Playlist (135)

Mieczysław Karłowicz (1876-1909) :Symphonie en Mi mineur, Op. 7 "Odrodzenie" (Renaissance - 1903) par le Mieczysław Karłowicz Philharmonic Symphony Orchestra, dirigé par Rune Bergmann.

Benedictus a écrit:

anaëlle a écrit:

Strauss, Salome, CD2.  Ozawa
cet orchestre  

Tu veux dire: ces vagues de sons moirés et opulents qui semblent se déployer pour emplir tout l'espace?

Spoiler:

Citation :

Tu parles bien de l'un ou l'autre de ses live salzbourgeois des années 60 ou 70, pas de l'enregistrement studio?

Enfin, oui, la couverture originale du studio DG a de quoi faire frissonner, c’est vrai:

Oui, live du 3 août 1960.

Xavier a écrit:

anaëlle a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

anaëlle a écrit:

Alpaerts, Pallieter.  Tabachnick
très sucré, assez génial dans son genre (je vois bien Arnaud aimer)

Jamais entendu parler de ce compositeur. Tu peux préciser ?

Eh bien je connais pas grand chose sur lui moi non plus.
C'est un compositeur flamand né en 1876 et mort en 1954 (on est pas loin des dates du père Schoenberg, tiens).
Pallieter est apparemment son hit. C'est un poème symphonique en 3 mouvements, d'environ 1/2 heure à la confluence entre Strauss, Debussy, et Korngold, l'orchestre est beau à se damner, je mets ma main à couper que c'est ta came.

J'avais écouté ce disque également, je confirme, j'en ai un bon souvenir moi aussi.

Mendelssohn : Concerto pour piano (Bezuidenhout, Van der Goltz, Freiburg Barockorchester) > sur instruments d'époque.

Parfois on entend vraiment la filiation avec Emanuel Bach, surtout dans l'orchestre, avec ces cordes en boyaux

Rubato a écrit:

Cololi a écrit:

Rubato a écrit:

Cololi a écrit:

J'imagine que tu as écouté la version Organum.

C'est commandé, et je l'attends d'ici peu.

C'est le plus beau disque de tous les temps

J'avais écouté des extraits: j'ai hâte de le recevoir !

Les deux lectures sont tellement différentes… j'ai du mal à en trouver une meilleure que l'autre (mais j'ai davantage écouté le disque Organum, fabuleux en effet).

Depuis hier, la Symphonie n°3 de Liatochynski qui vient de sortir (Bournemouth / Karabits).

C'est grand.

Attention, ça ne ressemble pas du tout à la veine futuriste et aux martèlements d'agrégats furieux de ses pièces pour piano, on est dans du vrai postromantisme. Un peu du genre Chtcherbathov 2, un postromantisme tellement exagéré et hors temps qu'il en est un peu décadent.

Très belle veine mélodique, beaucoup de trouvailles d'orchestration, etc.

DavidLeMarrec a écrit:

Chtcherbathov 2

The liberation of the Gothic
Graindelavoix

Oeuvres de:
John Browne: Salve Regina & Stabat Mater
Thomas Ashwell: Missa ave Maria
Voir ICI

Mendelssohn: Symphonie n° 4 en la majeur op. 90 «Italienne» (Freiburger Barockorchester, Heras-Casado) (voir fil dédié).

Mendelssohn: Symphonie n° 5 en ré mineur op. 107 «Reformation» ; Les Hébrides op. 26 (Freiburger Barockorchester, P. Heras-Casado) .

Mendelssohn: Concerto pour violon en mi mineur op. 64 (Isabelle Faust, Freiburger Barockorchester, P. Heras-Casado) .

anaëlle a écrit:

Xavier a écrit:

anaëlle a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

anaëlle a écrit:

Alpaerts, Pallieter.  Tabachnick
très sucré, assez génial dans son genre (je vois bien Arnaud aimer)

Jamais entendu parler de ce compositeur. Tu peux préciser ?

Eh bien je connais pas grand chose sur lui moi non plus.
C'est un compositeur flamand né en 1876 et mort en 1954 (on est pas loin des dates du père Schoenberg, tiens).
Pallieter est apparemment son hit. C'est un poème symphonique en 3 mouvements, d'environ 1/2 heure à la confluence entre Strauss, Debussy, et Korngold, l'orchestre est beau à se damner, je mets ma main à couper que c'est ta came.

J'avais écouté ce disque également, je confirme, j'en ai un bon souvenir moi aussi.

J'ai écouté ça deux fois aujourd'hui.
Effectivement, ça déborde de couleurs et ça m'évoque un mix de Strauss et de Respighi.
C'est sensuel, langoureux et hédoniste à souhait. Sans être d'une profondeur insondable, voilà une oeuvre hautement appréciable.

@Cololi : c'est à essayer

J'en suis ravie.

Puccini, Tosca. Karajan 1971

La fin de l'acte I + acte II, c'est tout bonnement génial.

Brahms, Trois Intermezzi op.177. Katchen

Brahms, 21 Danses hongroises. Katchen et Katchen - Marty

anaëlle a écrit:

Brahms, Trois Intermezzi op.177.  Katchen

 Au rang de ce qu'il y a  de plus beau dans la littérature pour piano .

Strauss: Also sprach Zarathustra op. 30 (Wiener Philharmoniker, Maazel) .Une œuvre taillée sur mesure pour le technicien qu'est Maazel, avec un orchestre de rêve et une prise de son d'anthologie.

Anaxagore a écrit:

anaëlle a écrit:

Brahms, Trois Intermezzi op.177.  Katchen

 Au rang de ce qu'il y a  de plus beau dans la littérature pour piano .

Comme à peu près tout le dernier Brahms ...

anaëlle a écrit:

Anaxagore a écrit:

anaëlle a écrit:

Brahms, Trois Intermezzi op.177.  Katchen

 Au rang de ce qu'il y a  de plus beau dans la littérature pour piano .

Comme à peu près tout le dernier Brahms ...

Je plussoie évidemment .

Moi aussi (mais c'est 117, pas 177.)

L'opéra des opéras - Le concert Spirituel - Hervé Niquet

"Avec sa pochette décalée ..., Hervé Niquet et son Concert Spirituel propose en réalité une plongée dans l’opéra des XVIIe et XVIIIe siècles français avec des œuvres de Mondonville, Rameau, Campra, Dauvergne, Francoeur, Leclair, Lully, Charpentier, Marais auxquelles il faut ajouter la redécouverte de compositeurs aux noms fleurant l’Ancien Régime, comme François Colin de Blamont ou Toussaint Bertin de la Doué. Mais derrière cet alignement de noms se cache l’humour facétieux d’Hervé Niquet qui a bâti un opéra imaginaire à l’occasion des trente ans du Concert Spirituel."

Hervé Niquet: "Notre histoire [est] des plus simples : un jeune premier, bellâtre courageux, aime une princesse des plus charmantes, mais une méchante sorcière, jalouse de cette idylle, cherche par tous les moyens à nuire à notre duo. Mais bon sang ! C’est bien sûr ! Il s’agit exactement des ingrédients d’une série américaine qui berça les jeudis après-midi de ma jeunesse : Ma sorcière bien aimée ! J’imaginais déjà une couverture avec la photo du trio adoré et la montrais à notre éditeur : éclat de rire général dans les bureaux. Katherine (Watson) alias Samantha, Karine (Deshayes) devenue Endora et Reinoud (van Mechelen) transformé en Jean-Pierre Stevens ont l’habitude maintenant de mes folies et n’ont pas pris ombrage de cette comparaison. Voyez comme les éléments de l’opéra sont simples ! Tout ceci n’est qu’histoire d’amour finalement, et avec Le Concert Spirituel [c’est ] une histoire qui dure depuis trente ans. Alors vive le pastiche, et Ma sorcière bien aimée !”

Enregistré en octobre 2017 à l’Opéra royal de Versailles en collaboration avec le Centre de musique baroque de Versailles et Le Concert Spirituel.

J'ai pris beaucoup de plaisir à l'écoute de cette "compilation Baroque" qui est très bien construite et parfaitement réalisée.

Wagner : Le Vaisseau Fantôme (Keilberth 56)

La version qui revient le plus sur ma platine et qui demeure ma préférée (London, Traxel, Von Mill, Varnay, Cox).

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Le Vaisseau Fantôme (Keilberth 56)
La version qui revient le plus sur ma platine et qui demeure ma préférée (London, Traxel, Von Mill, Varnay, Cox).  

Pourtant, Keilberth 55, avec Uhde à la place de London et une excellente captation stéréo d'origine, c'est bien mieux.

Les américaneries de la Nuit...





Au programme ce soir :     A. Copland – L. Bernstein – B. Herrmann – C. Porter  

Et pas Phil Glass? Y a comme du laissez-aller en ce début d'année

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Wagner : Le Vaisseau Fantôme (Keilberth 56)
La version qui revient le plus sur ma platine et qui demeure ma préférée (London, Traxel, Von Mill, Varnay, Cox).  

Pourtant, Keilberth 55, avec Uhde à la place de London et une excellente captation stéréo d'origine, c'est bien mieux.

J'aime également beaucoup Kna 55 avec Uhde donc, mais aussi Windgassen (bien qu'un peu surdimensionné en Erik, mais ne nous plaignons plus d'un tel luxe ).Mais je reviens tout de même à Keilberth 56 pour ce London absolument sidérant de monumentalité en Hollandais.

Oui, Kna 55 est bien aussi - même distribe que Keilberth 55; après je préfère la direction de Keilberth, plus précise et plus colorée, mais les atmosphères sombres et les élans épiques brossés à grands traits par Kna sont très persuasifs aussi - un des rares témoignages wagnériens de Knappertsbusch que j'aime vraiment, en fait. (En fait, je ne trouve pas Windgassen si surdimensionné en Erik.)
En revanche, London, j'ai vraiment du mal, quel que soit le rôle (et en particulier dans le Hollandais: je n'aime pas du tout les approches «monumentales» du rôle.)

Je comprends, tu n'es pas le seul ici à avoir du mal à adhérer au côté monolithique de London.
Je l'aime également beaucoup en Wotan, il y a juste en Amfortas que je le trouve un peu déplacé.

1) Aaron Copland (1900-1990) :

Symphonie n°3
Music for the Theatre

= Yoel Levi, Orchestre symphonique d'Atlanta

(Telarc, février-avril 1989)

Bonnes interprétations, quoique largement supplantées par les enregistrements de Bernstein à New York (DG), surtout dans la Music for the Theatre
dont les atmosphères rêveuses sont ici bien rendues mais les épisodes jazzy nécessiteraient plus de poigne, de canaillerie.

arnaud bellemontagne a écrit:

Je comprends, tu n'es pas le seul ici à avoir du mal à adhérer au côté monolithique de London.
Je l'aime également beaucoup en Wotan, il y a juste en Amfortas que je le trouve un peu déplacé.

Moi, c'est tout à fait l'inverse: Amfortas est le seul rôle où j'arrive encore à le supporter.
(Il faut dire aussi qu'il est dans l'absolu plus facile de supporter un Parsifal avec un Amfortas qu'on n'aime pas qu'un Ring ou un Holländer avec un Wotan ou un Hollandais qu'on n'aime pas.)

Benedictus a écrit:

(Il faut dire aussi qu'il est dans l'absolu plus facile de supporter un Parsifal avec un Amfortas qu'on n'aime pas qu'un Ring ou un Holländer avec un Wotan ou un Hollandais qu'on n'aime pas.)

Certes.

Benedictus a écrit:

Moi aussi (mais c'est 117, pas 177.)

et moi donc!

2) Leonard Bernstein (1918-1990) :

Danses symphoniques de West Side Story
On the town, -extraits

= Edo de Waart, Orchestre du Minnesota

(Virgin, mai 1990)

Un album enregistré cinq mois avant la disparition de Bernstein, avec l'orchestre dont le chef néerlandais avait pris la direction quatre ans auparavant.
Pas terrible : interprétation soigneuse mais trop inhibée, pas assez exubérante, ça manque autant de flamme que d'expressivité (qu'on s'ennuie dans Somewhere...)
Ces extraits de musicals des faubourgs new-yorkais en deviennent trop... civilisés voire intellectualisés.

Catégorie orchestrale -rang 248°/250




Bernard Herrmann (1911-1975)


3) Bernard Herrmann (1911-1975) :

Journey in the Centre of the Earth
The Seventh Voyage of Sinbad
The Day the Earth stood still
Fahrenheit 451
Gulliver's Travels
Mysterious Island
Jason and the Argonauts

= Bernard Herrmann, National Philharmonic Orchestra de Londres

(Decca, novembre 1973 - février 1975)

Eh oui, un véritable Mélomaniac d'Or pour ces musiques dont bon nombre me replongent dans des souvenirs d'enfance,
notamment de vacances de Noël où nous regardions en famille ce genre de films.
J'ai réussi à faire une place au crossover en éliminant quelques raseurs de ce palmarès limité à 250, qui dresse sans vergogne le panorama de tout ce que j'aime,
-et après six ans passés sur ce Forum je crains être plus crédible en déclarant ma flamme pour Les Parapluies de Cherbourg plutôt qu'à Arcana de Varèse  
N'ai jamais été un grand vidéophile, à mon grand regret, du moins je n'y consacre pas le temps que je voudrais,
et que laissait espérer ma fréquentation assidue d'émissions comme La Dernière Séance d'Eddy Mitchell ou le Cinéma de minuit du dimanche soir
(fut une année où je n'avais pas cours le lundi matin, en seconde je crois).
Parmi mes compositeurs favoris pour le grand écran, Herrmann tient un rang de choix.
J'aurais aussi pu inclure les Hitchcock et Welles (Jane Eyre, Citizen Kane) mais j'ai ici privilégié les univers mythologiques et merveilleux que j'affectionne.
Aux trucages de Ray Harryhausen pour L'Île mystérieuse et Jason et les Argonautes répondait une foisonnante imagination sonore pour évoquer
ces créatures fantastiques (le crabe, l'oiseau, l'abeille géants). Ce mugissant caméléon, ces éructants contrebassons, ces orgues tonitruants qui vrombissent
des entrailles du Voyage au centre de la Terre ! Ou les scintillements de la grotte de cristaux.
Le cliquetis des xylophones dans la bataille avec les squelettes du Septième Voyage de Sinbad -certes la clinquante Ouverture et son orient de pacotille
assimileraient Khatchatourian au summum du bon goût  
Parallèlement à ces pages parfois bruitistes (ou du moins pleines d'effets descriptifs, de phonotopées), Les Voyages de Gulliver rendaient hommage aux danses
du XVIII° siècle et par leur authentique finesse restent les plus proches du répertoire classique dit « sérieux ».
Certains moments rappellent Malcolm Arnold, d'autres par leur subtilité, leur science de l'instrumentation (comme Tightrope)
ne dépareraient un ballet néoclassique de Tchaikovsky ou Prokofiev.
Les dernières sessions datent de 1975, l'année où disparut ce génial illustrateur qui dirige ici lui-même ses œuvres, aux commandes d'un orchestre somptueux.
Interprétations aussi légitimes que magnifiques, et spectaculaires prises de son (pas trop artificielles, heureusement) que sauront apprécier les audiophiles.

Aujourd’hui:

• Charpentier: La Descente d’Orphée aux Enfers:

Cyril Auvity, Céline Scheen, Etienne Bazola, Floriane Hasler, Maïlys de Villoutreys, Virgile Ancely, Jeanne Crousaud, Dagmar Saskova, Kevin Skelton, Guillaume Gutierrez, François-Nicolas Geslot , David Witczak, Ronan Khalil / Ensemble Desmarest
Poissy, VI & VII.2017
Glossa

Et réécoute de la version Daucé pour comparaison:

... Et contre toute attente j’ai préféré Daucé, alors même que Khalil et son équipe correspondent plus étroitement à mes attentes dans ce répertoire (et font quelque chose de très bien - mais je crois que le problème vient plutôt de la partition.) Voir ici.

• «Parfum». RAVEL: Shéhérazade. DEBUSSY / ADAMS: Le Livre de Baudelaire. BRITTEN: Quatre Chansons françaises. KOECHLIN: Épiphanie, op. 17 n°3. DUPARC: L’invitation au voyage. La vie antérieure. Phidylé:

Christiane Karg (soprano), David Afkham / Bamberger Symphoniker
Bamberg, VII.2016
Berlin Classics
Un récital qui m’a fait l’effet du fameux verre d’eau à moitié vide ou à moitié plein. Mais enfin on tient une somptueuse interprétation de Shéhérazade et des Duparc/Baudelaire dans une optique «grande voix» pas vraiment idiomatique (et avec un magnifique orchestre.) Voir ici.

4) Cole Porter (1891-1964) :

Mélomaniac, in crossover playlist, a écrit:

Blow Gabriel blow
So in Love
It'as all right with me
Ridin' high
In the Still of the Night
Begin the Beguine
Night and Day
My Heart belongs to Daddy
Anything goes
I've got You under my Skin
It's delovely
You'd be so nice to come Home to

= Frederick Fennell & his Orchestra

(Mercury, novembre 1961)

Affriolant...

Et cette nuit, pour le plaisir:

• Manoury: In situ (2013) pour orchestre et ensemble:

François-Xavier Roth / Ensemble Modern, SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg
Donaueschingen, X.2013
Neos

• Haydn: Symphonie en sol majeur, Hob.I:94 «La Surprise»:

Leonard Bernstein / Wiener Philharmoniker
En public, Vienne, X.1985
DG

Totalement jubilatoires (quoique pas pour les mêmes raisons, comme on s’en doute.) Je tâcherai d’y revenir.

W. A. Mozart
* Symphonies no. 40 & no. 41 'Jupiter'
Philharmonie de Berlin
Carlo Maria Giulini
1 CD Sony Classical, 1991

watch?v=3Ds4N5hFsNM

Flor Alpaerts : Pallieter (Tabachnik)

C'est réjouissant comme musique, très joliment orchestré Une espèce de mix entre Schreker, Respighi, Strauss et John Williams

Mahler, symphonie 7, Eliahu Inbal, Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra (live)

Je mets une version de la 8e de Schubert par Gardiner au hasard sur Spotify, sans trop regarder ce que je mets, en pensant avoir des instruments anciens.

Et c'est mou, et ça vibre... ah, c'était l'orchestre de l'opéra de Lyon

Du coup :

Schubert : 8e symphonie (Mackerras, Orchestra of the Age of the Enlightenment)

Isang Yun
Concerto pour violoncelle
Concerto pour violon

Pour moi c'est horrible.

Jules Biron a écrit:

watch?v=3Ds4N5hFsNM

Flor Alpaerts : Pallieter (Tabachnik)

C'est réjouissant comme musique, très joliment orchestré Une espèce de mix entre Schreker, Respighi, Strauss et John Williams

Tout à fait.

Liszt, Via Crucis. De Leeuw

j’avais prévu d’écouter un peu de musique en bossant, et ben finalement j’ai pas écrit une ligne de philo

Alpaerts, Pallieter. Tabachnick

Alpaerts, James Endor Suite. Tabachnick
le mouvement lent de nuit est somptueux

de Boeck, Le petit roi du Rhin. Soustrot
du beau post-romantisme
de Boeck, Rhapsodie dahométane. Soustrot
next

de Greef, Cinq chants d’amour. Riedjik / Nézet-Seguin
gentil

Wagner : Tannhauser Acte I (Cluytens 55)

Alberto Posadas : Del reflejo de la sombra pour quatuor à cordes et clarinette basse        2010 / Quatuor Diotima, Rosman

Alberto Posadas : Elogio de la sombra pour quatuor à cordes        2012 / Quatuor Diotima

Alberto Posadas : Tránsito I pour alto et soprano        2012 / Chevalier, Sun

https://www.francemusique.fr/emissions/dimanche-a-l-opera/dimanche-a-l-opera-du-dimanche-06-janvier-2019-67815

Ambroise Thomas, Hamlet, Opéra Comique 17/12/2018, Louis Langrée, Les Eléments, Orchestre des Champs-Elysées, Stéphane Degout, Sabine Devieilhe, Sylvie Brunet-Grupposo, Laurent Alvaro, Julien Behr, Jérôme Varnier, etc.

Wagner : Tannhauser Acte II (Cluytens 55)

Szymanowski: Mythes/Kagan, Richter

+

Stockhausen: Gruppen für drei Orchester (Berliner Philharmoniker, Goldmann, Creed, Abbado).

Kurtág: Grabstein für Stephan op. 15c ; Stele op. 33 (Berliner Philharmoniker, Abbado)   .

C’est la troisième ou quatrième fois que j’écoute cette œuvre de Karlheinz et le problème est toujours le même. Je ne suis pas insensible à la séduction immédiate résultant de l’alchimie des timbres, surtout quand, comme ici, c’est Berlin qui officie ; mais cela reste somme-toute un plaisir très superficiel. Quand je veux aller au-delà, je peine — c’est le moins qu’on puisse dire — à percevoir à l’audition la cohérence sérielle du discours, dont je ne conteste pas la réalité sur le papier — même si je n’ai pas analysé la partition — mais dont j’interroge l’audibilité effective. Y a-t-il au moins, en quelque mesure, un passage possible de la « musique pour l’oeil » à la « musique pour l’oreille » ? Il me faudrait sans doute — si j’en avais le courage    — accumuler les auditions pour répondre à la question.

Autre problème, inhérent au disque cette fois : la spatialisation des trois groupes instrumentaux est peu perceptible. Là aucune autre solution que le concert …

Il en va tout autrement avec les deux pièces, très plaisantes, de Kurtàg. La cohérence du discours est cette fois intuitivement perceptible et leur poésie funèbre est très prenante. Au total, une très belle réalisation d’Abbado   .

Szymanowski: Sonate pour piano n°3/Richter

Lyatoshinsky: Symphonie n°1/Kuchar

+

• Alpaerts: Pallieter:

Michel Tabachnik / Orchestre de la Radio Flamande
Flagey, V.2007
Etcetera
Ouais. Il y a incontestablement de la verve et une certaine virtuosité d’orchestration, mais c’est effectivement bien sucré et ça ne recule jamais dans les effets faciles - comme ça a été dit plus haut, on est quelque part entre Korngold et Respighi. Et puis, ce genre de musique qui s’ébroue pendant une demi-heure, ça fait quand même un peu long. Quand j’aurai envie d’écouter du postromantique souriant en provenance du Benelux, je réécouterai plutôt la 4ᵉ de van Gilse, qui a quand même une tout autre tenue.