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Анастасия231 Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 16:59 | |
| - Benedictus a écrit:
- Анастасия231 a écrit:
- Kant à moi
Tu l'écris comme ça à cause de Zauberforst? Possible. - Benedictus a écrit:
- Анастасия231 a écrit:
- ça m'attriste qu'on ne s'intéresse pas plus que ça à la musique de Liana Alexandra.
Je n'en vois que sur le tube... Et alors ? Il ne faut pas s'en priver tant qu'on trouve quelque chose quelque part, surtout un filon pareil. Et des disques existent mais extrêmement difficile à mettre la main dessus.
Dernière édition par Анастасия231 le Mer 20 Nov 2019 - 17:02, édité 1 fois |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
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Prosopopus Mélomaniaque
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| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 17:08 | |
| - DavidLeMarrec a écrit:
- Prosopopus a écrit:
- David lui intente un peu un mauvais procès je trouve, sa cote de notoriété étant tout de même assez basse, son propos était vraiment la base de sa musique, l'utilisation de l'électronique pour proposer des feed-backs comme oeuvres musicales.
Je ne lui fais aucun procès, je ne sais absolument pas qui c'est, si ça a un fondement d'intentions un peu solide. J'ai juste assisté à sa musique brute, et pour le coup, c'est littéralement, pardon, ce que ma nièce de cinq ans aurait pu faire, tenir une touche unique en jouant avec les tirettes. (C'est pas grave en soi, mais je ne vois pas trop ce que ça produit d'intéressant ni à l'oreille – c'était dans l'aigu, un sifflement pénible –, ni dans le principe – Cage a déjà fait ça –, peut-être que ça prend du sens en se penchant sur sa démarche.) C'est juste un aspect de stase qui peut être provoqué par la réverbération du son (libre tu entends ! libre !), ça ne va pas plus loin je pense. C'est assez proche du bruit blanc finalement, c'est plus de la performance que de la composition peut-être. Mais j'aime bien tout de même. (après il y a évidemment des choses bien plus nourrissantes dans le contemporain) |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 17:13 | |
| 1) Ferdinand Hiller (1811-1885) :Concerto n°2 en fa dièse mineur, Op. 69= Michael Ponti, piano ; Louis de Froment, Orchestre de la Radio luxembourgeoise (Vox, 1974) |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 21:50 | |
| 2) Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :Concerto n°23 en la majeur, K. 488Concerto n°24 en ut mineur, K. 491= Clifford Curzon, piano ; Joseph Krips, Orchestre symphonique de Londres(Decca, octobre 1953) Le perfectionnisme de Curzon mène ici à des phrasés solipsistes voire une dynamique un peu rabougrie (les micros favorisent certes l'orchestre), même si en communion intime avec l'esprit des partitions. Les drames du 24° s'en trouvent escamotés, mais quelle géniale gracilité dans le finale à variations, ou dans le divin Adagio du 23° ! Évidemment, Krips dirige son Mozart avec élégance, aisance et sensibilité. Pour ces deux opus par le pianiste anglais, on privilégiera les enregistrements postérieurement réalisés en 1967 avec Istvan Kertesz, également à Londres. |
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xoph Mélomane chevronné
Nombre de messages : 6133 Age : 66 Localisation : là Date d'inscription : 12/10/2011
| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 22:13 | |
| Salvatore Lanzetti (1710-1780) quelques sonates pour violoncelle de l'intégraleL'Arte dell'Arco Francesco Galligioni J'avoue n'avoir pudiquement soulevé qu'un coin du voile. |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 22:42 | |
| 3) Johannes Brahms (1833-1897) :Concerto n°1 en ré mineur, Op. 15= Gary Graffman, piano ; Charles Munch, Orchestre symphonique de Boston(RCA, avril 1958) Le premier Concerto de Brahms est assez vampirisant pour le soliste, qui doit s'y faire une place. Après une dantesque introduction qui crache feu et lave, dont la démiurgie ébranle ciel et terre, le soliste doit entrer sur la pointe des pieds, trainant son vague à l'âme. Autant dire que quand c'est Munch qui tient la baguette, le pianiste peinera à lui voler la vedette. La claire facture de l'orchestre de Boston s'avère peut-être moins tellurique que des phalanges allemandes, mais la stratification n'en apparait que plus lisiblement : les timbales en fusion, le croustillant des bois, les virils accents de cors, les cordes éblouissantes, les pupitres de Boston offrent un effervescent spectacle, que le chef soutient jusqu'au bout de ce Maestoso d'anthologie -un des plus exaltés jamais capté par des micros. Munch soutient l'attention dans l'Adagio, enrichi par de superbes échanges (ces bois, ces bois : entendre ça aujourd'hui en concert, on monterait debout sur le siège !) Graffman parvient enfin à briller dans le fougueux Rondo où il ne ménage aucun effort pour ébrouer son clavier, et bien évidemment Munch n'est pas en reste. Magnifique interprétation de bout en bout, toujours un des sommets de la discographie ! |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Mer 20 Nov 2019 - 23:43 | |
| 4) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :Wachet auf, ruft uns die Stimme, BWV 645Nun komm der Heiden Heiland, BWV 659Nun freut euch, lieben Christen g'mein, BWV 734Ich ruf zu Dir, Herr Jesu Christ, BWV 639= Murray Perahia, piano(Sony, novembre-décembre 1998) Quatre des plus beaux chorals de Bach, arrangés par Busoni. Pris à un tempo d'enfer, le réjouissant et intrépide Nun freut euch reste peut-être la plus stupéfiante leçon de virtuosité que Perahia nous ait jamais donnée ! Mais que de ferveur dans la prière Ich ruf zu dir, de sobre recueillement dans le Wachet auf et le Nun komm. Magistral. |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 0:47 | |
| 5) Carl Maria von Weber (1786-1826) :Sonate n°2 en la bémol majeur, op. 39= Alfred Brendel, piano(Philips, novembre 1989) |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 1:20 | |
| 6) Maurice Ravel (1875-1937) :Sonatine= Clara Haskil, piano(Philips, octobre 1951) |
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Polyeucte Mélomane chevronné
Nombre de messages : 20753 Age : 41 Date d'inscription : 03/07/2009
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 11:46 | |
| Berlioz : La Damnation de Faust (John Nelson - Orchestre philharmonique de Strasbourg, 2019 : Joyce DiDonato, Michael Spyres, Nicolas Courjal, Alexandre Duhamel) Très différent de Roth et ses Siècles (Vidal, Antonacci, Courjal), plus lyrique sans atteindre ce que proposait Dutoit en début d'année. En fait, ça semble un entre deux vraiment valable! Lyrique mais aussi qui claque bien. Et quel boulot de tous les chanteurs... Enfin on a Spyres dans ce grand rôle (il y est totalement magnifique!), DiDonato beaucoup plus impliquée qu'à Berlin avec Rattle qui trouve de superbes couleurs, Courjal moins grinçant qu'avec Roth (où ça s'y prêtait très bien!) mais toujours aussi attentif au texte, Duhamel parfait! Reste de choeurs un peu opaques niveau diction, mais sinon c'est magnifique!!! _________________ Les Carnets d'Erik, le retour!
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Mefistofele Mélomaniaque
Nombre de messages : 1459 Localisation : Under a grey, rifted sky Date d'inscription : 17/11/2019
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 15:06 | |
| - DavidLeMarrec a écrit:
Triendl est décidément partout. Dès que CPO publie un disque de raretés allemandes avec du piano, en fait (deux disques par semaine ??). Je me posais la question : à quoi ressemble le planning de cet artiste ? Sont-ce des enregistrements étalés sur de multiples années et publiés seulement maintenant ? Ou est-ce le Superman du clavier et il enregistre à tour de bras avec à peine une ou deux répétitions ? Également, qu'est-ce qui décide CPO de faire sortir tel ou tel compositeur de l'oubli ? Ont-ils un cochon-truffier archiviste hors-pair ? Ou publient-ils des tombereaux de disques et j'ai la chance de n'écouter que les bons ? Récemment, je pense à Labor, Kahn, Gernsheim, Röntgen, Reizenstein, Goldmark et tout est excellent (trouvé-je) ! |
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DavidLeMarrec Mélomane inépuisable
Nombre de messages : 97953 Localisation : tête de chiot Date d'inscription : 30/12/2005
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 17:29 | |
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arnaud bellemontagne Gourou-leader
Nombre de messages : 25957 Date d'inscription : 22/01/2010
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 17:52 | |
| Bach : Le clavier bien tempéré Livre II (Richter) |
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Ravélavélo Mélomane chevronné
Nombre de messages : 9136 Localisation : Pays des Bleuets Date d'inscription : 28/09/2015
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 21:49 | |
| P. I. Tchaïkovski * Symphonie no. 6 'Pathétique' Orchestre Philharmonique de Léningrad Evgueni Mravinski (LP DG, 1961, mono)
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aurele Mélomane chevronné
Nombre de messages : 23541 Age : 33 Date d'inscription : 12/10/2008
| Sujet: Re: Playlist (140) Jeu 21 Nov 2019 - 21:56 | |
| Mozart, concerto pour piano n°15, Alfred Brendel / Sir Neville Marriner, Academy of St. Martins in the Fields |
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Ben. Mélomane chevronné
Nombre de messages : 2075 Age : 36 Localisation : Paris Date d'inscription : 02/10/2010
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 0:12 | |
| - arnaud bellemontagne a écrit:
- Bach : Le clavier bien tempéré Livre II (Richter)
Décidément, je suis justement en train d’écouter le livre I ! Je crois que malgré tout l’amour que j’ai pour le reste de sa discographie, Richter n’a jamais rien enregistré de plus abouti et parfaitement tenu dans l’intention, le son et le discours. La dernière fugue, par exemple, même si la réverbération de la prise de son joue, on a l’impression d’entendre quelque chose d’intelligent et pur dans chaque note. Contrairement à l’acception courante, je ne trouve pas cette version romantique pour un sou, mais juste d’un parfait équilibre entre mise en relief du contrepoint et expressivité. Sauf à considérer que marquer les phrasés revient à citer Chopin... |
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Benedictus Mélomane chevronné
Nombre de messages : 15565 Age : 49 Date d'inscription : 02/03/2014
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 0:27 | |
| - • Tippett: Symphonie nº2 (1956-57):
Martyn Brabbins / BBC Scottish Symphony Orchestra Glasgow, II.2017 HyperionHélas, une fois de plus, je dois m’avouer réfractaire à la musique instrumentale de Tippett. Pour tout dire, j’ai trouvé cette symphonie assez superficielle. Voir ici. |
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Анастасия231 Mélomane chevronné
Nombre de messages : 14427 Age : 30 Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste Date d'inscription : 05/01/2011
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 0:38 | |
| En même temps, Brabbins... |
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xoph Mélomane chevronné
Nombre de messages : 6133 Age : 66 Localisation : là Date d'inscription : 12/10/2011
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Iskender Mélomane chevronné
Nombre de messages : 2709 Age : 57 Localisation : Bretagne Date d'inscription : 11/08/2009
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 10:11 | |
| Mendelssohn : Quatuor op.44 n°2 - Talich Mendelssohn : Quatuor op.80 - Ébène
avec la partition Urtext. Quels chefs d'œuvre...
Messiaen : Le tombeau resplendissant / L'ascension - Paavo Järvi, Tonhalle de Zürich |
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Alifie Googlemaniac
Nombre de messages : 20960 Date d'inscription : 29/01/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 12:45 | |
| Pour célébrer la fin du BT de greg :
www.deezer.com/fr/album/97824582 ou /playlist?list=OLAK5uy_nMPWs_PX8PqobNh_9pFEc6XQdiliVU-zs |
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Alifie Googlemaniac
Nombre de messages : 20960 Date d'inscription : 29/01/2012
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 14:46 | |
| 1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :Symphonie n°1 en ut majeur, Op. 21= Osmo Vänskä, Orchestre du Minnesota (Bis, juin 2007) |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 14:55 | |
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Ravélavélo Mélomane chevronné
Nombre de messages : 9136 Localisation : Pays des Bleuets Date d'inscription : 28/09/2015
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 15:13 | |
| P. I. Tchaïkovski* Symphonie no.5 London Symphony Orchestra Igor Markevitch 1 LP Philips 'Festivo Series', 1966 Version explosive, une référence de grande valeur toujours agréable à écouter à ce temps-ci de l'année. |
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/ Mélomane chevronné
Nombre de messages : 20537 Date d'inscription : 25/11/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 15:31 | |
| pendant que vous écoutez des romantiques de troisième zone chez CPO, voici un disque dont je suis le cœur de cible... Darmstadt, mais attention, des AUSSENSEITER (outsiders) de Darmstadt ! Karel Goeyvaerts (1923–1993) : Sonate pour deux pianos (1950–51) Jacques Guyonnet (1933–2018) : Polyphonie I-III pour alto, flute et deux pianos (1959/60) Geneviève Calame (1946–1993) : Mantiq-al-Tayr pour flute, flute contrebasse et quatre sources électroniques (1973) Bo Nilsson (1937–2018) : Stunde eines Blocks pour soprano et ensemble (1958) Ensemble Phoenix Basel |
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Ravélavélo Mélomane chevronné
Nombre de messages : 9136 Localisation : Pays des Bleuets Date d'inscription : 28/09/2015
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 16:09 | |
| P. I. Tchaïkovski* Casse-Noisette (Suite) Cleveland Orchestra Lorin Maazel 1 LP Telarc, 1981 Avec cette belle neige qui tombe à plein ciel et entre deux séances de pelletage je m'offre ce plaisir, le temps s'y prête à merveille.
Dernière édition par Ravélavélo le Ven 22 Nov 2019 - 17:20, édité 1 fois |
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Анастасия231 Mélomane chevronné
Nombre de messages : 14427 Age : 30 Localisation : Karl Marx est un ailurophile ukraïnien d'obédience léniniste Date d'inscription : 05/01/2011
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 17:13 | |
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Cololi chaste Col
Nombre de messages : 33458 Age : 43 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 10/04/2009
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 17:15 | |
| - lulu a écrit:
- pendant que vous écoutez des romantiques de troisième zone chez CPO, voici un disque dont je suis le cœur de cible... Darmstadt, mais attention, des AUSSENSEITER (outsiders) de Darmstadt !
Beh oui, les leaders de Darmstadt c'est trop mainstream _________________ Car l'impuissance aime refléter son néant dans la souffrance d'autrui - Georges Bernanos (Sous le Soleil de Satan)
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Ravélavélo Mélomane chevronné
Nombre de messages : 9136 Localisation : Pays des Bleuets Date d'inscription : 28/09/2015
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 17:46 | |
| G. F. Haendel* Concerti Grossi op.3 nos 4, 5 & 6 Cappella Coloniensis August Wenzinger 1 LP Archiv 'Resonance', 1960 |
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Ravélavélo Mélomane chevronné
Nombre de messages : 9136 Localisation : Pays des Bleuets Date d'inscription : 28/09/2015
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 18:46 | |
| Franz Schubert* Quintette D. 956 (op. 163) Quatuor Amadeus & William Pleeth (2e violoncelle) 1 LP DG, 1966 |
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Anaxagore Mélomane chevronné
Nombre de messages : 3094 Age : 59 Date d'inscription : 06/01/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 19:24 | |
| Rihm: Jagden und Formen (Ensemble Modern, Dominique My) . Je continue ma découverte de l’oeuvre de Rihm et c’est une nouvelle surprise. Wolfgang est vraiment le compositeur aux mille visages . Jagden und Formen ne cherche plus à renouer avec la tradition teutonne ou viennoise, mais, dès les premières notes, m’a fait penser à Boulez. Work in progress (de nouvelles versions ont vu le jour depuis cet enregistrement de 2002), il met en oeuvre une manière de développement par prolifération qui, par principe, peut donner lieu à d’incessantes croissances nouvelles : un peu à la manière d’un végétal qui chercherait au hasard à élargir son espace vital là où il le peut. Exaltant la virtuosité (un coup chapeau aux bois de l’ Ensemble Modern), l’oeuvre est dynamique, chatoyante, très colorée et finalement d’une évidence assez immédiate. J’aime énormément. Conquis je suis … Cela dit, même si c’est sans doute prématuré, je peine, pour le moment, à reconnaître une signature musicale spécifique de Rihm. J’ai l’impression d’un caméléon qui se conforme, certes avec un talent incroyable, aux styles les plus divers. Stravinsky jadis pratiquait le même pluralisme stylistique, mais il imposait une signature inimitable à tout ce qu’il touchait. Peut-être est-ce aussi le cas de Rihm, mais je ne l’ai pas encore identifiée. |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 20:26 | |
| 2) Antonín Dvořák (1841-1904) :L'Ondin, poème symphonique Op. 107La Sorcière de midi, poème symphonique Op. 108= Václav Neumann, Orchestre philharmonique tchèque (Supraphon, février-août 1977) Des interprétations frémissantes, remarquables de finesse et d'une poésie très subtile. |
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Anaxagore Mélomane chevronné
Nombre de messages : 3094 Age : 59 Date d'inscription : 06/01/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 21:00 | |
| - Mélomaniac a écrit:
Des interprétations frémissantes, remarquables de finesse et d'une poésie très subtile.
Très bel enregistrement en effet ... ; ça me donne envie de le réécouter . |
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/ Mélomane chevronné
Nombre de messages : 20537 Date d'inscription : 25/11/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 21:23 | |
| François Bayle : Morceaux de ciel (1996) |
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xoph Mélomane chevronné
Nombre de messages : 6133 Age : 66 Localisation : là Date d'inscription : 12/10/2011
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 21:51 | |
| Johannes Brahms (1833-1897), trio pour cor, violon et piano Op. 40 Kalevi Aho (b.1949), solo pour cor György Ligeti (1923-2006), trio pour cor, violon et piano, Hommage à Brahms Marie-Luise Neunecker, cor Antje Weithaas, violon Silke Avenhaus, piano |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 22:06 | |
| Catégorie orchestrale -rang 042°/250Josef Krips (1902-1974)3) Franz Schubert (1797-1828) :Symphonie n°9 en ut majeur, D. 944= Josef Krips, Orchestre symphonique de Londres(Decca, mai 1958) J'ai longtemps hésité quant au classement de « La Grande », qui me renvoie douloureusement à mon principe de hiérarchisation, que je n'ai pas encore explicité. Il tient compte de l'ensemble de l'œuvre. Ainsi une dont tous les parties me plaisent pourra se trouver mieux classée qu'une autre dont l'attrait est inégal, même si isolément certaines sections m'enchantent. Cruelle docimologie qui relève d'une sorte d'arithmétique de l'intérêt. Et rares sont les symphonies dont tous les mouvements me comblent, particulièrement à l'époque romantique où le menuet/scherzo peut s'avérer un point faible. Par exemple pour Beethoven, la 7° dont les deux derniers mouvements me satisfont bien moins que l'étreignant allegretto : mon appétence pour la 4° (plus égale à mon goût) la hissera plus haut dans les Mélomaniac d'or. Concernant Schubert, il fut tenaillé entre son aspiration vers des formes de plus en plus larges (cf les ultimes sonates pour piano, quatuors, le quintette à cordes) et une difficulté à concevoir des architectures en phase avec son ambition artistique, tributaire de l'époque et peut-être d'un jeune âge qui ne lui a pas offert la maturité, lui qui disparut à trente-et-un ans. Je dois admettre que les deux derniers mouvements de la 9° se relèguent derrière les deux premiers qui, s'ils étaient dignement parachevés par une suite de leur niveau, trôneraient dans mon TOP 10. Difficile d'écrire un scherzo novateur quand on reste prisonnier d'un gabarit classique. Dans l'obédience austro-allemande, il faudra attendre Mahler (ceux de Bruckner me laissent circonspect) pour que des formes enrichies contrebalancent la profusion des premiers mouvements. Même si le trio en la majeur se montre délicat et enchanteur, le rustique matériau de Ländler qui l'encadre s'avère assez prosaïque, à l'instar de celui (encore hérité de la tradition viennoise) de la mahlérienne Titan. Quant à la course véhémente et triomphale du Finale, malgré les quelques contrastes dynamiques, la recherche harmonique et le labeur de relance, sa magnitude (1150 mesures !) ne m'empêche hélas pas de l'estimer pompeux et creux, comme enclos sur sa rhétorique (alors que le Finale de la 5° de Beethoven sait ménager une progression héroïque). Une sorte de rallye étouffant de candeur. Lors de l'exécution (posthume) en mars 1839 au Gewandhaus de Lepizig, la revue Allgemeine musikalische Zeitung observait déjà : « les deux premiers mouvements méritent la préférence sur les suivants, puisque le Scherzo fut beaucoup trop répétitif, et le dernier ressemble à un final d'opéra sans paroles ». Au panthéon de mes fictions, quel bonheur si cette symphonie substituait au Scherzo un simple intermède (comme le Nicht Schnell de la Rhénane de Schumann) et offrait un final visionnaire. À cette échelle, il faudrait une structure à variations, un exercice fugué (alla Reger), une forme lied avec un chanteur, une fresque chorale, ou l'horizon d'un nuovo mondo comme la 1° de Brahms ou la 8° de Bruckner.
Reste le meilleur : l'Andante - Allegro ma non troppo, son vestibule de cor solo, sa propulsion savamment distillée (la transition mesure 70 génère un admirable effet d'accélération, obtenu par le seul resserrement métrique sans besoin de presser le tempo !), son parcours vers la lumière. Et surtout l'Andante con moto, une des plus attendrissantes ballades orchestrales du romantisme, de coupe rondo (ABABA), baigné de lyrisme et d'une émotion à nu. Quoi de plus bouleversant que la transfiguration (mesure 250) quand, après un fortissimo anéantissant (sur un accord de septième diminuée), l'orchestre se relève de son deuil, à travers l'élégie en si bémol émanée des violoncelles, envers et contre tout, vers la récapitulation dans la tonalité initiale mais majorisée ? La gestion des silences, la dialectique des émotions atteignent un sommet sans doute inégalé dans toute l'histoire de la musique, et recèle certainement le credo intime de Schubert : se remobiliser malgré l'adversité, se condamner à chanter, comme le rossignol d'Oscar Wilde la gorge percée d'épines, pour que resplendisse la rose. Ceci dit la « longueur divine », dont Schumann s'était fait l'avocat, préserve cet opus comme l'un des plus remarquables monuments de l'époque (nous sommes en 1825) et s'imposa durablement au répertoire.
En témoigne l'abondante discographie, dont les émérites réalisations se trouvent en-dehors des intégrales. Karl Böhm à Berlin (DG), Neville Marriner et ses Academycians (Philips), Wolfgang Sawallisch à Dresde (Philips), Zubin Mehta et la Philharmonie d'Israël (Decca), Daniel Barenboim (CBS), Herbert Blomstedt (Eterna), Karajan (Emi), Yehudi Menuhin (Emi), Riccardo Muti (Emi), Frans Brüggen (Philips) : aucune de ces versions n'a établi de référence marquante. Parmi les témoignages les plus révérés, Böhm en live à Dresde (DG) « obtient de son orchestre deux perfection rares : un jeu d'une intériorité parfois douloureuse, un rubato et des contrastes de tempos qui nous touchent par leur naturel et dont le meilleur exemple reste le début du dernier crescendo dans le Finale » écrivait René Huynh, dans Diapason. Mais j'avoue que je trouve le résultat un peu sec. Idem pour Günter Wand (RCA, live mars 1995), que je trouve plutôt froid et sentencieux malgré une presse dithyrambique. « C'est rare, c'est bouleversant ! [...] une véritable une véritable ivresse de la relecture des équilibres (le 1er mouvement, sidérant !) et des jeux entre les timbres. » clamait Christophe Huss à l'appui d'un 10/10 de Répertoire. Justifiant son Diapason d'or, Jean-Claude Hulot évoquait « une plénitude d'équilibre qui, par la sobriété de son approche, la clarté de la polyphonie, la netteté des rythmes, la justesse des phrasés, fait resplendir le chef-d'œuvre, sans chercher à insister sur les anticipations de Bruckner ou de Mahler ». Autre version de concert qui me plaît davantage, avec rien moins que le Wiener Philharmoniker, en août 1985 au Festival de Salzbourg (Orfeo), « Mehta trouve le chemin de cette course à l'abîme, vertigineuse et sans espoir, qui chez l'interprète doit réunir des qualités paradoxales : énergie la plus folle (qui entend surpasser Beethoven sur son propre terrain), mêlée à un sentiment de solitude absolue, celle du Wanderer » selon Thierry Soveaux (Diapason d'or). Parmi les jalons historiques, en pleine guerre, Furtwängler et le Berliner Philharmoniker (DG, décembre 1942) « se singularisent par une tension survoltée et des contrastes poussés au paroxysme [...] Une version délibérément tragique [...]. » (Francis Dresel dans Diapason). Quelques années plus tard, Hermann Abendroth à Leipzig (Eterna) livrait une contribution austère, noire, d'une ascèse verrouillée à double-tour, terriblement éprouvante, d'un pessimisme sans secours, -à connaître pour se confronter aux tourments de l'âme schubertienne. Tout aussi captivant et révélateur, quoique moins radical : Eugen Jochum (Radio bavaroise pour DG en 1958) s'aventure dans une exégèse démiurgique qui confine au mysticisme, exorbité vers le post-romantisme. À l'opposé, on saluera la vitalité d'Ataulfo Argenta et ses gouleyants Cento Soli, qui glorifient la santé, la vigueur, la latinité, avec les timbres d'une incroyable gourmandise typiques de l'orchestre parisien. Tout aussi revigorant et encore plus roboratif, Rudolf Kempe à Munich (mai 1968) arbore une ardeur massive et néanmoins irrésistible. Si cette opulence vous indispose, voyez plutôt (au rayon qu'on dit historiquement informé) Charles Mackerras (Virgin, 1987) : « cette vision décapante affiche une verdeur de rythme et de couleurs qui contraste avec les grandes versions romantiques » selon Serge Martin (Diapason).
J'ai opté pour une version inlassablement vénérée depuis sa parution, celle que Diapason avait choisie parmi ses Indispensables, celle que le Guide Fayard de Kaminski et Hoffelé recommande prioritairement, et celle qui me procure l'admiration la plus indéfectible, réussissant même à gommer les réserves que j'exprimais plus haut quant à l'inégalité de cet opus. Dans le magazine Répertoire qui attribuait un 9/10, Jean Hamon saluait « l'évidence saisissante d'un équilibre suprême auquel on ne saurait résister [...] une cohésion lyrique une lisibilité de chaque dessin au milieu de l'ensemble, un soucis de dégagement des nuances, un travail d'orchestre dans la perspective sonore, un style, proprement exaltants ». « Le dosage entre les pupitres, si délicat à réussir dans cette œuvre, est parfait, les contrechants, les voix secondaires sont d'une lisibilité absolue » renchérissait Gregory Thomas dans Le Monde de la Musique qui avait accordé un Choc à la réédition en CD. Pour le magazine Compact, Jean Gallois vantait une lecture « fine, sensible, qui charme par son élan intérieur, la franchise de son discours, nerveux, éloquent, nuancé à l'extrême et toujours poétique ; par sa rythmique subtile, sa souplesse, sa légèreté, sa constante poésie et par son merveilleux lyrisme ».
Josef Krips n'en était pas à son coup d'essai, puisqu'il avait déjà enregistré cet opus en mai 1952 avec le Concertgebouwokest : à eux-seuls les timbres amstellodamois captivaient, courtisaient, notamment cette petite harmonie si importante pour exprimer la tendresse schubertienne. Dans l'Andante con moto, on pouvait se délecter des ravissantes interventions des hautbois, clarinettes, flûtes et bassons comme on écoute un conteur d'histoire. D'autant que la battue narrative et câline n'hésitait pas à souligner la grâce fragile de ce voyage intimiste dans une pénombre digne de Waldszenen. L'extrême soin du détail (les pizzicati vers 11'30), le peaufinage du trait et de la couleur étaient capables de révéler l'émouvante beauté de la partition aux mélomanes qui l'ont déjà entendue jouer tant de fois. Cette agogique si habile dans les inflexions rythmiques est intégrée à une continuité lyrique qui sait toujours où elle doit aller, comme le prouve l'architecture lucide et orientée de l'Andante-Allegro, conclu par une péroraison alentie du plus saisissant effet. Qui d'autre que Krips saurait concrétiser cette intuition avec autant de naturel ?
Néanmoins, cette première mouture se trouva surpassée par celle de 1958 avec le London Symphony : parés d'une superbe stéréophonie (merci aux micros de Kenneth Wilkinson), les pupitres anglais se gorgent de sève ! Dès le portique initial chanté au cor, bientôt rejoint par des violoncellistes éblouissants de cantabile, l'oreille est conquise. Le chef lance l'Allegro à vive allure (4'11) dont la vitalité ne sacrifie rien de la précision du dessin mélodique ni des voix médianes. Après ces 492 mesures menées grand train (globalement, blanche =124 ; 115 pour Karl Böhm en comparaison), on peinerait à accélérer pour le piu moto (12'05-) qui se contente alors de conclure sur cette diligente lancée. Oserait-on souhaiter que le chef ne relâche un peu la bride, ne s'émeuve davantage pour les épisodes nostalgiques, tels la plaintive intervention hautbois-basson mesure 134 (5'04) ? Nonobstant l'idée que l'on se ferait du style viennois, on ne trouvera nulle trace d'affabilité, de Gemutlichkeit dans cette exécution de l'Andante. La marche initiale est strictement déroulée, pourtant susurrée sotto voce par le hautboïste. L'accalmie en fa majeur ne subit aucune effusion sentimentale malgré ses sinuosités lancinantes. Quand reprend la marche, les sonneries de cors et trompettes (mesures 232-249, 8'06-8'42) résonnent avec intensité mais sobriété. L'envolée poétique (9'32) se voit traitée avec une assurance fière et aristocratique, jusqu'à une coda où le relent tragique n'est en rien apaisé, mais apparaît subsumé. Sous cette baguette, l'énergique Scherzo s'épanouit sans la moindre crispation. Cette souplesse dissipe mes préventions ! Notons qu'aucune des deux reprises du Trio médian n'est ici pratiquée entre 4'00-6'25. Quant au vrombissant Finale, Krips veille aux équilibres dynamiques en évitant de faire mugir ses cuivres. Il assure ainsi une propulsion qui enivre sans jamais lasser, et désarme mes réticences quant à la partition elle-même. Tout répertoire confondu, rares sont les interprétations qui peuvent prétendre à pareil statut de modèle, et s'imposent avec un tel charisme !
Dernière édition par Mélomaniac le Ven 22 Nov 2019 - 22:11, édité 1 fois |
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/ Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 22:10 | |
| Leonid Sabaneyev : Sonate pour piano (1915) Jonathan Powell Vsevolod Zaderatski : Sonate pour piano nº1 (1928) Vsevolod Zaderatski : Sonate pour piano nº2 (1928) Vsevolod Zaderatski : Sonate pour piano en fa dièse mineur (1939) Jascha Nemtsov
Dernière édition par lulu le Ven 22 Nov 2019 - 22:14, édité 2 fois |
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Golisande Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 22:11 | |
| - lulu a écrit:
- François Bayle : Morceaux de ciel (1996)
Ben voilà. - Spoiler:
Cela dit, si tu pouvais essayer d'en dire deux/trois mots (en tâchant de rester polie), ça m'intéresserait de comprendre un peu mieux ce .
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/ Mélomane chevronné
Nombre de messages : 20537 Date d'inscription : 25/11/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 22:24 | |
| Je ne mords pas du tout. J’entends un collage de sons juxtaposés, dont des voix transformées péniblement, sans habiter l’espace sonore (c’est si maigre) comme peuvent le faire certaines musiques électroniques, je sais pas si ça a mal vieilli (c’est pourtant pas très vieux), mais ça me fait presque de la peine. |
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Golisande Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:08 | |
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Dernière édition par Golisande le Ven 22 Nov 2019 - 23:13, édité 1 fois |
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Golisande Mélomane chevronné
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| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:09 | |
| Du coup je réécoute... Je reconnais que ça ne me procure pas le même enthousiasme qu'à l'époque, j'ai même un peu de mal mal à "voir" les ciels qu'il veut décrire; les voix transformées, oui on s'en passerait, et je comprends que ça puisse paraître maigre (bandes de fréquence étroites, quasi pas de graves, ni d'ailleurs de suraigus). Non, je ne trouve plus ça très intéressant – je dirais même que ça m'ennuie un peu... Cela dit je crois que c'est principalement une question de références, de juxtaposition avec ce que l'on écoute le plus : à l'époque où j'ai découvert ça je n'écoutais pour ainsi dire pas/plus de classique, encore moins de contemporain, mais en revanche beaucoup d'électro et de free jazz (sans parler du reggae) : ça me faisait du bien d'entendre quelque chose d'aussi oxygéné... Et il y a tout de même des moments que j'aime toujours (la fin).
Dernière édition par Golisande le Ven 22 Nov 2019 - 23:10, édité 1 fois |
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Alifie Googlemaniac
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Xavier Père fondateur
Nombre de messages : 91650 Age : 43 Date d'inscription : 08/06/2005
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:11 | |
| Tu as réécouté 3 fois et ça t'a fait 3 fois le même effet? |
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Xavier Père fondateur
Nombre de messages : 91650 Age : 43 Date d'inscription : 08/06/2005
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:12 | |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:24 | |
| 4) Richard Wagner (1813-1883) :Siegfried Idyll= Neville Marriner, Academy of St Martin in the Fields (Argo, janvier 1969) |
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arnaud bellemontagne Gourou-leader
Nombre de messages : 25957 Date d'inscription : 22/01/2010
| Sujet: Re: Playlist (140) Ven 22 Nov 2019 - 23:32 | |
| - Anaxagore a écrit:
Rihm: Jagden und Formen (Ensemble Modern, Dominique My) .
Je continue ma découverte de l’oeuvre de Rihm et c’est une nouvelle surprise. Wolfgang est vraiment le compositeur aux mille visages . Jagden und Formen ne cherche plus à renouer avec la tradition teutonne ou viennoise, mais, dès les premières notes, m’a fait penser à Boulez. Work in progress (de nouvelles versions ont vu le jour depuis cet enregistrement de 2002), il met en oeuvre une manière de développement par prolifération qui, par principe, peut donner lieu à d’incessantes croissances nouvelles : un peu à la manière d’un végétal qui chercherait au hasard à élargir son espace vital là où il le peut. Exaltant la virtuosité (un coup chapeau aux bois de l’Ensemble Modern), l’oeuvre est dynamique, chatoyante, très colorée et finalement d’une évidence assez immédiate. J’aime énormément. Conquis je suis …
Un de mes plus grands chocs côté musique dite "contemporaine". |
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Mélomaniac Mélomane chevronné
Nombre de messages : 28855 Date d'inscription : 21/09/2012
| Sujet: Re: Playlist (140) Sam 23 Nov 2019 - 0:07 | |
| - arnaud bellemontagne a écrit:
Un de mes plus grands chocs côté musique dite "contemporaine"
J'avais beaucoup aimé aussi |
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