Playlist (147)

Saïs a écrit:

Les écoutes ou réécoutes de la semaine, en vrac:

Malcolm Arnold: Symphony No 4 (Richard Hickox)
Benjamin Britten: Spring Symphony / Hymn to St. Cecilia / Five Flower Songs / War Requiem (John Eliot Gardiner)
Albert Roussel: Symphony No. 3 / Le festin de l’araignée (Christoph Eschenbach)
Gabriel Fauré: Thème et variations (Germaine Thyssens-Valentin)
Déodat de Séverac: En Languedoc / Les Naïades et le Faune indiscret (Françoise Thinat)
Claude Debussy: En blanc et noir - orchestré par Robin Holloway - (Jun Märkl)
Zoltan Kodály:  Variations sur un thèmes populaire hongrois, « Le Paon s’est envolé » (Charles Dutoit)
Gustav Mahler: Symphony No. 9 (Daniel Harding)
Louise Farrenc: Symphony No 1, Overtures (Christoph König) - une belle découverte! Je vais poursuivre sur les symphonies 2 et 3…

Quel intéressant programme ! On peut toutefois trouver meilleures adresses en terme d'interprétations si les œuvres ont plu ? Pour Farrenc, la discussion récente autour du concert d'Equilbey révèle les symphonies, tandis que Le Festin par Rophé (si l'on connaît déjà Martinon) est à ne pas rater ! Roussel 3, je trouve Eschenbach décevant... Quitte à creuser le tempo, Bernstein fonctionne mieux. Ou alors, pour quelque chose de plus féroce et enlevé, Denève et Munch sont excellents (ce dernier avec un son un peu ancien).
Pour Arnold, je suis curieux, je ne connais que l'intégrale Penny, et la quatrième est une pièce charmante avec ses percussions exotiques et fulgurances latines entre des cuivres bien britanniques. Retours bienvenus.

Wagner: Meistersinger, acte 2/Thielemann
Debussy: Faune, La Mer/Roth LSO

Alan Rawsthorne (1905–1971) : Symphony No. 3 (1964)
Roberto Gerhard (1896–1970) : Concerto for Orchestra (1965)

BBC Symphony Orchestra (Norman Del Mar)

Roberto Gerhard (1896–1970) : Symphony No. 3 “Collages” pour bande magnétique et orchestre (1960)
BBC Symphony Orchestra (Frederik Prausnitz)

Peter Maxwell Davies (1934–2016) : Revelation and Fall pour soprano et 16 instrumentistes (1966)
Mary Thomas
The Pierrot Players (Peter Maxwell Davies)

Charles Koechlin : La méditation de Purun-Bhagat op. 159 (1936)
Charles Koechlin : Les Bandar-Log op. 176 (1939)
Orchestre National de France (Fabien Gabel)

c’est très bien en fait.

Charles Koechlin : Seconde Symphonie op. 196 (1944)
London Symphony Orchestra (Constantin Silvestri)

Charles Koechlin : Le Buisson ardent op. 203/171 (1945/38)
Charles Koechlin : Les Eaux vives op. 160 (1936)
Orchestre national de la Radiodiffusion française (Roger Désormière)

Ravel

• Introduction & Allegro
  
• Quatuor
  
• ISonatine en Trio
  
• ISonate pour violon et violoncelle
  
• ILe Jardin Féérique de Ma Mère L'Oye
  

Pahud, flûte ;
Wenzel Fuchs, clarinette ;
Marie-Pierre Langlamet, harpe ;
Christophe Horak, violon ;
Simon Roturier, violon ;
Ignacy Miecznikowski, alto ;
Bruno Delepelaire, violoncelle.

Beethoven : Sonate n°17 (Arrau)

Roslavets: 5 mélodies/Vassilieva



Des petits bijoux.

Mefistofele a écrit:

Quel intéressant programme ! On peut toutefois trouver meilleures adresses en terme d'interprétations si les œuvres ont plu ? Pour Farrenc, la discussion récente autour du concert d'Equilbey révèle les symphonies, tandis que Le Festin par Rophé (si l'on connaît déjà Martinon) est à ne pas rater ! Roussel 3, je trouve Eschenbach décevant... Quitte à creuser le tempo, Bernstein fonctionne mieux. Ou alors, pour quelque chose de plus féroce et enlevé, Denève et Munch sont excellents (ce dernier avec un son un peu ancien).

Merci!
Oui, j’ai pris connaissance de cette discussion autour de Louise Farrenc. Pour ma part, je n’ai pas été déçu par les enregistrements Naxos (Christoph König). Cela dit, je ne suis pas parvenu à "entrer" dans la deuxième symphonie, au point de m’y être relativement ennuyé par instants. Mais peut-être n’étais-je pas dans la bonne « humeur » pour écouter cette musique/cette symphonie ce jour-là (où-bien est-ce l'interprétation?)... Au premier abord, j’ai préféré les symphonies 1 et 3 (Scherzo vraiment chouette!) …
Je vais visionner les concerts de Laurence Equilbey pour approfondir…

La troisième de Roussel par Eschenbach, enregistrée en concert, en effet, il y a "bien mieux" ailleurs! En revanche, j’ai trouvé « sa » deuxième vraiment très bien. J’ai aussi bien aimé sa lecture - relativement lente - de la première symphonie, en particulier sur le troisième mouvement, « soir d’été » (même si la prise de son ne lui rend peut-être pas pleinement justice…).
Je connais également le festin version Pascal Rophé (l’ONPL est l’orchestre de ma région ;-)).

Mefistofele a écrit:

Pour Arnold, je suis curieux, je ne connais que l'intégrale Penny, et la quatrième est une pièce charmante avec ses percussions exotiques et fulgurances latines entre des cuivres bien britanniques. Retours bienvenus. 

Oui, une symphonie très « cinématographique ». J'apprécie en particulier les deux mouvements centraux! La version de Hickox m’a semblé assez irréprochable et elle bénéficie d’une belle prise de son, qui plus est pour du Chandos de 1994… Elle est sans doute un peu moins « vive » que la version de Andrew Penny, mais je la trouve quelque part plus « immersive ».

Bref,

Écouté dernièrement:
Maurice Delage: Quatre poèmes hindous / Sept haï-kaïs / Maktah (berceuse phoque), etc. (Armin Jordan/Dame Felicity Lott)
Maurice Ravel: Sonatine (Ivan Moravec)
Sibelius: Symphony No 6 (Rattle/Berlin)
Beethoven: Symphonies 5 et 6 (Rattle/Berlin également)

Et puis, je me suis lancé dans les symphonies de Dvorak, par Jiří Bělohlávek, n'ayant jamais écouté ses 6 premières symphonies…

DavidLeMarrec a écrit:

Iskender a écrit:

Il n'y a que deux pièces pour piano qui me procurent ce sentiment d'avoir affaire à une écriture qui transcende la littérature de l'instrument, tout en prenant totalement mon pied à l'écouter : Vers la flamme pour le XXè et Après une lecture de Dante pour le XIXè.

Toi, tu n'as pas écouté Decaux ni Mariotte !  

C'est "amusant", vous citez 3 des noms que je porte au pinacle de la littérature pianistique ! Puisqu'on en parle beaucoup en ce moment, je rajouterais le Koechlin des Heures persanes, c'est vraiment quelque chose. J'ai bien quelques autres obsessions, mais qui rien qui ne "transcende la littérature", comme les 6 Bagatelles de Center, justement au confluent de Koechlin, Decaux et Mariotte. Je les réécoute maintenant et suis persuadé que c'est un chef d'œuvre (mineur, mais un chef d'œuvre quand même).

Xavier a écrit:

Roslavets: 5 mélodies/Vassilieva



Des petits bijoux.

Qu'est-ce donc ? Je ne trouve aucune référence, or cela me met appétit, tant j'apprécie c'est un compositeur (les trios, la symphonie de chambre, le piano !).

Saïs a écrit:

Oui, j’ai pris connaissance de cette discussion autour de Louise Farrenc. Pour ma part, je n’ai pas été déçu par les enregistrements Naxos (Christoph König). Cela dit, je ne suis pas parvenu à "entrer" dans la deuxième symphonie, au point de m’y être relativement ennuyé par instants. Mais peut-être n’étais-je pas dans la bonne « humeur » pour écouter cette musique/cette symphonie ce jour-là (où-bien est-ce l'interprétation?)... Au premier abord, j’ai préféré les symphonies 1 et 3 (Scherzo vraiment chouette!) …
Je vais visionner les concerts de Laurence Equilbey pour approfondir…

J'ai trouvé la No. 2 la moins palpitante, et, pas de chance, Equilbey ne la joue pas. Je reste donc sur l'idée de quelque chose d'assez peu inspiré. Toutefois, les No. 1 et 3 sont révélées par le concert !

Saïs a écrit:

La troisième de Roussel par Eschenbach, enregistrée en concert, en effet, il y a bien mieux ailleurs! En revanche, j’ai trouvé « sa » deuxième vraiment très bien. J’ai aussi bien aimé sa lecture - relativement lente - de la première symphonie, en particulier sur le troisième mouvement, « soir d’été » (même si la prise de son ne lui rend peut-être pas pleinement justice…).
Je connais également le festin version Pascal Rophé (l’ONPL est l’orchestre de ma région ;-)).

Je prends note pour les autres symphonies par Eschenbach. Roussel est tout là-haut dans mon panthéon personnel, et si je connais bien les différentes versions de la No. 3, la sublime No.2 ne m'est familière que pour une paire de versions (qui vont du pas terrible à l'exceptionnel). De même, je goûte fort la No. 1. Bon, je me sens d'humeur à un énième détour dans mon programme d'écoute, du coup. C'est vilain de me tenter ainsi.
Tant mieux pour le Festin de Rophé, c'est vraiment un bijou (œuvre et interprétation).

Saïs a écrit:

Mefistofele a écrit:

Pour Arnold, je suis curieux, je ne connais que l'intégrale Penny, et la quatrième est une pièce charmante avec ses percussions exotiques et fulgurances latines entre des cuivres bien britanniques. Retours bienvenus. 

Oui, une symphonie très « cinématographique ». J'apprécie en particulier les deux mouvements centraux! La version de Hickox m’a semblé assez irréprochable et elle bénéficie d’une belle prise de son, qui plus est pour du Chandos de 1994… Elle est sans doute un peu moins « vive » que la version de Andrew Penny, mais je la trouve quelque part plus « immersive ».

Bon, encore quelque chose de tentant. Quid de la version Handley, au cas où ?

Saïs a écrit:

Maurice Delage: Quatre poèmes hindous / Sept haï-kaïs / Maktah (berceuse phoque), etc. (Armin Jordan/Dame Felicity Lott)
Maurice Ravel: Sonatine (Ivan Moravec)
Sibelius: Symphony No 6 (Rattle/Berlin)
Beethoven: Symphonies 5 et 6 (Rattle/Berlin également)

Et puis, je me suis lancé dans les symphonies de Dvorak, par Jiří Bělohlávek, n'ayant jamais écouté ses 6 premières symphonies…

Mazette, encore un très beau programme !

Mefistofele a écrit:

Xavier a écrit:

Roslavets: 5 mélodies/Vassilieva



Des petits bijoux.

Qu'est-ce donc ? Je ne trouve aucune référence, or cela me met appétit, tant j'apprécie c'est un compositeur (les trios, la symphonie de chambre, le piano !).

Un double CD du Chant du monde "Anthologie de la mélodie soviétique", plutôt rare (mais on le trouve notamment en médiathèque ou d'occasion), avec aussi du Prokofiev, Glinka, et d'autres...





Toujours chez le Chant du monde, dans le même genre, il y a aussi un disque "Mélodies russes des années 20" avec du Lourié, Mossolov...

Iannis Xenakis (1922–2001) :
Atrées pour 10 instruments (1962)
Ensemble Instrumental de Musique Contemporaine de Paris (Konstantin Simonovitch)

Morsima-Amorsima pour piano, violon, violoncelle et contrebasse (1962)
Georges Pludermacher, Jean-Claude Bernède, Paul Boufil, Jacques Cazauran (Konstantin Simonovitch)

ST/4 pour quatuor à cordes (1962)
Quatuor Bernède

Nomos Alpha pour violoncelle seul (1966)
Pierre Pénassou

Iannis Xenakis (1922–2001) :
Anaktoria pour huit instruments (1969)
Morsima-Amorsima pour piano, violon, violoncelle et contrebasse (1962)

Jacqueline Méfano, piano
Octuor de Paris

Elliott Carter (1908–2012) : String Quartet No. 1 (1950–51)
Walden Quartet

Dane Rudhyar (1895–1985) :
Tetragram No. 4 “Adolescence” (1925)
Tetragram No. 5 “Solitude” (1927)
Transmutation (1976)

Marcia Mikulak, piano

Rachmaninov : Danses symphoniques / Lîle des morts
- Royal Liverpool P.O., Vasily Petrenko
puis
- Concertgebouworkest, Vladimir Ashkenazy

Et ton verdict ? Je connais la version Ashkenazy mais pas celle de Petrenko. C'est réussi ?

Roberto Gerhard (1896–1970) :
Symphony No. 4 “New York” (1967)
BBC Symphony Orchestra (Colin Davis)

Anaxagore a écrit:

Et ton verdict ? Je connais la version Ashkenazy mais pas celle de Petrenko. C'est réussi ?

Ashkenazy va plus au fond des choses dans les Danses et nous fait entendre autre chose que des danses justement. La version Petrenko a pour elle un orchestre exceptionnel; je ne parle pas du niveau des phalanges bien sûr vues les forces en présence, mais les timbres, la dynamique, la lisibilité et la prise de son sont exceptionnels.
Dans l’île des morts je trouve plus de relief chez Petrenko

Iskender a écrit:

Anaxagore a écrit:

Et ton verdict ? Je connais la version Ashkenazy mais pas celle de Petrenko. C'est réussi ?

Ashkenazy va plus au fond des choses dans les Danses et nous fait entendre autre chose que des danses justement. La version Petrenko a pour elle un orchestre exceptionnel; je ne parle pas du niveau des phalanges bien sûr vues les forces en présence, mais les timbres, la dynamique, la lisibilité et la prise de son sont exceptionnels.
Dans l’île des morts je trouve plus de relief chez Petrenko

Merci. Je vais écouter ça. J'aime en général beaucoup ce que fait Petrenko .

Moi aussi, très fan de ce chef (je crois que ça commence à se voir sur le forum ) Mais musicalement j'aime beaucoup Ashkenazy chef également, je reviens pas mal à ses enregistrements ces derniers temps, y compris certains que je ne connaissais pas comme c'est le cas ici.

Bartok : Concerto pour orchestre (Solti)

Rudolf von Alt (1812-1905), -Chambre du Palais Lanckoronski (détail)

Les Nuits du boudoir...





Au programme ce week end :  

L. van Beethoven – J. Brahms – C. Nielsen – A. Schoenberg –
G. Connesson – M. Ponce – J. Haydn – F. Schubert – M. Giuliani

Mefisto a écrit:

Quid de la version Handley, au cas où ?

Je n'ai pas écouté les enregistrements de Handley!
Il me semble que le compositeur a lui-même dirigé ses propres symphonies, avec des tempos souvent très lents d'ailleurs...
Bon, pas eu le temps d'écouter quoi que ce soit aujourd'hui...

1) Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Quatuor avec piano en mi bémol majeur, Op. 16

Victor Babin, piano
Szymon Goldberg, violon
William Primrose, alto
Nikolai Graudan, violoncelle

(RCA, janvier 1957)

Luigi Dallapiccola (1904–1973) : Canti di prigionia pour chœur, deux pianos, deux harpes et percussion (1938–41)
Niccolò Castiglioni (1932–1996) : Gyro pour chœur et neuf instruments (1963)
Jean-Pierre Guézec (1934–1971) : Relief polychromés pour douze voix solistes (1969)

Chœur de Chambre de l’ORTF
Solistes des Chœurs de l’ORTF
Ensemble Ars Nova de l’ORTF
Marcel Couraud, direction

Olivier Messiaen (1908–1992) : Cinq Rechants pour 12 voix (1949)
Iannis Xenakis (1922–2001) : Nuits pour 12 voix (1967)
Krzysztof Penderecki (1933–2020) : Stabat Mater pour chœur (1962)

Solistes des Chœurs de l’ORTF (Marcel Couraud)

Je poursuis mon cycle Rachmaninov :

- Concerto pour piano n°2 - Anna Vinnitskaya, NDR Hamburg, Krzysztof Urbański
***

- Concerto pour piano n° 3 - Simon Trpčeski, Royal Liverpool P.O. Vasily Petrenko
**
→ Contrairement au 2è, ce concerto m'ennuie toujours autant. Ce côté flux continu où on ne sait pas où les choses commencent et où (et quand !...) elles finissent, c'est ce qui m'a souvent lassé jusqu'ici chez Rachmaninov. En y revenant j'apprivoise certaines œuvres et sors de cette impression, mais ici rien n'y fait, même avec d'excellents interprètes.

- Les cloches - Tatiana Pavlovskaya, Evgueny Akimov, Lege Artis chamber choir, WDR Köln, Semyon Bychkov
***
→ Découverte; chouette

- Trio élégiaque n°2 - Trio Wanderer
****
→ Découverte également et coup de cœur immédiat   . Je redoutais un peu une œuvre fleuve (rapport avec ce que j'ai dit plus haut), les minutages des deux premiers mouvements m'effrayaient un peu (je sais c'est nase d'écrire ça ). Mais Xavier en a dit tellement de bien sur le sujet Rachmaninov que j'ai lu cette semaine. Et en effet je découvre un grand chef-d'œuvre de la musique de chambre qui nous emporte d'un bout à l'autre. Et ces harmonies... Peut-être une autre version à essayer pour la réécoute ?

Bartok : Concerto pour piano n°1 (Kovacevich/Davis)
Bartok : Quatuor n°1 (Keller)


Voilà un bien exigeant bonhomme.

2) Johannes Brahms (1833-1897) :

Trio en mi bémol majeur, Op. 40

= Franz Koch, cor ; Walter Barylli, violon ; Franz Holetschek, piano

(Westminster, 1952)

Beethoven : Sonate pour piano No.15 "Pastorale" (Grinberg)

Cadenza
Luigi Boccherini (1743-1805)
Concertos pour violoncelle (transcriptions Sonia Wieder-Atherton et Françoise Rivalland)
Cadences : Eric Dolphy, Sonia Wieder-Atherton, Michael Riesman, Françoise Rivalland; Igor Stravinsky, György Kurtág, Georg Friedrich Haendel

Sonia Wieder Atherton, violoncelle
Françoise Rivalland, cymbalum
Amaryllis Billet, violon
Robin Billet, basson
Rémi Magnan, contrebasse

Sonia Wieder-Atherton rêve de Miles qui rêve de Boccherini… et trouve dans le cymbalum un allié percussif pour Boccherini.
https://www.francemusique.fr/emissions/l-invite-du-jour/sonia-wieder-atherton-est-l-invitee-de-musique-matin-72562
https://www.soniawiederatherton.com/fr/news/creation/boccherini/

et c'est chouette !

3) Carl Nielsen (1865-1931) :

Quatuor à cordes n°4 en fa majeur Op. 44

Elsiemarie Bruun, violon
Andreas Thyregod, violon
Julius Koppel, alto
Jarl Hansen, violoncelle

(Decca, juin 1954)

Antonio Vandini (1691-1778)
Œuvres complètes, sonates violoncelle et concerto violoncelle

Elinor Frey*, violoncelle
Patxi Montero, viole de gambe et contrebasse
Marc Vanscheeuwijck, violoncelle
Federica Bianchi, clavecin

* https://panm360.com/interviews-panm360/elinor-frey-interview-reapprendre-a-jouer-vandini-violoncelle-passacailler/

 avec, comme toujours, une épatante (et exploratrice) Elinor Frey.

Salvatore Sciarrino (*1947) : L’alibi della parola pour quatre voix (1994)
Luigi Nono (1924–1990) : Polifonica – Monodia – Ritmica pour six instruments et percussion (1951)
Luigi Nono : Sarà dolce tacere pour huit voix (1960)
Salvatore Sciarrino : Tre canti senza pietre pour sept voix (1999)

Schola Heidelberg
ensemble aisthesis
Walter Nußbaum, direction

Luigi Nono : Polifonica – Monodia – Ritmica (1951)
Orchester des Landestheaters Darmstadt (Hermann Scherchen)

Ah ben tiens, justement, entre hier et aujourd’hui:

• Nono: Canti per 13 (1955):

Peter Hirsch / Ensemble UnitedBerlin
Berlin, V.1997
Wergo

• Nono: Incontri (1955) pour 24 instruments:

Mario Venzago / Sinfonieorchester Basel
Bâle, IV.2000
Col legno

• Nono: Il canto sospeso (1956) pour soprano, alto, ténor, chœur mixte et orchestre:

Barbara Bonney (soprano), Susanne Otto (mezzo-soprano), Marek Torzewski (ténor), Claudio Abbado / Berliner Philharmoniker, Rundfunkchor Berlin / Dietrich Knothe
En public, Berlin, XII.1992
Sony Classical


C’est très beau et très prenant, le Nono sériel… (D’ailleurs, à l’oreille, ça sonne beaucoup plus typique de Nono que du sérialisme de ces années-là.)

trois œuvres magnifiques.

Bartok : Quatuor n°2 (Keller)

Gordon Crosse (*1937) : Changes pour soprano, baryton, chœur et orchestre (1966)
Jennifer Vyvyan, John Shirley-Quirk
Orpington Junior Singers
Highgate School for Boys Choir
London Symphony Orchestra and Chorus
Norman Del Mar, direction

4) Arnold Schoenberg (1874-1951) :

Trio à cordes, Op. 45

Robert Mann, violon
Raphael Hillyer, alto
Claus Adam, violoncelle

(CBS, mai 1966)

lulu a écrit:

trois œuvres magnifiques.

Et comment! (Cela dit, il y a vraiment peu d'œuvres de Nono que je ne trouve pas belles et émouvantes.)

5) Guillaume Connesson (1970-) :

Quatuor à cordes

Sergey Malov, violon
Ayako Tanaka, violon
Lise Berthaud, alto
Jérôme Pernoo, violoncelle

(Sony, 2011)

6) Manuel María Ponce (1882-1948) :

Prélude
Allemande
La Valentina
Thème varié et finale

= Andrés Segovia, guitare

(Decca, avril-mai 1954)

Augustin Pfleger (1635-1686)
La vie de Jésus à travers 6 "Concerts sacrés" luthériens

Orkester Nord
Martin Wåhlberg
Vox Nidrosiensis


https://classik.forumactif.com/t9481-danielis-pfleger-les-cours-lutheriennes-nord-allemandes#1192516

retour sur
Giuseppe Clemente Dall’Abaco (1710-1805)

 
https://classik.forumactif.com/t9494-dallabaco-le-fils-et-un-peu-le-pere#1192524

Elinor Frey, violoncelle
Mauro Valli, violoncelle
Federica Bianchi, clavecin
Giangiacomo Pinardi, archiluth