Lue.
Donc exactement les mêmes artistes que cette année. Les rares trucs un peu plus originaux ou à mon goût (Kusa chez les Jésuites, Zaïcik-Taylor dans les cantates françaises, Dunford) ont déjà été donnés (et, hors Zaïcik, déjà chez Philippe Maillard). Reste Pichanik chez les archaïques italiens, le seul programme dans cette veine cette saison. Ces trois dernières années, l'originalité du programme a dramatiquement décru.
Et celle-ci, même les concerts d'airs opéra seria sont en recul : gros gain des pianistes (pas forcément grands, d'ailleurs) dans des programmes téléphonés.
(Tant mieux, ça me laisse du temps pour les petites salles.)