Playlist (146)

gluckhand a écrit:

Pour en revenir au Piano-rolls, ce serait peut être interessant de retenter l'expèrience avec des pianistes d'aujourd'hui, pour voir s'il y a une grande différence entre leur jeu réel et leur jeu au piano-rolls?

Ça a en tout cas été testé, pour la voix, avec des cylindres, et en effet le timbre est totalement changé. Il est (très) possible que le phrasé pianistique lui-même soit altéré dans ces processus de restitution, en effet !

Cololi a écrit:

Ropartz : Requiem (Piquemal)

gluckhand a écrit:

Un très beau disque.Le jeune violoncelliste canadien à un très beau son,et sait habilement nous mener dans cet entrelacement musical du violoncelle ,qui a ses origines dans différentes époques.D'abord sûrement Bach et sans doute ,aussi tous ces grands luthistes anglais du 17 ème, que le compositeur apprèciait plus que tout.
Tout ça pour arriver à la belle sérénité et la belle suavité de Britten,cette grande ludicité et aussi cette profonde nostalgie  ,qui sont toujours présentes dans la musique de ce grand compositeur.Beau voyage musical ,en tout cas ,à travers ces trois belles suites,ou l'interprète s'investit totalement.

Je l'ai très souvent entendu pendant ses études au CNSM à Paris : un monstre de déchiffrage, il peut monter un Quatuor piano-cordes de Marx en une séance (et en faire quelque chose de réellement expressif), joue aussi bien le grand répertoire que Boulez… et une véritable sensibilité d'interprète… !

• Lazzari: Trio avec piano op. 13 en sol mineur / Kienzl: Trio avec piano op. 13 en fa mineur:

Thomas Christian Ensemble
Munich, X.2012
CPO

Disque magnifique! Le trio de Kienzl dans la même veine que ses quatuors que j’aimais déjà beaucoup; mais Lazzari:

Benedictus a écrit:

• Lazzari: Trio avec piano op. 13 en sol mineur / Kienzl:

Thomas Christian Ensemble
Munich, X.2012
CPO

Disque magnifique! Le trio de Kienzl dans la même veine que ses quatuors que j’aimais déjà beaucoup; mais Lazzari:

Kienzl d'un lyrisme épatant, oui.

Lazzari, j'ai moins aimé, mais c'est tellement différent de ses opéras beaucoup plus « frontaux », en effet ! (un peu comme l'écart de Dupont entre la Cabrera, Antar et les mélodies !)

Schmidt : Symphonie n°4 (Jarvi)

Je préfère nettement les deux premières symphonies...

arnaud bellemontagne a écrit:

Schmidt : Symphonie n°4 (Jarvi)

Je préfère nettement les deux premières symphonies...

Oh ! C'est étonnant ça ... Je trouve personnellement que c'est la plus intéressante des quatre. Tu devrais peut-être essayer de la réécouter plus tard ? Et dans une autre version  ?

Je ne sais pas, je trouve quelque chose de plus allant et de plus printanier dans les deux premières.

Très étonnant oui. A réécouter !

arnaud bellemontagne a écrit:

Schmidt : Symphonie n°4 (Jarvi)

Je préfère nettement les deux premières symphonies...

Pourquoi ne suis-je pas étonné ?

(Je partage ton inclination d'ailleurs, même si les deux suivantes sont peut-être encore plus personnelles et complexes.)

arnaud bellemontagne a écrit:

Je ne sais pas, je trouve quelque chose de plus allant et de plus printanier dans les deux premières.

Les deux premières sont assurément plus souriantes.

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Les Partitas

Menno van Delft, clavicorde Christian Gotthelf Hoffmann 1784


https://classik.forumactif.com/t2321p150-bach-suites-anglaises-francaises-et-partitas-pour-clavier#1187559

Ezko Kikoutchi (*1968) :
Onibi pour saxophone, accordéon et violoncelle (2017)
Trio Sæitenwind

L’aile suspendue entre le ciel et l’eau pour piano (2013)
Gilles Grimaître

Miraï pour orchestre (2014/15)
Orchestra della Svizzera italiana (Pablo González)

Michael Jarrell (*1958) : Résurgences pour saxophone et 8 instruments (1995)
Bruno Mantovani (*1974) : Bug pour saxophone alto (1999)
Yann Robin (*1974) : Schizophrenia pour clarinette et saxophone soprano (2006)
Martin Matalon (*1958) : Prelude and Blue pour saxophone, percussion et contrebasse (2001)
Philippe Hurel (*1955) : À bâtons rompus pour saxophone alto et percussion (2008)
Franco Donatoni (1927–2000) : Hot pour saxophone et 6 instruments (1989)

Vincent David, saxophones

Anne Cartel, flute
Pierre Dutrieu, clarinette
Alain Billard, clarinette
Benjamin Chareyron, cor
Laurent Bômont, trompette
Alain Rigollet, trombone
Victor Hanna, percussion
Hideki Nagano, piano
Alexis Descharmes, violoncelle
Nicolas Crosse, contrebasse

Jean Deroyer, direction

Bruno Mantovani (*1974) :
Symphonie n° 1 L’idée fixe pour orchestre (2015)
Abstract pour orchestre et violoncelle principal (2018)

Marc Coppey, violoncelle
Orchestre philharmonique de Monte-Carlo (Pascal Rophé)

Enno Poppe (*1969) : Prozession pour grand ensemble (2015/20)
Ensemble Musikfabrik (Enno Poppe)

Brahms : Piano Trio n°1 (Suk/Katchen/Starker)

lulu a écrit:

Enno Poppe (*1969) : Prozession pour grand ensemble (2015/20)
Ensemble Musikfabrik (Enno Poppe)

C'est un disque ou une bande radio?

Entre hier et aujourd’hui:

• Le Coucher du Roi, musiques pour la Chambre de Louis XIV. Œuvres de Lully, Marais, Visée, Lalande…:

Thibaut Roussel (théorbes, guitares, direction), Danaé Monnié (dessus), Marc Mauillon (basse-taille), Josèphe Cottet, Yoko Kawakubo (violons), Thomas Leconte, Valérie Balssa (flûtes allemandes), Myriam Rignol, Mathilde Vialle, Julie Dessaint (violes), Sébastien Daucé (clavecin), Romain Falik (théorbe)
Versailles, VII.2019
Château de Versailles

Magnifique disque de musique de chambre Grand Siècle, dans une réalisation musicale particulièrement exaltante (beaucoup de grain, de finesse, et quelle vie!)

• Avet Rubeni Terterian: Symphonie n°3 (1976) pour duduk, zurna et grand orchestre symphonique:

Tigran Aleksanyan, Vahe Hovanesian (duduks, zurnas), Kirill Karabits / Bournemouth Symphony Orchestra
Poole, III.2019
Chandos

Pas spontanément mon truc - mais comme pour la 6ᵉ et la 7ᵉ écoutées il y a déjà quelque temps, c’est très singulier, impressionnant et prenant (dans une veine assez verticale, itérative et abrasive), avec un grain très marqué (l’utilisation non-folklorique des duduks et zurnas.)

• Josquin Desprez: Missa Hercules Dux Ferrarie:

Peter Phillips / The Tallis Scholars
Oxford, ?
Gimell

Dernière parution josquinienne des Tallis Scholars. S’ils ont gardé leur identité(style anglais très droit, sobre, pudique - un peu désincarné, tout le contraire de Cantica Symphonia), ils ont gagné en richesse de timbres (ça n’a plus ce côté «blanc») et surtout sont d’une maîtrise absolument sidérante (la netteté des attaques, la tenue du son…)
Et l’œuvre est une des plus extraordinairement denses et complexes de Josquin (pas encore écouté les deux autres messes.)

• David Philip Hefti: Ph(r)asen, Quatuor à cordes n°1 (2007). Guggisberg-Variationen, Quatuor à cordes n°2 (2008). Mobile. Quatuor à cordes n°3 (2011):

Leipziger Streichquartett
Marienmünster, I & V.2012
MDG

J’aime énormément (pas très étonnant: élève de Rihm et de Kelterborn…) Le langage est largement «contemporain à l’ancienne» (et même assez «avancé» en termes de recherches sur les textures, les modes de jeu et la cinétique), mais avec d’incessantes allusions à la tradition classique et romantique (Haydn, Schumann, Brahms) ou au folklore (le Guggisberglied du 2ᵉ quatuor), et le tout porté par un sens aigu des contrastes expressifs et des ruptures. (Pas encore écouté le 4ᵉ quatuor qui complète le disque.)

Mozart: Die Zauberflöte (Mannion, Dessay, Kitchen, Blochwitz, Scharinger, Hagen, Les Arts Florissants, Christie) .

Benedictus a écrit:

lulu a écrit:

Enno Poppe (*1969) : Prozession pour grand ensemble (2015/20)
Ensemble Musikfabrik (Enno Poppe)

C'est un disque ou une bande radio?

radio.

à cause de Benedictus :

Roman Haubenstock-Ramati : Quatuor à cordes n° 2 (1977)
Cristóbal Halffter : Quatuor à cordes n° 7 (2007)
Friedrich Schenker : Quatuor à cordes (1971)
David Philip Helfti : Quatuor à cordes n° 4 (2011)

Leipziger Streichquartett

note : il s’agit en fait de deux quatuors différents : l’ancien quatuor de Leipzig dans le cas de Schenker, et le nouveau (aussi appelé Neues Leipziger Streichquartett à leurs débuts) dans les autres cas.

Elżbieta Sikora (*1943) : Sonosphère V. Wanda Landowska pour orchestre et guitare électrique (2019)
Hanna Kulenty (*1961) : Aisthetikos pour sax soprano, piano et orchestre (2019)
Grażyna Bacewicz (1909−1969) : Contradizione pour orchestre de chambre (1966)
Agata Zubel (*1978) : In the Shade of an Unshed Tear pour orchestre (2016)

Bartłomiej Duś, Magdalena Duś
Misja Fitzgerald Michel, guitare électrique
Orchestre Pasdeloup (Marzena Diakun)

Prokofiev: Concerto pour piano n°4/Redkin, Gergiev (Blu-Ray)

+

Agata Zubel (*1978) : Fireworks pour orchestre (2018)
Clara Iannotta (*1983) : Moult pour orchestre de chambre (2018–19)

ORF Radio-Symphonieorchester Wien (Marin Alsop)

Quand on voit la surreprésention des compositeurs néotonals américains dans la discographie de Marin Alsop, voilà qui est surprenant!

Micheline Coulombe Saint-Marcoux (1938–1985) : Hétéromorphie pour orchestre (1970)
Francesca Verunelli (*1979) : Tune and Retune pour orchestre (2017–18)

Orchestre Philharmonique du Luxembourg (Baldur Brönnimann)

c’est si rare d’entendre Coulombe Saint-Marcoux...

Wang Lu (*1982) : Rates of Extinction pour piano (2016)
Misato Mochizuki (*1969) : Moebius-Ring pour piano (2003)
Emily Praetorius (*1990) : Of Being pour piano (2019)

Ning Yu

Rebecca Saunders (*1967) :
Shadow pour piano (2013)
Dust pour percussion (2017/18)
Solitude pour violoncelle (2013)
Flesh pour accordéon avec récitation (2018)
Hauch pour violon (2018)
to an utterance – study pour piano (2020)

Klangforum Wien

Johann Hermann Schein: Les fontaines d'Israël (Israelis Brünnlein)

Brahms : Piano trio n°2 (Suk/Katchen/Starker)

Michael Pelzel (*1978) : Sculture di suono pour ensemble (2014)
Michel Roth (*1976) : MOI pour ensemble (2012)
Tristan Murail (*1947) : Un Sogno pour ensemble et électronique (2014)
Georg Friedrich Haas (*1953) : Introduktion und Transsonation pour ensemble (2012)

Klangforum Wien
Emilio Pomàrico, Sian Edwards, Johannes Kalitzke

Chostakovitch - Symphonie n°4

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°6 en fa majeur, Op. 68

= Sergiu Celibidache, Orchestre philharmonique de Munich

(Emi, janvier 1993)

Ce n'est pas tant la lenteur qui m'indispose que le flou généralisé (hormis quelques bois bien focalisés) alors qu'à une telle allure
les phrasés pourraient se permettre une redoutable précision, des révélations polyphoniques qui hélas pataugent dans un flasque brouet,
que je trouve aussi peu beethovenien que possible.

Bernhard Lang (*1957) :
Monadologie XVI “solfeggio” pour flute (2011)
DW 25 ... more loops for U. pour contrebasse (2015)
DW 22 “Winterlicht” pour flute basse et contrebasse (2010)

Manuel Zurria, flutes
Dario Calderone, contrebasse

Wang Lu (*1982) :
An Atlas of Time pour grand ensemble (2013)
Boston Modern Orchestra Project (Gil Rose)

Ryan and Dan pour sax ténor et guitare électrique (2017)
Ryan Muncy, Daniel Lippel

Double Trance pour quatuor à cordes (2016)
Momenta Quartet

Unbreathable Colors pour violon seul (2017)
Miranda Cuckson

Siren Song pour ensemble (2010)
Boston Modern Orchestra Project (Gil Rose)

Thomasl47 a écrit:

Chostakovitch - Symphonie n°4

Terrible!

Scriabine: Le Poème de l'extase/Tabachnik (Cité de la musique 2010)



Sibelius: 3 mélodies/Hannigan (Cité de la musique 2013)

Etonné par tout le ramdam, que cette version a provoqué à son époque .Elle est d'un très haut niveau et sa vision, tout à fait convaincante pour moi.Apparemment, il y a ceux qui adorent et les autres qui détestent, les premiers semblent quand même, les plus nombreux heureusement et ceux qui détestent, leurs arguments sont peu convaincants, si on compare cette version à d'autres pianistes vivants.Beaucoup de pianistes sont singuliers dans Bach et aussi dans cette oeuvre,c'est ce qui fait son intèrêt , bref pas de quoi fouetter un chat-chat.

Pas aimé...je crois que la version Gould (81) m'a déformé l'oreille pour l'éternité.


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Brahms : Piano Trio n°3 (Suk/Katchen/Starker)

arnaud bellemontagne a écrit:

Pas aimé...je crois que la version Gould (81) m'a déformé l'oreille pour l'éternité.  


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Brahms : Piano Trio n°3 (Suk/Katchen/Starker)

As tu écouté Zhu Xiao Mei (elle a enregistré 2 fois les Goldberg)

gluckhand a écrit:

Etonné par tout le ramdam, que cette version a provoqué à son époque .Elle est d'un très haut niveau et sa vision, tout à fait convaincante pour moi.Apparemment, il y a ceux qui adorent et les autres qui détestent, les premiers semblent quand même, les plus nombreux heureusement et ceux qui détestent, leurs arguments sont peu convaincants, si on compare cette version à d'autres pianistes vivants.Beaucoup de pianistes sont singuliers dans Bach et aussi dans cette oeuvre,c'est ce qui fait son intèrêt , bref pas de quoi fouetter un chat-chat.

Une version magistrale !
Je trouve justement que c'est comme une version améliorée de celle de Gould ou, du moins, un bel hommage à ce dernier.

Pour moi, peut-être la meilleure version piano que j'aie entendue. Voilà. (Enfin un truc avec du relief, et sans les options un peu extrêmes de Gould.)

Après, c'est sûr que c'est mieux à la guitare ou à la harpe, mais c'est pas la question qu'on m'a posé.

--

Sinon, ici, parution toute fraîche du jour :

NOUVELLE VERSION DU QUINTETTE DE DUBOIS
DANS UNE VERSION AVEC HAUTBOIS
AVEC TRIENDL
CHEZ CPO

Vous aviez vraiment cru que je ferais autre chose ce soir ?

Ravel: 3 Poèmes de Mallarmé/Piau (Pleyel 2007)

+

"Il genio inglese"
Nicola Matteis (le père), un napolitain à Londres
Nicola Matteis (1667-1737) ;
Johann Schop (1590-1667) ;
Matthew Locke (1621-1677) ;
Gottfried Finger (1660-1730) ;
John Banister (1624-1679).

Ground Floor /
Elena Andreyev, violoncelle
Etienne Galletier, Théorbe
Angélique Mauillon, harpe
Pierre Gallon, clavecin
& Alice Julien-Laferrière, violon

Elena Andreyev (par ailleurs violoncelliste du Ground) : " Autour du violon d’Alice Julien-Laferrière, Ground Floor [...] a travaillé textures, teintes et coloris, cherchant à déplier, comme le propose Proust, le paysage que découvre Nicola Matteis lorsqu’il arrive, après avoir traversé l’Europe à pied, dit-on, dans cette Angleterre qui se remet de ses blessures. Des danses populaires aux riches salons, des silencieux sentiers de sous-bois aux quais animés et affairés de la Tamise, Matteis compose, avec une flamme toute latine, son propre Genio inglese, précédant dans sa relation affectueuse et fructueuse avec cette Londres si mélomane, les plus grands musiciens du XVIIIe siècle. "

 de très belles découvertes : la suite en mi mineur de Matthew Locke, ou "A division upon a ground, en fa" de John Banister. Et de très beaux Matteis, qui a décidément le vent en poupe. Matteis : en force ! Sinon, entre Pierre Gallon (qu'on ne présente plus), Alice Julien-Laferrière (Duo Coloquintes, entre autres), et celles ou ceux que je ne connais pas :  

Ravel: Shéhérazade, 3 mélodies/Petibon, Foster (Cité de la musique 2013)



(avec l'erreur dont je viens de parler en discographie)

Un double album merveilleux,une musique toujours enchanteresse, même si elle servait paraît il, aux levers et couchers du roi.J'avance peu à peu ,dans la connaissance de Marin Marais, après avoir écouté déjà ,avec délice,des pièces de violes,là c'est toujours aussi beau, très français,très caractèristique de cette époque,il me semble.Sur le post consacré à ce compositeur, on ne parle presque pas de cette superbe version, sauf pour dire ,qu'elle "sonnait américain", ce qui ne veut pas dire grand chose pour moi, et ce n'est certainement pas rendre justice à ces deux très beaux disques .Je me les suis passé en boucle toute une  nuit, vraiment un plaisir esthètique et jouissif à écouter.

György Ligeti : Requiem pour soprano, mezzo, deux chœurs et orchestre (1963–65)
György Ligeti : Lux aeterna pour 16 voix (1966)
Ravel/Gottwald : Soupir pour 16 voix
Debussy/Gottwald : Les Angélus pour 6 voix
Debussy/Gottwald : Des pas sur la neige pour 16 voix
Mahler/Gottwald : Ich bin der Welt abhanden gekommen pour 16 voix

Gabriele Hierdeis, Renée Morloc
Kammerchor Stuttgart
Óbudai Danubia Zenekar
Frieder Bernius

lulu a écrit:

Debussy/Gottwald : Des pas sur la neige pour 16 voix

Je ne savais pas que ça existait, mais j'avais commis une petite transcription de ce prélude pour quatre pupitres de voix divisés à l'occasion, soprano solo et piano (ce dernier très minimaliste)... Finalement ça n'a jamais été joué, et je ne sais même pas où est passée la partition (ou plutôt si je le sais, mais je m'en fous)...

Monteverdi: Orfeo (Hansmann, Kozma, Berberian, Simkowsky, Katanosaka, Villisech, Capella antiqua München, Concentus Musicus Wien, Harnoncourt) .

Cet enregistrement a 53 ans et, en dépit de l'explosion ultérieure du mouvement baroqueux, n'a pas pris une ride. Magnifique !

JS Bach, Sonates et Partitas pour violon seul
Leila Schayegh