Le "jazz-rock" au sens large (des années 60 à nos jours)

Nucleus : Under the Sun (74)


Entre Miles Davis et Soft Machine.
Magnifique.

Return to Forever : Light as a Feather (72)


Globalement, je préfère le premier album. Cela dit, le morceau-titre (composé par Stanley Clarke) a quelque chose de magique.

Alphonse Mouzon : Mind Transplant (75)


Bien meilleur que dans mon souvenir.
Une sorte de pendant plus "rentre dedans" du Spectrum de Billy Cobham.

Earth, Wind and Fire : Gratitude (75)


Un live explosif qui mêle avec brio harmonies vocales travaillées, cuivres qui claquent, instrumentaux typiquement 70's et groove omniprésent.

Magique.

Alphonse Mouzon : Virtue (77)


Un excellent album de notre Usain Bolt des toms (niveau vélocité il pourrait même en remontrer a Billy Cobham lui-même   ).
On retrouve avec plaisir le furibond Nyctophobia du Level One de Larry Coryell et le morceau-titre permet à Stu Goldberg et à Mouzon de rivaliser de virtuosité.

Michael Naura Quartet : Call (75)


Une formation de tout premier ordre dont la musique oscille entre le Gary Burton période Ring/Passengers et les productions du Colours d'Eberhard Weber (qui éclabousse le disque de son talent).

Admirable (la rythmique Weber/Nay ).

Michael Naura Quartet : Rainbow Runner (72)


Mêmes caractéristiques (et même personnel) que Call et tout aussi passionnant.

Gong : Expresso II (77)


Un Gong résolument jazz-rock marqué par les interactions ludiques entre percussions mélodiques, basse émancipée et guitare sinueuse (Holdsworth impérial sur le fantastique Soli).

Excellent!

Pierre Moerlen's Gong : Downwind (79)


Disque dans le prolongement percusso-fusion d'Expresso II.

Le morceau-titre à un côté Mike Oldfield (qui officie à la guitare) envoûtant, mais qui laisse un petit goût d'inachevé (il se termine alors que le groupe est en pleine envolée lyrique    ). Les quelques morceaux vocaux ne sont pas impérissables, mais les très beaux Emotions et Xtasea concluent l'album sur une note positive.

Christophe Chassol nous parle du fabuleux Forest of Feelings de David Sancious :

https://www.francemusique.fr/emissions/la-chronique-de-christophe-chassol/la-chronique-de-christophe-chassol-du-samedi-05-septembre-2020-86382

Herbie Hancock : Head Hunters (73)


Un best-seller bien plus subtil et différencié qu'il n'y paraît à l'image du tubesque Chameleon qui prend le temps de se développer dans différentes directions pendant plus d'un quart d'heure.

Paul Jackson est peut être mon bassiste favori, j'adore ses lignes.

Impossible de ne pas mentionner le sublime Vein Melter qui se déploie tel un camaïeu sonore...

Herbie Hancock : Thrust (74)


Un album essentiel qui comprend deux bons titres (Palm Grease et Spank A Lee) et deux chefs d'oeuvre absolus de la musique des années 70 (Actual Proof et Butterfly).

arnaud bellemontagne a écrit:

Christophe Chassol nous parle du fabuleux Forest of Feelings de David Sancious :

https://www.francemusique.fr/emissions/la-chronique-de-christophe-chassol/la-chronique-de-christophe-chassol-du-samedi-05-septembre-2020-86382

Quelqu'un qui fait des chroniques sur les progressions d'accords dans les compositions de La Perfecta et Malavoi ne peut dire que des choses dignes d'intérêt ! (il a fait une chronique assez drôle aussi sur Stanley Clarke)

Spyro Gyra, Carnaval (1980)



La pochette est à l'image de la musique, colorée et aux influences caribéennes claires (le dernier titre "Carnaval"...)
Ambiance sonore très eighties, évitant tout de même les deux écueils de l'époque à savoir le kitsch clinquant et les sonorités artificielles.
Compositions tantôt pleines de soleil ou langoureuses, un disque qui fait du bien avec le temps actuel...
A noter que les frères Brecker sont là en guest-stars sur quelques pistes.

Je me suis toujours méfié de Spyro Gyra...sans doute à tort.

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Herbie Hancock : Man-Child (75)


Si Hang Up Your Hang Ups, The Traitor et Heartbeat sont des machineries jazz-funk d'une efficacité redoutable, ce sont les plus éthérés et oniriques Sun Touch et Bubbles qui laissent l'empreinte la plus durable.

Gilgamesh :Gilgamesh (75) / Another Fine Tune You've Got Me Into (78)


Deux disques qui mettent en valeur le jeu magique du trop méconnu claviériste Alan Gowen. Ses talents d'harmoniste subtil sont également mis à contribution (le sublime Underwater Song).

Deux disques essentiels du jazz-rock/prog/canterbury des années 70.

Bonjour à vous,
Je suis nouveau sur ce forum, que je viens de découvrir.
alors oui pour Gilgamesh. A noter qu'il existe un troisième album publié par Cuneiform en 2000 et nommé Arriving Twice.

Bonjour Patrick et bienvenue!

En effet, Arriving Twice* est un disque d'archives qui complète avec bonheur la discographie de Gilgamesh.

Plus globalement, tu es fan de prog et de jazz-rock, Patrick ?







Avec comme à l'accoutumée un livret garni de notes très éclairantes signées par Aymeric Leroy.

     www.deezer.com/fr/album/110147162 ou /watch?v=bU7Hoe7uEOo

     sur Grossman, disparu récemment : www.jazzhot.net/PBEvents.asp?ItmID=35988

En fait, j'écoute de la musique depuis l'âge de 11 ans, et j'en ai maintenant 60. A part un disque des Who (Who's Next pour être précis) et Meddle des Floyd, les deux premiers dont je me rappelle sont This Was de Jethro Tull, et le volume 2 de Soft (un vinyl sur le label Barclay), puis se sont enchainés Caravan, Gong, Can, Amon Düül II, King Crimson, Gentle Giant, Genesis. Quelsques jalons fondamentaux de mon parcours :
début 1974 : Hatfield and The north (le premier, le deuxième sera pour plus tard) et Henry Cow (Legend), et Todd Rundgren (pas que prog, mais tellement personnel). Ce dernier allait forcément me préparer à ce qui suivra un peu plus tard, et enfin Santana (le live Lotus)
fin 1975 : Zappa, par un film vu à la TV et présenté par l'auteur de BD Gotlib (ça s'appellait A Token of His extreme, et c'était la formation avec Duke, Chrster Thompson, Ruth Underwood, donc celle du live à Helsinki)
1977 : Magma, tout le jazz rock (Mahavishnu, RTF, Weather Report,...), Miles Davisle label ECM, et un bijou sans doute hors sujet mais tant pis : Univers Zero avec un batteur aussi extraordinaire que méconnu : Daniel Denis et Art Zoyd. A noter que c'est à cette époque que j'ai commencé à écouter Crossings de Hancock, acheté 4 ans plus tôt
1978 : Coltrane, par l'influence de Vander, Steve Reich
1979 : le free jazz (Art Ensemble, les british et les allemands)
Les années 90 : le contemporain (Scelsi, la musique spectrale).

Un peu éclectique, mais les bases restent le jazz rock, le Canterbury, et les groupes de Rock In Opposition, en plus de Miles et Coltrane. Pour un peu, j'aurais oublié Zappa.
Quelques disque fétiches :
Robert Wyatt (Rock Bottom), Les deux Hatfield, Henry Cow (Legend et In Praise of Learning), Zappa (Uncle Meat, Hot Rats, Grand Wazoo, One size Fits All, et beaucoup d'autres), Univers Zero (Hérésie, Ceux du Dehors, Uze, Heatwave), Mahavishnu (Inner Mouting Flame et Birds Of Fire) , RTF (Romantic Warrior, malgré une pochette sur laquelle je ne m'étendrai pas), Weather Report(les premiers juqu'a Mysterious Traveller), Miles (In A Silent Way, Bitches Brew, et tout le Miles électrique des années 70), Herbie Hancock (surtout Crossings), Coltrane (C'est dur de n'en retenir qu'un mais surtout A love Supreme), Magma (pratiquement tout), Steve Reich (Music For 18 musicians), Santana (Caravanserai, Welcome, Borboletta), Pat Metheny, Bill Frisell, Scofield, et tant d'autres. Un dernier qui me vient à l'esprit et qu'il faut découvrir si ce n'est déjà fait : Mike Westbrook (Metropolis, du big band explosif). Il y en aurait plein d'autres (en presque 50 ans, c'est normal), mais j'arrête là pour l'instant. Juste pour finir 3 disques live : Lotus de Santana, Dark Magus de Miles et le Fillmore East de Allman Brothers Band.
Mais j'imagine qu'on aura des tas d'occasion d'échanger au fil de l'eau.

Waouh! Bel itinéraire, et que de bonnes choses!

Sois le bienvenu!

J'ai un frère jumeau, on dirait.

Des discussions passionnantes en perspective, j'ai hâte.

Aujourd'hui, petit retour aux sources avec cet album dans l'esprit ECM avec Uli Beckerhoff (excellent trompettiste allemand) aux commandes. Aux frontières du jazz rock, comme souvent avec ce genre de production, mais une interaction entre la trompette et le sax très réussie.

Je ne connais pas cette formation.
Je vais essayer, merci.

Eider Stellaire 3



Ce post est pour essayer de réparer une injustice sur le relatif silence qui entoure ce groupe. De le zeuhl soit, mais surtout une touche très personnelle. Le batteur Michel Le Bars fut un temps de l'aventure vanderienne Offering, et le guitariste a un son extraordinaire. Aucun étalage de virtuosité, mais un concentré et parfois la sensation de capter des bribes d'éternité.
Le morceau Nihil de ce disque est sur Youtube, mais le disque n'a jamais été réédité en CD. J'ai une copie numérique du vinyl, si ça peut intéresser.

Tigran Hamasyan : The Call Within (2020)


Le nouvel opus de notre pianiste virtuose.

Les morceaux, d'une technicité (rythmique notamment) redoutable, se présentent comme un amalgame de jazz, d'inflexions folkloriques et de rock progressif.Concernant le prog, on retrouve même Tosin Abasi (le guitariste emblématique d'Animals as Leaders) sur l'alambiqué Vortex (même si un brin sous-mixé). Un album impressionnant, d'un perfectionnisme sans faille.L'avers de ce perfectionnisme réside dans une certaine froideur interprétative, certains plans syncopés poussent si loin la complexité rythmique qu'ils semblent interchangeables d'un morceau à l'autre.

Ces menues réserves ne m'empêcheront pas de considérer cet album comme un de mes essentiels de 2020.

Ça faisait longtemps. Quel plaisir!

One Word.

Un bel album d'inspiration milesienne du pianiste et arrangeur Masabumi Kikuchi, qui a lui-même, outre les 5 ex-sidemen de Miles présents dans cette séance, collaboré avec Miles Davis (en 1978, pour une session restée inédite) : hautement recommandable amha.

Connais pas.Encore un disque à découvrir.

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Area : Arbeit Macht Frei (73)


Parmi les meilleurs premiers albums jamais réalisés, on cite très peu ce Arbeit Macht Frei et pourtant il a toutes les qualifications requises pour faire partie de la liste : une insolente originalité, un niveau technique irréprochable, une cohésion sans faille et un esprit défricheur.

Un indispensable.

Area : Caution Radiation Area (74)


Tout aussi fabuleux que le premier album, avec une dimension expérimentale de plus en plus proéminente au fur et à mesure que les titres défilent.

Area : Crac! (75)


Troisième et brillant chapitre de ce jazz-rock aux arrangements exubérants et à la souplesse rythmique estampillée 70's qui ravira à coup sûr les amateurs de Magma, Soft Machine, Zao ou encore Nucleus.

Grandiose Area. Le meilleure groupe italien de jazz rock avec un chanteur hors du commun nommé Demetrio Stratos (il avait même enregistré pour John Cage). Dommage qu'il ait disparu si jeune. Il est à noter qu' Area, contrairement a beaucoup d'autres groupes, a plutôt durci sa musique au fur et à mesure des parutions pour avoisiner le free jazz (Steve Lacy a joué avec eux). Mais les 4 premiers disques qu'Arnaud a signalés sont les plus jazz rock pur avec une personnalité très marquée. A rapprocher de Magma, sinon par le style, du moins par l'intention.

Dans la nébuleuse de Soft Machine (côté jazz), voici une petite perle :

The Keith Tippett Group : Dedicated To You, But You Weren't Listening (1971)


Keith Tippett, fantastique pianiste de jazz britannique fut un temps pianiste de King Crimson (Il est sur In The Wake Of Poseidon, Lizard, et Islands). Il est accompagné d'Elton Dean au sax, ainsi que de Marc Charig et Nick Evans (l'ossature cuivresque du Soft 3) et d'un certain Robert Wyatt à la batterie. Il faut écouter ce joyau qui oscille entre du jazz rock tendance Nucleus, du free jazz et du Canterbury. Le morceau "Green and Orange Night Park" est un pur chef d’œuvre avec un solo d'anthologie d'Elton Dean, et une rythmique à deux batteries qui propulse l'ensemble vers des sommets. Je dédie ces lignes au pianiste qui nous a quittés au mois de juin.

Pas encore écouté ce disque de Tippett mais ça ne saurait tarder.

Content de notre accord concernant les extraordinaires Area.

D'ailleurs je viens de m'écouter Maledetti (76)


Effectivement plus expérimental que les précédents mais tout aussi éblouissant et brillant (quelles parties de claviers!).
Vraiment une formation hors de commun.


P.S. : Je n'ai pas vraiment saisi l'objet de leur revisite du troisième Brandebourgeois.

Area : 1978 Gli dei se ne vanno, gli arrabbiati restano! (78)


Le dernier album avec le chanteur (il serait plus exact de parler de "vocaliste") Demetrio Stratos.
La musique est parfois, plus terrienne, plus funky et groovy, mais les audaces sont toujours présentes (ces flaques de piano façon Cecil Taylor) avec encore et toujours ces textures de claviers sublimes de Patrizio Fariselli.

Un essentiel de plus!

Area : Tic and Tac (80)


Le dernier disque du groupe, suite au décès de Demetrio Stratos en 79.

Eu égard a ces circonstances tragiques, le disque est instrumental et s'il est clairement moins audacieux et original que les précédents, il n'en demeure pas moins appréciable avec quelque chose de chaleureux, coloré et festif dans la lignée du Weather Report période Heavy Weather.

Arti e Mestieri : Tilt (74)


Après l'extraordinaire Area, on continue dans le jazz-rock transalpin avec Arti e Mestieri.

Palette instrumentale étendue (guitare,violon, claviers, vibraphone, sax), batteur déchaîné (l'époustouflant Furio Chirico) et thèmes colorés portés par ce lyrisme typiquement italien.

Une merveille!

Arti e Mestieri : Giro di valzer per domani (75)


Mêmes qualités que le disque précédent avec ici une influence du Mahavishnu Orchestra plus marquée.

www.deezer.com/fr/album/12175678
     www.allmusic.com/album/helen-12-trees-mw0000506771    

Charlie Mariano vaut bien une réponse. C'est l'un de mes saxophonistes préférés. c'est un musicien avec deux carrières : une première américaine dans un jazz plutôt classique, et une deuxième européenne, où il a pu donner sa pleine mesure, avec l'apport de l'influence indienne (karnatique). Et "Helen 12 Trees" en est un magnifique exemple. A écouter aussi avec Eberhard Weber, ou le Jazz + Rock Ensemble.
Pour Area, c'est la flamboyance et le lyrisme italien qui s'exprime, avec un Furio Chirico qui porte bien son prénom (elle est facile, mais bon, on fait ce qu'on peut  )
Voici l'écoute du jour :

Dušan Jevtović :No Answer (2017) & Live At Home (2018)


Dušan Jevtović est un guitariste de jazz rock serbe très doué qui délivre un jazz rock jubilatoire. A découvrir si ce n'est déjà fait. Sur le premier disque, il est notamment accompagné du batteur israèlien Asaf Sirkis qui possède une belle carte de visite (cf l'article sur wikipedia) et du pianiste Vasil Hadžimanov sur les deux disques, pianiste avec une très belle inventivité. 2 disques très plaisants.

Concernant Charlie Mariano, outre les déjà mentionnés et magnifiques Colours et United Jazz and Rock Ensemble, il y a sa participation au décisif The Black Saint And The Sinner Lady de Mingus, j'aime également beaucoup son apport au Iskender de Supersister et son très beau October sorti en 1977.

Je ne connais pas Dušan Jevtović. A essayer.

Sukellusvene : Vesi-Ja Lintumusiikkia (79)


J'ai dit ici à maintes reprises tout le bien que je pensais de la scène jazz-rock finlandaise des 70's (Jukka Tolonen, Pekka Pohjola...).

Sukellusvene n'échappe pas à la règle avec son jazz-rock lyrique, vibrant et racé.

Un petit chef d'oeuvre.  





P.S. A noter une bien belle version du Sea Journey de Corea en bonus.

Tout à fait en phase sur le jazz rock finlandais. En voici un autre :

Finnforest : Finnforet - Latto Maktalle (1976)

Du jazz rock (finlandais, bien sûr) à son meilleur niveau. A découvrir pour ceux qui ne connaissent pas. C'est la réunion des 2 premiers albums de 1975 et 1976.

Et voici un petit bijou : Mike Westbrook Orchestra : Metropolis (1971)


Avec Mike Westbrook, on est souvent dans du jazz pur, mais ce disque reflète assez bien la courte période où le pianiste britannique a flirté avec le jazz rock. Que dire de ce disque ? Déjà, il y a plus de 20 instrumentistes, avec presque tout ce que la Grande Bretagne compte de musiciens de talent: John Surman, John Taylor, Kenny Wheeler, Harry Beckett, John Marshall, Gary Boyle pour n'en citer que quelques uns. Un seul morceau qui frise 1 heure, divisé en 9 sections. Un big band donc qui délivre une musique avec un enthousiasme extraordinaire. Un disque qui transcende les genres, à condition de ne pas être allergique aux soufflants (5 trompettes, 5 trombones, 5 saxophones, 2 batteries, 2 claviers, 2 basses, 1 guitare et une vocaliste). Plus tard, Mike Westbrook lorgnera du côté de Henry Cow, et Lindsay Cooper fera même partie de son orchestre au sax sopranino. Pour les oreilles aventureuses.

Je connais Finnforest. C'est excellent, un peu entre le Mahavishnu Orchestra ,Camel et Finch.
Je ne connais pas Metropolis (enfin à part celui de Dream Theater ). A essayer.

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Dixie Dregs : What If (78)


Encore un des très grands disques de la période.

Produit par Ken Scott, on a droit ici au splendide Odyssey et surtout au chef d'oeuvre absolu d'écriture et de poésie qu'est Night Meets Light.

Essentiel.

John McLaughlin : Extrapolation (69)


Excellent album avec un John Surman très inspiré.

Dixie Dregs : Night of the Living Dregs (79)


Entre americana et jazz-rock.

Excellent.

Dixie Dregs : Free Fall (77)


Toujours ce cocktail fascinant qui oscille entre le Mahavishnu Orchestra et les Allman Brothers.

Jack DeJohnette : Untitled (76)


Entre Weather Report et Oregon.

Fascinant.

Dixie Dregs : Dregs of the Earth (80)


Un de leurs meilleurs disques, dont le mirifique I'm Freaking Out est un témoin éloquent.

Al Di Meola : Land of the Midnight Sun (76)


Un premier album impressionnant qui consacre le toucher et la vélocité extraordinaire d'Al Di Meola (âgé d'à peine 20 piges ).