Playlist (156)

Stravinsky, les noces, version 1919 complété par Théo Verbey

Je trouve cela bien foutu.

Marie Jaëll / Suite pour piano

Les jours pluvieux: I. Quelques gouttes de pluie
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: II. Vent et pluie
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: III. Grisaille
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: IV. Petite pluie fine
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: V. En querelle
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: VI. À l’abri
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: VII. Morose
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: VIII. On pleure
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: IX. L’orage ne vient pas
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: X. Roses flétries
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: XI. Ennuyeux comme la pluie
Nicolas Stavy -
Les jours pluvieux: XII. On rêve au beau temps
Nicolas Stavy -

Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=j72J1jsf1-Y

Un vrai régal, que cette suite pour enfants, qui convient très bien à mon âme d'adulte.

Mompou: Musica callada/Hough

Beethoven, concerto pour violon
trois cadences de Jorg Widmann

Veronika Eberle
LSO, Simon Rattle

Widmann ne sert pas Beethoven. Il s'en sert de Beethoven. Ce n'est plus des cadences tellement c'est long,
manque de simplicité et une opposition de style mal venue.

Par ailleurs le concerto lui même n'est rien extraordinaire joué.

Alena Baeva reste la référence moderne.

Elliott Carter (1908–2012) : Night Fantasies (1980)
John Cage (1912–1992) : Etudes Australes (1974–75) : Book I

Stephen Drury, piano

Eisler, Widmann, Ravel, duos pour violon et violoncelle
Gringolts, Kouzov

Deux chefs d'oeuvres sur trois.

Joseph Martin Kraus : plusieurs Symphonies chez Naxos.
C'est vraiment un corpus très intéressant et malheureusement moins connu que celui de ses très illustres contemporains.
Je trouve ces Symphonies assez proches de Haydn (je me risque aussi à citer Schubert...), mais avec une personnalité propres dans le travail mélodiques, et dans la forme.

John Cage (1912–1992) :
Etudes Australes pour piano (1974–75)

Grete Sultan, piano

Mozart : Symphonie n°40 (Harnoncourt/Royal Concertgebouw) avec partition
Cette symphonie est un pur chef d'oeuvre...
Comme quoi, c'est bien de ressortir des vieux tubes 

Saariaho - 5 Reflets de l'amour de loin; Nymphea Reflection; Oltra Mar
Freund, Saraste, Radio Finlandaise

Berg - Concerto à la mémoire d'un ange
Faust, Abbado, Orchestra Mozart

Prokofiev : Concerto pour piano n°5 (Richter/Rowiki)


C'est drôle, mais je trouve ça assez proche de l'esthétique du groupe des Six.

John Cage (1912–1992) :
Chorals pour violon seul (1978)
Cheap Imitation pour violon seul (1969/77)
Freeman Etudes pour violon seul : Book 1 (1977–80)

Paul Zukofsky, violon

John Cage (1912–1992) :
Etcetera pour orchestre de chambre et trois chefs (1973)
Etcetera 2/4 Orchestras pour grand orchestre divisé en quatre groupes (1986)

Callithumpian Consort of New England Conservatory
New England Conservatory Symphony Orchestra
Tamara Brooks, Stephen Drury, Charles Peltz, Laurie K. Redmer

Chostakovitch symphonie No. 10
Orchestra Philharminique d'Ural, Dimitri Liss

Je ne comprends pas, le même chef a enregistré un magnifique live de la même symphonie il y a à peine 3 ans (certe avec un autre orchestre, Zuidnederland) chez le même label. En flux il m semble que la 1ere version est préférable à tout point de vue.

John Cage (1912–1992) :
Freeman Etudes pour violon (1977–80/89–90)

Irvine Arditti, violon

 

je me demande si ce n’est pas ce que Cage a fait de mieux, même si seul Arditti est capable de jouer ça.

Claude Vivier (1948-1983)
Orion, pour orchestre
Siddhartha, pour orchestre en 8 groupes
Cinq chansons pour percussion

Christian Dierstein, percussions
WDR Sinfonieorchester Köln / Peter Rundel

Prokofiev: Symphonie n°5/Szell

+

Madetoja: Syksy/Nylund, Schirmer

+

Mozart: Grande messe en ut m K427/Gardiner



Sibelius: Le Lézard/Segerstam



Vaughan Williams: Serenade to music/Manze

Beethoven : Première Symphonie (Karajan/Berlin 1963)
Pour un premier coup, c'est déjà un coup de maître

Iannis Xenakis (1922–2001) : Atrées pour 11 musiciens (1960)
Maurice Ohana (1913–1992) : Signes pour flute, cithare, piano et ensemble de percussion (1965) *
François-Bernard Mâche (*1935) : Canzone III pour 3 trompettes et 4 trombones (1967)
Pascal Dusapin (*1955) : Igitur pour voix de femme et 13 instruments (1977) **

* Maxence Larrieu, Pierre Urban, Gérard Frémy
Ensemble Ars Nova
Marius Constant / * Daniel Chabrun / ** Philippe Nahon, direction

Weber : première Symphonie (Rasilainen/Radio norvégienne)
Une oeuvre concise et très joliment écrite

lulu a écrit:

John Cage
je me demande si ce n’est pas ce que Cage a fait de mieux, même si seul Arditti est capable de jouer ça.

J'ai spot check quelques unes des 32 partagés en IV "books". Je n'ai pas constatés une différence, ca sonne tos pareil pour moi.
Ce qui est bizarre c'est que je compare le No 17 avec Fusi et Arditti, ils ne jouent pas les même notes. Y-a-t-il une forme d'improvisation laissée à l'insu de l'interprète ?

Bruno Luong a écrit:

J'ai spot check quelques unes des 32 partagés en IV "books". Je n'ai pas constatés une différence, ca sonne tos pareil pour moi.

et alors ? je vois ça comme une série de tableaux abstraits fonctionnant tous sur le même principe.

kegue a écrit:

Beethoven : Première Symphonie (Karajan/Berlin 1963)
Pour un premier coup, c'est déjà un coup de maître

Oui, il met la barre très haut dès son premier essai.

A propos de Freeman Etudes de Cage, c'est juste une question de manque de patience. J'ai dû mal de me concentrer au bout de 5 minutes parque j'ai l'impression de tout vu. C'est pourquoi je pose la question s'il n'y a pas autre chose que j'ai raté.

il faut aussi prendre en considération que j’aime très peu Cage et que quand je dis « ce que Cage a fait de mieux » c’est à prendre avec une part de sarcasme.

cela dit,

John Cage (1912–1992) :
Freeman Etudes pour violon (1977–80/89–90)

Marco Fusi, violon

 

Bruno Luong a écrit:

lulu a écrit:

John Cage
je me demande si ce n’est pas ce que Cage a fait de mieux, même si seul Arditti est capable de jouer ça.

J'ai spot check quelques unes des 32 partagés en IV "books". Je n'ai pas constatés une différence, ca sonne tos pareil pour moi.
Ce qui est bizarre c'est que je compare le No 17 avec Fusi et Arditti, ils ne jouent pas les même notes. Y-a-t-il une forme d'improvisation laissée à l'insu de l'interprète ?

>>> Pour ce que j'en lis (suite à ta question, je ne les connais pas)
https://www.cirm-manca.org/fiche-oeuvre.php?oe=493
Il semble que oui, sur beaucoup d'aspects (les notes c'est moins sûr), mais comme le projet comprends sa part d'injouable…
Ceci-dit : il aurait évolué au cours du temps et la façon dont était appréhendée par Cage (suite à l'interprétation d'Arditti) cette pratique de l'impossible
https://en.wikipedia.org/wiki/Freeman_Etudes

kegue a écrit:

Mozart : Symphonie n°40 (Harnoncourt/Royal Concertgebouw) avec partition
Cette symphonie est un pur chef d'oeuvre...
Comme quoi, c'est bien de ressortir des vieux tubes 

Dans l’écriture assurément. Le développement du 1er mouvement nous fait passer par les douze demi-tons; c’est dingo.  
Mais émotionnellement et en me plaçant comme simple auditeur, elle ne me transporte pas comme les nº38-39 et même 36. Cela étant pour quelqu’un qui adore Mozart et l’écoute énormément ces temps-ci (vous aurez remarqué ) je n’écoute pas assez souvent les 40-41

Iskender a écrit:

kegue a écrit:

Mozart : Symphonie n°40 (Harnoncourt/Royal Concertgebouw) avec partition
Cette symphonie est un pur chef d'oeuvre...
Comme quoi, c'est bien de ressortir des vieux tubes 

Dans l’écriture assurément. Le développement du 1er mouvement nous fait passer par les douze demi-tons; c’est dingo.  
Mais émotionnellement et en me plaçant comme simple auditeur, elle ne me transporte pas comme les nº38-39 et même 36. Cela étant pour quelqu’un qui adore Mozart et l’écoute énormément ces temps-ci (vous aurez remarqué ) je n’écoute pas assez souvent les 40-41

Idem dans le final. Le chromatisme est d'ailleurs très souvent utilisé dans cette oeuvre. Mais oui, dans l'écriture, cette oeuvre est un miracle.  

Je me suis dit exactement la même chose à la fin de l'écoute 

Méhul : deuxième Symphonie (Minkowski/Musiciens du Louvre)
Une oeuvre inventive et pétillante (comme la Première, d'ailleurs)

John Cage (1912–1992) :
Music of Changes (1951)

Steffen Schleiermacher, piano

Ce n'est pas mieux (ou moins mauvais) par David Tudor?

plus froid que Tudor.

Roussel : Symphonie n°1 (Dutoit)

arnaud bellemontagne a écrit:

Roussel : Symphonie n°1 (Dutoit)

Ça, c'est super bien


_______________________________________________________

Beethoven : cinquième Symphonie (Karajan/Berlin)
Génial monument

Hanson: Symphonies n°1 et 2/Hanson

Adams: Harmonielehre/Oundjian

Et aussi :

(nouveauté)
Haydn – Symphonies 3,14,33,108 (vol.27) – Heidelberger Sinfoniker, Klumpp (Hänssler 2023)  
→ Belle reprise du cycle de Fey par le nouveau directeur musical. Peut-être pas aussi puissamment visionnaire, mais très convaincant dans une esthétique similaire !

(nouveauté)
del Adalid, Arriola, Durán – Quatuors à cordes (de Galice) – Cuarteto Novecento (Brilliant Classics 2022)
→ Bel ensemble. Surtout convaincu par les déhanchements sérieux de Durán. Plaisir de découvrir totalement ces compositeurs de Galice ! 

(disque doudou)
Brahms – Concerto pour violon – Degand, Le Cercle de l’Harmonie, Rhorer (NoMadMusic 2021)

(nouveauté)
Lalo, Pierné, Koechlin – Sonates pour violoncelle & piano – Marina Tarasova, Ivan Kosolov (Brilliant Classics)
→ Belles sonates : très belle découverte pour ma part de Lalo, intense ; pas la meilleure de Koechlin mais tout de même très poétique et folklorique ; Pierné de chambre auquel je suis peu sensible. 

Donizetti – Dom Sébastien (final) – Kasarova, Elder (Opera Rara)
→ Le seul grand opéra de Donizetti qui ne me touche absolument pas. 

(nouveauté)
Auber – Le Philtre – Philharmonique de Cracovie, Acocella
→ Formidable d’enregistrer l’œuvre-source de L’Elisir d’amore… mais pourquoi ne pas l’avoir fait avec des chanteurs francophones ?  À l’exception du ténor (dont la diction n’est par ailleurs pas limpide), que des voix qui s’essaient à la langue avec conviction, mais qui passent tout à fait à côté des couleurs vocaliques exactes et surtout des inflexions de sens qui feraient tout le sel de cette très belle œuvre… (Le livret de Scribe a très peu été modifié par Romani.)
→ Ça n’aurait pas coûté bien cher pourtant de recruter quelques chanteurs français moyens (l’œuvre ne réclame pas des voix hors normes), tout aussi inconnus, peu chers, mais capables de prononcer leur langue… 
→ Par ailleurs, comme d’habitude Naxos ne grave pas les dialogues, et cela rend toute l’œuvre (un opéra comique) bancale, aussi bien au niveau de la forme que du sens de l’intrigue. 

DavidLeMarrec a écrit:

Tiens, réécouté aussi Harmonielehre (par de Waart comme d'habitude).

Je trouve qu'on entend plus de détails chez Oundjian. (Chandos)

Adams: Naive and sentimental music/Oundjian

+

Short ride in a fast machine/Oundjian

L.Boulanger: Clairières dans le ciel/Camarinha

+

Je n'avais pas encore pris l'habitude de poster dans ce topic, j'y posterai quand j'y pense les écoutes de la veille, histoire de montrer que je n'achète pas des disques juste pour le plaisir d'avoir de beaux rayonnages

Du coup d'écoutés hier:

Vivaldi: Les Quatres Saisons (Nigel Kennedy - English Chamber Orchestra)

Giuseppe Valentini: Concerti Grossi E A Quattro Violini, Op. VII (Chiara Banchini -Ensemble 415)

Mozart: Gran Partita Serenade (Philippe Herreweghe - Harmonie de l'Orchestre des Champs-Élysées)

John Cage (1912–1992) :
Etudes Australes pour piano (1974–75)

Steffen Schleiermacher, piano

Schoenberg - Pelleas und Melisande, Op. 5 (Afkham / Frankfurt Radio Symphony) (2019 Live)

Très belle lecture en live du poème symphonique de Schoenberg.Une oeuvre très complexe et très attachante pour moi .Je ne connaissais pas ce chef,David Afkham, qui semble très demandé ,en tant que chef invité.

Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=X6yygsM1O74

Florence Beatrice Price (née Smith; (1887-1953)
Sonate pour piano en mi mineur ( c'est un Live vraiment magnifique)
Michelle Cann /Piano

Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=4jgXKLLdlI0


Bien que Price ait écrit plus de 300 morceaux de musique, son travail a été largement oublié après sa mort. « Mon cher Dr Koussevitzky, avait-elle écrit au chef d’orchestre russe de son vivant, j’ai deux handicaps : je suis une femme ; et j’ai du sang noir dans les veines."
Dans les notes de programme de sa pièce pour piano Three Little Negro Dances, Price écrit : "Dans tous les types de musique nègre, le rythme est d’une importance primordiale. Dans la danse, c’est une force irrésistible, qui ne tolère aucune interruption... Toutes les phases de l’activité vraiment nègre – que ce soit le travail ou le jeu, le chant ou la prière – sont plus que susceptibles de prendre une qualité rythmique". Wikipedia

Szymanowski: Mythes et autres pièces pour violon et piano/Radauer-Plank

à

Enesco: Impressions d'enfance/Nemtanu

+

Sylvestrov, Requiem pour Larissa

Priska Eser, soprano,
Jutta Neumann, alto,
Andreas Hirtreiter, ténor,
Wolfgang Klose, basse,
chœur de la radio bavaroise, orchestre de la radio de Munich, Andres Mustonen

John Cage (1912–1992) :
Music for 5 Pianos
Music for Piano 1 (1952)
Music for Piano 2 (1953)
Music for Piano 3 (1953)
Music for Piano 4–19 (1953)
Music for Piano 20 (1953)
Music for 4 Pianos
Music for Piano 31–36 (1955)
Music for 3 Pianos
Music for Piano 37–52 (1955)
Music for 2 Pianos I
Music for Piano 53–68 (1956)
Music for 2 Pianos II
Music for Piano 69–84 (1956)
Music for Piano 85 (1962)
Electronic Music for 2 Pianos (1964)

Steffen Schleiermacher, piano