Playlist (156)

lulu a écrit:

Hans Jürgen von der Wense (1894–1966) :
Musik für Klavier I–V (1915)
Musik für Klavier Nr. 13 für Walter Spies (1919)
Ich hatt’ eine Kameraden, Groteske für Klavier (1919)
Musik für Gesang [und Klavier] I–III (1917–19)
Klavierstück Warnemünde 1926
Drei Lieder nach William Butler Yeats (1945/46)
Zwei Klavierstücke nach Wilhelm Klemm (1962/63)
Musik für Klavier, Klarinette und Blechsieb (1919)

Wense / Schleiermacher : Musik für Klavier I−V instrumentiert für Orchester (2016)

Holger Falk, baryton
Walter Seyfarth, clarinette
Steffen Schleiermacher, piano
Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin (Johannes Kalitzke)

Personnage assez atypique que cet Hans Jürgen von der Wense 1894-1966),à la fois poète, compositeur, photographe, aphoriste et randonneur allemand.J'ai regardé s'il y avait autre chose de lui en musique, mais rien ,à part ce disque.Pourtant sur Wiki, il est dit qu'il a laissé ,énormément de documents,de toutes sortes.Même ce disque est assez hétérogène, avec des extraits en Allemand de la vie d'Eduard Erdmann ,compositeur et pianiste important .La musique de Von der Wense ,paraît de belle qualité,dommage qu'on reste un peu sur notre faim.

Ecouté 3 oeuvres de  Nikolai Korndorf (1947-2001)


Nikolai Korndorf - Yarilo for Piano and Tape
Oeuvre interessante ,surtout pour la façon dont est utilisé le piano.

Symphony for Chamber Orchestra "Confessiones"
j'aime beaucoup la subtilité et surtout,la complexité qui sort de l'ordinaire de l'écriture de cette oeuvre pour orchestre de chambre.L'oeuvre finit sur une espèce de comptine ,avec voix féminine.


Le Quatuor à cordes Emily Carr interprète le « Quatuor » de Nikolai Korndorf
Avec le quatuor, on entre dans une autre dimension, il dure près d'une heure, et il ne faut pas s'attendre à  la richesse des 4 instruments, à laquelle on s'attend d'habitude .C'est très lent, presque hypnotique, on est pas loin du raga,mais c'est plutôt une longue litanie qui se déroule ,avec des instruments incertains, bref un autre temps que le notre habituel. L'oeuvre se poursuit avec des voix douces qui récitent ou un mantra ou des textes religieux, mais sûrement pas loin de ça.
La fin est encore plus planante ,avec forces cloches et voix , c'est un monde musical assez décousu ,auquel, on est pas habitué.Bravo au quatuor Emily Carr d'avoir tenté l'aventure , de cette oeuvre peu commune.Bref, tout ça est difficile à définir pour une première écoute et pour une oeuvre pour laquelle, on attendait plutôt autre chose.Donc je suis forcément injuste,à réécouter, quand je serais plus zen et plus disponible pour cette musique.

PS / j'ai aussi écouté le trio en hommage à Schnittke, c'est tellement dissonnant que c'en est presque formidable.Je crois que pour comprendre la musique russe, il nous faut bien plus,que ce nous avons et ce que nous savons.Nous ,on est habitué à une musique claire et précise,c'est notre esprit logique,qui domine, là on est dans un tout autre monde musical et culturel.Bon,je dis peut être des bêtises aussi.

Bach : Concerto pour deux violons (Café Zimmermann)

gluckhand a écrit:

[...]J'ai aussi écouté le trio en hommage à Schnittke, c'est tellement dissonnant que c'en est presque formidable. Je crois que pour comprendre la musique russe, il nous faut bien plus que ce nous avons et ce que nous savons. Nous, on est habitué à une musique claire et précise, c'est notre esprit logique qui domine, là on est dans un tout autre monde musical et culturel.[...]

Franchement, ce n'est pas faux.

Severin von Eckardstein joue la Grande Sonate d’Alkan 'Les Quatre Ages', Op. 33 (Live)
Joué en concert à Siegen, Allemagne le 10.3.2001

"La séquence des mouvements est différente de la sonate classique typique pour piano, en ce sens qu’ils deviennent progressivement plus lents; après le vif 20 ans, marqué « très vite » et le complexe 30 ans, sous-titré Quasi-Faust, et marqué « assez vite », 40 ans est plus calme, marqué « lentement », et 50 ans, sombre et pessimiste d’humeur, est marqué « extrêmement lent ». Wikipedia

Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=1TqWqdM1rWw
J'aime beaucoup ce pianiste, il allie la technique à l'intelligence du texte.Je l'ai beaucoup apprécié dans Medtner .Là aussi,il se défend pas mal.

Arthur Lourié (1892–1966)/ Concerto da camera / Gidon Kremer · Deutsche Kammerphilharmonie · Thomas Klug

J'aime beaucoup cette oeuvre de Lourié.Même ,s'il y a un côté néo-classique prononcé ,je la trouve très interessante et ne comprends pas,pourquoi,elle n'est pas plus enregistrée.A part Gidon Kremer et aussi un quatuor hollandais, j'en connais pas beaucoup de versions.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=/r1y8iTQ5bx4

Mompou: Mélodies/Gragera, Damas

Bach : Partita n°1 (Pires)

Bartok: Concerto pour piano n°3/Schuff, I.Fischer

Aaron Copland (1900–1990) :
Piano Variations (1930)
Piano Sonata (1939–41)
Piano Fantasy (1955–57)

Robert Weirich, piano

J-S Bach
* Partita no.1 BWV 825
Jean-Louis Steuerman, piano (Philips)

arnaud bellemontagne a écrit:

Bach : Partita n°1 (Pires)

J'ai pas vu ce message avant le mien ...

Brahms: Variations sur un thème de Haydn
Scottish Chamber Orchestra
Sir Charles Mackerras (Telarc)

Anton Bruckner : Symphonie n°4 pour orchestre        1874-76-78-80-81-86-88 / Berliner Philharmoniker (Haitink)
 +

Adams: Harmonium/De Waart



Avec partition.

Adams: El Dorado/Nagano

Anton Bruckner : Symphonie n°5 pour orchestre        1875-78 / Berliner Philharmoniker (Haitink)
 +
Bon, c'est tout de même pas mal mais bon, on est tout de même pas très loin de la quatrième. 

Ah, tu trouves?
Il me semble qu'elle est plus austère et marmoréenne que la précédente que je trouve plus souple et "romantique".

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Sibelius : Symphonie n°7 (Bernstein Sony)

Vraiment une oeuvre unique.

Boris Klyuzner : Symphonie nº 2 (1961)
Vadim Salmanov : Symphonie nº 2 (1959)

Orchestre Philharmonique de Leningrad (Evgeni Mravinski)

Boris Arapov : Sonate pour piano nº 2 (1976).  Grigori Sokolov
Boris Klyuzner : Sonate pour piano nº 2 (1968).  Olga Skorbyanshchenskaya
Boris Klyuzner : Sonate pour piano nº 2 (1968).  Tatiana Nikolayeva

arnaud bellemontagne a écrit:

Ah, tu trouves?
Il me semble qu'elle est plus austère et marmoréenne que la précédente que je trouve plus souple et "romantique".

-------------

Sibelius : Symphonie n°7 (Bernstein Sony)

Vraiment une oeuvre unique.  

Oui, c'est vrai, tu as raison (d'où, d'ailleurs, l'écart entre les notes que je leur ai mises) ; je voulais dire que même si la quatrième est moins austère, on sent que ce sont des mécanismes assez proches à l'oeuvre dans l'écriture.

(Oui pour le Sibelius et quelle version !)

Verdi: Otello/Thielemann-Boussard (Blu-ray)

Ernst Krenek (1900-1991): Concerto per violino e orchestra n.2 op.140 (1954) -- Ernst Kovacic, violon -- Radio Symphonie Orchester Wien diretta da Ulf Schirmer --

Dans toutes les formes musicales, Krenek a laissé quelque chose d'interessant et de brilliant .Il est féru de tous les styles ,qu'il a expèrimenté pour chacun. Le concerto pour violon N°2 est superbement construit.Il est souvent, laissé de côté, quand on cite les grands concertos pour violon des années 50 .Si Berg et Schoenberg se font sentir,pour la forme et l'esprit . Il est une chose de sûre avec Krenek, c'est qu'il sait parfaitement ,marquer son territoire personnel.Le très bon violoniste Ernst Kovacic,est le même qui a enregistré le concerto de Cerha.

Ernst Krenek: Concerto pour violino e orchestre n.2 op.140 (1954)
I. Allegro animato
II. Allegro
III. Allegro, vivace molto

Pour l'écouter/
www.youtube.watch?v=5YgbcTwpIp8

Belle et grande découverte pour moi ,sur YT de ce pianiste, Sigurd Slattebrekk ,dans Schumann il est vraiment remarquable.Je ne sais s'il est connu ou pas, ne fréquentant pas trop , les forums consacrés à l'actualité musicale.Dieu merci, il y a YT, sinon,l'on serait condamné à ne vivre que dans le passé.

J-S Bach
* Cantates pour l'Avent
Monteverdi Choir / English Baroque Soloists
John Eliot Gardiner (Archiv)

Mozart: Messe en do mineur K.427
Academy of Ancient Music
Christopher Hogwood (L'Oiseau-Lyre)

@Emeryck :

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Bach : Concerto pour clavier n°1 BWV 1052 (Café Zimmermann)


Mine de rien, c'est un de mes concertos préférés tous compositeurs confondus.

as fast as possible

Conlon Nancarrow (1912-1997)
Suite pour Orchestre
Etudes pour piano "player" N° 16, 20, 26, 32, 44*  
Trois mouvements pour orchestre de chambre**
Septuor. Fragment
* arrangements pour un, deux, quatre pianos, par Erik Oña, Helena von Bungalow, et Conlon Nancarrow, tout cela pour 4, 8, 7 mains.
** le troisième mouvement est noté "as fast as possible". D'où le titre du disque (qui fait aussi écho à l'injouabilité des pièces pour piano mécanique)

Paul Usher (1970)
Nancarrow Concerto, pour pianola et orchestre de chambre  

Pianos, Helena Bugallo, Amy Williams, Amy Briggs, Ingrid Karlen
Pianola, Rex Lawson
Ensemble Modern
WDR Sinfonieorchester - Köln / Stefan Asbury

Beffa: Les Ruines circulaires, Le Bateau ivre

+

A.Merikanto: Genesis/Mattila, Söderblom
A.Merikanto: Ekho/A.Komsi, Sakari

Puccini: Turandot/Pappano

George Perle (1915-2009): Transcendental Modulations (1993).
The American Symphony Orchestra diretta da Leon Botstein.

"George Perle , compositeur et théoricien de la musique américain. En tant que compositeur, sa musique était en grande partie atonale, utilisant des méthodes similaires à la technique dodécaphonique de la deuxième école viennoise. Ce style sérialiste, et l’atonalité en général, a fait l’objet d’une grande partie de ses écrits théoriques. Son livre de 1962, Serial Composition and Atonality: An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, and Webern reste un texte standard pour la théorie de la musique classique du 20e siècle." Wikipedia

Cette oeuvre est le parfait exemple,de la musique de Perle.Il a en effet ,sélectionné rigoureusement les oeuvres de lui, qui resteraient dans son corpus final.Une musique qui semble statique,mais qui est loin de l'être .Toujours l'infatigable Leon Botstein,à la direction.

Pour l'écouter/
www.youtube.watch?v=lKn0Tojau5E

gluckhand a écrit:

"George Perle , compositeur et théoricien de la musique américain. En tant que compositeur, sa musique était en grande partie atonale, utilisant des méthodes similaires à la technique dodécaphonique de la deuxième école viennoise. Ce style sérialiste, et l’atonalité en général, a fait l’objet d’une grande partie de ses écrits théoriques. Son livre de 1962, Serial Composition and Atonality: An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, and Webern reste un texte standard pour la théorie de la musique classique du 20e siècle." Wikipedia

À l’inverse, quand on lit ce que Perle dit de sa propre musique, on voit qu’il insiste systématiquement sur le fait qu’il n’est pas un compositeur atonal et que son dodécaphonisme, à supposer qu’il en soit un, n’a pas grand-chose à voir avec celui des Viennois. Il déplore l’incompréhension du public qui parce qu’il a écrit sur le dodécaphonisme « atonal » le range systématiquement derrière ces termes sans se poser plus de questions.

Even though this was a critique of a most fundamental kind of Schoenberg’s system, I have been labelled a “twelve-tone” or “serial” composer ever since, whatever people may think they mean by these terms. My fate was sealed with the publication of my book, Serial Composition and Atonality, in 1962. Its subtitle, “An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, and Webern,” was misread by almost everyone as “An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, Webern, and Perle.”

(...)

Cyclic and inversional symmetry point in the direction of a comprehensive and “natural” language of twelve-tone tonality which has been the basis of most of my music since 1939 and all of it since 1969. It is a language that has as much to do with Scriabin, Stravinsky, and Bartok as it has to do with Schoenberg, Berg, and Webern, and very little to do with the post-Schoenbergian evolution of serialism, which has been obsessively preoccupied with what are for me secondary and superficial—I would even say simplistic—aspects of twelve-tone composition…

Nevertheless, I think post-Schoenberg twelve-tone serial composition has been on the wrong track all along, I have never been part of this movement, and I wish that people would at last stop calling me a “serialist.” As for “twelve-tone composer,” by now this has all the wrong connotations. “Twelve-tone tonal composer” will do, to distinguish me from the others, who are “twelve-tone atonal composers.” When I composed my first piece in what I call “twelve-tone tonality” exactly fifty years ago there was so little interest, even in Schoenberg’s twelve-tone music, that it hardly seemed worthwhile, or even possible, to insist on distinctions. But all this changed a long time ago.

Cristóbal Halffter, concerto pour violon No. 1
Edinger, Radio-Sinfonie-Orchester Frankfurt Halffter

Très sympa, ca fait penser un peu à l'école polobaise (Lutowslaski, Penderecki)

lulu a écrit:

gluckhand a écrit:

"George Perle , compositeur et théoricien de la musique américain. En tant que compositeur, sa musique était en grande partie atonale, utilisant des méthodes similaires à la technique dodécaphonique de la deuxième école viennoise. Ce style sérialiste, et l’atonalité en général, a fait l’objet d’une grande partie de ses écrits théoriques. Son livre de 1962, Serial Composition and Atonality: An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, and Webern reste un texte standard pour la théorie de la musique classique du 20e siècle." Wikipedia

À l’inverse, quand on lit ce que Perle dit de sa propre musique, on voit qu’il insiste systématiquement sur le fait qu’il n’est pas un compositeur atonal et que son dodécaphonisme, à supposer qu’il en soit un, n’a pas grand-chose à voir avec celui des Viennois. Il déplore l’incompréhension du public qui parce qu’il a écrit sur le dodécaphonisme « atonal » le range systématiquement derrière ces termes sans se poser plus de questions.

Even though this was a critique of a most fundamental kind of Schoenberg’s system, I have been labelled a “twelve-tone” or “serial” composer ever since, whatever people may think they mean by these terms. My fate was sealed with the publication of my book, Serial Composition and Atonality, in 1962. Its subtitle, “An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, and Webern,” was misread by almost everyone as “An Introduction to the Music of Schoenberg, Berg, Webern, and Perle.”

(...)

Cyclic and inversional symmetry point in the direction of a comprehensive and “natural” language of twelve-tone tonality which has been the basis of most of my music since 1939 and all of it since 1969. It is a language that has as much to do with Scriabin, Stravinsky, and Bartok as it has to do with Schoenberg, Berg, and Webern, and very little to do with the post-Schoenbergian evolution of serialism, which has been obsessively preoccupied with what are for me secondary and superficial—I would even say simplistic—aspects of twelve-tone composition…

Nevertheless, I think post-Schoenberg twelve-tone serial composition has been on the wrong track all along, I have never been part of this movement, and I wish that people would at last stop calling me a “serialist.” As for “twelve-tone composer,” by now this has all the wrong connotations. “Twelve-tone tonal composer” will do, to distinguish me from the others, who are “twelve-tone atonal composers.” When I composed my first piece in what I call “twelve-tone tonality” exactly fifty years ago there was so little interest, even in Schoenberg’s twelve-tone music, that it hardly seemed worthwhile, or even possible, to insist on distinctions. But all this changed a long time ago.

Il n'est pas le seul dans ce cas, il y a d'autres compositeurs qui ont admiré Schoenberg et l'école de Vienne,et qui se sont un peu détachés de la ligne dure du dodécaphonisme, pour aller leur chemin, personnel.Je pense de suite à Farten Valen, Gerhard, ou Skalkottas.

Bruno Luong a écrit:

Cristóbal Halffter, concerto pour violon No. 1
Edinger, Radio-Sinfonie-Orchester Frankfurt Halffter

Très sympa, ca fait penser un peu à l'école polobaise (Lutowslaski, Penderecki)

« (...) il a traversé une phase sérielle assez brève après des débuts néo-classiques, pour trouver, vers le milieu des années 1960, un langage puissament personnel auquel il est demeuré fidèle depuis, tout en ne cessant de le développer. Il emprunte des éléments tant à la micropolyphonie d’un Ligeti qu’à certains procédés orchestraux de l’école polonaise, mais en poussant très loin les raffinements d’une harmonie à base de micro-intervalles et d’un contrepoint prodigieusement complexe magnifiant l’héritage de la Renaissance. (...) Très éloigné de tout constructivisme abstrait, l’art de Halffter se veut expressif et même engagé, comme le démontre toute une série impressionnante d’œuvres-témoignages nées sous la dictature franquiste. »

ne passe pas à côté de son superbe deuxième concerto pour violoncelle.

il a aussi été question de ses quatuors à cordes quelques fois sur le forum.

gluckhand a écrit:

Il n'est pas le seul dans ce cas, il y a d'autres compositeurs qui ont admiré Schoenberg et l'école de Vienne,et qui se sont un peu détachés de la ligne dure du dodécaphonisme, pour aller leur chemin, personnel.Je pense de suite à Farten Valen, Gerhard, ou Skalkottas.

oui, et d’une manière générale la très grande majorité des compositeurs inspirés par le dodécaphonisme dans un sens assez large tiennent beaucoup à s’en distinguer, parfois de manière un peu artificielle.
(et c’est très amusant de voir les opposants de principe au dodécaphonisme/sérialisme pointer ces déclarations Regardez lui c’est un esprit libre qui ose aller contre le courant dominant des sériels dogmatiques !! alors que ces derniers ont exactement le même genre de déclarations, voire des déclarations plus critiques encore.)

Merci je vais creuser sur Cristóbal Halffter.

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