[Rock Progressif] Playlist

Utopia : Todd Rungren's Utopia (74)


Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce premier forfait d'Utopia est un des absolus de la musique progressive

Les trente minutes de The Ikon tutoient le génie.

arnaud bellemontagne a écrit:

Utopia : Todd Rungren's Utopia (74)


Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce premier forfait d'Utopia est un des absolus de la musique progressive

Les trente minutes de The Ikon tutoient le génie.

Kalle Wallner, le guitariste de RPWL & BLIND EGO, sort son premier album solo « Voices »
J'aime pas trop ce genre de musique c'est pas ma tasse de thé

Utopia : Ra (77)


Sans égaler le mirifique Todd Rundgren's Utopia (qui le pourrait ?), Ra est un très bon album de prog bien servi par les superbes harmonies vocales de nos quatre protagonistes.

La musique de The Adekaem s'inspire de nombreux styles, psychédélique, rock progressif
des années 60, 70 et 80 avec des touches de free-jazz, d'expérimental et de pop-rock.
Et ce "Sound Coloring " est fait de toutes les couleurs...
Une véritable merveille 🤩

Jethro Tull : Thick as a Brick (72)


Premier album "progressif" de Jethro Tull et coup de maître :ce Thick as a Brick est un petit chef d'oeuvre.

arnaud bellemontagne a écrit:

Jethro Tull : Thick as a Brick (72)


Premier album "progressif" de Jethro Tull et coup de maître :ce Thick as a Brick est un petit chef d'oeuvre.

Ouï 🤨 mais je lui préfère "A Passion Play " et "War Child "

Passion Play est mon Tull favori (le plus prog) et j'ai des souvenirs incertains de War Child.

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Jethro Tull : Minstrel in the Gallery (75)


Un bon cru à mi-chemin entre le souffle épique de Thick as a Brick/Passion Play et la sophistication alla Gentle Giant de Songs for the Wood/Heavy Horses.

arnaud bellemontagne a écrit:

Passion Play est mon Tull favori (le plus prog) et j'ai des souvenirs incertains de War Child.

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Jethro Tull : Minstrel in the Gallery (75)


Un bon cru à mi-chemin entre le souffle épique de Thick as a Brick/Passion Play et la sophistication alla Gentle Giant de Songs for the Wood/Heavy Horses.

Ouï, sinon mon préféré reste "Stand Up "

Je comprends.

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Jethro Tull : A (80)


Un album solo de Ian Anderson devenu un album de Jethro Tull sous la pression de la maison de disques.
Un disque tout à fait appréciable qui bénéfice d'une guest-star de luxe en la personne d'Eddie Jobson.

arnaud bellemontagne a écrit:

Je comprends.

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Jethro Tull : A (80)


Un album solo de Ian Anderson devenu un album de Jethro Tull sous la pression de la maison de disques.
Un disque tout à fait appréciable qui bénéfice d'une guest-star de luxe en la personne d'Eddie Jobson.

Ouï même si l'album est pas mal, quand j'ai été voir en concert, j'étais déçu et très triste  
Moi qui avait vu JT avec John Evan (mon préféré)et Barimorre Barlow et David Palmer et le pauvre John Glasckock...
Je t'assure que j'ai plus été voir JT par après...
Sauf gratis, pour la tournée DOT COM où j'ai plus reconnu Martin Barre et son son de l'époque ‍
J'ai encore été une seconde et dernière fois pour la dernière tournée de JT avant la séparation, pitoyable concert d'une lenteure du à leurs âges...
Dommage

Pendragon : The World (91) / The Window of Life (93) / The Masquerade Overture (96)



Une trilogie néo-prog avec force antisèches (estampillées Pink Floyd,Genesis et Camel) mais à l'impact mélodique imparable.

Très bien ça Pendragon !🤩

Happy the Man : 3rd...Better Late (79)


Une version non retouchée (mais avec un son excellent) d'un troisième album qui n'a jamais vu le jour.

Comme toujours avec Happy the Man ce sont les plages instrumentales qui tirent leur épingle du jeu (les splendides At the Edge of this Thought, While Chrome Yellow Shine, Footwork, Run to the Ground et Labyrinth)

Les morceaux chantés sont dispensables à l'exception de l'onirique et aérien The Falcon.

Un album qui complète avec bonheur la discographie réduite de cette formation hors du commun.

Après une pause de sept ans, La Maschera di Cera revient en 2020 avec un sixième album, intitulé S.E.I.[2],[8],[9]. Le groupe est désormais un trio (Corvaglia/Macor/Zuffanti) assisté en studio et en live par Martin Grice (saxophone, flûte) et Paolo « Paolo » Tixi (batterie).
J'aime beaucoup l'album, une totale réussite...

Kansas : Masque (75)


L'épique Icarus, le puissant Child of Innocence et le magistral diptyque Mysteries and Mayhem/The Pinnacle cristallisent le fin du fin du prog americain des années 70.

arnaud bellemontagne a écrit:

Kansas : Masque (75)


L'épique Icarus, le puissant Child of Innocence et le magistral diptyque Mysteries and Mayhem/The Pinnacle cristallisent le fin du fin du prog americain des années 70.  

Là suis littéralement aux anges

Après un single servi en guise d'amuse-gueule, Nemo sort un troisième opus très attendu. "Les nouveaux mondes" avait révélé un nouveau talent de la scène progressive française, "Présages" avait confirmé les espérances d'un public certes restreint mais grandissant et fidèle
Et c'est encore une véritable claque cet opus...
Prélude à la ruine est sorti en 2004, groupe à suivre évidemment !

Free Hand est le 7e album studio du groupe rock progressif britannique Gentle Giant sorti en 1975 et leur premier sur le label Chrysalis Records en Angleterre. Ce fut aussi celui qui se classa le mieux dans les charts, en effet il grimpa 48e sur le Top 50 du Billboard. C'est sur cet album que se retrouve la très belle On Reflection chantée a cappella, ainsi que les pièces Just the same, Time To Kill et l'instrumental Talybont.
Je suis perplexe 🤫 j'ai lu des choses négatives sur Free Hand et je dois dire que c'est un des meilleurs depuis le début si pas mon préféré...
Le groupe y est remarquable tant en musique que pour le son....🤩
Par contre j'ai un peu plus peur pour après le live...

Playing the Fool est un des plus grands live de l'histoire du prog.
Le dernier grand album de Gentle Giant est Interview, sorti en 76.
Après c'est la chute...

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Finch : Beyond Expression (76)


Le meilleur album de Finch, qui ici tutoie le meilleur Camel et le Focus le plus inspiré.

Et quel guitariste, ce Joop Van Nimwegen!

arnaud bellemontagne a écrit:

Playing the Fool est un des plus grands live de l'histoire du prog.
Le dernier grand album de Gentle Giant est Interview, sorti en 76.
Après c'est la chute...

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Finch : Beyond Expression (76)


Le meilleur album de Finch, qui ici tutoie le meilleur Camel et le Focus le plus inspiré.

Et quel guitariste, ce Joop Van Nimwegen!

Ouï Finch

Je découvre enfin le dernier album de Neal Morse directement avec le premier morceau je sais déjà que c'est du solide...
Là suis au second morceau, et encore une très belle réussite..
Le solo de guitare est de Steve Morse ici
Le reste je pense vraiment que cela sera aussi top..
La suite est pour l'année prochaine...

Je l'ai écouté, c'est un Neal Morse correct mais loin des sommets de One, ?, Sola Sciptura ou Similitude of a Dream.

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Marillion :Brave (94)


Un concept-album qui permet à Steve Hogarth de déployer toute l'étendue de son immense talent.

Une musique aussi sensible que subtile...

arnaud bellemontagne a écrit:

Je l'ai écouté, c'est un Neal Morse correct mais loin des sommets de One, ?, Sola Sciptura ou Similitude of a Dream.

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Marillion :Brave (94)


Un concept-album qui permet à Steve Hogarth de déployer toute l'étendue de son immense talent.

Une musique aussi sensible que subtile...

Ah Marillion et son fantastique chanteur SH...
Le Jacques Brel du progressif, j'adore littéralement !🤩

Troisième album pour BAROCK PROJECT, j'avoue que je suis conquis là vraiment un très grand moment, de belles mélodies etc...
Sorti déjà en 2012, maintenant en version remastered !

Jethro Tull : Songs from the Wood (77)



Un Jethro Tull enrichi de l'influence de Gentle Giant (flagrante sur le splendide morceau-titre) qui tutoie les sommets.

arnaud bellemontagne a écrit:

Jethro Tull : Songs from the Wood (77)



Un Jethro Tull enrichi de l'influence de Gentle Giant (flagrante sur le splendide morceau-titre) qui tutoie les sommets.

Ah j'ai gagné un concours avec celui-ci à l'époque...
Et vu le groupe en concert la même année !🤩

Flower Power est le 5eme album des Flower Kings. Et c'est un double album qu'ils nous proposent pour presque le prix d'un.
Monstrueux album, pleins d'idées...
Même si cela peut paraître bizarre et long...faut reconnaître qu'il mérite un bravo...

Garden of Dreams.

arnaud bellemontagne a écrit:

Garden of Dreams.

C'est quelque chose ce morceau !🥰🤩

Thinking Plague : In Extremis (98)


Quand King Crimson va à l'école de Vienne...un des grands disques des années 90.

Wobbler est un combo Norvégien formé en 1999, pas très loin d’Oslo. 10 ans plus tard, Wobbler sort un cinquième album, « Dwellers of The Deep ». Wobbler perpétue un prog symphonique directement inspiré des seventies, ce que l’on retrouve évidemment dans les sonorités, en particulier les claviers, et le long développement de la plupart des morceaux.
Wobbler adopte un progressif typique Yes par moment...
Encore une réussite totale pour ce groupe !🤩

"directement inspiré" est même un euphémisme

Jethro Tull : Heavy Horses (78)


Le compagnon idéal au fabuleux Songs From the Wood.

arnaud bellemontagne a écrit:

Jethro Tull : Heavy Horses (78)


Le compagnon idéal au fabuleux Songs From the Wood.

C'est carrément la suite...et j'ai aussi vu le concert de l'époque (78)avec un ami que je viens d'apprendre la disparition seulement maintenant

J'en suis navré.
Toutes mes condoléances.

arnaud bellemontagne a écrit:

J'en suis navré.  
Toutes mes condoléances.

Merci, mais c'est déjà longtemps maintenant...
Enfin, j'ai connu que ça, terrible pour moi qui reste sur le pont du navire 🫡

However : Sudden Dusk (81)


A l'instar des glorieux mais obscurs Happy the Man, Master Cylinder (on y reviendra) et The Muffins, However fait partie de ses formations extraordinaires d'outre-atlantique qui se sont singularisées par un progressif teinté d'effluves jazzy du plus bel effet.

Ce fabuleux Sudden Dusk fait le trait d'union entre la complexité teintée de dérision d'Henry Cow et le lyrisme effervescent d'Happy the Man.

Rigoureusement indispensable.

arnaud bellemontagne a écrit:

However : Sudden Dusk (81)


A l'instar des glorieux mais obscurs Happy the Man, Master Cylinder (on y reviendra) et The Muffins, However fait partie de ses formations extraordinaires d'outre-atlantique qui se sont singularisées par un progressif teinté d'effluves jazzy du plus bel effet.

Ce fabuleux Sudden Dusk fait le trait d'union entre la complexité teintée de dérision d'Henry Cow et le lyrisme effervescent d'Happy the Man.

Rigoureusement indispensable.

Oh que ouiii alors...

Le troisième album pour le groupe Français ECLAT sorti en 1997!
Du bon prog rock....🤩

Master Cylinder : Elsewhere (81)


On poursuit la série des merveilles oubliées du prog américain avec Master Cylinder.

La formation distille une musique sophistiquée, riche et brillante dans la lignée des Muffins avec des touches d'Happy the Man (en nettement plus jazz) et une forte empreinte de l'école de Canterbury.

Affublé d'une pochette désespérante, cet Elsewhere méconnu (pas sûr qu'il existe en CD!) est un indispensable de plus.

Le nouvel album de nos chers Suédois, disons le d’entrée, est une nouvelle réussite, et nous convie toujours à la découverte d’un prog instrumental vintage, auquel sont associés des éléments psychédélique, Canterbury et Krautrock.
Et de plus, il est sensationnel...
AGUSA est une valeur sûre, et d'albums en albums garde une grande inspiration...🤩

Hands : Hands (80)


Toujours dans le cycle des formations américaines méritantes et oubliées, voici Hands une formation dont le style foisonnant oscille entre Gentle Giant, Jethro Tull et des petites touches de Kansas (le violon)

Très chouette.

Yezda Urfa : Sacred Baboon (76)


Encore une formation mythique et oubliée d'outre-atlantique.

Très proche de Yes avec une dimension plus frénétique et une cohésion d'ensemble digne d'un Gentle Giant.

Un indispensable.

arnaud bellemontagne a écrit:

Yezda Urfa : Sacred Baboon (76)


Encore une formation mythique et oubliée d'outre-atlantique.

Très proche de Yes avec une dimension plus frénétique et une cohésion d'ensemble digne d'un Gentle Giant.

Un indispensable.

Yes, je l'ai celui-là !🤩

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Mirthrandir : For You The Old Women (76)


Un autre "fameux" groupe obscur du prog américain des années 70.

Si le chant exalté de John Vislocky ne fera pas l'unanimité, la musique (qui oscille entre Yes,Genesis et Gentle Giant) est digne des plus grands éloges.

arnaud bellemontagne a écrit:

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Mirthrandir : For You The Old Women (76)


Un autre "fameux" groupe obscur du prog américain des années 70.

Si le chant exalté de John Vislocky ne fera pas l'unanimité, la musique (qui oscille entre Yes,Genesis et Gentle Giant) est digne des plus grands éloges.  

Oh que ouiii !🤩

arnaud bellemontagne a écrit:

Pendragon : The World (91) / The Window of Life (93) / The Masquerade Overture (96)

J'écoutais ça en boucle dans les années 90, pour finalement m'en détourner, préférant pour faire court "l'original à la copie" ou alors des choses qui renouvellent vraiment le genre. Plus que des influences des références des 70s, il y a quand même des quasi copié/collé, notamment dans l'album The window of life (à titre d'exemple The last man on earth carrément pompé de l'épilogue de The gates of delirium).

Pachy a écrit:

Flower Power est le 5eme album des Flower Kings. Et c'est un double album qu'ils nous proposent pour presque le prix d'un.
Monstrueux album, pleins d'idées...

Oui ça c'est le Flower Kings que j'aime, pour le gigantesque Garden of dreams comme l'a précisé Arnaud.

Ici ces jours-ci :

Amon Düül II : Wolf city
Amon Düül II : Vive la Trance
Steve Hackett : Spectral morning
Steve Hackett : Defector

Oui, Pendragon n'invente rien, c'est évident.

Spectral Mornings et Defector sont mes albums préférés de Steve Hackett avec l'inaugural Voyage of the Acolyte.

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Happy the Man : Death's Crown (99)


Une trouvaille inespérée : une suite de 38 minutes issue des archives du groupe (datant de 1974) ainsi qu'un titre inédit de 1976 (Merlin of the High Places)

Vu la provenance du matériau, la qualité sonore sans être optimale est tout à fait acceptable.

Si on met de côté la dispensable version avec chant de New York Dream's Suite, les 38 minutes du morceau-titre ainsi que Merlin of the High Places sont du Happy the Man de tout premier ordre.
On ose à peine imaginer ce que ça aurait donné avec Ken Scott aux manettes...

Un disque essentiel pour les amateurs de cette formation exceptionnelle.

Happy The Man est vraiment intéressant !