Playlist (157)

Bernd Alois Zimmermann (1918-1970): Metamorphosis, musique du film éponyme de Michael Wolgensinger (1954) --- Collegium Novum Zurich diretto da Peter Hirsch ---- 1ère introduction 2. L’invention 3. Romance 4. Canon 5. Habanera 6. Gigue .

Découvert sur YT,, cette superbe musique de film ,apparemment, il y a une dynamique impressionnante dans cette oeuvre,je trouve.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=3dWww6CufnY

Dutilleux : Tout un monde lointain (Pergamenschikow/Tortelier)

Stravinsky: Le Rossignol/Ono-Lepage (vidéo Arte)

Bruno Luong a écrit:

l'école polobaise

Joli!

Rachmaninov: L'Ile des morts/Slatkin Détroit

Jolivet: Ballet des étoiles/Desgraupes



Jolivet: Suite delphique/Desgraupes

+

Sibelius: Symphonie n°5/N.Järvi (Bis)

Sibelius: Symphonie n°7/Søndergård

Sibelius: Symphonie n°3/Blomstedt

Sibelius: Symphonie n°2/Berglund COE



(punaise c'te version! )

Aaron Copland (1900–1990) : Piano Sonata (1939–41)
Charles Ives (1874–1954) : Three-Page Sonata (1905)
Elliott Carter (1908–2012) : Piano Sonata (1945–46/1982)
Samuel Barber (1910–1981) : Piano Sonata (1949)

Peter Lawson, piano

Halffter, concerto pour violoncelle No. 2 "No queda mas que el silencio"

Rostropovitch, ONF, Halffeter

En effet c'est une composition de la même période que le concerto no. 1 avec des similitudes
Il faut plus de 40 minutes pour arriver au silence

Xavier a écrit:

(punaise c'te version! )

Peux tu détailler Xavier ?

Bernardo Storace (1637-1707)
In Modo Pastorale

Marouan Mankar-Bennis, orgue et clavecin ;
Arnaud Carron de la Carriere, percussion ;
Arabella Cortese, récit ;
Jean-Pascal Lamand, murmures siciliens.

Sur les conseils de Mandryka, dans le fil clavecin anthologies

Bruno Luong a écrit:

Xavier a écrit:

(punaise c'te version! )

Peux tu détailler Xavier ?

J'en avais un assez bon souvenir, mais c'est mieux que ça, c'est très vif, acéré, intense, et la prise de son est à l'avenant.

Wagner: Tristan et Isolde/Segerstam



Ca a l'air pas mal cette version!

Un acte 1 en 63 minutes, je suis curieux. (je ne pense pas que ce soit coupé, c'est en général plutôt le II qui l'est, et là il fait 78 minutes, donc ça ne sent pas la coupure)

Xavier a écrit:

Sibelius: Symphonie n°2/Berglund COE



(punaise c'te version! )

Ah oui ? J'en avais un souvenir un peu sec, la punition du HIP sans ses bénéfices.

Xavier a écrit:

Wagner: Tristan et Isolde/Segerstam

Je n'avais jamais vu passer ni entendu parler de cette version... Et ça me tente bien aussi, tiens...

C'est pas mal chanté, mais la captation du Naxos de ces années est assez blanchâtre, pas très physique pour l'orchestre. Très bonne version, mais clairement pas la plus prenante pour moi.

Ah, moi j'aime bien comment ça sonne.

Les chanteurs sont vraiment bien. (les chanteuses surtout en fait)

C'est disponible sur Deezer. (mais c'est un peu caché, il ne faut pas taper "Tristan Segerstam": https://www.deezer.com/fr/album/1571994 )

Xavier a écrit:

Wagner: Tristan et Isolde/Segerstam



Ca a l'air pas mal cette version!

Un acte 1 en 63 minutes, je suis curieux. (je ne pense pas que ce soit coupé, c'est en général plutôt le II qui l'est, et là il fait 78 minutes, donc ça ne sent pas la coupure)

Argh, j'ai dit une bêtise, c'est le CD 1 qui fait 63 minutes, mais l'acte 1 se prolonge au 2è CD.
Par contre, l'acte 2 fait bien 61 minutes, donc ça sent bien la grosse coupure.

C'est la version la plus rapide qui existe j'ai l'impression, mais si c'est coupé de 10 minutes au II, forcément...

Charles Griffes (1884–1920) : Piano Sonata (1917–18)
Roger Sessions (1896–1985) : Piano Sonata No. 2 (1946)
Charles Ives (1874–1954) : Piano Sonata No. 1 (1902–8 )

Peter Lawson, piano

Xavier a écrit:

Par contre, l'acte 2 fait bien 61 minutes, donc ça sent bien la grosse coupure.

Ah bah non alors [bip bip alerte ], j'ai rien dit.

Voilà, j'y suis, la coupure est bien là.

Sinon, c'est à écouter, une bonne version. Bon, sans plus quand même.
J'aime bien cet orchestre fin, clair, avec des violons parfois à la limite. (on dirait que l'effectif est un peu léger par rapport aux standards habituels)

Iannis Xenakis (1922–2001) :
Ikhoor pour trio à cordes (1978)
Ergma pour quatuor à cordes (1994)
Khoaï pour clavecin (1976)
Mists pour piano (1981)
Persephassa pour six percussionnistes (1969)

Quatuor Danel
Elisabeth Chojnacka, clavecin
John Snijders, piano
Schlagwerkgroep Den Haag

Xavier a écrit:

J'en avais un assez bon souvenir, mais c'est mieux que ça, c'est très vif, acéré, intense, et la prise de son est à l'avenant.

Ah oui je suis moi même accro de cette version de Berglund.

• Puccini: Turandot:

Sondra Radvanovsky (Turandot), Michael Spyres (Altoum), Michele Pertusi (Timur), Jonas Kaufmann (Calaf), Ermonela Jaho (Liù), Mattia Olivieri (Ping), Gregory Bonfatti (Pang), Siyabonga Maqungo (Pong), Michael Mofidian (Un Mandarino), Francesco Toma (Il Principe di Persia), Valentina Iannotta, Raksha Ramezani Melami (Ancelle di Turandot), Antonio Pappano / Orchestra dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia - Roma, Coro e Voci Bianche dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia - Roma / Piero Monti
Rome, II-III.2022
Warner Classics

Ça vient de sortir, mais je n’ai pas écouté ça d’une oreille très attentive. Orchestralement, c’est assez typique de Pappano: pas de recherche de la singularité interprétative, mais très efficace dramatiquement et très beau (de l’ampleur mais de la transparence et de la finesse, et des couleurs superbes.) Vocalement, c’est, comme souvent dans les studios d'opéra récents: objectivement très bien mais pas du tout ma came (en même temps, vu les noms, c’était assez couru) - et les chœurs sont très bien.

Sibelius : Symphonie n°6 (Karajan)


D'un point de vue plastique, c'est absolument bluffant.

Ravel : Rhapsodie espagnole / Sheherazade, ouverture de féerie / Menuet antique - ONLyon, Leonard Slatkin

Lefrançois : Sextuor mixte - Paul Meyer, Magali Mosnier, Paul Guillotin, membres du Quatuor Parisii

Jürg Frey (*1953) : Elemental Realities pour orchestre (2019)
Saed Haddad (*1972) : Melancholie pour harmonica et orchestre (2019)
György Kurtág (*1926)  : New Messages op. 34a pour orchestre (1998)
Alban Berg (1885–1935) : Drei Bruchstücke pour soprano et orchestre (1923)

Juliane Banse, soprano
Hermine Deurloo, harmonica
SWR Symphonieorchester (Tito Ceccherini)

Adams: Lollapalooza/P.Järvi



Chostakovitch: Symphonie n°5/Zweden

Chris Dench – Symphonie n° 4 (1994-97)
Pour 4 voix amplifiées et grand orchestre. Les textes sont tirés du philosophe médiéval Pierre Abélard, de la secte hindoue Lingayat, des écritures de Nag Hammadi et de la Kabbale.


J'aime bien ce compositeur ,Chris Dench est né à Londres en 1953. Il est autodidacte. Après avoir vécu en Toscane et à Berlin-Ouest, il est finalementparti s’installer en Australie et est devenu citoyen australien en 1992.
Il a écrit une sonate pour piano ,d'une heure et demie interessante et d'autres oeuvres comme cette symphonie. Ce n'est pas une musique révolutionnaire pour moi,mais assez engageante pour être écoutée jusqu'au bout.Il paraît ,en lisant YT, que l'orchestre se serait révolté pendant les répétitions.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=tx4ydDxSJ7o

Friedrich Cerha (1926–2023) :
Verzeichnis pour chœur (1969)
NDR Chor (Helmut Franz)

Spiegel II pour orchestre à cordes (1960–61)
Orchestre philharmonique de Radio France (Gilbert Amy)

1. Streichquartett Maqam (1989)
Cherubini-Quartett

Fünf Stücke für Klarinette, Violoncello und Klavier (2000)
Paul Meyer, Jean-Guihen Queyras, Éric Le Sage

Ah il n'est plus.

Composer: Wenchen Qin (1966): Violin concerto / The Border of the Mountains
Concerto pour violoncelle « Dawn »:
Conductor: Gottfried Rabl
Orchestra: Radio-Symphonieorchester Wien
Deux oeuvres assez agréables à écouter et comme dit la pochette .
"Né en Mongolie, Wenchen Qin a grandi avec la musique traditionnelle de son pays natal et fait partie à présent des plus grands compositeurs chinois. Son Concerto pour violon « The Border of the Mountains » exploite les couleurs extraordinaires et la souplesse de l'orchestre et du soliste et reflète la nature et la spiritualité de la montagne."
On est sûrement plus à mon avis ,musicalement,du côté de l'Occident, que véritablement transporté dans les belles montagnes et plaines de Mongolie.Mais c'est de la belle musique et il y a de superbes moments exotiques .Le concerto pour violoncelle non plus,ne manque vraiment pas d'intèrêt.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=tU5A9Jnh5Vw

Sibelius : Symphonie n°5 (Karajan)

Bartok: Rhapsodie pour violon et orchestre n°1/Menuhin, Boulez

Michael von Biel (*1937) :
Traditionelle Stücke für zwei Gitarren {Auswahl} (1974–77)
Doubles für Violin und Klavier (1961/62)
Improvisation für zwei elektrische Gitarren (1981/83)
Vier Stücke für zwei Gitarren {Auswahl} (2001)
28 Stücke für Klavier {Auswahl} (1987–89)
Klavier-Solo Nr. 3 (1980/81)
11 Stücke für Klavier {Auswahl} (1989–92)
Etüden und Gesangsthemen für Klavier (1968)
Quartett für Streicher Nr.  2 (1963/64)
Quartett mit Begleitung für Streichquartett und zweites Violoncello (1965/66)
Cloches adoreuses für Streicher (2007)

Tal Botvinik et Tobias Juchem, guitares
Niklas Seidl, violoncelle
Thibaut Surugue, piano
Asasello Quartett

Gérard Grisey : L’Icône paradoxale (1992-1994)
Gérard Grisey (1946-1998) : L’Icône paradoxale, pour 2 chanteurs et ensemble
(1992-1994) - Catherine Dubosc & Lani Poulson, chanteurs - SWR Sinfonieorchester des Südwestrundfunks - Sylvain Cambreling, chef d’orchestre
Piero della Francesca (1412/20 - 1492) : Madonna del Parto (c.1469) - Musei Civici Madonna del Parto, Monterchi, Toscane (Italie)

Petit retour à Grisey, de temps en temps, il faut revenir aux classiques de la musique contemporaine.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=dGsK2Z5lyj4

Sonate dramatique pour violoncelle et piano "Titus et Bérénice": Rita Strohl / (1865-1941)
Aude Pivôt (violoncelle) et Laurent Martin (piano)

Cette œuvre, composée en 1892 et publiée en 1898, a la particularité de conjuguer le genre traditionnel de la sonate avec un procédé narratif. « Dramatique », sa partition raconte l’histoire de Titus et Bérénice en s’appuyant sur des citations de la tragédie Bérénice de Racine (1670). Chacun des mouvements dépeint toutefois l’étape d’un récit plutôt qu’une action continue. L’œuvre se signale par ses contrastes et son grand souffle expressif, obtenus au moyen d’écritures amples et très variées. Elle est dédiée au violoncelliste Charles Furet. À l’introduction mystérieuse succède un Moderato déployant une belle mélodie, longuement développée. Il fait place à un Molto movimento sombre et heurté. Par son animation rythmique, sa légèreté, son atmosphère de mystère, le deuxième mouvement Vivace évoque le scherzo de type mendelssohnien. La section centrale est marquée par une basse obstinée. Après un choral dans l’aigu du piano, la section initiale revient, altérée. Le troisième mouvement est un Lento, Tristamente. Le ton de déploration est rendu par des chromatismes expressifs. Peu à peu l’écriture se charge et gagne en intensité. Silence... Le violoncelle déclame un « récitatif », qui ramène le chant de déploration. Avec son flot d’arpèges au piano et sa ligne mélodique continue au violoncelle, le quatrième mouvement Allegro molto movimento dégage une grande force dramatique. Dans la partie Ben cantando, moins haletante, le piano fait contrechant au violoncelle. Après de violents contrastes, le thème initial réapparaît, et engage le Molto appassionato conclusif, à l’expression exacerbée.
BRU ZANE MEDIABASE / Merci à eux.

Pour l'écouter/ www.youtube.com/watch?v=oDRmWWVSw3k

Entendu en concert, ça ne m'avait pas touché autant que ses Bilitis…

DavidLeMarrec a écrit:

Entendu en concert, ça ne m'avait pas touché autant que ses Bilitis…

J'en suis à ma seconde écoute, mais ce n'est pas une oeuvre qu'on digère d'un seul coup à mon avis. J'en reparlerais plus tard, sur le Post consacré aux compositrices du 19ème siècle.

J'ai surtout trouvé peu de saillances à l'ensemble, donc pas eu particulièrement l'impression d'être noyé par la profondeur du propos. (ça reste une belle œuvre, bien sûr, mais dans cette génération là en sonate violoncelle féminine, celle de Mel Bonis est d'un tout autre tonnel !)

DavidLeMarrec a écrit:

J'ai surtout trouvé peu de saillances à l'ensemble, donc pas eu particulièrement l'impression d'être noyé par la profondeur du propos. (ça reste une belle œuvre, bien sûr, mais dans cette génération là en sonate violoncelle féminine, celle de Mel Bonis est d'un tout autre tonnel !)

Moi je me suis embourbé dans la sonate de Onslow sur YT,et je crois là, par contre, malgré ma bonne volonté,j'ai  jamais réussi à digèrer ce compositeur.Quoique j'écoute de lui, ça m'ennuie au bout d'un moment .Qui peut me citer un chef-d'oeuvre de ce compositeur, pour que je puisse vivre en paix dorénavant .Pour en revenir à Strohl et sa saillance musicale, en effet,ça file doux jusqu'à la fin, même pas un arrêt pipi possible. Dis-donc, c'est pas facile , d'être critique musical, à t'entendre, il faut surtout savoir nager.
Mais tu as raison Jaëll et Bonis, ont parfaitement bien réussi avec le violoncelle.

Onslow, plein de choses assez convaincantes : symphonies, trios, pourquoi pas quatuors et quintettes, et puis les ensembles de chambre élargis. Il n'y a peut-être pas de chef-d'œuvre, mais je trouve qu'on a toujours affaire à de la très bonne musique.

Je n'ai pas parlé de Jaëll, son concerto est très intéressant mais il ne me paraît pas aussi abouti que la Sonate de Bonis.

DavidLeMarrec a écrit:

Onslow, plein de choses assez convaincantes : symphonies, trios, pourquoi pas quatuors et quintettes, et puis les ensembles de chambre élargis. Il n'y a peut-être pas de chef-d'œuvre, mais je trouve qu'on a toujours affaire à de la très bonne musique.

Je n'ai pas parlé de Jaëll, son concerto est très intéressant mais il ne me paraît pas aussi abouti que la Sonate de Bonis.

Tu n'en as pas parlé ici ,effectivement, mais sur un autre post.Et je trouve la sonate pour violoncelle et piano de Jaëll, très belle.
Pour l'écouter/
www.youtube.com/watch?v=qrYLb5q4RRU

Madetoja: Syksy opus 68/Nylund, Schirmer

Sibelius : Symphonie n°4 (Karajan)

György Ligeti (1923-2006)
Mechanical Music

Barrel Organ (orgue de barbarie) - Pierre Charial
Métronomes - Françoise Terrioux
Pianos mécaniques - Jürgen Hocker

Ces œuvres sont des adaptations, sauf le Poème symphonique pour 100 métronomes

Le texte qui accompagne l'édition du CD, de Ligeti (concernant cette œuvre), raconte l'histoire de cette œuvre et de sa création, et est extrêmement drôle.
Pour la petite histoire : Willem Marinus Dudok [grand architecte dont on peut peut voir un immeuble à Paris, Bd Jourdan - le Collège Néerlandais, et architecte du très bel Hôtel de Ville d'Hilversum, où fut créée l'œuvre] était absolument horrifié, par contre le Maire et l'Ambassadeur d'Espagne évoquèrent les nobles valeurs spirituelles de l'art musical… [ils n'ont sans doute pas assisté au concert]
Elle n'est paradoxalement, ni mécanique ni froide (et plus perturbante encore en concert). La mécanique à bout de souffle, trop humaine, y étant pour beaucoup.

Les arrangements pour piano mécanique le sont à la demande de Ligeti (sous influence Nancarrow - des possibilités bien supérieures à celle d'un pianiste). De même pour l'orgue "barbare" (explication la plus simple selon Wikipédia)

Chouette disque !



Œuvres et crédits : https://www.discogs.com/fr/master/505052-Gy%C3%B6rgy-Ligeti-Pierre-Charial-Fran%C3%A7oise-Terrioux-J%C3%BCrgen-Hocker-Mechanical-Music

PS : @Gluckhand, une des raisons d'être connecté c'est aussi d'avoir le lien vers les renvois web (c'est aussi pour cela que je préfère les mettre en clair, ce qui permet de les copier coller, pour des passant·e·s)

Scriabine: Sonate n°9/Hyekung Lee



Lecture très lente, sensuelle, fouillée, c'est très beau... mais ça ne fonctionne clairement pas jusqu'à la fin, c'est même raté en définitive, on passe à côté de toute la folie de l'oeuvre. Dommage, j'y croyais au début, mais on ne peut pas nier ainsi l'essentiel de cette musique, son élan, sa flamme, sa fougue, sa folie.