Playlist (147)

Debussy: Ibéria/Roth

Schoenberg : Variations pour orchestre (Gielen)

Aujourd’hui:

• Nono: Prometeo (1981-84) tragedia dell’ascolto, pour solistes vocaux et instrumentaux, chœur, orchestre et électronique live:

Livia Rado, Alda Caiello (sopranos), Katarzyna Otczyk, Silvia Regazzo (contraltos), Marco Rencinai (ténor); Sergio Basile, Manuela Mandracchia (récitants); Alvise Vidolin, Nicola Bernardini (électronique live); Ensemble Prometeo; Marco Angius, Caterina Centofante / Filarmonica Arturo Toscanini, Coro del Teatro Regio di Parma / Martino Faggiani
Parme, III.2017
Stradivarius

Même si le disque sera toujours forcément très en-deçà de l’expérience en salle, je crois que cet enregistrement est probablement celui qui rend le mieux justice à Prometeo. Voir ici.

• Nono: Io, frammento dal Prometeo (1981) pour trois sopranos, petit chœur, flûte basse, clarinette contrebasse et électronique live:

André Richard / Katia Plaschka (soprano léger), Petra Hoffmann, Monika Bair-Ivenz (sopranos), Roberto Fabbriciani (flûte basse), Ciro Scarponi (clarinette contrebasse), Solistenchor Freiburg, EXPERIMENTALSTUDIO der Heinrich-Strobel-Stiftung des Südwestrundfunks, Freiburg
En public, Salzbourg, VIII.2001
Col legno

Dans la foulée, découverte émerveillée de cette œuvre qui déploie le futur matériau «poétique» du Prometeo, que seule son austérité empêche de qualifier de «planant.» Voir ici.

Cet après-midi:

• Pfleger: Cum complerentur dies Pentecostes. Laudate pueri. Laetatus sum. Laudate Dominum. In tribulatione invocavimus. Super flumina Babylonis. Dominus virtutum nobiscum:

Manfred Cordes / Weser-Renaissance Bremen
Gottorf, V.2012
CPO

• Danielis: Propter nimiam charitatem. Ornate aras. O bonitas, o amor! Ad arma fideles. Obstupescite omnes. O! o salutaris hostia!:

Frédéric Desenclos / Ensemble Pierre Robert
Dieppe, XI.2002
Alpha

Deux superbes disques (pas encore écoutés en entier), un répertoire assez rare (motets latins du premier XVIIᵉ pour des cours luthériennes nord-allemande): un style post-Schütz très versatile chez Pfleger, une sensibilité presque française chez Danielis. Voir ici.

Ces jours-ci (liste non exhaustive) :

Mahler : Das Lied von der Erde - Cornelia Gallisch, Siegfried Jerusalem, SWR S.O. Baden Baden und Freiburg, Michael Gielen

Bartók : Deux images opus 10 - Hungarian National P.O., Zoltan Kocsis
→ C'est vraiment l'œuvre que je préfère dans les premiers opus d'orchestre de Bartók. Je la préfère à l'opus 12. Et ces Kocsis chef chez Hungaroton sont excellents. Dans le 2è mouvement de cet opus 10, quand on a Boulez / DG dans l'oreille, quelle bouffée d'oxygène avec Kocsis !

G.F. Haas : Concerto pour trombone - Mike Svoboda, WDR S.O., Alejo Pérez
→ Vu son nom cité par Benedictus sur le sujet Enno Poppe. Alors j'essaye. J'aime bien.

Kurtág : Signs, games and messages pour alto seul - Kim Kashakashian

Kurtág : Grabstein für Stephan / Stele - Berliner Philharmoniker, Claudio Abbado
→ Bien aimé. Écouté deux fois Stele, dont j'aime beaucoup le 3è mouvement.

Et sinon j'ai aussi écouté deux fois ce disque ces jours-ci :



Je ne sais pas ce que vaut l'interprétation, vu que je connais très mal le piano de Scriabine dans lequel je fais des petites excursions de temps à autre. J'aime bien ce piano qui me semble être dans l'esprit de cette musique (du moins comme je l'imagine) et est bien capté (clair et détaillé sans avoir des aigus agressifs) mais encore une fois si c'est à côté de la plaque ce n'est pas moi qui peux avoir un avis. Du coup le vôtre m'intéresse.

Du point de vue des œuvres j'aime beaucoup les sonates 5 & 10; la 8 c'est plus aride pour moi. Les Études op.8 ça me marque beaucoup moins (juste deux trois que j'ai trouvées plus notables). Je sais que ça n'a rien à voir avec les sonates en terme de période chez Scriabine (et je viens d'ailleurs de relire le sujet Général. )

Iskender a écrit:

G.F. Haas : Concerto pour trombone - Mike Svoboda, WDR S.O., Alejo Pérez
→ Vu son nom cité par Benedictus sur le sujet Enno Poppe. Alors j'essaye. J'aime bien.

Je te recommande la présentation de lulu ici (si tu ne l'as pas déjà lue.)
(Mais c'est seulement dans ses œuvres récentes pour grands effectifs que Poppe s'en rapproche un peu - tout en gardant sa signature très distinctive, d'ailleurs.)

Oui j'ai bien lu le sujet du coup. La présentation de Lulu m'a intéressé. Sur ces compositeurs il va falloir que j'aille faire un tour sur le sujet  Si j'aime... aussi un de ces jours car j'essaye des choses, certaines me rebutent, d'autres me plaisent immédiatement.

Bartok : Le Mandarin Merveilleux (Abbado)

Iskender a écrit:

Et sinon j'ai aussi écouté deux fois ce disque ces jours-ci :



Je ne sais pas ce que vaut l'interprétation, vu que je connais très mal le piano de Scriabine dans lequel je fais des petites excursions de temps à autre. J'aime bien ce piano qui me semble être dans l'esprit de cette musique (du moins comme je l'imagine) et est bien capté (clair et détaillé sans avoir des aigus agressifs) mais encore une fois si c'est à côté de la plaque ce n'est pas moi qui peux avoir un avis. Du coup le vôtre m'intéresse.  

J'ai beaucoup aimé aussi, du très beau piano, un tout peu trop de maniérismes j'ai trouvé par moments.

Iskender a écrit:

Du point de vue des œuvres j'aime beaucoup les sonates 5 & 10; la 8 c'est plus aride pour moi. Les Études op.8 ça me marque beaucoup moins (juste deux trois que j'ai trouvées plus notables). Je sais que ça n'a rien à voir avec les sonates en terme de période chez Scriabine (et je viens d'ailleurs de relire le sujet Général.   )

Ca dépend lesquelles, c'est quand même contemporain des 3 premières.

La 8 elle est très belle aussi, mais elle tourne un peu en rond, on pourrait dire qu'elle est moins essentielle et moins inspirée que toutes les autres des 6 dernières, on ne sent pas la même urgence, le même feu, la même nécessité.

Schreker: Der Ferne Klang/Weigle

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Jacchini, Gabrielli, LULIer par Swarts

Gisle Kverndokk : Så kort ein sommar menneska har par Kielland

Schreker : Ferne Klang par le Museumorchester

Graener : Concerto pour piano par Triendl

Takemitsu par P. Järvi

Norah Jones : Come Away With Me

DavidLeMarrec a écrit:

LULIer

Un rapport avec LULLY?

Indice : il y a des lettres en commun.

Ah oui, d'accord, je viens de trouver le disque The Italian Origins of the Violoncello auquel ça renvoie (jamais entendu parler de ce G.L. Lulier, bien sûr, ce qui en soi n'est pas très surprenant.)

P. I. Tchaïkovski
* Concerto no. 1
Ivo Pogorelich, piano
London Symphony Orchestra
Claudio Abbado (DG, 1986)

C'est doux et puissant, Pogorelich, jeune et fougueux, tient la pédale bien enfoncée.
Version très Legato et réverbérée, sans excès.
L'écoute, dans son ensemble, m'est agréable.

Schulhoff: Prélude solennel (ouverture)/Yinon

Schulhoff: Symphonie n°1/Yinon

+

Avec partition. (et c'est en sons réels )

Berg: Lulu-Suite/Schäfer-Boulez (DVD)
Debussy: 3 ballades de F.Villon/Schäfer-Boulez (DVD)

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Debussy: Le jet d'eau/Schäfer-Boulez (DVD)

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Les Pianos de la Nuit...






Au programme ce week end :   W. Walton – F. Chopin – S. Barber – F. Liszt – F. Mendelssohn –

                                               B. Bartók – E. Grieg – M. Balakirev – L. Beethoven – O. Messiaen

Brahms : Symphonie n°1 (Bernstein Sony)

Xavier a écrit:

Schulhoff: Symphonie n°1

Tiens je ne l'ai pas mentionné mais je l'ai écoutée - avec la 3ème - il y a quelques jours (version Philharmonica Hungarica, George Alexander Albrecht). Je ne connaissais que les 2 & 5. J'ai trouvé cette 1ère encore très marquée du sceau de Stravinsky et de Bartók. La 3è en revanche est à rapprocher de la 5ème pour son même côté motorique. Un style qui m'évoque un univers constructiviste. J'aime beaucoup ces symphonies 1, 3, 5 (beaucoup moins la 2).

Ici :

Mahler : Lieder eines fahrenden Gesellen / Kindertotenlieder - Thomas Hampson, Wiener Philharmoniker, Leonard Bernstein

Reger : Eine romantische Suite - SWR S.O., Hans Zender
→ Même ressenti que lors des précédentes écoutes : Le Notturno initial est une merveille. Le tout début, avec sa cellule sur l'intervalle de quarte augmentée et son orchestration me fait irrésistiblement penser à Pelléas. Mais je me perds toujours dans le finale, plus dense et se situant dans de moins hautes sphères.

1) William Walton (1902-1983) :

Sinfonia Concertante

= Kathryn Stott, piano ; Vernon Handley, Royal Philharmonic Orchestra

(Conifer, juillet 1989)

Iskender a écrit:

Xavier a écrit:

Schulhoff: Symphonie n°1

Tiens je ne l'ai pas mentionné mais je l'ai écoutée - avec la 3ème - il y a quelques jours (version Philharmonica Hungarica, George Alexander Albrecht). Je ne connaissais que les 2 & 5. J'ai trouvé cette 1ère encore très marquée du sceau de Stravinsky et de Bartók. La 3è en revanche est à rapprocher de la 5ème pour son même côté motorique. Un style qui m'évoque un univers constructiviste. J'aime beaucoup ces symphonies 1, 3, 5 (beaucoup moins la 2).

Je viens justement de commander cette version, car jusqu'ici je n'ai qu'une version de la 1ère, qui ne me satisfait pas pleinement.
Et je vais toutes les réécouter.
Il n'y a que la 1ère dont j'arrive à trouver la partoche.

2) Frédéric Chopin (1810-1849) :

Vingt-quatre Préludes, Op. 28

= Arthur Rubinstein, piano

(RCA, juin 1946)

Sous les doigts de Rubinstein, ces préludes sont tout sauf fluides, au contraire : grumeleux, bouillonnants, pyroplastiques !
Cette granulosité recompose la structuration des voix, offrant une des études de matériau les plus intéressantes qu'ait connue ce cycle.
Et au-delà de la rugosité du traitement instrumental, chaque pièce devient non un univers mais une histoire voire le fragment d'un captivant journal intime.
Toujours un des sommets parmi les interprétations narratives qui placent l'interrogation (voire l'interpellation !) au premier plan.

Schubert, Winterreise, Joyce DiDonato, Yannick Nézet-Séguin

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Herbig)

Les écoutes ou réécoutes de la semaine, en vrac:

Malcolm Arnold: Symphony No 4 (Richard Hickox)
Benjamin Britten: Spring Symphony / Hymn to St. Cecilia / Five Flower Songs / War Requiem (John Eliot Gardiner)
Albert Roussel: Symphony No. 3 / Le festin de l’araignée (Christoph Eschenbach)
Gabriel Fauré: Thème et variations (Germaine Thyssens-Valentin)
Déodat de Séverac: En Languedoc / Les Naïades et le Faune indiscret (Françoise Thinat)
Claude Debussy: En blanc et noir - orchestré par Robin Holloway - (Jun Märkl)
Zoltan Kodály:  Variations sur un thèmes populaire hongrois, « Le Paon s’est envolé » (Charles Dutoit)
Gustav Mahler: Symphony No. 9 (Daniel Harding)
Louise Farrenc: Symphony No 1, Overtures (Christoph König) - une belle découverte! Je vais poursuivre sur les symphonies 2 et 3…

3) Samuel Barber (1910-1981) :

Concerto for piano, Op. 38

= John Browning, piano ; George Szell, Orchestre de Cleveland

(CBS, janvier 1964)

Cette œuvre que j'adore aborde des climats variés, tantôt chaleureusement néoromantiques, tantôt énergiques et taquins.
Ici servie par un pianiste qui s'en était fait une spécialité (il l'enregistra encore en 1990 avec Leonard Slatkin !)

Bax : Symphonie n°3 (Lloyd-Jones)
Roussel : Symphonie n°1 "Le poème de la forêt" (Janowski)

Beethoven symphonie No. 3
Roth, Les Siècles

Roth est le seul pour moi qui a réussit dans le corpus Beethoven en cours de Harmonia Mundi.

Curieux de voir quel chef qui va s'en charger de la 4e et 8e.

Brahms, symphonie No. 2
Blomstedt, Gewandhausorchester Leipzig

Il semble que c'est un nouveau enregistrement il y a un autre par les mêmes enregistrées en 2005 (?). Dans la continuité et aussi spledide que la 1ere publiée l'année dernière.

Je viens justement de recevoir ces deux disques!

(Pour la 4 et la 8 chez Harmonia Mundi, c'est l'Akademie für alte Musik Berlin, sans chef - Bernhard Forck est juste annoncé comme comme konzertmeister.)

4) Franz Liszt (1811-1886) :

Soirées de Vienne, Valses-caprices d'après Franz Schubert, S. 427

= Leslie Howard, piano

(Hyperion, mars-juin 1994)

Une heure vingt de musique pour salon de thé, sans déplacer un gramme de poussière, ni même rider la surface d'un earl grey.
On est loin, très loin des Études d'Exécution transcendante. La dernière, en la bémol majeur, bat des records de redondance insipide et chichiteuse.
A côté, les pièces de Chaminade, c'est la Hammerklavier.
Et dans la lecture dénervée et falotissime d'Howard. Bref...

Benedictus a écrit:

:
(Pour la 4 et la 8 chez Harmonia Mundi, c'est l'Akademie für alte Musik Berlin, sans chef - Bernhard Forck est juste annoncé comme comme konzertmeister.)

Merci pour les infos. Le 1, 2, 6 qu'il est en charge est un peu passe partout, sas trop de personalité.

Eötvös, concerto pour violon No.3 "Alhambra"
Isabelle Faust, Orchestre de Paris, Heras-Casado

c’est bien (ou bien aussi oubliable que tous les concertos que j’ai écoutés de lui) ?

lulu a écrit:

c’est bien (ou bien aussi oubliable que tous les concertos que j’ai écoutés de lui) ?

J'ai pecu surtout comme un exercice de texture (mandoline, xylonphone, tuba, ...). Un peu de mal à trouver une ligne directive. Donc pour les 23 minutes semblent longues, donc plutot boff après une 1ere écoute.

Faust est superbe.

Bruno Luong a écrit:

Benedictus a écrit:

:
(Pour la 4 et la 8 chez Harmonia Mundi, c'est l'Akademie für alte Musik Berlin, sans chef - Bernhard Forck est juste annoncé comme comme konzertmeister.)

Merci pour les infos. Le 1, 2, 6 qu'il est en charge est un peu passe partout, sas trop de personalité.

J'avais vraiment aimé les 1 et 2, avec une approche de symphonie concertante, très Sturm und Drang

Xavier a écrit:

Iskender a écrit:

Xavier a écrit:

Schulhoff: Symphonie n°1

Tiens je ne l'ai pas mentionné mais je l'ai écoutée - avec la 3ème - il y a quelques jours (version Philharmonica Hungarica, George Alexander Albrecht). Je ne connaissais que les 2 & 5. J'ai trouvé cette 1ère encore très marquée du sceau de Stravinsky et de Bartók. La 3è en revanche est à rapprocher de la 5ème pour son même côté motorique. Un style qui m'évoque un univers constructiviste. J'aime beaucoup ces symphonies 1, 3, 5 (beaucoup moins la 2).

Je viens justement de commander cette version, car jusqu'ici je n'ai qu'une version de la 1ère, qui ne me satisfait pas pleinement.
Et je vais toutes les réécouter.
Il n'y a que la 1ère dont j'arrive à trouver la partoche.

J'écoute la 1ère par G-A.Albrecht, c'est très nettement préférable à Yinon. (et c'est du CPO, donc magnifiquement enregistré)

Sibelius : Kullervo (Berglund)

Schulhoff: Symphonie n°1 (Albrecht)

Schulhoff: Symphonie n°2/G-A.Albrecht

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J'adore de plus en plus Kullervo ...

Et Schulhoff ... je ne connaissais absolument pas. Mais là, à la 1° écoute ... je suis pas loin de crier au génie !

Et encore, c'est nettement moins génial que ses meilleures oeuvres! (à l'époque, le Jeu des compositeurs ne t'avait pas donner l'idée de t'y mettre? )

Schulhoff: Symphonie n°3/G-A.Albrecht

Moi, c'est plutôt ses cycles de lieder, avec (Landschaften et Menschheit) ou sans orchestre (Stimmungsbilder) et son Sextuor à cordes qui me font crier au génie - mais les symphonies ne m'ont jamais enthousiasmé.

Xavier a écrit:

Et encore, c'est nettement moins génial que ses meilleures oeuvres! (à l'époque, le Jeu des compositeurs ne t'avait pas donner l'idée de t'y mettre? )

Je ne me souviens plus du tout

Il fut un temps où je ne savais plus où donner de la tête, et aussi où il me fallait bien plus de temps pour cerner les oeuvres, m'adapter/accepter de nouveaux styles.

Oui, comment je me souviens de ça...

https://classik.forumactif.com/t3416p400-le-jeu-des-compositeurs-saison-3

Omg ... j'avais totalement oublié

Schulhoff: Symphonie n°4/Valek

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