans : A-a pour voix et percussions        2000 / Leon, Hauser

Mela Meierhans : Enigma pour voix, percussions et piano préparé         1999 / Leon, Gallati, Hausser
 +
Mela Meierhans : Triton pour piano        1989-90 / Gallati
 +
Mela Meierhans : Cordes Ouvertes II pour violon et électronique        1995-96 / Župková, Kolczynski

Anaxagore a écrit:

Mahler: symphonie n° 3 (C. Ludwig, New York Choral Artists, Brooklyn Boys Chorus, New York Philharmonic, Bernstein). C'est bien ! Remarquable premier mouvement. Mais ça s'alanguit à nouveau dans les second et troisième. Le final aussi est très lent, mais ça se défend mieux  ...

Un peu trop de maniérisme a mon goût dans le mouvement final. Dommage, parce que le reste est somptueux.

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Sibelius : Symphonie n°7 (Bernstein Vienne)

Là aussi quelques maniérismes mais rien de rédhibitoire.

Henry Cowell : Advertisement pour piano        1914-59 / Bessette
 +
Henry Cowell : Exultation pour piano        1919 / Bessette

Henry Cowell : Fabric pour piano        1917 / Bessette
 +
Henry Cowell : Tiger pour piano        1928 / Bessette

Gilles Tremblay : Traçante... auprès, au loin... pour piano        1976 / Bessette
 +
Micheline Coulombe Saint-Marcoux : Mandala II pour piano        1980 / Bessette
 +
Alain Gagnon : Jeux dans l'espace pour piano        1981 / Bessette

Isabelle Panneton : Traits - Écart - Réparties pour piano        1982-84 / Bessette
 +
John Cage : In a landscape pour piano        1948 / Bessette

Elliott Carter : Night Fantasies pour piano        1980 / Bessette

Anaxagore a écrit:

Mahler: symphonie n°2 « Résurrection » (C. Ludwig, B. Hendricks, The Westminster Choir, New York Philharmonic, Bernstein, live 1987). Je suis moins convaincu que pour la Première symphonie et régulièrement partagé entre enthousiasme et exaspération.  Comme à l'habitude avec Lenny, les tempi sont instables, mais cette souplesse qu'on peut juger légitime est doublée d'une tendance générale à la lenteur et cela jusqu'à l'alanguissement. À cet égard, l'Urlicht me semble hors propos. C'est dommage parce que cette lecture offre pourtant de très beaux moments .

Ah, je trouve que c'est une des toutes plus belles (top 5, disons). Certes, ça devient une cathédrale à la fin, mais ça fonctionne du tonnerre dans l'optique « sacrée ».

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°7 (Bernstein Vienne)

Là aussi quelques maniérismes mais rien de rédhibitoire.

Oui, pas du tout mon (semi-)cyle de chevet, mais qu'est-ce que c'est impressionnant tout de même !

Walter Zimmermann : Aimide pour piano        1987-2001-02 / Hodges
 
Walter Zimmerann : Blaupause pour piano         2003-04 / Hodges
 +
Walter Zimmermann : Blueprint pour piano        2004 / Hodges
 +
Walter Zimmermann : Romanska Bågar pour piano main gauche         2004 / Hodges

Walter Zimmermann : The Missing Nail at the River pour piano et toypiano        2003-04 / Hodges

Walter Zimmermann : Voces Abandonadas pour piano        2005-06 / Hodges
 +

arnaud bellemontagne a écrit:

Un peu trop de maniérisme a mon goût dans le mouvement final. Dommage, parce que le reste est somptueux.

C'est tout-à-fait ça . Mais le même maniérisme se retrouve dans les second et troisième mouvements, et ça me dérange un peu. J'ai toujours du mal avec la mélopée du Posthorn dans les deux trios que je trouve habituellement interminables. Dans cette version de Bernstein, je perds simplement toute patience .

DavidLeMarrec a écrit:

Ah, je trouve que c'est une des toutes plus belles (top 5, disons). Certes, ça devient une cathédrale à la fin, mais ça fonctionne du tonnerre dans l'optique « sacrée ».

J'aime en effet beaucoup le Final, qui fonctionne effectivement très bien. Le premier mouvement me satisfait aussi. Mon problème se situe plutôt dans les trois mouvements centraux, en particulier le second que je trouve presque insupportable de lenteur et de maniérisme . Mais ce n'est certes pas le cœur de l'ouvrage ...

DavidLeMarrec a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°7 (Bernstein Vienne)

Là aussi quelques maniérismes mais rien de rédhibitoire.

Oui, pas du tout mon (semi-)cyle de chevet, mais qu'est-ce que c'est impressionnant tout de même !

Pour le coup, et au risque d'être contradictoire, j'aime vraiment beaucoup le Sibelius, très ... personnel, de Bernstein .

Anaxagore a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

A propos de la symphonie n°2
Ah, je trouve que c'est une des toutes plus belles (top 5, disons). Certes, ça devient une cathédrale à la fin, mais ça fonctionne du tonnerre dans l'optique « sacrée ».

J'aime en effet beaucoup le Final, qui fonctionne effectivement très bien. Le premier mouvement me satisfait aussi. Mon problème se situe plutôt dans les trois mouvements centraux, en particulier le second que je trouve presque insupportable de lenteur et de maniérisme . Mais ce n'est certes pas le cœur de l'ouvrage ...

Oui, personnellement j'ai toujours considéré ce deuxième mouvement comme un sas de décompression qui permet de souffler un peu après le gigantesque "Totenfeier"... que Bernstein le dilate plus que de coutume ne me dérange pas plus que cela. Cela dit, et de façon plus globale, j'ai eu du mal au début à adhérer à son approche très alentie et liturgique. C'est devenu à présent ma version de chevet, tant elle semble portée par un souffle cosmique.

Oui, voilà : déviant peut-être, mais tellement intense tout le temps, peu importe finalement la conception ou tempo, ça fonctionne.

Franz Schubert - Prometheus  D 674/Gesänge des Harfners Op. 12/Harfenspieler I,II,III/Grenzen der Menschheit D 716/Wandrers Nachtlied Op.4 N°3 D 224
Hugo Wolf - Michelangelo Lieder/Prometheus/Gebet
Florian Boesch/Malcolm Martineau

Jonathan Harvey : Scena pour violon et ensemble        1992 / Layton, BBC Scottish SO (Volkov)

Jonathan Harvey : Jubilus pour alto et ensemble        2002 / Dickinson, BBC Scottish SO (Volkov)

Jonathan Harvey : Speakings pour grand orchestre et électronique        2007-08 / BBC Scottish SO (Volkov)
 +

Koechlin

Sonate pour piano et alto (Pesthy & Chou)
Sonate pour piano et violoncelle (Bruns & Ishay)
Vingt Chansons bretonnes (Bruns & Ishay)

Iannis Xenakis : Nomos Alpha pour violoncelle        1966 / Roy

Georges Aperghis : Quatre Récitations pour violoncelle        1980 / Roy
 +
Claude Ballif : Solfeggietto n°13 pour violoncelle        1985 / Roy

Iannis Xenakis : Kottos pour violoncelle        1977 / Roy

Mauricio Kagel : Siegfriedp' pour violoncelle        1971 / Roy
 +

Gluck: Armide (Delunsch, Workman, Naouri, Podles, chœur des Musiciens du Louvre, Les Musiciens du Louvre, Minkowski). Une très belle réalisation pour une partition plaisante .

Johann Jakob Froberger
Suite No. 2
Capriccio No. 4
Suite No. 19
Toccata No. 16
Fantasia No. 1

Blandine Verlet (clavecin)
Froberger ou l'intranquillité

Label Astrée

Frédéric Chopin : Fantaisie pour piano        1841 / Cortot

Quelle version - et quelle prise de son dégueulasse mais quelle intensité ! 

W. A. Mozart
* Concerto no.12 en La majeur K.414
Ingrid Andsnes, piano
Orchestre de la Radio Norvégienne
Kolbjørn Holthe


https://www.nrk.no/kork/bachtrack-on-demand---mozart_-piano-concerto-no-12-1.13483040

Jean Sibelius - En Saga op.9 (1892 / rev. 1901)
Philharmonia Orchestra, dir. Vladimir Ashkenazy

• Copland: Symphonie nº3:

Leonard Bernstein / New York Philharmonic
New York, II.1966
Sony

Pas mauvais, mais pas vraiment ma came. Disons qu’il y a quelques efforts ponctuels vers des choses qui pourraient me plaire (langage un peu complexe, expression un peu âpre ou extatique), mais que, dans les grandes lignes ça reste trop simple et trop «positif» pour me toucher vraiment.

Dans un style tout aussi «américain», j’ai préféré Randall Thompson 2, et je garde une meilleur souvenir de Schuman 3 (voire de Harris 3).