Playlist (147)

Bruckner, Symphonie No.4. Jochum, Berliner

Mahler, Symphonie No.3, I. Abbado, Berliner

Mendelssohn, Concerto pour violon No.1. Heifetz, Munch

C'est gentil de passer

Anaëlle!

(salut à tous les amis ! je reviens plus régulièrement très bientôt, dès que mes oraux seront finis !)

anaëlle a écrit:

(salut à tous les amis ! je reviens plus régulièrement très bientôt, dès que mes oraux seront finis !)

(J'avais failli te texter la semaine dernière, mais je me suis dit que ce n'était pas forcément le moment... Donc en effet, comme dit Oriane: )

Anton Bruckner
* Symphonie no. 3 (version 1889)
Gewandhaus de Leipzig / Kurt Sanderling (1965)

Mes salutations à anaëlle !

• Nielsen: Symphonies n°1 en sol mineur, op. 7 / FS 16¹ et n°2 «Les Quatre Tempéraments», op. 16 / FS 29²:

Sakari Oramo / Orchestre Philharmonique Royal de Stockholm
Stockholm, I.2013¹, VI.2014²
BIS

Pour l’instant, une excellente intégrale (dont les qualités ne sont d’ailleurs pas forcément là où on les attendrait), mais relativement éloignée de mes attentes personnelles. Voir ici.

Anton Bruckner
* Motets
Choeur de l'Église Sainte-Bride
Robert Jones
Naxos, 1994



Dans la grande tradition des motets polyphoniques de la Renaissance.

Ravel : Daphnis et Chloé (Roth)

Carl Nielsen: Aladdin (Gennady Rozhdestvensky)

Je n'avais jamais écouté cette oeuvre intégralement (ne connaissant que la suite)!

Bartok : Quatuor n°2 (Keller)
Beethoven : Sonate n°26 "Les Adieux" (Arrau)

W. A. Mozart
* Divertimento K. 247
Capella Istropolitana
Wolfgang SobotKa
Naxos, 1987

Chostakovitch, symphonie 15, Andris Nelsons, Boston Symphony Orchestra

Chostakovitch : Symphonie n°8 (Mravinsky)
Chostakovitch : Symphonie n°11 "L'année 1905" (Nelsons)

Olivier Messiaen
* Catalogue d'oiseaux: Livres 4 - 5 - 6
Anatol Ugorski, piano

+

C'est très audacieux et très imagé à tout point de vue.

L. v. Beethoven
* Trio op.70 no.2
Wilhelm Kempff, piano
Henryk Szeryng, violon
Pierre Fournier, violoncelle

+

Debussy : La Mer (Haitink)
Bartok : Quatuor n°4 (Keller)

Jean Sibelius (1865-1957) :

Symphonie n°5 en mi bémol, Op. 82

= Erik Tuxen, Orchestre symphonique de la Radio danoise

(Decca, juin 1952)

Décapante lecture mais quelques imprécisions des cordes dans l'introduction, des cornistes un peu labiles dans l'envolée de l'allegro molto
écartent cette version très idiosyncrasique de la consécration. Pour autant, quelle captivante interprétation !
Tuxen semble transborder cet opus dans l'univers turbulent et inquiet de Tapiola, ce qui prend à rebrousse-poil une symphonie
que les chefs abordent ordinairement comme une excursions contemplative.
Les épisodes majestueux s'émoussent, ou plutôt s'aplatissent en contraste avec des climats fiévreux, malsains, tourmentés par quelques mauvais génies des fjords.
La conclusion nous est servie abrasive, cauchemardesque, surgissant dans un climat d'horreur comme si ce laboratoire fantastique avait enfanté un monstre.
Les timbres aigrelets de l'orchestre danois contribuent à soustraire l'œuvre de ses schémas et de sa parure esthétisées pour en faire un étrange brûlot,
osant quelques visions terrifiantes dont la discographie n'offre guère d'autre exemple.

Sibelius: Luonnotar/Davidsen, Gardner

Chostakovitch: De la poésie populaire juive opus 79/Sumatchova... Serov

+

Chantal Akerman/ Henri Dutilleux / Sonia Wieder-Atherton
Trois strophes sur le nom de Sacher

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Chants juifs
Traditionnel
Jean-François Zygel (1960-)
Maurice Ravel (1875-1937)

Sonia Wieder-Atherton, violoncelle
Daria Hovora, piano
Sonfonia varsovia / dir. János Fürst

Dédié* à Chantal Akerman, et (par son intermédiaire indirect) autour* des dessins de Colette Brunschwig ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Colette_Brunschwig ) que Sonia Wieder-Atherton lui avait proposé de réaliser autour des Chants Juifs.
* A posteriori sans doute : réédition d'enregistrements (1989 et 2006)

L. v. Beethoven
* 15 Variations et Fugue 'Eroica' op.35
Emil Gilels, piano

Puccini : Turandot (Levine DVD)


J'ai beaucoup aimé.
L'oeuvre est superbe (écriture,orchestration), la mise en scène est certes traditionnelle mais d'une spectaculaire efficacité.

Deux bémols :
- sans être glotto pour un sou, j'ai trouvé Eva Marton bien stridente.
- les applaudissements intempestifs sont un peu pénibles...à croire que les gens viennent plus pour apprécier tel ou tel dans tel air que pour l'oeuvre elle-même.

Schubert : oeuvres chorales profanes - CD1 (Arnold Schoenberg)
Vierne : Quintette avec piano (Terpsycordes / Rubackyte)

L. v. Beethoven
* Quatuors op. 131 & 135
Quatuor Alexander
Arte Nova, 1999

Durosoir: Dejanira, Adagio pour cordes, Poème pour violon, alto et orchestre/Golikov

+

Arvo Pärt
* Spiegel im Spiegel
Luc Beauchemin, violon
Gaël Chabot-Leclerc, vibraphone et glockenspiel
Yvon Tremblay, programmation
Ensemble Talisman

Provient de ce CD:



+

• Ravel Tzigane (avec arragement pour violon et deux cymbalums)
  
• Bartok, sonates pour violon solo
  
• Coulais, Mosaique
  
• Kurtag, 8 duos pour violon et cymbalum
  
• Bartok, 6 danes populaires roumains
  

Hélène Collerette

Le programme est superbe.

Sibelius: Tapiola/Gardner

Xavier a écrit:

Sibelius: Tapiola/Gardner

Un tout nouveau CD de grande qualité, on peut en écouter des extraits sur le site Chandos.

Franz Schubert
* Symphonies nos. 5 & 8 'Inachevée'
Staatskapelle de Dresde
Wolfgang Sawallisch (Philips)

Ravel : Ma Mère L'Oye (Munch)

Les soirées choucroutes...





Au programme cette semaine :   R. Strauss – A. Bruckner – G. Mahler – R. Wagner – M. Reger

C'est pas très léger tout ça . Tu devrais préparer quelques doses de bicarbonate et/ou d'odibil pour faire passer le tout

Richard Strauss (1864-1949) :

1) Don Juan, poème symphonique Op. 20

= Wilhelm Furtwängler, Orchestre philharmonique de Berlin

(DG, septembre 1947)

Chostakovitch : Quintette avec piano (Borodine / Richter)

Franz Schubert
* Ouverture 'La harpe enchantée', alias 'Rosamunde'
+ 2 extraits: 'Andantino'
Anima Eterna

2) Richard Strauss (1864-1949) :

Ein Heldenleben, poème symphonique Op. 40

= Christian Thielemann, Orchestre philharmonique de Vienne

(DG, septembre 2002)

 Déballage et découverte ce soir de cette version que j'avais achetée voilà quatre ans, par gourmandise.
Je ne m'étais pas rué sur ce disque, n'espérant rien d'extraordinaire par rapport à mes références admirées (Krauss, Reiner, Beecham, Kempe, Karajan, Böhm, Solti...)
Et depuis la technique 4D, parfois froide, artificielle et anémiée, je me méfie un peu des captations DG.
Avouons : ma prudence était injustifiée.
Déjà, on se régale d'un bon gros son, dense et spacieux, qui rappelle la grande époque de la Deutsche.
Et Thielemann, dont on a souvent tendance à vouloir minorer les talents face à la glorieuse lignée des chefs germaniques,
apparaît ici mieux qu'un Kapellmeister impersonnel endossant un héritage trop grand pour lui.
Quintessenciée dans cette Vie de Héros, la machinerie straussienne fonctionne ici à plein régime, aussi bien dans les épisodes sentimentaux que dans les rages de la bataille,
où l'on sent une baguette sinon de caractère du moins très efficace, maîtrisant de haute main le fabuleux appareil que demeure le Wiener Philharmoniker.

Franz Schubert
* Sonate D.664 op.120
Elisabeth Leonskaïa, piano

Chostakovitch : Symphonie n°11 "L'année 1905" (Nelsons)
Roussel : Symphonie n°2 (Dutoit)

• Chostakovitch: Symphonie nº11 en sol mineur «1905», op. 103¹ / Vaughan Williams: Symphonie nº6 en mi mineur²:

Paavo Berglund / Bournemouth Symphony Orchestra
Southampton, XII.1978¹; Londres, VI.1974²
Warner Classics «Icon»

Très, très grandes versions! (Déjà fort justement vantées par Mélo, ici et là.) Berglund sert ces deux partitions avec une formidable vigueur, avec un sens remarquable de la poussée, de la tension et des contrastes - mais ce ne sont pas que des lectures frontales: le chef est aussi attentif à déployer les singularités de l’écriture (notamment dans le travail sur les effets de circularités et de textures.)

On est aussi étonné des qualités de l’orchestre de Bournemouth (qui semble ici supérieur, tant pour les couleurs que pour la virtuosité d’ensemble, aux phalanges britanniques les plus cotées à la même époque) et par le relief spectaculaire de la prise de son (mais du coup, on se demande ce qui s’est passé chez EMI pour qu’on soit passé en quelques années de ce qu’on entend ici aux médiocres captations des années 80 - peut-être ont-ils raté le passage de l’analogique au digital?)

Benedictus a écrit:

Très, très grandes versions! (Déjà fort justement vantées par Mélo, ici et là).

Je reste absolument d'accord avec mon avis  

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3) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°4 en mi bémol majeur

= Georg Solti, Orchestre symphonique de Chicago

(Decca, janvier 1981)

Interprétation fluide et coulante mais trop lisse et brillante, voire un peu creuse.

Haydn : Quatuor n°1 op.74 (Takacs)
Messiaen : Visions de l'Amen (Roscoe/Osborne)

Strauss: Capriccio/Eschenbach-Marelli (Blu-Ray)

4) Anton Bruckner (1824-1896) :

Symphonie n°2 en ut mineur (Linz, éd. Nowak)

= Eugen Jochum, Orchestre de la Staatskapelle de Dresde

(Emi/Eterna, juillet 1980)

Tristan Murail : L’attente pour 7 instrumentistes (1972)
Gérard Grisey : Périodes pour 7 instrumentistes (1974)
Roger Tessier : Un instant... et encore un instant pour 12 instrumentistes (1974)
Michaël Levinas : Appels pour 11 instrumentistes (1974)

Ensemble L’Itinéraire (Boris de Vinogradov)

Alexandre Borodine
* Dans les steppes de l'Asie centrale
Staatskapelle de Dresde
Kurt Sanderling (edel classics)

arnaud bellemontagne a écrit:

Haydn : Quatuor n°1 op.74 (Takacs)

Quelle incroyable lecture…

Citation :

Messiaen : Visions de l'Amen (Roscoe/Osborne)

J'ai surtout écouté van Raat / Austbø (formidables comme d'ordinaire). C'est bien ?