Playlist (147)

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Georg Friedrich Hændel (1685-1759)
Gottlieb Muffat (1690-1770)


https://classik.forumactif.com/t9462-haendel-les-suites-pour-clavecin#1196049

Takemitsu: Twill by twillight/St Clair

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Avec partition.

Florentz: Le Songe de Lluc Alcari/Chiffoleau, Herbig



Avec partition. (qu'on trouve sur Youtube)

Takemitsu: How slow the wind/Knussen

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Takemitsu: Dreamtime/Otaka
Takemitsu: Archipelago S./Knussen

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Catégorie orchestrale -rang 223°/250




Heinz Bongartz (1894-1978)


7) Max Reger (1873-1916) :

Variations sur un thème de Mozart, Op. 132

= Heinz Bongartz, Orchestre de la Staaskapelle de Dresde

(Eterna, août 1968)

Mes premiers contacts avec Reger furent radiophoniques, essentiellement de l'orgue, et j'en garde le souvenir d'une musique compliquée, ingrate, scolaire, pompeuse et interminable. Mais j'étais encore fort jeune et peu habitué à gérer des écoutes longues où les repères structurels s'égarent dans les vastes exercices de contrepoint. Quelques années plus tard, un CD de Daniel Matrone à Bordeaux m'initia aux beautés de ces méandres polyphoniques : la lucidité conceptuelle de l'interprète s'adjoignait la claire facture de l'instrument de Notre-Dame pour un résultat qui cette fois me sembla diaphane et même séduisant, dans une pièce aussi touffue que l'Introduction, Passacaille et Fugue de l'opus 127.
On retrouve cet art prolixe et un brin académique dans les deux grands essais que Reger consacra au genre des variations symphoniques : sur un thème de Hiller, opus 100 (1907), et sur un thème de Mozart opus 132 (1914, deux ans avant sa disparition alors qu'il se situait au faîte de son art).

Cette partition s'inspire de l'Andante grazioso de la Sonate pour piano n°11 en la majeur K. 331. Le thème s'expose en la majeur au hautbois, harmonisé par deux clarinettes, puis aux violons filigranés par altos (0'30), avant de revenir dans sa parure initiale modulée (1'02), et enfin de se décliner aux cordes.
Dans les mêmes tonalité et tempo, la première variation confie d'abord le thème aux hautbois et clarinettes, brodé par d'ondoyantes gammes staccato des violons et par des figurations trillées aux flûtes. Ce moutonnement précédé de mordants engendre un caractère à la fois mobile, évanescent et insaisissable. Les sections suivantes échoient aux violons & hautbois (0'30), flûtes & clarinette solo (1'02) et relèvent de subtils effets d'ombrages et tuilages. La seconde variation, en fa majeur, un peu agitée mais emphatique, travaille surtout la tête du sujet mozartien, en alternance aux cordes et aux cors, avant une accalmie (1'13).
La troisième continue la réduction du thème, limité à ses quatre notes de tête, et se polarise même sur l'intervalle de seconde (la quatrième note en tierce s'escamote par une dynamique en soufflet), ce qui confère une allure velléitaire et allusive à ce con moto à 2/4.
La variation suivante s'avère essentiellement rythmique et cinétique : la coupe longue-brève-brève-longue de l'incipit du motif original se soumet ici à l'impulsion d'un dactyle, accéléré en vivace. L'unisson des cuivres et des cordes s'infatue telle une robuste chevauchée qui fait penser à la sixième des Variations sur un thème de Haydn de Brahms. Quasi presto, l'intrépide et bondissante variation n°5 nous éloigne encore du thème principal, qui se prête à de méconnaissables voltiges d'apprenti sorcier.
Dans un radieux ré majeur, la gracieuse sixième nous ramène à des horizons plus familiers, et superpose les deux fragments extrêmes du sujet mozartien : sa tête se déploie (en valeurs longues et lissées en croches) aux violons, altos et violoncelles, tandis que flûtes et hautbois gazouillent sur la gamme descendante de sa queue. Un épisode marcato (1'16) constitue le climax de cette page volubile qui offre une vue en éclaté de la mélodie-support. Septième élaboration : un tendre Andante en fa majeur, réfugié dans la tessiture médiane de l'orchestre, dans la voix chaude des cors, altos, violoncelles. C'est aussi une des variations les plus lisibles quant à son traitement structurel du thème principal : incipit à peine modifié, et nette illustration de la désinence du motif, à 0'57 et 1'37.
La dernière variation est aussi la plus longue et raffinée, tramée d'opulentes harmonies qui s'exhalent molto sostenuto, comme dans un songe. La seconde note du thème principal se voit scindée en deux appuis, signant le caractère interrogateur d'un traitement que Reger semble vouloir miroitant et diffracté, tant dans le maniement motivique que dans l'architecture. Après une première section qui s'éteint pianissimo, flûte et hautbois tentent de régénérer un mouvement (2'17), qui s'anime encore piu andante (3'22). Un passage très lyrique aux violons divisés (4'14) marque l'intense cœur expressif de ce cahier.
Vient alors le couronnement fugué : le compositeur choisit de le bâtir autour du thème principal reconstitué, mais élongé et alimenté de notes de passage, jouées en staccato aux violons 1, en canon avec violons 2 (0'22), aux altos & violoncelles (0'47). Les violoncelles se taisent peu avant de reprendre parole pour la quatrième entrée, avec contrebasses & basson (1'10). Le hautbois se détache (1'50) puis les clarinettes (2'13). Le traitement contrapuntique se densifie, se complexifie d’un second sujet emprunté à la huitième variation et de contrechants dérivés des sept autres, au gré d'épisodes marcato, d'accalmie qui permettent enfin un majestueuse assertion en gloire du motif séminal clamé par les trompettes (8'14).

Le vilain mot que Heinrich Strobel décocha à la production de Reger (elle « tend à l'ordre tout en apportant bien de la confusion ») devient caduc face à un tel monument de rhétorique qui, derrière l'austérité des procédés, se pare ici d'une prodigieuse invention et d'un rayonnant charisme, grâce à la plasticité enjôleuse du substrat mozartien. Cela reste l'œuvre la plus appréciée et enregistrée du compositeur. Parmi les grandes versions qui ont pignon sur rue ou disparues des radars : Eduard van Beinum (Polydor, mai 1943), Karl Böhm (à Dresde pour Electrola en 1938, à Berlin pour DG en 1956), Joseph Keilberth (Telefunken, juillet 1962), voire Colin Davis (Philips, mai 1989)... Toutefois à mon sens c'est Heinz Bongartz, spécialiste du (post-)romantisme austro-allemand, qui livra le meilleur compromis, tant pour l'interprétation que la captation audiophile : conception intelligente, direction élucidante mais sans sécheresse. L'orchestre saxon livre une lecture à la fois robuste et charnelle, solidement charpentée et néanmoins irrésistiblement communicative.
Si vous voulez prolonger cette découverte, ruez-vous sur les Hiller Variationen dirigées par Franz Konwitschny chez le même label : j'ai longtemps hésité entre les deux œuvres, quoique ces deux enregistrements comptent parmi les sommets de la discographie regerienne. Et s'il vous faut une caution autre que la mienne : « Bongartz fut tout sauf un Kappelmeister routinier. Les Variations sont ciselées avec une tendresse et une attention rarissimes. Magnifiques prises de son, aérées et précises, d'une remarquables présence » écrivait le Guide Fayard de Hoffelé & Kaminski qui décerna un Indispensable à cette réédition.

Takemitsu: Dream/Window / Knussen

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Debussy: Nocturnes/Ticciati

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Ivan Wyschnegradsky : Études sur les mouvements rotatoires pour deux pianos à quatre mains et orchestre de chambre (1961/64)
Paul Méfano : Madrigal pour trois sopranos, flute, piano, harpe et quatre percussionnistes (1962)
Jean Barraqué : Concerto pour six formations instrumentales et deux instruments (1968)

Mady Mesplé, Irène Jarsky, Anne Bartelloni
Sylvaine Billier, Martine Joste, Gérard Frémy, Yves Rault
Ensemble 2e2m (Paul Méfano)

Claude Lefebvre : Etwas weiter pour 24 instrumentistes (1972)
Paul Méfano : Ondes, espaces mouvants pour 10 instruments (1974)
Pierre Boulez : Messagesquisse pour violoncelle solo et 6 violoncelles (1977)
Alain Bancquart : D’une fougère bleue les veines pour violoncelle et 25 instruments (1978)

Lluis Claret, Robin Clavreul
Ensemble 2e2m (Paul Méfano)

Takemitsu: Spirit garden/Alsop



Takemitsu: Solitude sonore/Alsop

Pierre Boulez : Dérive 1 pour 6 instruments (1984)
Frank Zappa : The Perfect Stranger pour orchestre (1984)
Franco Donatoni : Cadeau pour 11 instruments (1984)

Ensemble intercontemporain (Pierre Boulez)

Takemitsu: A Flock descends into the pentagonal garden/Alsop

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et dire que l'on perdait espoir

lulu a écrit:

Pierre Boulez :
Frank Zappa : The Perfect Stranger pour orchestre (1984)

Ensemble intercontemporain (Pierre Boulez)

Curieux d'avoir ton avis sur cette pièce de Zappa.

Offenbach : La Vie Parisienne (Plasson)

Friedrich Cerha (1926-)
Und du…, pour orchestre, voix et électronique
Für K, pour ensemble instrumental, pour Franz Kafka, pour Karl Prantl*

*:

ORF Radio-Symphonieorchester Wien
Ensemble die reihe
Dir. Friedrich Cerha

Verzeichnis, pour seize voix ou chœur à seize voix

ORF Chor, dir. Erwin Ortner

xoph a écrit:

La couverture est une œuvre  de Karl Prantl "Stein für Friedrich Cerha". Ça tombe bien !
Je serais pas étonné qu'un bon nombre des pochettes de disques de Cerha aient aussi mis en avant l'œuvre de Prantl.

En effet, les cinq premières monographies Kairos consacrées à Cerha présentent des vues plus ou moins rapprochées de cette sculpture de Prantl.

Spoiler:

Il faut aussi noter qu'en miroir, Cerha a composé en 1988 une œuvre pour grand orchestre intitulée Monumentum für Karl Prantl.
(Friedrich Cerha a son fil ici.)

J'avais vu et ajouté Monumentum dans le spoil ; les posts se sont croisés.
Vu le fil par ailleurs (ou plus exactement, c'est de ce fil que je tirais ma géniale intuition )

Cela dit les pochettes sont très belles, et pour ce que je découvre de ce sculpteur, très pertinentes dans ce rapport entre stèle et paysage (qui s'inscrivent dans le paysage et sont des des paysages).

arnaud bellemontagne a écrit:

Curieux d'avoir ton avis sur cette pièce de Zappa.

j’entre pas du tout dedans, ça m’ennuie assez...

*

Iannis Xenakis : Pithoprakta pour 49 musiciens (1955–56)
Gérard Masson : Dans le deuil des vagues I pour orchestre (1966)
Jacques Lenot : Diaphanéis pour cordes et percussion (1966)
Michel Decoust : Polymorphie pour orchestre (1967)
Maurice Le Roux : Un koan pour orchestre (1973)

Orchestre National de l’ORTF (Maurice Le Roux)

Ivo Malec : Gam(m)es pour grand orchestre et deux chefs (1971)
Alain Bancquart : Simple pour piano, quatre percussionnistes, harpe et cordes (1973)
André Boucourechliev : Concerto pour piano et orchestre (1975)
Alireza Mashayekhi : Nous ne verrons jamais les jardins de Nishapour pour piano, piano préparé et orchestre (1977)

Claude Helffer, Pari Barkeshl
Orchestre de la Radiotélévision de Ljubljana
Orchestre Philharmonique de Radio France
Orchestre National de France
Orchestre de chambre de la Radiotélévision iranienne
Ivo Malec, direction (deuxième chef : Samo Hubad)

Pour l'essentiel, sur ces deux-trois dernières semaines où étant soit très pris, soit absent j'ai peu posté, c'était :

J.S.Bach : Cure de Cantates - Bach Collegium Japan, Masaaki Suzuki.

Olivier Messiaen
* Vingt Regards sur l'Enfant Jésus - XI à XX
Mélisande Chauveau (Forlane, 1995)

On en a jamais fini avec les 20 regards...

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Beethoven : Quatuors 7-8-9 (Berg)

Takemitsu: The Dorian Horizon/Toyama



Takemitsu: Coral Island/Hamada, Toyama

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
& co* (comme vous le savez… l'article Wikipédia sur le Requiem est par ailleurs extrêmement informé et très bien fait)
Maurerische Trauermusik KV 477
Adagio KV 411, pour deux clarinettes et trois cors de basset
*Requiem KV 626

Frans Brüggen, dir. /
Netherlands Chamber Choir.
Orchestra Of The Eighteenth Century.

arnaud bellemontagne a écrit:

On en a jamais fini avec les 20 regards...

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Beethoven : Quatuors 7-8-9 (Berg)

Oui, il faut écouter souvent pour mieux l'assimiler, dans l'ensemble c'est une écoute assez facile, oeuvre abordable dans ce style si particulier.

Mozart, l'ami Stadler, et le cor de basset
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Anton Stadler (1753-1812)

Trio di Bassetto &
Catherine Delaunay, clarinette
Jean Jeltsch, cor de basset

Constance détestait Stadler. À vrai dire, pour de mauvaises raisons : ces trios de Stadler

Iskender a écrit:

Pour l'essentiel, sur ces deux-trois dernières semaines où étant soit très pris, soit absent j'ai peu posté, c'était :

J.S.Bach : Cure de Cantates - Bach Collegium Japan, Masaaki Suzuki.

et quelle adresse !
Tu me donnes envie de me refaire un cycle (un jour ou l'autre).
Je crois que je me le ferai à la Kuijken  (un cycle Leipzig par exemple)

Messiaen : Poèmes pour Mi (Palmer/Boulez)

Alban Berg
* Suite lyrique
Cincinnati Symphony Orchestra
Michael Gielen (Allegria, 2003)

Haendel : Agrippina (Emelyanychev / Di Donato / Fagioli / Pisaroni / Orlinski / Mastroni)

Offenbach : La Périchole (Minkowski)

Découverte.

• Delius: Brigg Fair - An English Rhapsody. Fennimore and Gerda: Intermezzo. Two Pieces for Small Orchestra: On Hearing the First Cuckoo in Spring, Summer Night on the River. Dance Rhapsody No. 2. A Song Before Sunrise. Irmelin Prelude.¹ Dance Rhapsody No. 1²:

Sir Thomas Beecham / Royal Philharmonic Orchestra; David McCallum (violon solo)²
1956-57¹; Londres, X.1952²
EMI¹; EMI Classics « The Beecham Edition »²

Encore inégalement convaincu par cette musique essentiellement atmosphérique, aux superbes chatoiement mais manquant parfois de substance. Pour autant, la direction de Beecham (dans de belles captations anciennes) est assez idéale pour donner vie et élan à cette musique qui pourrait sinon devenir dangereusement étale. Voir ici.

Debussy : Nocturnes (Haitink)

xoph a écrit:

et dire que l'on perdait espoir

Si l'on n'a plus le droit de se reposer un peu entre deux parutions...

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Claude Debussy (1862-1918) :

La Mer, trois esquisses symphoniques

= Vladimir Ashkenazy, Orchestre de Cleveland

(Decca, avril 1986)

Quelle version !

Mélomaniac a écrit:

Quelle version !

Très belle version en effet . Elle avait gagné l'écoute comparée de 2012 ...

Iskender a écrit:

J.S.Bach : Cure de Cantates - Bach Collegium Japan, Masaaki Suzuki.

La même, j'écoute quasi quotidiennement du J.S. Bach depuis quelque temps!
À commencer par les cantates justement, mais à une tout autre adresse encore, puisque sous la direction de Philippe Herreweghe ou J.E. Gardiner!
Je n'ai pas encore écouté les enregistrements de Suzuki!


Quelques pièces de Ligeti réécoutées par ailleurs:
Concert Românesc (Jonathan Nott)
Concerto pour violoncelle,
Sonate pour violoncelle,
Ramifications for string orchestra,
Melodien
Síppal, Dobbal, nádihegedüvel,
Ballad and Dance after Romanian Folksongs , etc (R. de Leeuw).


Leo Brouwer: The Book of Signs (David Amado)
Frank Bridge: Enter Spring / Isabella / 2 Poems of Richard Jeffries (Richard Hickox)
Anton Bruckner: Symphonie N°8 (Zubin Mehta/Berlin)

Olivier Messaien
* Visions de l'Amen
Ute Gareis & Klaus-Georg Pohl, pianos (Thorofon, 2007)



Elles sont au nombre de sept et sont dans le même style que les 20 Regards sur l'Enfant-Jésus.
C'est joué sur pianos Fazioli.

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Poulenc : Dialogues des Carmélites (Dervaux)

Gustav Mahler
* Symphonie no.4
Hellen Kwon, soprano
Orquesta Filarmónica de Gran Canaria
Adrian Leaper (Arte Nova, 1997)

Bartok : Le Mandarin Merveilleux (Abbado)


Ebouriffant.

Takemitsu: Music of tree/Watanabe

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Takemitsu: Coral Island/Masuda, Wakasugi

The Italian Origins of the Violoncello
Domenico Gabrielli (1651/59-1690)
Alessandro Scarlatti (1660-1725)
Giovanni Lorenzo Lulier (1662-1700)
Giuseppe Maria Jacchini (1667–1727)
Giovanni Bononcini (1670-1747)

Lucia Swarts, violoncelle
Richte van der Meer,  violoncelle
Johannette Zomer, soprane
Siebe Henstra, clavecin

https://classik.forumactif.com/t9525-violoncelles-baroque#1196211

Chostakovitch : Symphonie n°11 "L'année 1905" (Nelsons)

Vierne : Symphonie pour orgue n°1 (Ross)
Vierne : Symphonie pour orgue n°2 (Ross)

Aujourd’hui:

• Beethoven: Concertos pour piano et orchestre n°1 en ut majeur, op. 15 et n°2 en si bémol majeur, op. 19:

Krystian Zimerman (piano), Sir Simon Rattle / London Symphony Orchestra
Londres, XII.2020
DG

J’en parlerai plus longuement quand j’aurai fini d’écouter l’intégrale, mais on peut d’ores et déjà dire que ce sera un jalon important: la jeu de Zimerman (d’une incroyable richesse de textures et d’intonations, et expressivement très décanté) force l’admiration d’un bout à l’autre; ce que propose Rattle et le LSO m’a paru passionnant mais aussi plus sujet à débat.


Et puis deux de mes symphonies britanniques fétiches:

• Moeran: Symphonie en sol mineur:

David Lloyd-Jones / Bournemouth Symphony Orchestra
Poole, VI.2001
Naxos

L’œuvre est décidément toujours aussi exaltante (en revanche, je confirme les - très légères - réserves que j’avais déjà faites sur cette version; je viens d’ailleurs enfin de trouver à un prix décent la version Dilkes vantée par Mélo: j’en dirai un mot quand je l’aurai reçue et écoutée.)

• Rubbra: Symphonie n°6, op. 80:

Norman Del Mar / Philharmonia Orchestra
Londres, IV.1980
Lyrita

Le Canto est un des plus beaux mouvements lents de tout le répertoire symphonique du XXᵉ.

Alexander Zemlinsky (1871-1942)
Die Seejungfrau, beaucoup est dit sur cette version dans le fil ad hoc Zemlinsky
Sinfonietta, op. 23, version pour orchestre de chambre par Roland Freisitzer 1973

John Storgårds / Orchestre Philharmonique d’Helsinki

Spoiler:

Haydn : Symphonie n°104 (Jochum)

• Stravinsky: Le Sacre du printemps:

Esa-Pekka Salonen / Los Angeles Philharmonic
Los Angeles, I.2006
DG

Probablement une des deux ou trois versions les plus ennuyeuses qu’il m’ait été donné d’entendre.

Retour sur

Georg Friedrich Haendel (1685-1859)
Concertos grossos op. 3 - 1 à 6
Akadémie für Alte Musik Berlin / Georg Kallweit

 
https://classik.forumactif.com/t9479-haendel-concertos-grossos#1196243

Senza Basso (auf dem Weg zu Bach)
Thomas Baltzar (1630-1663), Nicola Matteis (1650-1714), Johann Paul von Westhoff (1656-1705), Arcangelo Corelli (1653-1713), Giuseppe Torelli (1658-1709), Johann Georg Pisendel (1687-1755), Johann Joseph Vilsmayr (1663-1722), Henry Purcell (1659-1695), Heinrich Ignaz Biber (1644-1704)

Nadja Zwiener*, violon baroque

magnifique !


* 1er violon de l'English Concert depuis 2007