Blagues

Une blonde téléphone en pleurs à son mari au bureau : Chéri, je n'en peux plus, je ne parviens pas terminer mon puzzle, toutes les pièces se ressemblent !
_ Allons, allons, calme-toi, quelle image est sur la boîte?
_ Un coq... (snif)
_ Bon... attends que je sois rentré et on le fera ensemble, veux-tu?
_ Moui

Le mari revient et trouve sa femme dans la cuisine, toujours à son puzzle : écoute, chérie, on va ramasser les corn-flakes et on n'en parlera à personne, c'est promis...

Notre bière qui est en fût
Que ta mousse soit sanctifiée
Que ton verre vienne
Que ta distribution soit faite
Sur la table comme au bar
Donne-nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonne-nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui boivent du coca
Soumets-nous à la tentation
Et délivre-nous de la soif
Car c'est à toi qu' appartiennent
Les bulles, l'arôme et la fraîcheur
Pour les siècles des siècles.

AMER

Satie a mis en musique la chanson populaire Chez le docteur, dont voici les paroles :
Le petit père Combes s'en va chez le docteur :
"Ah! docteur, je suis bien malade!
J'ai, comment vous dire, l'estomac gazouilleur
Comme un vieux siphon d'limonade,
Enfin j'ai quelque chose là
Qui ne passe pas... Quéqu'chose qui n'passe pas.
Le docteur fait : Mais dites-moi...
N'est-ce pas un projet de loi ?

Voyons, r'prit le docteur, avez-vous un moment ?
De vous asseoir prenez la peine.
Ça n'sera pas long, pour voir c'qu'y a dedans
Je vais vous ouvrir l'abdomen.
-Hé ! fit Combes, attendez, morbleu !
I'm'semble docteur, que ça va déjà mieux...
Puis, vous savez, j'suis pas curieux,
N'vous dérangez pas pour si peu.

Laissez, dit le docteur, n'vous occupez donc pas,
Je fais ça comme on vide un litre,
Puis je suis en train, ce matin j'ai déjà
Ouvert plusieurs douzaines d'huîtres.
N'ayez pas peur, vous n'sentirez
Absolument rien, j'vais vous boucher l'nez,
Tous ça sera proprement fait,
Et plus vite qu'un porte-monnaie !

Là-dessus, il opère, il regarde et il dit :
"Jusqu'ici vous n'avez pas de chance
De maladie de foie, mais quant à la phtisie,
C'est couru, galopé d'avance.
Dans vos bronches, ah ! quel vent du Nord !
Ça fait courant d'air avec le corridor ;
Vos poumons semblent respirer
Autre chose que la sainteté !...

Ah ! voici le cœur, dame, il n'est pas très grand,
Je pourrais le mettre dans ma poche.
Tiens ! vous le portez, ça c'est très élégant,
Crânement sur l'oreillette gauche.
Il semble atteint en vérité
D'une par trop grande sensibilité,
Ça doit joliment vous gêner,
je crois bien qu'il faudra l'enlever.

Oh ! ça c'est curieux,vous vous êtes foulé
La rate ! mais le diable m'emporte !
Comment avez-vous donc pu vous dévisser
Tout seul la crosse de l'aorte ?
Ah ! vous êtes un fameux lapin
Parbleu ! je I'vois bien là, d'l'autre côté du rein,
Vous devez être fort, mon garçon,
Mais là très fort... sur la boisson !

Voyons donc ce ventre... il est joliment creux...
Son état... (mais restez tranquille !
Ah mon pauvre ami, ce qu'vous êtes chatouilleux!)
Son état, dis-je, est fort débile.
Votre intestin grêle, vraiment,
N'a pas le sourire, il n'est pas engageant ;
Entre nous, je n'ai jamais vu
Un intérieur plus mal tenu.

Ah ! les sales boyaux! Mais quelle belle occasion
Pour vous, et vraiment peu loisible,
De dire bonjour à votre vieux côlon,
En ce moment il est visible...
(Mais n'vous trémoussez pas comme ça,
Vous avez fait choir mon lorgnon dans le tas,
Si je n'le retrouve pas là-dedans
Vous le paierez en supplément.)

Mais qui disait donc qu'vous aviez d'l'estomac ?
Le vôtre m'a l'air d'être en bombe,
Je ne le vois pas. Regardez donc plus bas,
S'écrie une voix d'outre-Combes.
Je l'tiens, dit le docteur, pardon !
Il est rudement bas, il est sous vos talons.
Ah ! nom d'un chien qu'il est usé,
Faudra le faire ressemeler.

Mais attendez donc! grands dieux! qu'est-ce que j'y vois ?
Une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept fèves !
Petit cachottier, vous pouviez être roi!
Mais plus modestes sont vos rêves.
Qu'est-ce encor ? une gomme pour crayon,
Une pièce du Pape... c'est ça qui doit être bon...
Naïf, avez-vous pu penser
Un instant qu'elle allait passer ?

Tout ça n'sera rien, dit l'docteur ayant r'mis
Toutes ces choses à leur place,
Ah ! voyons la langue... pas trop sale... Aujourd'hui
Ne buvez que du Clos Wallace...

Au fait, revenez d'main en passant
Que j'vous ouvre le crâne, y a peut-être quéqu'chose dedans.
Mais nettoyez-le, grattez-le,
J'veux pas y trouver un cheveu.

Le signe de croix du capitaliste :

Au nom du pèze, du fisc et du saint bénéfice !

Deux péripatéticiennes discutent de l'Actualité:
- Ah cette crise...
- C'est vrai, on a de moins en moins de client..
- T'en fait pas, ce n'est qu'une mauvaise passe ...

Putain !

Pffff, Stan...

de retour d'Afrique...

C'est bas ça. Je n'apprécie pas Benoit XVI à cause de ses prises de positions rétrogrades, mais quand même...

Moi ça me dérange pas

calbo a écrit:

C'est bas ça. Je n'apprécie pas Benoit XVI à cause de ses prises de positions rétrogrades, mais quand même...

Calbo... c'est une photo truquée

Je sais bien

ah zut!

Ah oui j'avais vu cette photo je ne sais plus, accompagnée d'autres "Stars" dans le même état...

Contrepétrie niveau 1 : les catacombes

Tu remontes ce topic juste pour ça ?

ben je viens de la trouver, ça m'a fait rire alors...

Trouvé !

alors, heureuse ?

Elle est plus difficile, celle-là.

Je l'aime beaucoup celle-là :


Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.
> Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l'école.
> - Où étais-tu tout ce temps ? demande le père.
> - J'étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !
> Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque...
> Le père explique :
> - Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux
> de dire la vérité...
> - Ok... J'étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les
> 10 Commandements.
> Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils...
> - Aïe ! Bah oui ! En fait, c'était un film porno...
> Le père :
> - J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !
> Et paf ! Le robot assène une baffe au père...
> La mère se marre :
> - Décidément, c'est bien ton fils ...
> Et paf ! Une baffe à la mère...

Effectivement, elle n'est pas mauvaise.

Merci Aurèle !

natrav a écrit:

Merci Aurèle !

Si c'est une blague, elle n'est pas drôle.

Tu m'as déjà vu remercier souvent Aurèle ?

Non, mais là, je vois surtout que tu m'as confondu avec Aurèle !

Ah zut !
Merci Elvira !

Je me suis amusé à composer une charade à tiroir :

Mon premier est une créature abominable venant du même endroit qu'un zélé religieux.

Mon second éprouve un ressentiment trompeur.

Mon troisième prend la défense d'un détective malmené.

Mon quatrième donne un emploi à quelqu'un qui eut des relations intimes avec une personne qui vint en aide à une femme dont l'anonymat se doit d'être préservé.

Mon tout est un roman de Dumas et un opéra de Verdi.


Les réponses :

Spoiler:

J'avais trouvé sans regarder la soluce !

natrav a écrit:

J'avais trouvé sans regarder la soluce !

Ce qui compte dans les charades à tiroir, ce n'est pas tant de trouver la réponse, mais d'arriver à reconstituer le cheminement, ce qui relève généralement de l'impossible...

Je suis flatté qu'on m'ait cru.

Une petite devinette:

Qu'est qu'un gendarme sur une moissonneuse?

Spoiler:

Tu as écouté Les Grosses Têtes hier ?

Zip a écrit:

Tu as écouté Les Grosses Têtes hier ?

Ah ça casse sec ici

Oh non non non, j'ai juste entendu la même hier dans cette émission (entre quelques autres bien moins "racontables" en public) et j'écoutais par hasard, évidemment

Zip a écrit:

et j'écoutais par hasard, évidemment

Va falloir trouver mieux pour ta défense

Zip a écrit:

Tu as écouté Les Grosses Têtes hier ?

Non, même pas la peine. Quelqu'un qui avait dû écouter l'émission me l'a raconté hier midi. Mais bon elle fait pas mal à la tête.

Ce sont deux anges qui discutent...
"Tu sais quel temps il va faire demain ?
_ Oui, nuageux.
_ Ah ! On va pouvoir s'assoir !"

Sylbao a écrit:

Ce sont deux anges qui discutent...
"Tu sais quel temps il va faire demain ?
_ Oui, nuageux.
_ Ah ! On va pouvoir s'assoir !"

Elle est mignone (je vais essayer de la retenir, mais comme d'hab je vais l'oublier)

Ça fait une éternité que personne n'a raconté une blague ici, dites-donc...

Un jeune couple, très amoureux, meurt dans un accident de voiture une semaine avant leur mariage. Les voici tous deux qui montent au paradis, prenant le temps de discuter :

« Tu crois qu'on peut se marier au paradis ? ce serait bien...
— Oui tu as raison... Dés qu'on sera arrivé, on demandera si c'est possible ! »

Et les voici qui se retrouvent face à Saint-Pierre. Ils lui demandent s'il est possible de se marier au paradis, et Saint-Pierre reste dubitatif : « Euh, je ne sais pas vraiment en fait... Ecoutez, voila ce qu'on va faire : je vais aller me renseigner, et vous m'attendez, d'accord ? »

Sur ce, Saint-Pierre entre dans le paradis et les amoureux attendent devant les portes. Ils attendent longtemps. Très longtemps. Un jour, deux jours, une semaine, deux semaines, un mois, deux mois... Et tout en attendant, ils discutent encore :

« Ce serait vraiment bien qu'on puisse se marier !
— Oui, mais... Enfin, imagine qu'au bout de quelques années ça ne marche plus ?
— Oh tu as raison...
— Tu crois qu'on peut divorcer au paradis ?
— Il faudrait demander à Saint-Pierre quand il reviendra... »

Au bout de trois mois, Saint-Pierre enfin réapparaît, débraillé et en sueur, tout haletant...

« Ouf, ça y est, j'y suis arrivé : vous allez pouvoir vous marier !
— Ah, super ! Mais, euh, on voulait vous demander... Vous pensez que ce sera possible de divorcer ensuite, au cas où ? »

Et Saint-Pierre de répondre, prenant une mine désespérée : « Oh non... Ça m'a pris trois mois pour trouver un prêtre là-dedans, et maintenant vous voulez que j'y retourne pour y chercher un avocat ? »

Picrotal a écrit:

Ça fait une éternité que personne n'a raconté une blague ici, dites-donc...

Un jeune couple, très amoureux, meurt dans un accident de voiture une semaine avant leur mariage. Les voici tous deux qui montent au paradis, prenant le temps de discuter :

« Tu crois qu'on peut se marier au paradis ? ce serait bien...
— Oui tu as raison... Dés qu'on sera arrivé, on demandera si c'est possible ! »

Et les voici qui se retrouvent face à Saint-Pierre. Ils lui demandent s'il est possible de se marier au paradis, et Saint-Pierre reste dubitatif : « Euh, je ne sais pas vraiment en fait... Ecoutez, voila ce qu'on va faire : je vais aller me renseigner, et vous m'attendez, d'accord ? »

Sur ce, Saint-Pierre entre dans le paradis et les amoureux attendent devant les portes. Ils attendent longtemps. Très longtemps. Un jour, deux jours, une semaine, deux semaines, un mois, deux mois... Et tout en attendant, ils discutent encore :

« Ce serait vraiment bien qu'on puisse se marier !
— Oui, mais... Enfin, imagine qu'au bout de quelques années ça ne marche plus ?
— Oh tu as raison...
— Tu crois qu'on peut divorcer au paradis ?
— Il faudrait demander à Saint-Pierre quand il reviendra... »

Au bout de trois mois, Saint-Pierre enfin réapparaît, débraillé et en sueur, tout haletant...

« Ouf, ça y est, j'y suis arrivé : vous allez pouvoir vous marier !
— Ah, super ! Mais, euh, on voulait vous demander... Vous pensez que ce sera possible de divorcer ensuite, au cas où ? »

Et Saint-Pierre de répondre, prenant une mine désespérée : « Oh non... Ça m'a pris trois mois pour trouver un prêtre là-dedans, et maintenant vous voulez que j'y retourne pour y chercher un avocat ? »

Excellent Tu en as d'autres dans ce gout là ?

Je n'avais pas vu ton message Calbo, je chercherai dans les tréfonds de ma mémoire...

Sinon, puisqu'on parle d'humour, vous connaissez le dialogue entre un masochiste et un sadique ?

Le masochiste — « Fais-moi mal ! »
Le sadique — « Non. »

Elle est archi-connue celle-la.

J'en ai une pour Vartan.

C'est un petit garçon qui arrive à l'école en larmes. Sa maîtresse lui demande pourquoi, et il répond : "ma maman a tué nos petits chatons qui viennent de naître" La maîtresse tente de le consoler : "oh mais il ne faut pas en faire un drame, tu en auras d'autres quand tu seras grand" Et lui pleure encore plus fort : "oui mais elle m'avait promis que c'est moi qui les tuerais"

Ophanin a écrit:

J'en ai une pour Vartan.

C'est un petit garçon qui arrive à l'école en larmes. Sa maîtresse lui demande pourquoi, et il répond : "ma maman a tué nos petits chatons qui viennent de naître" La maîtresse tente de le consoler : "oh mais il ne faut pas en faire un drame, tu en auras d'autres quand tu seras grand" Et lui pleure encore plus fort : "oui mais elle m'avait promis que c'est moi qui les tuerais"

Pourquoi Gounod détestait-il Verdi ?

Spoiler: