Playlist (145)

Ce soir:

• Schoeck: Nachhall, op. 70:

John Hancock (baryton), Leon Botstein / American Symphony Orchestra
En public, New York, V.2006
ASO

Somptueux testament musical de Schoeck, qui semble revisiter ses climats expressifs de prédilection, avec une inventivité de l’accompagnement orchestral et une prégnance motivique tout à fait remarquables. Voir ici.

Ca donne envie, je note ça pour plus tard !

De mon côté :

Duruflé / Fauré - Requiem

Honegger: symphonies n° 4 et 5 (Orchestre de la Radio bavaroise, Dutoit) .

Haydn: symphonies n° 6, 7 et 8, Matin, Midi et Soir (Concentus Musicus Wien, Harnoncourt) .

arnaud bellemontagne a écrit:

Ravel/Stravinski : Miroirs/L'Oiseau de Feu/Petrouchka/La Valse (Rana)

Un Miroirs déstabilisant (notamment les 2 premiers volets comme survolés), un Petrouchka mi-figue mi-raisin (surtout lorsque l'on a Pollini dans l'oreille) et je n'ai jamais été un grand amateur de La Valse.

Bref, je n'ai pas vraiment été enthousiasmé...

J'ai écouté par curiosité et j'ai bien aimé : j'ai trouvé que le son était très beau, mais je suis d'accord avec ce que tu dis pour les Miroirs : il y a quelque chose d'assez étrange comme si certains traits n'étaient pas finis à cause du choix des dynamiques mais je trouve que ça donne un certain dynamisme au jeu ; en fait, on retrouve cet aspect dans toutes les pièces du disque (sans pour autant que tout sonne pareil) ; pour moi ça donne vraiment autre chose à entendre mais je comprends que ça puisse laisser dubitatif - certains choix ne me convainquent pas (parfois trop romantique) non plus mais globalement, j'aime beaucoup ; il faudrait que je l'écoute au casque.

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Gustav Mahler
* Symphonie no. 1
Orchestre symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik (DG)
Un superbe enregistrement et une oeuvre magnifique.

A mon sens une des plus étincelantes premières symphonies jamais écrites.

Et perso ... c'est même ma symphonie préférée ... tout court.

En tout cas, c'est ma version préférée de cette symphonie (j'en avais dit un mot ici.)

Merci pour vos commentaires, mes amis.
Une magnifique première symphonie en effet, et remarquable pour son unité et sa cohésion.
Celle que j'écoute le plus volontiers et le plus souvent.
J'aime aussi le début de la Sixième et l'Adagietto de la Cinquième.

Anaxagore a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Gustav Mahler
* Symphonie no. 1
Orchestre symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik (DG)

Un superbe enregistrement et une oeuvre magnifique.

A mon sens une des plus étincelantes premières symphonies jamais écrites.

Je suis pleinement d'accord avec ça. C'est d'ailleurs assez étonnant, parce qu'on pourrait juger que la forme de cette symphonie juvénile est assez lâche et, malgré cela, pour ce qui me concerne, elle bonifie avec les années. C'est pourtant la première symphonie de Mahler que j'ai découverte ; cela fait 40 ans que je l'écoute et je n'éprouve aucune fatigue à la réécouter (ce qui n'est pas le cas d'autres, comme la Huitième par exemple). On y trouve une spontanéité de l'inspiration qui est assez miraculeuse. Tout y coule de source ...

Je suis d'accord avec ton analyse, Anaxagore.
Pour ma part, j'ai découvert la musique de Mahler avec l'Adagietto de la Cinquième à l'automne 1985...
La Première, c'était quelques années plus tard, en 1988.

Félix Mendelssohn
* Le Songe d'une Nuit d'Été
Edith Mathis, soprano
Ursula Boese, contralto
Choeur et Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise
Rafael Kubelik (DG, 1964)

Une autre très belle réussite discographique de Rafael Kubelik avec l'Orchestre de la Radio Bavaroise.

Sibelius - Symphonie No. 6

Beethoven : Symphonie n°9 (Fricsay)


Beethoven, un des (rares) compositeurs dont la musique ne me semble pas avoir été "écrite" mais "dictée".

Sergueï Prokofiev (1891-1953) :

Cendrillon, ballet en trois actes Op. 87

= Mikhail Pletnev, Orchestre National de Russie

(DG, avril 1994)

Succulent ballet, mais un peu inégal : l'Acte III est un peu faible, mais bizarrement c'est aussi celui où Pletnev se montre le plus inspiré,
baignant d'émotion les derniers numéros qui d'habitude semblent longuets.
Les merveilles de l'Acte I (Pas du châle, Leçon de danse, Variations des fées, Scène de la pendule, Départ pour le bal) révèlent en revanche
une interprétation trop timorée, bien loin de la somptueuse virtuosité d'Ashkenazy à Cleveland (Decca).
Globalement, cette version manque de la causticité que Rojdestvenski infusait dans ces pages, lorsqu'il tirait ce conte vers un humour grinçant,
dans la veine du Prokofiev des années 1920.
Bilan, je ne suis qu'à moitié convaincu, voire assez dubitatif face à la Rosette que le guide Penguin avait décernée.

Ce soir:

• Schoeck: Elegie op. 36:

Andreas Schmidt (baryton), Werner Andreas Albert / Musikkollegium Winterthur
Winterthur, II-III.1997
CPO

Des climats mélancoliques, avec une déclamation au lyrisme introverti - mais c’est un peu trop homogène sur la durée. Ça reste très beau, mais ça m’a paru structurellement en-deçà des autres cycles de Schoeck avec ensemble instrumental. Voir ici.

Strauss: Elektra (Polaski, Meier, Marc, Struckmann, Botha, Chor der Deutschen Staatsoper Berlin, Staatskapelle Berlin, Barenboim) .

Benedictus a écrit:

Ce soir:

• Schoeck:

Andreas Schmidt (baryton), Werner Andreas Albert / Musikkollegium Winterthur
Winterthur, II-III.1997
CPO

Des climats mélancoliques, avec une déclamation au lyrisme introverti - mais c’est un peu trop homogène sur la durée. Ça reste très beau, mais ça m’a paru structurellement en-deçà des autres cycles de Schoeck avec ensemble instrumental. Voir ici.

J'ai écouté hier soir le Nachhall avec Hancock, délectable en effet.

Arcangelo Corelli
* Concerto Grosso op.6 no.8: 'Concerto de Noël'
Academy of Ancient Music
Christopher Hogwood ( 'The Baroque Experience vol.3', OL )

Beethoven : Concerto pour piano n°4 (Arrau/Davis)

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven : Symphonie n°9 (Fricsay)


Beethoven, un des (rares) compositeurs dont la musique ne me semble pas avoir été "écrite" mais "dictée".

Je pense percevoir le sens de votre commentaire, mais vous serait-il possible de développer ?
Merci bien.

Tout y est si admirablement conçu et pensé qu'on à l'impression que chaque note, chaque enchaînement présente un caractère de nécessité absolue.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tout y est si admirablement conçu et pensé qu'on à l'impression que chaque note, chaque enchaînement  présente un caractère de nécessité absolue.

Ah! merci.
Naturellement, je suis passé à côté !

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven, un des (rares) compositeurs dont la musique ne me semble pas avoir été "écrite" mais "dictée".

Cela dit, dicter quelque chose à un sourd, c'est un peu risqué.

Sibelius: Quatuor à cordes en ré mineur op. 56 « Voces Intimae » (Quatuor Melos) .

Un hapax magnifique dans l'histoire du quatuor à cordes.

Verdi: Quatuor à cordes en mi mineur (Quatuor Melos) .

Seul le trio du troisième mouvement en forme d'aria pour ténor pourrait faire penser au compositeur de Falstaff. Sans doute pas le chef-d'œuvre le plus inoubliable du genre, mais une curiosité qui mérite le détour.

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Beethoven, un des (rares) compositeurs dont la musique ne me semble pas avoir été "écrite" mais "dictée".

Cela dit, dicter quelque chose à un sourd, c'est un peu risqué.

Pas faux.

Peut-être qu'il faisait de l'écriture automatique, bien avant Desnos.

Spoiler:

Aujourd’hui:

• Hahn: Quatuors à cordes n°1 en la mineur et n° 2 en fa majeur. Quintette pour piano et cordes en fa dièse mineur:

Dania Tchalik (piano), Quatuor Tchalik
Boulogne-Billancourt, XII.2019
Alkonost

De très belles partitions, plus complexes qu’on ne s’y attendrait - dans une version qui en exalte les qualités. Voir ici.

Iskender a écrit:

Peut-être qu'il faisait de l'écriture automatique, bien avant Desnos.

Spoiler:

Une telle phrase ne m'étonne pas du tout de la part de Cavanna. 

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Hahn:

Dania Tchalik (piano), Quatuor Tchalik
Boulogne-Billancourt, XII.2019
Alkonost

De très belles partitions, plus complexes qu’on ne s’y attendrait - dans une version qui en exalte les qualités. Voir ici.

C'est un beau corpus.
Les Tchalik ont certainement muri depuis le temps où je les vais entendus à Proquartet.

Eusèbe a écrit:

Benedictus a écrit:

Aujourd’hui:

• Hahn:

Dania Tchalik (piano), Quatuor Tchalik
Boulogne-Billancourt, XII.2019
Alkonost

De très belles partitions, plus complexes qu’on ne s’y attendrait - dans une version qui en exalte les qualités. Voir ici.

C'est un beau corpus.
Les Tchalik ont certainement muri depuis le temps où je les vais entendus à Proquartet.

Oui, ils ont mûri. Il reste un déséquilibre (violon I et violoncelle très solistes par rapport aux autres), mais l'originalité de leur répertoire de l'énergie communicative qu'ils y mettent m'enthousiasme de plus en plus. Tous ces problèmes se résorbent par ailleurs (je les avais entendus pour la première fois lorsqu'ils étaient encore au CNSM, et j'avais pas du tout aimé).

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/1532420 (#1-9)

Merci pour le partage !
Ce genre de transcription pour piano quatre mains est du plus vif intérêt, d'autant plus que le compositeur est au piano.
La qualité sonore semble excellente ...

Olivier Messiaen
* Poèmes pour mi
Gwenneth-Ann Jeffers, soprano
Stephen De Pledge, piano
1 CD Champs Hill Records, 2011

Bach: Messe en si mineur (Crowe, Lunn, Lezhneva, Stutzmann etc., Les Musiciens du Louvre, Minkowski) .

Dimitri Chostakovitch

* Symphonie no. 6
Neeme Järvi / NSO
1 LP Chandos, 1985

* Symphonie no.5
Vladimir Ashkenazy / Royal Philharmonic Orchestra
1 CD Decca, 1988

De mon point de vue: Järvi supérieur à Haitink pour la Sixième.
La Cinquième par Ashkenazy: magnifique !

Jean Sibelius
* Symphonies no. 3 et 7
Alexander Gibson / Orchestre National d'Écosse
1 LP Saga, 1972

Anaxagore a écrit:

Bach: Messe en si mineur (Crowe, Lunn, Lezhneva, Stutzmann etc., Les Musiciens du Louvre, Minkowski) .

La bande radio, avec davantage de vedettes, était encore plus extraordinaire, mais ça reste une version assez incroyable, l'une des très rares à un par partie, et la seule de ce niveau ! (qu'est-ce que ça danse !)

The Beethoven Connection. Vol I
Joseph Wölfl (1773-1812)
Muzio Clementi (1752-1832)
Johann Nepomuk Hummel (1778-1837)
Jan Ladislav Dussek (1760-1812)

Jean-Efflam Bavouzet, piano

(pour Hummel et Dussek, et ce projet). Longue vie à ces connexions et à Marc Vignal qui signe la notice. Notice que poursuit Jean-Efflam Bavouzet dans des illustrations musicales : ponts entre LVB et ces compositeurs, en cette chaine montagneuse de pics et sommets, que les extraits sonores en dernière partie du CD donnent à parcourir.
C'est vraiment réjouissant de voir ici réunies de si belles musiques, et une si intelligente et généreuse façon de les transmettre.

xoph a écrit:

The Beethoven Connection. Vol I
Joseph Wölfl (1773-1812)
Muzio Clementi (1752-1832)
Johann Nepomuk Hummel (1778-1837)
Jan Ladislav Dussek (1760-1812)

Jean-Efflam Bavouzet, piano

(pour Hummel et Dussek, et ce projet). Longue vie à ces connexions et à Marc Vignal qui signe la notice. Notice que poursuit Jean-Efflam Bavouzet dans des illustrations musicales : ponts entre LVB et ces compositeurs, en cette chaine montagneuse de pics et sommets, que les extraits sonores en dernière partie du CD donnent à parcourir.
C'est vraiment réjouissant de voir ici réunies de si belles musiques, et une si intelligente et généreuse façon de les transmettre.

Le Wölfl a vraiment des aspects beethoveniens, et de la meilleure façon, dans le geste formel. Superbe disque très stimulant.

(L'autre grande parution du genre cette année étant le Hummel de Visovan, encore plus épatant.)

Ravélavélo a écrit:

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/1532420 (#1-9)

Merci pour le partage !
Ce genre de transcription pour piano quatre mains est du plus vif intérêt, d'autant plus que le compositeur est au piano.
La qualité sonore semble excellente ...

https://culture.pl/en/article/mieczyslaw-weinberg-an-album-guide-for-beginners

Les mouvements lents font souvent penser aux Préludes et Fugues, qui sont à peu près contemporains de la symphonie.

@DavidLeMarrec
Il me semble que tu avais aussi, autour de Beethoven, mis en avant le projet "Beethoven's World", dont Romberg, par Reinhard Goebel. Mais j'ai pas vérifié ; c'était peut-être un autre disque Romberg ?

DavidLeMarrec a écrit:

Anaxagore a écrit:

Bach: Messe en si mineur (Crowe, Lunn, Lezhneva, Stutzmann etc., Les Musiciens du Louvre, Minkowski) .

La bande radio, avec davantage de vedettes, était encore plus extraordinaire, mais ça reste une version assez incroyable, l'une des très rares à un par partie, et la seule de ce niveau !  (qu'est-ce que ça danse !)

C'est en effet magnifique. J'aime vraiment beaucoup et je ne trouve pas que la réduction du volume sonore consécutive à l'hypothèse Rifkin ait des répercussions sur l'impact de la musique : cela sonne vraiment comme un chœur. La bande radio dont tu parles est accessible quelque part ?

xoph a écrit:

@DavidLeMarrec
Il me semble que tu avais aussi, autour de Beethoven, mis en avant le projet "Beethoven's World", dont Romberg, par Reinhard Goebel. Mais j'ai pas vérifié ; c'était peut-être un autre disque Romberg ?

En effet, avec le Concerto pour deux violoncelles de B. Romberg et la Symphonie concertante de Rejcha ! Superbe disque. (Pas particulièrement beethovenien en revanche.)

Je parlais des disques pour piano solo, sinon il y a aussi quelques beaux disques de contemporains autour d'autres répertoires. (Même en piano, j'ai beaucoup aimé le Moscheles de Michele Bolla, qui ne se présente pas ouvertement comme un disque Beethoven mais documente la période avec de très belles œuvres.)

Anaxagore a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Anaxagore a écrit:

Bach: Messe en si mineur (Crowe, Lunn, Lezhneva, Stutzmann etc., Les Musiciens du Louvre, Minkowski) .

La bande radio, avec davantage de vedettes, était encore plus extraordinaire, mais ça reste une version assez incroyable, l'une des très rares à un par partie, et la seule de ce niveau !  (qu'est-ce que ça danse !)

C'est en effet magnifique. J'aime vraiment beaucoup et je ne trouve pas que la réduction du volume sonore consécutive à l'hypothèse Rifkin ait des répercussions sur l'impact de la musique : cela sonne vraiment comme un chœur. La bande radio dont tu parles est accessible quelque part ?

On gagne surtout en netteté de l'articulation musicale et des émotions textuelles, à mon sens, surtout avec des solistes de ce niveau. En concert, il y avait notamment Staskiewicz et Jaroussky !

Hélas, on m'avait envoyé le repiquage (je ne l'ai plus), ça n'a jamais été très disponible (diffusé par Radio Classique, je crois, dont la politique d'archive n'est pas très extensive).

Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
Sonates violon

Riccardo Minasi, violon
Musiqua Antiqua Roma
Marco Ceccato, violoncelle
Giulia Nuti, clavecin
Luca Pianca, archiluth

La pochette, c'est une allusion à la célèbre contrepèterie «Il court, le furet»?

... sans doute
plus vraisemblablement au séjour italien et romain de Haendel, mais comme les  sonates choisies couvrent "plus de quatre décennies de la vie du compositeur" ... La farandole a eu le temps de s'éparpiller
Ca fait aussi penser à la partie de volley dans Habemus Papam de Nanni Moretti

!:

interprétation extraordinaire de dynamique et de présence.

Alifie a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Alifie a écrit:

www.deezer.com/fr/album/1532420 (#1-9)

Merci pour le partage !
Ce genre de transcription pour piano quatre mains est du plus vif intérêt, d'autant plus que le compositeur est au piano.
La qualité sonore semble excellente ...

https://culture.pl/en/article/mieczyslaw-weinberg-an-album-guide-for-beginners

Les mouvements lents font souvent penser aux Préludes et Fugues, qui sont à peu près contemporains de la symphonie.

Merci encore, Alifie.
J'ai beaucoup écouté la Dixième.
Par contre, je n'ai pas abordé les Préludes et Fugues.
La version par Keith Jarrett me conviendrait, ça se peut que je le commande comme cadeau d'après Noël.
Le CD Melodiya de la Dixième semble beaucoup plus rare ...
.

Très beau disque enregistré dans les années 80, mais qui, je trouve, n'a pas pris une ride

Ravélavélo a écrit:

Par contre, je n'ai pas abordé les Préludes et Fugues.
La version par Keith Jarrett me conviendrait, ça se peut que je le commande comme cadeau d'après Noël.

Tu peux trouver largement mieux, n'importe quelle version au disque de Nikolaïeva (celle en DVD de 1992 pour la BBC est moins réussie) ou Melnikov par ex. dans les versions récentes.

Spoiler:

P.S. cette interview de Nikolaïeva, qui accompagne l'enregistrement londonien sur le DVD, vaut elle tout à fait d'être visionnée : /watch?v=ZMz33lmJj28

Alifie a écrit:

Ravélavélo a écrit:

Par contre, je n'ai pas abordé les Préludes et Fugues.
La version par Keith Jarrett me conviendrait, ça se peut que je le commande comme cadeau d'après Noël.

Tu peux trouver largement mieux, n'importe quelle version au disque de Nikolaïeva (celle en DVD de 1992 pour la BBC est moins réussie) ou Melnikov par ex. dans les versions récentes.

Spoiler:

P.S. cette interview de Nikolaïeva, qui accompagne l'enregistrement londonien sur le DVD, vaut elle tout à fait d'être visionnée : /watch?v=ZMz33lmJj28

Merci pour le document et tes suggestions, et quelle souplesse dans son jeu au piano ...