Playlist (150)

Retour aux fondamentaux:

• Beethoven: Quatuor à cordes n°15 en la mineur, op. 132:

Quatuor Terpsycordes: Girolamo Bottiglieri, Raya Raytcheva (violons), Caroline Cohen-Adad (alto), François Grin (violoncelle)
La Chaux-de-Fonds, VI.2010
Ambronay

• Beethoven: Quatuor à cordes nº16 en fa majeur, op. 135:

Quatuor Zehetmair: Thomas Zehetmair (violon I), Matthias Metzger (violon II), Ruth Killius (alto), Ursula Smith (violoncelle)
Zürich, IV-V.2010
ECM

• Beethoven: Quatuors à cordes nº16 en fa majeur, op. 135 et nº15 en la mineur, op. 132:

Quatuor Brentano: Mark Steinberg, Serena Canin (violons), Misha Amory (alto), Nina Maria Lee (violoncelle)
Princeton University, X & XI.2011
æon

Trois très grandes versions récentes qui se distinguent par leur extraordinaire finesse de grain et leur sens de l’articulation (plus en mode HIP chez les Terpsycordes.) J’avais déjà parlé de façon un peu détaillée des Brentano ici.)

G. F. Haendel
* Concerto op.4 no.6
Nicanor Zabaleta, harpe
Orchestre de Chambre Paul Kuentz
Paul Kuentz (DG)

https://www.youtube.com/results?search_query=joseph+villa+scriabine  


J'ai d'abord écouté les 4 sonates que Joseph Villa a enregistré et puis ensuite, pris au jeu l'intégrale des 2 CD.Superbe, on lâche pas le morceau ,d'un bout à l'autre .Un grand pianiste mort trop tôt du sida en 1995.

Sibelius: Symphonie n°4/Kegel

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Dans Kienzl, tout est bon, les quatuors, les mélodies, les opéras… Je tiens un nouveau chouchou, pourtant je connais sa musique depuis longtemps, mais j'avais (oui, moi), le préjugé qu'il n'était pas très connu parce qu'il était sûrement moins intéressant que Schreker ou Zemlinsky. Innocent que j'étais !

Donc aujourd'hui, deux fois : 



(Rare version où Princess Leia finit avec Han McGyver.)

Ah si t'alignes Jérusalem et Moll ... j'écoute !

Tu ne connaissais pas Der Evangelimann? C'est pourtant épatant! Et puis, si, il est très connu dans le monde germanique, où c'est même un peu pour ça qu'on connaît Kienzl. (Comme Tiefland, je l'avais découvert - dans cette version-là, je crois bien - grâce à la lecture du Mahler de La Grange: ça fait partie des opéras que Mahler a beaucoup dirigés comme chef, si je me souviens bien.)

Arrête c'est complètement oublié ... je n'en ai même jamais entendu le nom.

DavidLeMarrec a écrit:

Dans Kienzl, tout est bon, les quatuors, les mélodies, les opéras… Je tiens un nouveau chouchou, pourtant je connais sa musique depuis longtemps, mais j'avais (oui, moi), le préjugé qu'il n'était pas très connu parce qu'il était sûrement moins intéressant que Schreker ou Zemlinsky. Innocent que j'étais !

Donc aujourd'hui, deux fois : 



(Rare version où Princess Leia finit avec Han McGyver.)

Comme dirait...je contresigne!

C'est une réédition? je n'ai jamais vu cette pochette.

Rubato en Playlist!

Larcher: Symphonie n°2 "Kenotaph"/Lintu

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C'est une réédition, oui (personne ne chante plus dans cette distribution, il n'y a que Zagrosek qui dirige peut-être encore), la pochette originale doit être la petite en incrustation. 

Oui, ça a été une œuvre emblématique de la culture locale germanique, mais qui a peu passé la frontière, comme Martha de Flotow, les Lortzing, La Reine de Saba de Goldmark… Mais j'en ai tout de même (comme Martha) une partition traduite en français dans ma bibliothèque, Le Prêcheur de Saint-Othmar (l'abbaye où se déroule le premier acte). 

Ça a tellement eu de succès, jusqu'à l'aube des années 80, qu'en plus de cette intégrale de luxe chez EMI, on dispose de deux disques d'extraits : Heger avec Rothenberger, Höffgen, Gedda, Kusche, Crass (EMI) ; Stein (et la Radio Bavaroise) avec Kónya et Stewart (DGG) !

Xavier a écrit:

Larcher: Symphonie n°2 "Kenotaph"/Lintu

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C'est pas mal, hein !

Oui, j'ai écouté ça au pif, et suis très agréablement surpris!

DavidLeMarrec a écrit:

C'est une réédition, oui (personne ne chante plus dans cette distribution, il n'y a que Zagrosek qui dirige peut-être encore), la pochette originale doit être la petite en incrustation. 

Mais si, Jerusalem chante encore Don Curzio!
https://www.medici.tv/fr/operas/mozart-le-nozze-di-figaro-daniel-barenboim-staatsoper/

DavidLeMarrec a écrit:

C'est une réédition, oui (personne ne chante plus dans cette distribution, il n'y a que Zagrosek qui dirige peut-être encore), la pochette originale doit être la petite en incrustation. 

Oui, ça a été une œuvre emblématique de la culture locale germanique, mais qui a peu passé la frontière, comme Martha de Flotow, les Lortzing, La Reine de Saba de Goldmark… Mais j'en ai tout de même (comme Martha) une partition traduite en français dans ma bibliothèque, Le Prêcheur de Saint-Othmar (l'abbaye où se déroule le premier acte). 

Ça a tellement eu de succès, jusqu'à l'aube des années 80, qu'en plus de cette intégrale de luxe chez EMI, on dispose de deux disques d'extraits : Heger avec Rothenberger, Höffgen, Gedda, Kusche, Crass (EMI) ; Stein (et la Radio Bavaroise) avec Kónya et Stewart (DGG) !

Je te fais confiance David,, je viens d'acheter le DVD Capriccio, on verra bien .Je connaissais pas ce compositeur, mais comme tu en dis le plus grand bien.J'aurais pu regarder sur YT mais bon.

Schreker: Prélude à un drame/Renes

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Schreker: Das Spielwerk, prélude, Prélude à un grand opéra, Nachstück (Ferne Klang)/Renes

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Takemitsu: Textures/Iwaki

Ginastera: 5 canciones populares argentinas/Villanueva

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Ades : concerto pour violon
Sibelius : concerto pour violon

Hadelich, OP Rayal de Liverpooln Lintu

Excellentes interprétation. Je fais connaissance du concerto de Ades d'abord avec Rattle. Hadelich/Lintu a réussit à mieux capter  mon attention. La singularité de ce Sibelius est plus tôt une énergie généreuse.

Xavier a écrit:

Oui, j'ai écouté ça au pif, et suis très agréablement surpris!

Au pif ? Mais Mäkelä le programme cette demi-saison avec l'OP !

Ah!... Je vais regarder si je peux rajouter cette date, alors, merci!

Vous parlez du cénotaphe de Larcher? Au pire, ce sera retransmis sur Public Sénat.

Ginastera: Les horas de una estancia opus 11/Villanueva

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Ginastera: Suite de danzas criollas/Ben-Dor

Stephan: Liebeszauber/DFD, Zender

Sibelius: Symphonie n° 5, 6 et 7 (BBC Philharmonic, John Storgårds).

Brahms: Quatuor à cordes n° 2 en la mineur op. 51 n° 2 (New Zealand String Quartet).

Sivak: Tres instantes oniricos/Villanueva

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Vyacheslav Artyomov
* Hymne Gurian
1 CD Divine Art, 2018

C'est magnifique, recueilli, d'un style pastoral avec une riche orchestration (violon solo. cordes, cloches, célesta, vibraphone...)

Toch: Symphonie n°3/Francis



Martinon: Prélude et Toccata/Munch

Czerny : Première Symphonie.
Très bel ouvrage. On y entend pas mal d'influences de Beethoven, Schubert et Mendelssohn, le tout combiné dans une oeuvre vraiment chouette

Benedictus a écrit:

Rubato en Playlist!

Étonnant, non?
Ben oui, je viens faire mon curieux de temps en temps!

Hanson : Symphonie n°2 - Seattle Symphony, Gerard Schwartz
➥ Ça faisait un petit moment que je ne l'avais pas écoutée. J'en suis toujours aussi bon client

Prokofiev : Suite scythe - DSO Berlin, Tugan Sokhiev
avec partition
➥ Version fabuleuse, riche en couleurs et servie par une prise de son parfaite.

Verdi: Quatuor à cordes en mi mineur (Artemis Quartett).

Bruno Luong a écrit:

Anders Eliasson, symphonie No 3 & 4 et concerto pour trombone
En fait même les concertos sont en fait des concertos déguisés.

Je jette régulièrement une oreille sur les cds que Lintu, Oramo ou Salonen consacrent aux compositeurs contemporains scandinaves, et comme en plus j’adore le trombone ton post n’est pas passé inaperçu.
J’ai donc écouté le concerto. Sans être d’une virtuosité sidérante en apparence (tant mieux !), le trombone joue pratiquement sans arrêt; il faut s’appeler Christian Lindberg pour encaisser ces 20 minutes de concerto ! C’est peut-être d’ailleurs ce qui rend l’œuvre d’une égale intensité sonore tout du long, ce que j’aurais tendance à reprocher. Mais globalement j’ai néanmoins vraiment aimé, avec de très belles sections : quand ça commence à s’énerver vers 6’30’’, il y a un côté un peu entêtant qui est très efficace, et plusieurs retours au calme très réussis.

Benedictus a écrit:

lulu a écrit:

Decameron. Ballate monodiques de l’Ars nova florentine (1980)
Esther Lamandier : voix, orgue portatif, harpe, viole, luth

(Mais celui-là, il n'a jamais été repris en CD, si?)

après vérification, si, réédition CD Astrée/Auvidis en 1986.

Henze : Der Junge Lord (Dohnanyi)

Ahouiquandmême.

Ravel: Daphnis et Chloé, suites 1 et 2/Pesek

J'ai lu une critique qui commençait comme ça, certes çette version de Andris Nelsons  ne remplace  pas la version de Kondrashin, ni celle de Rozhdestvensky  , ni celle de Mavrinski et pas  plus ,celle de Neeme Järvi,bref elle remplace quoi exactement,elle se situe ou exactement, à la queueleuleu de qui?
Bref tout ça c'est sympa et ça s'écoute.

Beh déjà Kondrashin ... comme toujours chez Mélodya c'est épuisé et hors de prix.

gluckhand a écrit:

à la queueleuleu de qui?

De Guy Lux et André Bézu, il me semble.

Désolé. Pas pu m'en empêcher.

Benedictus a écrit:

gluckhand a écrit:

à la queueleuleu de qui?

De Guy Lux et André Bézu, il me semble.

Désolé. Pas pu m'en empêcher.

Mon cher Bénédictus, cette expression remonte bien plus loin, que la télévision noir et blanc , au 11ème siècle, on s'en servait déjà,paraît il?

à la queue leu leu [adv]
en file indienne ; l'un derrière l'autre ; comme des loups en marche
Origine et définition
Après le XIe siècle, en ancien français, la syntaxe était très différente de celle d'aujourd'hui.

Merci, grâce à toi, je me coucherai un peu moins ignorant ce soir!

Benedictus a écrit:

Merci, je me coucherai moins ignorant ce soir!

Moi je l'ai toujours connue, même si Bezu en a fait un tube, elle fait partie des expressions populaires ,qui se maintiennent et je ne cherche aucunement à jouer au pédant.C'est amusant de savoir l'origine d'une expression.

C’est le latin "lupus" qui donna au XIe siècle les noms "leu" et "lou". Deux siècles plus tard y sera ajouté un "p" donnant notre actuel "loup". Toutefois la forme "leu" subsistera jusqu’au XVIe siècle. "A la queue leu leu" renvoie donc aux loups qui, se déplaçant bien souvent en meutes, se suivent et marchent dans les pas les uns des autres, soit "les uns derrière les autres".

C'est le genre de savoirs qui peuvent paraître anecdotiques mais qui me ravissent toujours!

Hans Werner Henze : Le Miracle de la Rose pour clarinette et 13 instruments (1981)
Werner Heider : Strophen pour clarinette et orchestre de chambre (1965)

Hans Deinzer, clarinette
Ensemble Modern (Hans Werner Henze)
Kammerorchester der Nürnberger Symphoniker (Werner Heider)

Benedictus a écrit:

Vous parlez du cénotaphe de Larcher? Au pire, ce sera retransmis sur Public Sénat.