Playlist (146)

Oui on en a rapidement parlé ici: https://classik.forumactif.com/t5513-schmitt-oeuvres-orchestrales-et-chorales?highlight=schmitt#1187196

Ravel: Berceuse sur le nom de Fauré, Sonate pour violon et violoncelle/Juillet, Rogé, Mork



Avec partition.

Ravel: Sonate posthume pour violon et piano/Juillet, Rogé
Introduction et Allgro/Melos ensemble

Wagner : Tannhauser (Layer DVD)


Tannhauser reste mon opéra préféré du premier Wagner (pré-l'Or du Rhin), même si Lohengrin est sans doute plus homogène d'un point de vue qualitatif et le Vaisseau Fantôme plus cohérent et évocateur.

Xavier a écrit:

Oui on en a rapidement parlé ici: https://classik.forumactif.com/t5513-schmitt-oeuvres-orchestrales-et-chorales?highlight=schmitt#1187196

Zut, en effet!


Les Métaboles d'Henri Dutilleux par l'Orchestre de Paris sous la direction de Paavo Järvi.

Stravinsky: Chant funèbre, Feu d'artifice, Le Faune et la bergère/Chailly Lucerne, S.Koch

+

David Philip Hefti (*1975) : Die Schneekönigin pour soprano, deux voix parlées et orchestre (2018)
Mojca Erdmann, Delia Mayer, Max Simonischek
Tonhalle-Orchester Zürich (David Philip Hefti)

Kurt Schwertsik/ une musique plutôt originale ,mais qui ne bouscule pas non plus ,l'histoire de la musique.On le dit fondateur ,avec d'autres de la 3ème école de Vienne. Très beau disque quand même.




Costin Miereanu  n'a sûrement pas la place qu'il mérite dans la musique contemporaine, mais  c'est le cas pour beaucoup d'autres.



Avec Corrette, on ne s'ennuie jamais,c'est de la bonne musique pour tous et pour tous les instants.

Nørgård : Symphonie n°3 (Segerstam)

C'est pas mal !

Strauss: Salomé/Chailly-Michieletto

Messiaen : Visions de l'Amen (Osborne/Roscoe)


On voit l'immense cycle des 20 Regards qui se profile à l'horizon.

Krzysztof Penderecki : Actions pour orchestre de free jazz (1971)
Fire! Orchestra

v.o. sur l'album : www.discogs.com/fr/Penderecki-Don-Cherry-The-New-Eternal-Rhythm-Orchestra-Actions/release/1744306

gluckhand a écrit:

Kurt Schwertsik/ une musique plutôt originale, mais qui ne bouscule pas non plus l'histoire de la musique. On le dit fondateur, avec d'autres, de la 3ème école de Vienne. Très beau disque quand même.

J'avais écouté ça et je me souviens que ça m'avait bien plu. Je rejoins tout à fait ton propos en tout cas. Il faudrait que je réécoute ça.

Ici :

Suk : Suite Pohádka - Philharmonie tchèque, Zdeněk Mácal

Sibelius : Symphonie n°4 - Radio finlandaise, Hannu Lintu
→ Je poursuis cette magnifique intégrale Lintu. Une 4è plus expressive qu'ascétique. Disons qu'on est plus dans l'optique d'un Ashkenazy que d'un Berglund dans cet opus. Personnellement après avoir longtemps préféré l'option plus "désincarnée" j'aime autant les deux maintenant. Et Lintu tisse un vrai fil conducteur et emboîte parfaitement toutes les pièces; c'est ce qui fait l'intérêt des versions plus expressives je trouve.

Prokofiev : Roméo et Juliette - Royal concertgebouw, Myung-Whun Chung

Atterberg : Symphonie n°3 - Götebörg S.O., Neeme Järvi
→ Je reviens à cette seule symphonie que j'avais vraiment écoutée de ce corpus, et je procède à deux écoutes successives. Je commence à trouver un réel intérêt à cette œuvre qui à priori n'invente rien. Du coup, et après avoir relu le sujet Atterberg sur le forum, je vais en tenter d'autres.  

Iskender a écrit:

Sibelius : Symphonie n°4 - Radio finlandaise, Hannu Lintu
→ Je poursuis cette magnifique intégrale Lintu. Une 4è plus expressive qu'ascétique. Disons qu'on est plus dans l'optique d'un Ashkenazy que d'un Berglund dans cet opus. Personnellement après avoir longtemps préféré l'option plus "désincarnée" j'aime autant les deux maintenant. Et Lintu tisse un vrai fil conducteur et emboîte parfaitement toutes les pièces; c'est ce qui fait l'intérêt des versions plus expressives je trouve.

Décidément, à force de lire du bien de ces lectures de Lintu, je suis de plus en plus tenté de les découvrir .

Stravinsky: Le Sacre du printemps/Chailly Lucerne

Stravinsky: Scherzo fantastique/Chailly Lucerne

+

L. v. Beethoven
* Quatuor op.18 no.5
Quatuor Alexander (Arte Nova)
W. A. Mozart
* Quatuors no.14 K. 387 & no.15 K. 421
Quatuor Alban Berg (Teldec)

Bartok: Le Mandarin merveilleux/Dausgaard

Varèse : Arcana (Chailly)


Version luxueuse à souhait.

Gustav Mahler
* Symphonie no.5
Gewandhaus de Leipzig
Václav Neumann (1965)

Jolie interprétation qui comble mes attentes avec la belle ligne des contrebasses en évidence à la fin de l'Adagietto.
Provient d'un coffret 5 CD paru en 2001 sous étiquette 'edel classics'.

+

Langgaard : Music of the Spheres (Rozhdestvensky)

Goffredo Petrassi (1904–2003) :
Suoni notturni pour guitare (1959)
Seconda serenata – Trio pour harpe, guitare et mandoline (1962)
Nunc pour guitare (1971)
Alias pour guitare et clavecin (1977)

Angelo Colone, guitare
Sonia Maurer, mandoline
Patrizia Carciani, harpe
Corrado de Bernart, clavecin

Camille Pépin: The Sound of Trees
Ça commence plutôt bien, c'est assez joli même mais... par la suite, ça se rapproche vraiment trop de la musique de Steve Reich (que je n'apprécie pas plus que ça).
Dommage.

Jean Sibelius
* Symphonie no. 4
City of Birmingham Symphony Orchestra
Simon Rattle

Sinistre et lugubre, pour employer les qualificatifs à David.

+

Ravel: Concerto en sol/Bernstein, Bernstein (DVD)



Ravel: Shéhérazade/Horne, Bernstein (DVD)

Xavier a écrit:

Bartok: Le Mandarin merveilleux/Dausgaard

Encore un enregistrement de la version révisée tout à fait intégrale avec le rétablissement des mesures coupées par ci par là par Bartok après la première scènique.

Varèse : Amériques (Chailly)

Intense.

Georg Friedrich Haas : equinox (2018)
Après Hypérion , un concerto pour la lumière, qui m'avait pas mal déçu, un peu remplissage même, cette oeuvre Equinox n'est pas prête à me réconcilier avec le compositeur, qui après avoir fait des oeuvres magnifiques, tourne un peu à vide, c'est bien fait ,harmonieux et ça peut plaire à un certain public, mais moi j'en demande plus,surtout ,venant de lui .On sent ici, une grande part de métier et une certaine sentimentalité ,un peu facile je trouve venant de sa part.

Valentin Silvestrov: Sixième Symphonie par V. Gergiev / Mariinsky Orch.:

Je lance l'écoute, le début capte tout de suite mon attention avec son climat sinistre et lugubre, un peu le même que dans la Sixième de Chostakovitch ou encore la Quatrième de Sibelius. Dans un style beaucoup plus contemporain ici, on peut rapprocher cette oeuvre de la Deuxième de Corigliano.

+

Bartok: Chants paysans hongrois, Suites n°1 et 2/Dausgaard

Dimitri Chostakovitch
* Symphonie no. 11 'L'Année 1905'
Orchestre Philharmonique de Iéna
David Montgomery (Arte Nova, 1996)

Sibelius: Symphonie n°4/Ansermet

+

Strauss: Salome (Marton, Zednik, Fassbaender, Weikl, Berliner Philharmoniker, Mehta) .

Première fois que j'écoute cette version. Marton vibre beaucoup comme d'habitude, mais elle incarne son personnage de manière convaincante. Zednik et Fassbaender sont royaux. Et l'orchestre de Mehta somptueux .

Oui, j'aime beaucoup aussi.

Deux disques de Schumann, et deux pianistes totalement différents dans leur façon de jouer ce compositeur ,chez Maria Tipo, c'est ciselé, délicat, presqu'improvisé, chez Arrau, c'est pensé, construit,on privilègie l'ensemble au détail, bref deux formidables façons de jouer Schumann.Chez Arrau, on ne peut s'empêcher de sentir la vision et la globalité de chaque oeuvre.Là il est particulièrement grand et me semble faire partie, de la suite de très grands pianistes schumaniens dont Carl Friedberg (1872-1955),élève lui-même de Clara Schumann.C'est vraiment magnifique et il me tarde d'écouter plus de Schumann, par lui,même si les coffrets sont hors de prix, il nous reste YT.
Loin de moi l'idée de diminuer Maria Tipo,c'est un Schumann, plus solaire,comme seules les femmes savent le faire,magnifiquement libre et indépendant .Deux visions qui se complètent pour moi,au lieu de se nuire.

Schütz: Schwanengesang  / Hilliard Ensemble

Sûrement, une de mes oeuvres de chevet ce psaume 119.Schutz se trouve ici,apaisé et serein,dans ses dernières oeuvres .On est presque heureux d'être libèré de cette vie, de ce fardeau ,que peut être parfois la vie,surtout en vieillissant . Bien sûr, après avoir rempli ,une vie normale et complète qui va jusqu'au bout.La version Hillard, même si elle n'est pas ma préfèrée, reste de haute volée spirituelle,ce sont d'excellents chanteurs,et l'on respire même ,une certaine extase ,par moments.Cela peut  même devenir, une drogue spirituelle , pour certains, on plane à une telle altitude et à une telle beauté, que demander de plus,sinon rester là,en haut ?

Chostakovitch : Symphonie n°6 (Kondrachine)


La symphonie qui commence    et qui finit  

Anaxagore a écrit:

Melo chasse sur les terres de David . Tout est possible .

… avec la particularité d'avoir choisi uniquement de mauvais disques.

arnaud bellemontagne a écrit:

Chostakovitch : Symphonie n°6 (Kondrachine)


La symphonie qui commence    et qui finit  

On reprochait à Chostakovitch de composer de la musique joyeuse quand ça allait mal et de la musique triste quand ça allait bien.
La Sixième est l'oeuvre que j'écoute le plus souvent, parfois plusieurs fois par jours, je ne m'en lasse pas.

Oui, une excellente symphonie un peu négligée dans son corpus.

---------------

Messiaen : 20 Regards sur l'Enfant Jésus (Muraro)



Monumental. A mon sens un des sommets du piano du XXème siècle.

Je ne rentrerais pas dans une profondeur et une théorie musicale que je n'ai pas, en parlant de ces madrigaux instrumentaux de Martinu.Je peux simplement dire qu'ils sont tous composés de 1937 à 1948 et que derrière ,cette forme ancienne, réduite le plus souvent à trois instruments,se trouve de la très belle musique.J'ai beaucoup écouté et aimé de plus en plus ,ce disque au fur et à mesure de ses écoutes.Le  Dartington ensemble mérite d'être beaucoup plus connu.Un disque superbe.




Avec Orlando Di Lasso, on passe aux véritables madrigaux chantés, et ceux -là sont de 1587 et dédiés au docteur Thomas Mermann,médecin de la cour de Bavière.Si l'on est plus, dans le flamboiement et la passion folle et insouciante de la jeunesse, on est là,dans une grande maturité et presque parfois, dans une sorte d'expèrience mystique  ou raisonnée, de Di Lasso ou De Lassus.Peut être pas encore précisément Les Larmes de Saint-Pierre, mais on y va directement.J'ai toujours eu beaucoup de respect et d'amour pour ce compositeur. Très bon livret, très fourni et en trois langues.Ce genre d'oeuvres mérite pour moi,plusieurs versions différentes, pour vraiment les apprécier totalement .Il faudrait aussi parler de sa Passion selon St-Matthieu,oeuvre assez étonnante,que je ne vois jamais ,mentionnée nulle part.

DavidLeMarrec a écrit:

Anaxagore a écrit:

Melo chasse sur les terres de David . Tout est possible .

… avec la particularité d'avoir choisi uniquement de mauvais disques.

Je me disais bien qu'un tel accord ne pouvait être qu'apparent .

Schulhoff: Quatuor à cordes n° 1 ;

Sibelius: Quatuor à cordes op. 56 ;

Janáček: Quatuor à cordes n° 1 ;

Henschel Quartett .

Très belle découverte pour moi que le quatuor de Schulhoff .

Vykintas Baltakas (*1972) :
Riro pour soprano et trompette (1995–99)
Ri pour soprano et électronique (2007)
Redditio pour ensemble (2010)
Redditio 2 pour quintette de bois (2013)

Rita Balta, soprano
Sava Stoianov, trompette
St. Christopher Woodwind Quintet
LENsemble
Vykintas Baltakas, direction et électronique

Alberto Posadas (*1967) : Poética del Laberinto pour quatuor de saxophones (2016–17)
Sigma Project

Vykintas Baltakas (*1972) :
Lift to Dubai pour ensemble et électronique (2009)
LENsemble (Vykintas Baltakas)

Smokey Arnold pour flute, clarinette, piano, violon et violoncelle (2015)
Het Collectief

Ouroboros – Zyklus pour soprano, ensemble et électronique (2004–5)
Rita Balta
Klangforum Wien (Johannes Kalitzke)

Samuel Andreyev (*1981) :
Iridescent Notation pour soprano et ensemble (2012–17)
À propos du concert de la semaine dernière pour piano et sept instruments (2013–15)
Nets Move Slowly, Yet pour ensemble (2006–7)
Le malheur adoucit les pierres pour flute basse, cor anglais et basson (2002)
Évènements quotidiens pour ensemble (2011)
Night Division pour sept instruments (2008–10)

Maren Schwier, soprano
Dina Pysarenko, piano
Ukho Ensemble Kyiv (Luigi Gaggero)

La première symphonie de Scriabine.
Je n'ai aucun point de comparaison niveau interprétation, mais cette version m'a semblé tout à fait convaincante.
Assez "inégale" comme symphonie par ailleurs. De beaux moments (1er, 3ème mvts, j'aime bien le 4ème également), mais aussi quelques "longueurs" (l'Andante final me laisse assez de marbre par exemple).