Playlist (153)

Massenet : Mélodies pour orchestre (Niquet / Dubois / Gens / Devos / Dupuis / Car / Santon Jeffery)
Pettersson : Six mélodies (Mattei / Lundin)
Pettersson : Barfotasanger (Mattei / Lundin)
Tischchenko : Les Douze (Bubelnikov)

Cololi a écrit:

Massenet : Mélodies pour orchestre (Niquet / Dubois / Gens / Devos / Dupuis / Car / Santon Jeffery)

C'est comment?

Cololi a écrit:

Pettersson : Six mélodies (Mattei / Lundin)
Pettersson : Barfotasanger (Mattei / Lundin)
Tischchenko : Les Douze (Mattei / Lundin)

(Mais il y a un copier-coller en trop à la dernière ligne, je crois...)
Alors? La fin des Douze est incroyable, hein?

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

Massenet : Mélodies pour orchestre (Niquet / Dubois / Gens / Devos / Dupuis / Car / Santon Jeffery)

C'est comment?

Très agréable. Rien de sophistiqué dans l'écriture ni un sommet d'intériorité, c'est sûr, mais c'est efficace, inspiré et les interprètes sont excellents. Pour pas mal d'entre-elles, il s'agit de 1° mondiale, donc je crois qu'on peut facilement dire que les amateurs de mélodies françaises devraient avoir ce disque !

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

Pettersson : Six mélodies (Mattei / Lundin)
Pettersson : Barfotasanger (Mattei / Lundin)
Tischchenko : Les Douze (Mattei / Lundin)

(Mais il y a un copier-coller en trop à la dernière ligne, je crois...)
Alors? La fin des Douze est incroyable, hein?

En fait comme j'ai écouté tout le disque ... j'ai pris les Variations sur trois thèmes de Chostakovitch pour le final   Donc j'ai failli te répondre en songeant à cette oeuvre !

Oui, j'aime beaucoup ce final (le vrai ^^). Cette harmonie exploitant les aigus des cordes se finissant sur ces arpèges à la harpe (?) avec un thème à la clarinette (?) et l'harmonie à l'orgue (?) de façon totalement mystérieuse (ces derniers moments font furieusement penser à Wozzeck).

Chostakovitch: Suite Michelangelo/Abdrazakov, Noseda

+

Bruno Maderna : Concerto pour flute et orchestre (1954)
Thaddeus Watson / hr-Sinfonieorchester (Arturo Tamayo)

Bruno Maderna : Concerto pour piano et orchestre (1958–59)
David Tudor / Sinfonieorchester des Hessischen Rundfunks (Bruno Maderna)

Bruno Maderna : Concerto nº 1 pour hautbois et ensemble de chambre (1962)
Hans de Vries / Kammerorchester des Saarländischen Rundfunks (Lucas Vis)

Greif: Quintette "A Tale of the World"/Quintette Syntonia

Écouté la moitié de ceci:

• Carlo Alessandro Landini: Sonate pour piano n°5 (2015):

Massimiliano Damerini (piano)
Fiorenzuola d’Arda, V.2015
Da Vinci Classics

Et je suis pour le moins perplexe. Voir ici.

Holberg Suite - Edvard Grieg
Neeme Järvi/Gothenburg Symphony Orchestra

lulu a écrit:

Gérard Grisey (1946–1998) :
Le Noir de l’Étoile pour six percussionnistes et signaux astronomiques (1989–90)

Ensemble S



quelle œuvre géniale. je découvre seulement qu’il en existe un autre enregistrement discographique que celui des Percussions de Strasbourg.

Merci Lulu, 
Une immense émotion et un grand kif.
Commencé au casque et continué en toutes Watt dans la maison.
Impressionnant.
Le Pulsar 0329+54 , avec ses airs de saphir en bout de sillon m'a bien fait rire et souvenir.
Qu'avant la musique, j'appréciais déjà les sons.
Probablement pour ça que j'aime les percussions...

Liszt : Vallée d'Obermann (Arrau)

Seyed Sina Sadeghpour (*1977) :
Avaz I pour soprano, harpe, cor et bouteille de vin (2015)
Rira pour soprano et clarinette basse (2013)
Dourefalak pour piano préparé (2012)
Farsh pour deux cors, trompette, trombone, tar, oud, tombak, violoncelle et deux sopranos (2017)
Zendaniye Vazheha pour soprano, trombone, violoncelle, piano et percussion (2012)
Tchahargah pour violoncelle et piano préparé (2008)
Avaz II pour harpe, cor, clarinette, voix et bouteille de vin (2016)
Derakhte Sib pour harpe, violoncelle, caisse claire, crotales et soprano (2019)

Galereh Vazirizadeh, Sayeh Sodeyfi
des gens

Fozié Majd (*1938) : Dreamland pour quatuor à cordes (1997/2006)
Amir Mahyar Tafreshipour (*1974) : Pendar pour violon seul (2017)
Amir Mahyar Tafreshipour : Broken Times pour quatuor à cordes (2013)
Fozié Majd : Farāghi (In Absentia) pour violon et violoncelle (2017)

Darragh Morgan, violon
Patrick Savage, violon
Fiona Winning, alto
Deidre Cooper, violoncelle

Elliott Carter (1908–2012) : Partita pour orchestre (1993)
Luciano Berio (1925–2003) : Continuo pour orchestre (1990)
Toru Takemitsu (1930–1996) : Visions pour orchestre (1989)

Chicago Symphony Orchestra (Daniel Barenboim)

L. v. Beethoven
* Quatuor no.14 op. 131
Quatuor Schäffer
1 LP Musidisc 'Richesse Classique"

Vaughan Williams : Symphonie n°7 "Antartica" (Davis)
Janacek : Messe glagolitique (Kubelik)
Dupré : Symphonie-Passion (Chaisemartin)

Béla Bartók
* Concertos nos. 1 à 3
Peter Donohoe, piano
City of Birmingham Symphony Orchestra
Simon Rattle
1 CD EMI, 1993

Liszt : Après une lecture de Dante (Arrau)

Grandiose!

tod a écrit:

Schubert : Symphonie N°9. Simon Rattle et le Philharmonique de Berlin.
Dite la Grande, la Géante, la Gigantesque ; la Neuvième des sept ou six autres. (...)
Ach l'Andante !  Et le Landler du Scherzo-valse ...)
Et le finale, avec cette petite chanson qui s'affine des gros cuivres jusques aux bois et ça swingue comme à Meudon.

Et dans le 1er mouvement, le 3è sujet joué aux trombones

Ici :
Roussel : Symphonie n°3 - Royal Scottish National, Stéphane Denève
--> La version qui m'a fait comprendre et aimer cette musique, et qui reste pour moi au-dessus du lot.

Chostakovitch : Quatuor n°9 - Jerusalem quartet
--> Trissé. Curieusement je ne connaissais pas celui-ci. Je crois bien que c'est mon quatuor de Chostakovitch préféré et qu'il va débouler dans mon top 10 ou 20 du genre.

Bartók : Quatuor n°4 - Cuarteto Casals
Ligeti : Quatuor n°1 - Cuarteto Casals
--> Superbes versions. Je découvre véritablement les Casals depuis seulement ces dernières semaines et j'adore.

Philippe Manoury (*1952) : Ring pour grand orchestre spatialisé (2016)
Misato Mochizuki (*1969) : Intrusions pour orchestre et électronique (2021–22)
Marco Stroppa (*1959) : Come play with me (Chants d’amour et de souffrance pour une utopie déchue) pour électronique solo et orchestre (2016)

Orchestre de Paris (Lin Liao)

Je n'ai pu écouter que la pièce de Manoury hier soir. J'en parlais justement dans le sujet qui lui est coinsacré.

oui, c’est en lisant ton message que je me suis rappelé que ce concert devait être diffusé.

• Carlo Alessandro Landini: Changes (1989-90) pour quatuor à cordes:

Quatuor Arditti: Irvine Arditti, David Alberman (violons), Garth Knox (alto), Rohan de Saram (violoncelle)
Darmstadt, VIII.1994
Stradivarius

Là, on est dans du langage «Darmstadt fin des années 80», mais on voit déjà pointer le côté long et filandreux de la néo et scriabinesque Sonate de sept heures dont j’avais parlé ici. (Je n’ai d’ailleurs pas écouté jusqu’au bout; et je crois que je vais renoncer à la messe avec orgue, que j’avais initialement prévu d’essayer aussi.)

Alireza Farhang (*1976) :
Anagrān pour flute, clarinett, violon, violoncelle et piano (2018)
Elikā pour violoncelle (2018)
Āzar pour violon (2014)
Harā pour violon et violoncelle (2016)
Eiwān pour violon, violoncelle et piano (2014)

Ensemble Court-Circuit

Wolfgang Rihm (*1952) :
Streichtrio Nr. 2 (1969)
Grat pour violoncelle (1970)
Von weit pour violoncelle et piano (1993)
Duomonolog pour violon et violoncelle (1986–89)
Streichtrio op. 9 (1971)

Alexandra Greffin-Klein, violon
Axel Porath, alto
Friedrich Gauwerky, violoncelle
Florian Uhlig, piano

L. v. Beethoven
* Quatuor no. 14 op. 131
Quatuor Schäffer
1 LP Musidisc 'Richesse Classique'

C'est comparable au Quatuor Amadeus.

Johannes Brahms
* Concerto no. 1
Emil Gilels, piano
Philharmonie de Berlin
Eugen Jochum
1 LP DG, 1972

Je repasse ce concerto de Brahms parce que la puissance des percussions au début du premier mouvement est très intense.

György Kurtág (*1926) :
Rückblick pour trompette, contrebasse et claviers (1993)

Ensemble Musikfabrik

lulu a écrit:

 

C'est des disques qui viennent tout juste de sortir, ça, non?
C'est bien?

(Au fait, tu en penses quoi, toi, de Landini: c'est juste un gars qui faisait du contemporain-Darmstadt un peu filandreux avant de devenir néo et encore plus filandreux, ou en fait c'est plus intéressant que ça?)

• Xenakis: Orient-Occident (1960), pour bande magnétique 2 pistes, musique extraite du film homonyme d’Enrico Fulchignoni. Bohor (1962) pour sons enregistrés:

Groupe de Recherches Musicales de l’O.R.T.F.
Ⓟ 1960
Erato

• Xenakis: Herma (1961) pour piano¹. Atrées [ST/10, 3-060962] (1962) pour 11 musiciens². Morsima-Amorsima [ST/4, 2-030762] (1962) pour piano, violon, violoncelle, contrebasse³:

Georges Pludermacher (piano)¹ ³, Konstantin Simonovitch / Ensemble Instrumental de Musique Contemporaine de Paris², Jean-Claude Bernède (violon), Paul Boufil (violoncelle), Jacques Cazauran (contrebasse)³. Quatuor Bernède: Jean-Claude Bernède, Jacques Prat (violons), Bruno Pasquier (alto), Paul Boufil (violoncelle)⁴
Paris, Salle Wagram, 24-25.X & 13.XI.1967 & 2.IV.1968
Erato

Certes, ce n’est pas ce qui me touche le plus dans la musique de cette époque, mais je dois avouer que c’est quand même pas mal du tout - et surtout, on voit ce qu’il vaut faire, où ça va, comment ça fonctionne, de sorte que ça soutient vraiment l’intérêt.

(Et, à ma grande surprise, ça vaut aussi pour les œuvres sur bande, qui, en plus, m’évoquent assez puissamment certains souvenirs liés à l’Orient.)

L. v. Beethoven
* Quatuor no.16 op.135
Quatuor Schäffer (LP Musidisc)

Benedictus a écrit:

C'est des disques qui viennent tout juste de sortir, ça, non?

On dirait bien.
Oui c’est bien.

Benedictus a écrit:

(Au fait, tu en penses quoi, toi, de Landini: c'est juste un gars qui faisait du contemporain-Darmstadt un peu filandreux avant de devenir néo et encore plus filandreux, ou en fait c'est plus intéressant que ça?)

Aucune idée franchement, j’ai écouté avec un certain plaisir ce que j’ai écouté (bon la cinquième sonate c’était long quand même ), mais je le situe pas bien, à part qu’il me fait penser à un Finnissy italien (dans un autre langage, ou plutôt d’autres langages). Mais en fait, je suis pas persuadé qu’il soit devenu quasi-néo : d’après les choses que j’ai écoutées (plus la première sonate que j’ai survolée c’est trop tard maintenant j’ai plus de compte premium), j’ai l’intuition qu’il y a plutôt pas mal de choses qui coexistent.

Benedictus a écrit:

• Xenakis: Orient-Occident (1960), pour bande magnétique 2 pistes, musique extraite du film homonyme d’Enrico Fulchignoni. Bohor (1962) pour sons enregistrés:

Groupe de Recherches Musicales de l’O.R.T.F.
Ⓟ 1960
Erato

à quand Persépolis ?

Johannes Ockeghem
* Missa pro defunctis (Messe des défunts)
Pro Cantione Antiqua / Bruno Turner
1 CD Archiv 'The Medieval Experience', CD 4, enr. 1973)

lulu a écrit:

à quand Persépolis ?

Ah, mais Persépolis, je connais déjà (et j'aime bien); mais là, j'écoute ou réécoute tout ce que j'ai sous la main dans l'ordre chronologique (mais je ne garantit pas d'aller jusqu'au bout: dans mon souvenir, les choses commence à sévèrement se gâter entre le milieu des années 70 et le début des années 80) - donc Persépolis, ce sera sûrement dans quelques jours.


Bon, là, tout à fait autre chose:

• Tchaïkovski: Symphonie nº1 en sol mineur, op. 13 «Rêves d’hiver»:

Guennadi Rojdestvenski / Orchestre Symphonique de la Radio de Moscou
Moscou, 1972-74?
Melodiya

Lecture de conception plutôt ample et tradi mais d’une éloquence directe, aux accents épique par moments - dans cette symphonie, ce pas aussi ciselé que ce qu’on pourrait souhaiter, mais ça évite le sentimentalisme (l’Adagio cantabile ma non tanto est d’un allant étonnant.) Des pupitres de vents aux timbres très typés. Malheureusement la captation (ou le report) laisse à désirer: dans certaines dynamiques forte et dans les unissons, certaines sections des cordes et des cuivres se mettent à sonner bizarrement étouffées.

Liszt : Faust-Symphonie (Bernstein DG)


Ce ne serait pas par hasard la plus longue symphonie à cette date (1857) ?  

Messiaen: 20 Regards sur l'Enfant-Jésus/Chamayou

Charles Ives (1874–1954) :
Universe Symphony (191*−192*), réalisation Johnny Reinhard

Bochumer Symphoniker (Tung-Chieh Chuang)

Strauss : Une Symphonie Alpestre (avec partition)
Plein les oreilles et plein les yeux.

Sur les conseils de mabuse

Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Le jeune Beethoven
Jocelyne Cuiller, clavicorde Jean Tournay, 2005 (d’après Christian Gottfried Friederici)

Programme:

Épatamment épatant  

https://classik.forumactif.com/t4924p50-clavicorde#1218194


.

Alexandre Tcherepnine
* Le Pavillon d'Armide
(Suite de ballet op.29)
Leningrad Philharmonic Orchestra
Viktor Fedorov
1 CD Melodiya, 1984

Arcangelo Corelli
* 6 Concerti Grossi nos. 1, 3, 7, 8, 11, & 12
The English Concert / Trevor Pinnock
1 CD Archiv, 1988

Iannis Xenakis (1922–2001) :
Ata pour 89 musiciens (1987)
Sinfonieorchester des SWF (Michael Gielen)

N’Shima pour deux mezzos et 5 musiciens (1975)
Les Jeunes Solistes (Rachid Safir)

Metastaseis pour 60 musiciens (1953–54)
Sinfonieorchester des SWF (Hans Rosbaud)

Ioolkos pour 89 musiciens (1996)
Sinfonieorchester des SWF (Kmawé Ryan)

Charisma pour clarinette et violoncelle (1971)
Hans Deinzer, Siegfried Palm

Jonchaies pour 109 musiciens (1977)
Nouvel Orchestre Philharmonique (Gilbert Amy)

Liszt : Dante-Symphonie (Sinopoli)

parce que Xenakis n’est pas le seul compositeur né en 1922 :

Kazimierz Serocki : Musica concertante pour orchestre de chambre (1958)
Kazimierz Serocki : Epizody pour cordes et trois groupes de percussion (1959)
Kazimierz Serocki : Segmenti pour orchestre de chambre (1960−61)
Kazimierz Serocki : Freski symfoniczne pour orchestre (1963−64)
WOSPR (Jan Krenz)

Kazimierz Serocki : A piacere pour piano (1962–63)
Marcin Łukaszewski

Kazimierz Serocki : Continuum pour sextuor de percussion (1965–66)
Percussions de Strasbourg

Iskender a écrit:

tod a écrit:

Schubert : Symphonie N°9. Simon Rattle et le Philharmonique de Berlin.
Dite la Grande, la Géante, la Gigantesque ; la Neuvième des sept ou six autres. (...)
Ach l'Andante !  Et le Landler du Scherzo-valse ...)
Et le finale, avec cette petite chanson qui s'affine des gros cuivres jusques aux bois et ça swingue comme à Meudon.

Et dans le 1er mouvement, le 3è sujet joué aux trombones  

Ravi de partager avec toi cet enthousiasme. 
Mais ayant très peu de connaissance musicale hors mes oreilles et ma mémoire comme autant de défaillances, te serait-il désagréable de chronométrer ce moment aux trombones dont tu te délectes  ?
J'aurais dit 8 minutes 35 secondes.... Mais je sais me tromper.
Et cela m'a poussé à écouter encore une fois cette symphonie ; et je m'obstine : c'est tout un monde immense.
Ce pourrait être  la trame d'un opéra tant les univers et les sentiments sont variés mais tenus. Et il y a des boutures d'aria à tous les coins de partitions.
 Et cela me pousse aussi à m'interroger si tout ces riches lais de soieries tressés savamment d'or, cousus et joliement tendus sont bien de lui ?
J'ai connu Schubert plus âpre.
 On n'y perçois aucun de ses silences abrupts dont il émaille toutes ses œuvres tardives, par exemple.
Dans ses derniers quatuors 14 et 15, il a dégraissé complètement sa ligne musicale jusqu'à l'os en laissant des esquilles qui piquent.
Le "vieux" Schubert au piano a des moments bouleversants qui s'ânonnent à un doigt.
Comment aurait-il pu pondre une grosse machine comme cette 9ème, créées onze ans après sa mort, aprés avoir été récupérée avec l'aide de Schuman, sous la baguette de Mendelssohn, que j'aime aussi ?
Si elle est vraie, cette symphonie, c'est une incroyable aventure avec de sacrés intervenants !

Je continue donc mon cycle Xenakis:

• Xenakis: ST/4 [1-080262] (1962) pour quatuor à cordes:

Quatuor Bernède: Jean-Claude Bernède, Jacques Prat (violons), Bruno Pasquier (alto), Paul Boufil (violoncelle)
Paris, XII & VII.1967
Erato

• Xenakis: Polla ta Dhina (1962) pour chœur d’enfants et 48 musiciens¹. ST/10 1-080262 (1962) pour 10 musiciens:

Maîtrise de Notre-Dame de Paris / Abbé Jean Revert¹, Konstantin Simonovitch / Ensemble Instrumental de Musique Contemporaine de Paris
Paris, XII.1968 & I-II.1969
Erato

• Xenakis: ST/48 [1-240162] (1962) pour orchestre. Hiketides Les Suppliantes d’Eschyle  (1964) suite instrumentale pour cuivres et cordes:

Arturo Tamayo / Orchestre Philharmonique du Luxembourg
Luxembourg, V.2006
Timpani

Aujourd’hui: 62, année stochastique. Un peu moins enthousiaste - mais ça reste intéressant. Voir ici.


Et je continue aussi l’intégrale Tchaïko du Père Noël:

• Tchaïkovski: Symphonie n°2 en ut mineur, op. 17 «Petite Russie»:

Guennadi Rojdestvenski / Orchestre Symphonique de la Radio de Moscou
Moscou, 1972-74?
Melodiya

Formidable version! J’aime beaucoup la façon dont Rojdestvenski vous dirige ça sans chichis: alors que les tempi sont assez modérés, ça donne toujours l’impression d’avancer, tout le côté «danses folkloriques» est vraiment mis en avant, avec un sens du rebond et de la relance rythmique épatant, de vrais timbres de terroir et des phrasés d’un lyrisme généreux mais frontal et sans apprêts - et ces fanfares du Finale pouët-pouëttent avec une ardeur! Cette approche fonctionne vraiment très, très bien avec cette 2ᵉ Symphonie (et en plus, cette fois, la prise de son n’a rien de gênant - sans être fabuleuse: ce n’est pas super-propre et ça sature un peu dans les dynamiques élevées, mais ça passe.)

Claude Debussy
* La Mer
* Prélude à l'après-midi d'un faune
L'Orchestre de la Suisse Romande
Ernest Ansermet
1 CD London

Kazimierz Serocki : Niobe pour deux récitants, chœur et orchestre (1966)
Kazimierz Serocki : Forte et piano pour deux pianos et orchestre (1967)
Kazimierz Serocki : Dramatic Story pour orchestre (1968–70)

Zofia Rysiówna, Tadeusz Łomnicki
Szábolcs Esztényi, Jerzy Witkowski
OSPR i Chór Kraków / WOSPR (Stanisław Wisłocki)