Playlist (69)

Claude Debussy (1860-1918) :

Quatuor à cordes en sol mineur

= Quatuor Pascal

(Guilde Internationale du Disque)

Rameau - Grands motets - Les Arts Florissants / Christie

Schubert - Lieder - Elisabeth Schumann / Gerald Moore

Mélomaniac a écrit:

Claude Debussy (1860-1918) :

Quatuor à cordes en sol mineur

= Quatuor Pascal

(Guilde Internationale du Disque)

Disponible en ligne sur le site web de René Gagnaux - en *espérant* que ce soit légal... .Je ne poste pas le lien, faites vos propres recherches

Pssst: ça en vaut la peine...

C'est tout à fait légal, une très bonne adresse !

Prokofiev, Musique pour enfants. Zhukov / Pierre et le loup arrangé et interprété par Nikolayeva / 10 pièces de Roméo et Juliette. Novitskaya

Bruckner:Symphonie n°5 (Jochum Coffret DG)

alexandre. a écrit:

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Schubert - Sonate D.959 - Kempff

C'est juste pour vérifier si je trouve ça toujours aussi mauvais (puisque j'ai lu hier sous la plume d'un célèbre critique français que ne pas aimer Kempff n'était qu'un truc "de certains milieux de la critique branchée").

J'ai écouté son interprétation du 4ème concerto de Beethoven avec Van Kempen en 1953, je suis désolé mais dès l'entrée du piano c'est magnifique, il semble inventer la musique dans l'instant et en quelques secondes crée un climat unique qui m'a complètement envoûté!

Je ne sais pas d'où vient ce rejet de Kempff?

Et je ne suis pas souvent d'accord avec Lompech sur certains points (bien qu'il soit un grand connaisseur du piano), il a un côté "monsieur je sais tout" qui m'exaspère, mais sur Kempff il a raison!

Alexandre, tu fais référence à son livre sur Les grands pianistes du XXème siècle? J'ai beaucoup aimé ce livre, et les CD qui l'accompagnent sont de toute beauté!

Berlioz _ Symphonie Fantastique
Paul Paray : Orchestre symphonique de Détroit

Prokofiev _ suite : L'Amour des trois oranges
Prokofiev _ Suite Scythe
Antal Doráti : London Symphony Orchestra
Prokofiev _ Symphonie n° 5
Antal Doráti : Minneapolis Symphony Orchestra
Stravinsky _ Petrouchka
Stravinsky _ Sacre du Printemps
Antal Doráti : Minneapolis Symphony Orchestra
Bartók _ Suite pour petit orchestre n° 2
Antal Doráti : Minneapolis Symphony Orchestra

Smetana _ Má Vlast
Rafael Kubelik : Chicago Symphony Orchestra

Dis-donc Ravphael, t'as dû acheter la grosse boîte Mercury, non ?

Schubert:Symphonie n°9 (Furtwangler)

Mélomaniac a écrit:

Dis-donc Ravphael, t'as dû acheter la grosse boîte Mercury, non ?

Tu as bien deviné !
Bravo

Jean Rivier (1897-1987) :

Symphonie n°5 en la mineur

= Georges Tzipine, Orchestre National de la Radiodiffusion française

(Pathé, 10 avril 1958)

C'est du brutal...

Je vais réécouter sa symphonie no. 6. Je ne peux pas dire que j'avais été transcendé. Et ce disque que tu montres, c'est disponible ?

Koechlin: 2è symphonie/Silvestri

Bach, Adagio BWV 968, Fantaisie chromatique et fugue, Partita n° 2, Capriccio sur le départ du frère, Aria et variations BWV 989, Prélude BWV 853
- Rosalyn Tureck, "All Bach Recital", Saint-Pétersbourg, 5 juillet 1995
Un grand disque.

Hauer: Apokalyptische Phantasie Op. 5/Rabl

Jean Rivier: symphonie no 6. BBC Northern Symphony, Jascha Horenstein (1963). Troisième écoute, et je me demande encore quoi en penser...

Vaughan-Williams: symphonie no 7, 'Antartica'. Andre Previn, London Symphony.


Walton: concerto pour violoncelle, avec Piatigorsky et Munch.

Clementi: sonates op. 25 no. 5, op. 40 no. 2 et op. 13 no. 6. Olivier Cavé au piano. Ce disque est un pur bonheur.

HAUER Josef Matthias
- Zwölftönspiel.

"Je déteste toute forme d'art qui cherche à exprimer des idées, des programmes, des sentiments..."

arnaud bellemontagne a écrit:

Schubert:Symphonie n°9 (Furtwangler)

Quelle version ?
Je ne demande pas ça pour t'embêter, mais les trois que je connais sont assez différentes.


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Beethoven - Sonates pour piano n°32, n°15 & n°21 - E. Fischer (live Salzbourg)

Beethoven - Sonates pour piano n°11, n°19, n°22, n°25 & n°26 - A. Fischer

olivier le normand a écrit:

alexandre. a écrit:

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Schubert - Sonate D.959 - Kempff

C'est juste pour vérifier si je trouve ça toujours aussi mauvais (puisque j'ai lu hier sous la plume d'un célèbre critique français que ne pas aimer Kempff n'était qu'un truc "de certains milieux de la critique branchée").

J'ai écouté son interprétation du 4ème concerto de Beethoven avec Van Kempen en 1953, je suis désolé mais dès l'entrée du piano c'est magnifique, il semble inventer la musique dans l'instant et en quelques secondes crée un climat unique qui m'a complètement envoûté!

Pour rester sur la même œuvre avec un pianiste de la même génération, je trouve le jeu de Backhaus beaucoup plus beau dans cette introduction, mieux timbré, les premiers traits sont exceptionnels.

alexandre. a écrit:

olivier le normand a écrit:

alexandre. a écrit:

Mélomaniac a écrit:

alexandre. a écrit:

Schubert - Sonate D.959 - Kempff

C'est juste pour vérifier si je trouve ça toujours aussi mauvais (puisque j'ai lu hier sous la plume d'un célèbre critique français que ne pas aimer Kempff n'était qu'un truc "de certains milieux de la critique branchée").

J'ai écouté son interprétation du 4ème concerto de Beethoven avec Van Kempen en 1953, je suis désolé mais dès l'entrée du piano c'est magnifique, il semble inventer la musique dans l'instant et en quelques secondes crée un climat unique qui m'a complètement envoûté!

Pour rester sur la même œuvre avec un pianiste de la même génération, je trouve le jeu de Backhaus beaucoup plus beau dans cette introduction, mieux timbré, les premiers traits sont exceptionnels.

Faudrait que j'écoute pour me faire une idée.

Peux-tu me dire où tu as lu ce que Lompech écrit sur Kempff?

Sinon, j'ai lu ce que tu as écrit sur le topic Schubert à propos de cette sonate, et tu cites Lupu: c'est bizarre comme on peut avoir des perceptions différentes. Lupu, je l'ai entendu l'année dernière en concert et ...quelle déception! Bien sûr je n'ai jamais entendu Kempff en concert, mais Lupu, je trouve que sa réputation est surévaluée. Son concerto de Schumann était indigne d'un grand pianiste comme lui: le tempo, les fautes de doigts, innombrables, franchement, quelle déception! J'ai eu la chance d'entendre un peu après des pianistes comme Chamayou ou Bianconi, qui n'ont pas et sa longévité et sa réputation, et bien, j'ai été autrement impressionné, sans parler d'Argerich il y a un mois, là franchement, c'est le must!

Chamayou et Bianconi sont pour moi nettement insuffisants, alors... Et Lupu est un génie, sauf qu'il joue comme les pianistes d'il y a 60 ans (comme Neuhaus en gros), ce qui le rend incompréhensible pour beaucoup d'auditeurs modernes. Son concerto de Schumann a été plutôt controversé, mais ses cd de Schubert, même s'il y a de nombreuses limites liées à la prise de son et qu'il joue nettement mieux en concert, restent tout de même une des seules anthologie fréquentable.
Pour Backhaus :
- Avec Böhm : /watch?v=ifSP7OBn5HI
- Avec Knappertsbusch : /watch?v=iVaqfFxJG1c

En parlant de Lupu on m'a fait écouter un pirate d'une sonate de Liszt qu'il avait donné dans les années 90, c'est tout bonnement exceptionnel.

Pour Wilhelm Backhaus à l'entame du I de l'opus 58 de Beethoven, il faut essayer de l'écouter dans son enregistrement de 1951 avec Clemens Krauss. C'est hallucinant, il n'y a strictement aucune attaque au début des accords et le thème a l'air de surgir du néant et de survenir sans que personne y fasse quoi que ce soit. Il est complètement « ailleurs ». Il n'y a guère qu'Emil Guilels qui réussisse encore mieux l'entame du premier mouvement de ce concerto, en particulier avec Léopold Ludwig : le sforzando au sommet de la courbe y est complètement implicite (je veux dire par là qu'on le ressent et qu'on l'entend, mais qu'un instrument de mesure serait quasi incapable d'y détecter quoi que ce soit ; ça tient de la magie). Bien sûr, il y a aussi l'entame du I de l'opus 58 par Esteban Sánchez, encore largement supérieur à ces deux-là. Aucune attaque non plus, un sforzando complètement intégré à la courbe, une harmonie en mouvement qui laisse entendre l'entrelacs des différentes lignes simultanées, et une gamme finale (juste avant que l'orchestre reprenne le thème en modulant, comme s'il était encore sous la commotion de cette ouverture du mouvement) qu'Esteban Sánchez joue à mi-chemin du legato et du non legato, avec une légèreté d'elfe mais un timbre plein, épanoui et ensoleillé ; il laisse tous les autres pianistes que je connais dans la poussière.

Beethoven - Concerto pour piano n°4 - Guilels / Masur

J'ai oublié de dire qu'Esteban Sánchez joue le tout dernier accord, après cette gamme ascendante, en laissant revenir les étouffoirs très tôt, comme indiqué par la partition, d'ailleurs : il y a deux temps et demi de silence, avant l'entrée du groupe des cordes de l'orchestre, et la croche du dernier accord doit en outre être relâchée à la moitié de sa valeur à l'époque classique (il n'y a pas d'indication tenuto ou autre sur l'accord). Presque personne n'observe cela et je trouve que c'est dommage. Joué ainsi, avec une croche piano ou pianissimo et abrégée, c'est la seule manière de faire ressentir la surprise voire la commotion que représente cette manière vertigineuse de commencer le concerto. Les cordes entrent sur la pointe des pieds, en modulant ; on ressent physiquement la surprise que cela représente. En plus, cette manière de jouer le silence tisse un lien formel secret avec les apartés du piano solo face au groupe des cordes (marcato et staccato) vers le début du mouvement lent du concerto.

alexandre. a écrit:

En parlant de Lupu on m'a fait écouter un pirate d'une sonate de Liszt qu'il avait donné dans les années 90, c'est tout bonnement exceptionnel

Ce n'est peut-être pas le plus virtuose des pianistes, mais la couleur du son de Lupu est extraordinaire. C'est peut-être du aussi à la façon dont il sélectionne/règle ses pianos?

Edgar Varèse, Ecuatorial. Chailly, etc.

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Six Sonates pour orgue Op.65

Yves Castagnet, Orgue Kern de l'Eglise St Martin de Masevaux

(RCA, 20-24 juillet 1994)

STOCKHAUSEN Karlheinz
- Klavierstücke (intégrale).

"Pour moi, l'expressivité est du domaine de l'auditeur (Siegmund)."

Franz Paul Lachner (1803-1890) :

Sonates en fa mineur Op. 175, en ut majeur Op. 176, en mi mineur Op. 177

Préludes & Fugues en si mineur, en mi

Fugues en fa majeur, en mi mineur

= Rudolf Innig, Orgue Walcker de l'Eglise St Jakobus d'Ilmenau

(MDG, 2-4 avril 2007)

Franz Schubert, Winterreise. Fischer-Dieskau / Moore, 1971.

Du Mont : messe royale du sixième ton, magnificat et motets pour les dames religieuses. Choeurs de chambre de Namur, Eichelberger, orgue Le Picard de Beaufays
Du Mont : motets en dialogues, Rousset
Charpentier : magnificat H.73, Christie
De Grigny : messe pour orgue, Grunenwald

Rossini, Le Barbier de Séville. Callas, Alva, Gobbi. Galliera. Il n'y a pas le feu de l'autre soir et Gobbi sonne bien vieux dans ce rôle…

G. N. Popov : Symphonie n° 5 Op. 77 (1956)/Karapetian
G. N. Popov : Symphonie n° 6 "Festive" Op. 99 (1969)/Chivzhel

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Athalie -musique de scène d'après la pièce de Racine, Op. 74

= Anna Korondi, Sabina Martin, Ann Hallenberg, Barbara Ochs

Chorus Musicus Köln

Christopher Spering, Das Neue Orchester

(Capriccio, 7-10 mai 2002)

alexandre. a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Schubert:Symphonie n°9 (Furtwangler)

Quelle version ?
Je ne demande pas ça pour t'embêter, mais les trois que je connais sont assez différentes.

No problemo.
Berlin 1951
Et c'est excellent.

Puccini, Tosca. Callas, Gobbi. Sabata

arnaud bellemontagne a écrit:

alexandre. a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Schubert:Symphonie n°9 (Furtwangler)

Quelle version ?
Je ne demande pas ça pour t'embêter, mais les trois que je connais sont assez différentes.

No problemo.
Berlin 1951
Et c'est excellent.

Ah ok, c'est le studio, je ne connais pas (encore) cette version.

Alain : Intégrale de l'œuvre pour orgue - CD1 (Robin)
Wagner : Die Meistersinger von Nürnberg (Jochum)
Rameau : Castor et Pollux - Actes 2 et 3 (Christie)

Wagner: La Walkyrie, acte 3/Gergiev



Hosokowa: Memory of the sea



Taneyev: Symphonie n°4/Polyansky

Chostakovitch:Symphonie n°8 (Haitink)

Grandiose.

Prokofiev : Symphonie 4. J'accroche de plus en plus à chaque écoute

Robert Schumann : Kinderszenen, opus 15.
Felix Mendelssohn : Sechs Kinderstücke, opus 72.
Piotr Tchaïkovsky : Album pour la jeunesse, opus 39.
Joaquín Turina : Navidad, opus 16 (Cuadro I et II).
-- Esteban Sánchez Herrero

Tout cela est sublime. Schumann et Mendelssohn exceptionnels, comme j'en ai touché un mot plus haut. Les pièces de Tchaïkovsky atteignent un degré de caractérisation prodigieux, par exemple le n°2 (matinée d'hiver), n°6 (la nouvelle poupée), n°7 (déglinguée, indescriptible !), n°8 (marche funèbre naïve et désespérée, quasi insoutenable par sa simplicité et son dénuement*), n°9-11 (les trois danses caractérisées avec finesse et vigueur : dans la polka et la mazurka, par exemple, même un Russe ne pourrait faire mieux), n°12-18 (les pièces inspirées de chants, avec une longueur de résonance inouïe), le conte du n°19, et toute la fin est incomparable (en particulier les n°22 et 23). Les pièces sont parfois redistribuées, avec beaucoup d'à-propos (ordre : 1, 2, 4, 3, 5, 7, 8, 9, 6, 11, 12, 13, 14, 10, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 24 et 23). Quant à l'œuvre de Turina, que dire ? Ce n'est même plus caractérisé mais incarné jusqu'à l'incandescence. Il est possible que le degré de confraternité de Sánchez pour les œuvres qu'il a jouées ait connu son maximum dans la musique de Joaquín Turina... Complete evaporation to the core (Dylan).



(*) « Retrouver le sérieux qu'on mettait au jeu, étant enfant. »

R. Murray Schafer, quatuor no. 9 (Quatuor Molinari, étiquette ATMA). Schafer incorpore des voix d'enfants jouant, prises d'assez loin. Presque un bruit de fond. Le quatuor lui-même est nettement plus tonal et traditionnel que ses huit frères aînés.

Schubert: symphonies 9 et 8, par Josef Krips (Decca).

Clementi: sonate op. 50 no 1, 'Didone abbandonata', jouée par Olivier Calvé.

Beethoven - Concertos pour piano n°1 & n°2 - Guilels / Masur

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Alexandre Nevsky -cantate Op. 78

= Ludmilla Legostaeva ; Samuel Samossoud, Choeur et Orchestre de la Radio d'URSS

(Chant du Monde, 1947)

Bordélique, mais c'est énorme

Bruckner:Symphonie n°5 (Karajan)

Dukas, Ariane et Barbe-Bleue.
J'ai jeté tous mes disques de Bach.

frere elustaphe a écrit:

Dukas, Ariane et Barbe-Bleue.
J'ai jeté tous mes disques de Bach.

Ah! mais non!



L.van Beethoven
- Sonates N°1,2, (Op.5)/N°3 (Op.69)/N°4,5 (Op.102)
- Variations sur "Ein Mädchen oder Weibchen" (W.A.Mozart:la flûte enchantée)

Zara Nelsova

Label Decca recordings 1950-1956

Serge Prokofiev (1891-1953) :

Symphonie n°5 en si bémol majeur Op. 100

= Erik Tuxen, Orchestre de la Radio danoise

(Decca, 9 octobre 1952)