Playlist (145)

Wagner: Meistersinger, acte 1/DVD Stein

+ Clara Schumann, Soirées musicales
Jozef de Beenhouwer

En vidéo:

Franck: Sonate pour violon et piano/Y.Menuhin, H.Menuhin



Schubert: Trio n°1/Y.Menuhin, H.Menuhin, Gendron
Bartok: Contrastes/Y.Menuhin, J.Menuhin, Thea King
Prokofiev: 5 mélodies/Oistrakh

+

Mendelssohn: Variations sérieuses/Richter

+

Marie-Claire Le Guay : Sonates pour piano - Dutilleux / Bartok / Carter

Dane Rudhyar (1895-1985) Personnage assez original, né Daniel de Chenneviere à Paris et plus connu pour ses livres ,comme astrologue américain ,que comme musicien.Pourtant sa musique est à la fois envoûtante et magique.Les 80 minutes de piano de ce disque défilent ,avec plein de pièces,toutes plus stimulantes les unes que les autres,bien que rapides .Dans la grande lignée d'un Scriabine et même si ses titres sont des symboles ésotériques,comme pentagrammes (1924-26)Paeans (1927)24-28. Granites, la musique nous hypnotise avec ses grappes de notes,musique pleine de tension,comme un scalpel, aussi mysticisme certain qui déclenche en nous une vraie joie et un ravissement .Ron Squibbs,avec son piano Steinway est absolument captivant d'un bout à l'autre du disque.
PS/j'ai fait venir ce CD des USA, mais on peut aussi l'écouter sur YT.
Pour la petite histoire (pas musicale cette fois ) il s'est marié 5 fois et pour son dernier mariage ,sa femme avait 28 ans et lui 82 ans.Belle vigueur le monsieur.

Sibelius : Symphonie n°7 (Davis LSO)

Disjoint et prosaïque.

Une intégrale vraiment pas inoubliable.

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°7 (Davis LSO)
Disjoint et prosaïque.
Une intégrale vraiment pas inoubliable.

Pourquoi tu t'es lancé sur celle-là, d'ailleurs? Parce que, pour s'en tenir aux intégrales, il y en a quand même eu beaucoup d'excellentes, ces dernières années (Rattle / Berlin, Oramo / Birmingham, P. Järvi / OdP, Elder / Hallé, Storgårds / BBC.)

On ne parle pas souvent de Britten,ici et comme aussi le grand chef Giulini se fait lentement oublier,comme Abbado d'ailleurs ,il est bon de se remémorer ce beau disque dans un répertoire inhabituel à ce  chef, mais qui sait traduire comme d'habitude,toute la beauté de ces  deux  oeuvres de Britten.Robert Tear n'est sans doute pas Peter Pears et d'ailleurs, il y a d'autres versions , plus émouvantes ou qui ont plus d'intériorité ou de panache, elles sont légion. Mais restons en là et savourons ce déjà très beau disque.La Sérénade écrite pendant la guerre en 1943 , pour Pears et le grand corniste Dennis Brain,est très belle .Et bien sûr, on ne peut aussi qu'être sensible ,nous français,à la belle poèsie de Rimbaud,dans les superbes Illuminations, même si j'y préfère une soprano en général,bref c'est toujours un régal d'écouter du Britten ,avec sa grande sensibilité ou délicatesse, pour moi, c'est une musique ,un peu hors du temps et encore plus avec ce disque,qui réunit des interprètes disparus .

Benedictus a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Sibelius : Symphonie n°7 (Davis LSO)
Disjoint et prosaïque.
Une intégrale vraiment pas inoubliable.

Pourquoi tu t'es lancé sur celle-là, d'ailleurs? Parce que, pour s'en tenir aux intégrales, il y en a quand même eu beaucoup d'excellentes, ces dernières années (Rattle / Berlin, Oramo / Birmingham, P. Järvi / OdP, Elder / Hallé, Storgårds / BBC.)

Tout simplement parce que j'avais bien aimé son intégrale Nielsen avec le même orchestre et que j'ai déjà écouté (et apprécié) les Rattle, Jarvi et Elder précités.

arnaud bellemontagne a écrit:

Tout simplement parce que j'avais bien aimé son intégrale Nielsen avec le même orchestre et que j'ai déjà écouté  (et apprécié) les Rattle, Jarvi et Elder précités.

Ah, je ne me souvenais pas t'avoir lu au sujet de Rattle, Järvi et Elder.

J'ai parlé surtout de Rattle (que j'ai globalement a préféré à Jarvi plus inégal) et Jarvi...ça a du se perdre dans les tréfonds de la playlist.

Mozart: Sonates pour violon et piano K 301, 379, 481/Ibragimova, Tiberghien

+

Brahms: Lieder/Norman

+ à

Petit hommage à deux personnes disparues en 2020,la magnifique chanteuse Sophie Boulin (1951- 2020) et Paul Méfano,(1937-2020) compositeur et généreux serviteur des autres musiciens , au disque .Les deux étaient réunis sur ce même très beau disque du Pierrot Lunaire de Schoenberg.Version chantée en français ,avec vie et émotion par la grande Sophie Boulin.

Liszt: Lieder/Kleiter

En fin d'année et début d'une nouvelle, on se remémore certains artistes et certains disques qui ont enrichi notre vie, comme le grand violoniste David Oistrakh ( 1908-1974 )(peut être que les jeunes ne savent pas qui c'était,pourquoi pas?)En plus accompagné par un autre poids lourd de la musique pour piano,Sviatoslav  Richter,(1915-1997 ) bref petit hommage à ces deux géants, et surtout à Oistrakh, dont je trouve on ne parle plus beaucoup aujourd'hui .Deux oeuvres magnifiques, et je me demande si on enregistrerait comme ça aujourd'hui,comme dans la sonate de Franck, une certaine lenteur mesurée, des deux protagonistes ,mais c'est aussi la liberté et la joie d'un concert public pour les deux je crois.C'est sûr qu'Oistrakh, met dans la sonate de Franck ,plus du parfum des steppes ,que de Belgique dans son chant mélodique, mais au fond la Belgique, c'est pas facile à saisir,surtout en musique .La sonate de Chostakovitch, sous leurs doigts et leur archet, devient d'un classicisme confondant.

Wagner: Meistersinger, actes 2 et 3/DVD Stein-W.Wagner



Britten: Songe d'une nuit d'été/DVD Bicket-Carsen

Ravel: Daphnis et Chloé (LSO, Monteux) .

• A Consort’s Monument. Œuvres de Coperario, Lawes, Monteverdi, Simpson, Ferrabosco fils, Ward, Jenkins, Lupo, Deering et White:

François Joubert-Caillet / L’Achéron
Siran, X.2019
Ricercar

• The Mad Lover. Œuvres de Eccles, D. Purcell, Matteis et H. Purcell:

Théotime Langlois de Swarte (violon), Thomas Dunford (luth)
Paris, II.2019
Harmonia Mundi

Que ce soit en consort de violes ou en duo violon-luth, des œuvres très typiquement baroques-anglaises (musique très sophistiquée et virtuose sous des atours plutôt austères; atmosphères entêtantes de danses mélancoliques.) Réalisations instrumentales absolument superlatives, avec des sonorités d’une finesse et d’une poésie infinies.

Entre avant-hier et aujourd’hui:

• Mahler: Symphonies n°1¹ et n°4²:

Christiane Karg (soprano)²; Daniel Harding¹, Yannick Nézet-Séguin² / Berliner Philharmoniker
En public, Berlin, XII.2018¹, III.2014²
Berliner Philharmoniker Recordings

De la nouvelle intégrale berlinoise à plusieurs chefs qui devrait être disponible à partir du 29 janvier: grande lecture de la 1ᵉ par Harding (voir ici); version magnifiquement ciselée de la 4ᵉ par Nézet-Séguin, mais assez à rebours de mes attentes interprétatives (voir ici.) Je tâcherai de dire un mot des 6ᵉ (K. Petrenko) et 9ᵉ (Haitink) dans le courant du week-end.

L. v. Beethoven
* Bagatelles Op. 33, 119 & 126
+ WoO 56 & 52
Rudolf Buchbinder
Teldec, 1977  // apex (Warner), 2002

Berlioz: Requiem op. 5 (L. Simoneau, New England Conservatory Chorus, B.S.O, Munch) .

Wilhelm Friedemann Bach (1710-1784)
Concertos et trios

Sebastien Wienand, Clavecin
Anne Katharina Schreiber, Violon
Martina Graulich, Violon
Werner Saller, Alto
Frank Coppieters, Viole de Gambe
Ute Petersilge, Violoncelle

De belles choses, sans atteindre les fulgurances de son cousin Wilhelm Thomas Friedemann Bach, cher à Benedictus. Des concertos, semble-t-il retrouvés de WF Bach, et sonates en trio. Sans doute ces genres musicaux ne sont-ils pas les plus propices à l'épanouissement de sa personnalité ?

Benedictus a écrit:

"• The Mad Lover. Œuvres de Eccles, D. Purcell, Matteis et H. Purcell"
Théotime Langlois de Swarte (violon), Thomas Dunford (luth)

The Mad Lover Suite Ground. Air V de John Eccles.

Ah Je sais d'où Vianney a trouvé son refrain "Mais t'es pas la mais t'es où"   !

Bruno Luong a écrit:

Johann Paul Von Westhoff
Les 6 suites pour violon solo

C'est le précurseur des Sonates/Partitas de JS Bach.

J'avais aussi écouté et aimé, en me promettant une réécoute, peut-être l'occasion ...

Frac, champagne et cotillons





Au menu du week-end :

      Joh. & Jos. Strauss – F. Lehár – J. Offenbach – J. Massenet...



merci de frayer dans le respect des consignes sanitaires et de valser dans la limite de la distanciation sociale.
Pas plus de six danseurs à la fois pour les quadrilles ; choisissez vos partenaires dans le cercle familial.

Beethoven Les Trios pour Piano
Trio Van Baerle

C'est eux mon choix des trios pour l'année Beethoven (bon c'est vrai elle est déjà passée).

Mélomaniac a écrit:

choisissez vos partenaires dans le cercle familial.

Tiens, tu t'es mis au Ring?

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Milhaud : Concerto pour piano n°1 (Korstick/Francis)

gluckhand a écrit:

Petit hommage à deux personnes disparues en 2020,la magnifique chanteuse Sophie Boulin (1951- 2020) et Paul Méfano,(1937-2020) compositeur et généreux serviteur des autres musiciens , au disque .Les deux étaient réunis sur ce même très beau disque du Pierrot Lunaire de Schoenberg.Version chantée en français ,avec vie et émotion par la grande Sophie Boulin.

J'aime beaucoup ce disque également, ça fait longtemps que je ne l'ai plus écouté, je vais me le remettre, merci

1) Concert du Nouvel An 1993

= Riccardo Muti, Orchestre philharmonique de Vienne

(Philips, janvier 1993)

• Schoeck: 10 Lieder d’après des poèmes de Hermann Hesse, op. 44:

- Dietrich Fischer-Dieskau (baryton), Karl Engel (piano)
Berlin, III.1977
DG «Fischer-Dieskau Edition»
- Cornelia Kallisch (mezzo-soprano), Jürg Dürmüller (ténor), Nathan Berg (baryton), Lynne Dawson (soprano), Julius Drake (piano)
Waldenburg, VII.1996
Jecklin

Un cycle à mon sens majeur, et sans doute un des plus «modernes » de Schoeck: en se mettant à l’écoute des poèmes de Hesse, Schoeck semble radicaliser certains traits de son écriture. Et deux interprétations assez différentes pour mériter l’écoute. Voir ici.

Les 3 quatuors de Brahms,que j'aime beaucoup et dont j'aime bien découvrir les versions.Là c'est celle des Amadéus,mais j'aurais pu mettre, les Italiano,les Budapest,les Takacs ou les Belcéa et bien d'autres versions .Mais on revient souvent aux versions qui vous ont fait découvrir l'oeuvre et puis les Amadéus sont parfaits,même si on a souvent souligné leur vision plutôt sombre ou plutôt nocturne pour moi ,dans ces 3 opus .Comment Brahms, après les monstrueux quatuors du grand sourdingue,allait il se sortir de ce mauvais pas? qu'allait il nous offrir?Pas mal d'essais et de pages déchirées, une vingtaine de quatuors, à la poubelle,avant de vraiment se lancer en faisant créer le premier quatuor de l'opus 51 en 1873, Brahms avait alors 40 ans, il n'avait pas encore écrit la première symphonie.Les deux autres suivront dans les deux ou trois années suivantes .Bon, inutile ici de signaler la singularité de la pâte brahmsienne,de l'originalité et de la nouveauté de ces quatuors ,qui peut être ne s'identifient pas aux derniers quatuors beethovéniens,mais ont leur propre vie intérieure ,leur richesse d'inspiration et leur propre construction organique,très pensée, ce que Schoenberg aimera particulièrement chez lui.On s'est rendu compte avec le temps ,et les années qui passaient que Brahms avait sa propre identité, que sa musique était très belle et très attachante, que c'était très profond et très beau .Qu' on est très loin de la question "Aimez-vous Brahms " qu'on se posait dans les années 60, on aime tous Brahms et il  nous le rend bien ,le bougre.

Sémélé
• Marin Marais (1656-1728)
Sémélé (extraits)
• André Cardinal Destouches (1672-1749)
Sémélé, cantate
• Georg Friedrich Hændel (1685-1759)
Concerto grosso en fa majeur opus 3 n°4
Semele (extraits)
L’Allegro, il Penseroso ed il Moderato (extraits)
Tra le fiamme, cantate
Theodora (extraits)

Les Ombres
Margaux Blanchard et Sylvain Sartre, direction artistique
Chantal Santon Jeffery, soprano
Mélodie Ruvio, alto


"il n’était pas encore donné de mise en perspective de ces œuvres à l’inspiration commune. Dans un spectacle original, Les Ombres réunissent les Sémélé de Marais, Haendel et Destouches. [...]le disque s’ouvre sur la Marche d’Ægipans de Marais, l’Ouverture à la française lui succède, suivie d’une suite de danse servant de prélude instrumental. « Quel bruit nouveau », délicate apparition de la voix, complète ce prologue et introduit la cantate inédite de Destouches. Le concerto grosso répond à la suite de danse de Marais et la cantate romaine Tra le fiamme dialogue avec la cantate de Destouches. La maîtrise de l’écriture orchestrale et opératique de Haendel vient clore ce disque avec des airs, récits et duos tirés de Semele et Theodora." Margaux Blanchard

Vaughan Williams, Sinfonia antartica, Sir Adrian Boult, London Philarmonic Orchestra, London Philarmonic Choir, Norma Burrowes

Mahler: symphonie n° 5 (Berliner Philharmoniker, Abbado) .

Mahler: symphonie n° 7 (Berliner Philharmoniker, Abbado) .

Ces derniers jours :

Ernest John Moeran : Concerto pour violon - Tasmin Little, BBC P.O., Andrew Davis
*
→ Bof bof. De belles harmonies à l'orchestre, mais ça fait partie de tous ces concertos britanniques pour violon ou alto dont je ne saisis pas où ça commence, où ça finit, et par où ça passe. Un flot continu, des arpèges, et un intérêt très limité je trouve. Cependant Tasmin Little comme violon c'est toujours excellent et elle a au moins le mérite de défendre son répertoire national.  

Henri Vieuxtemps : Sonate pour alto et piano - Nobuko Imai, Roger Vignoles - puis la même par Tabea Zimmermann et Kirill Gerstein
***
→ De la pure sonate romantique; pas ce que j'écoute le plus depuis quelques temps. Mais une bien belle œuvre qui sort des sentiers battus, et récemment remise au goût du jour (le jeune et excellent Timothy Ridout l'a également enregistrée.) Je crois que je vais la mettre sur mon pupitre; et je vais même l'ouvrir ...

Nikolai Roslavets: Sonate pour alto et piano n°1 - Lawrence Power, Simon Crawford-Philips
***
→ Œuvre magnifique, concentrée en un mouvement de dix minutes et contrastée. Très belle partie de piano.

Nikolai Roslavets: Sonate pour alto et piano n°2 - Victoria Chang, Randall Hodkingson
*
→ En retrait de la précédente. Plus quelconque; je ne retrouve pas là l'originalité et la modernité que l'on connaît de Roslavets

Elizabeth Maconchy : Proud Thames (1/3) / Symphony for double string orchestra (2/3) / Music for strings (1/4) - London P.O (1), London S.O. (2), Vernon Handley (3), Barry Wordsworth (4).
***
→ Mefistofele nous avait fait découvrir la sonate pour alto et piano de Maconchy, j'ai poussé plus avant la découverte de cette compositrice. C'est excellent, particulièrement la Symphony for double string orchestra qui mérite le détour. Un langage tonal et moderne, c'est assez dense sans être jamais abscons, il y a des influences de Bartók et Stravinsky sans que ça y ressemble vraiment; c'est plus dans l'écriture que dans l'inspiration. Belle découverte.

Marc-Antoine Charpentier : Missa assumpta est Maria / Pour un reposoir - Le Concert spirituel, Hervé Niquet
****
→ J'y reviens souvent, cela fait partie de mes œuvres préférées de Charpentier. J'ai longtemps écouté Jordi Savall qui possède une véritable élévation dans la messe. Mais je ne résiste jamais à l'élan d'Hervé Niquet.

2) Franz Lehar (1870-1948) :

Die lustige Witwe

Bryn Terfel, Barbara Bonney, Boje Skovhus, Cheryl Studer,
Rainer Trost, Karl Magnus Fredriksson, Uwe Peper, Heinz Zednik
John Eliot Gardiner, Monteverdi Choir, Orchestre Philharmonique de Vienne

(DG, janvier 1994)

Iskender a écrit:

Elizabeth Maconchy : Proud Thames (1/3) / Symphony for double string orchestra (2/3) / Music for strings (1/4) - London P.O (1), London S.O. (2), Vernon Handley (3), Barry Wordsworth (4).
***
→ Mefistofele nous avait fait découvrir la sonate pour alto et piano de Maconchy, j'ai poussé plus avant la découverte de cette compositrice. C'est excellent, particulièrement la Symphony for double string orchestra qui mérite le détour. Un langage tonal et moderne, c'est assez dense sans être jamais abscons, il y a des influences de Bartók et Stravinsky sans que ça y ressemble vraiment; c'est plus dans l'écriture que dans l'inspiration. Belle découverte.

Ah, moi, j'avais essayé ce même disque Lyrita, et je n'avais pas du tout accroché. Enfin, j'avais bien aimé l'ouverture Proud Thames (d'une assez réjouissante rosbiffitude), mais les deux trucs pseudo-modernistes plus pour orchestre à crincrin, j'avais trouvé ça assez pénible.

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