Playlist (160)

Arvo Pärt
* De Profundis
Philharmonie & Choeur de Chambre Estonien
Tõnu Kaljuste (Virgin)



Version qui ne surpasse pas celle d'Hilliard (cd Arbos, ECM), mais qui se place juste à côté.
Provient  du CD Beatus ...

Octavian Nemescu (1940-2020) : Post-Symphonie II (2003-2007)



« PostSymphony II » pour orchestre (version spectaculaire, 2003-2007)
Orchestra Naţională Radio (Orchestre symphonique de la Radio nationale de Bucarest), dirigé par Mihail Agafiţa
Enregistrement de la première représentation (Bucarest, Studioul de concerte « Mihail Jora », 27 mai 2022 - Săptămâna Internaţională a Muzicii Noi XXXI)

Après Nonsymphony II, PostSymphonieII, la musique de Nemescu est toujours particulièrement stimulante et passionnante.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/3uGA7Q1ZtgY?si=7GNY9FBLG7nbrNrk

Octavian Nemescu (1940-2020) : Quatuor à cordes pour minuit (1993)


Quatuor de minuit (1993)
joué par le Quatuor « Arcadia » Cluj-Napoca (Ana Török, Răsvan Dumitru, Traian Boli & Zsolt Török) enregistré à Bucarest, Studio de concert « Mihail Jora » (21 septembre 2017)

Avec des titres qui semblent pas vraiment sérieux, la musique de Nemescu est ,elle, belle et bien formidablement construite et sérieuse, mais rassurez-vous aussi,sans ennui.Pas besoin de prendre un doliprane pour l'écouter .

Pour l'écouter/ https://youtu.be/E0mQOj2x8aw?si=_5mB3OiPWoy4t8jf

A.G. Popov. Symphonie de chambre / In memoriam Girolamo Frescobaldi. (1993).
1- madrigal (poème de Pétrarque).
2- Ricercar.
chef d’orchestre- Ravil Martynov.

Un Popov peut en cacher plusieurs autres.Mon admiration pour A-G Popov est toujours aussi vive .J'espère que d'autres personnes ,avec le temps,partageront le même intèrêt que moi, pour ce compositeur.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/dMlehqKZqOQ?si=YHjluIuKTYzNvi4n

Maurice Ravel
* Jeux d'eau
* Menuet antique
* Valses nobles et sentimentales
Claude Helffer, piano (HM)

Schoenberg : Moise et Aron (Gielen)


Ce qui me frappe au-delà de l'incroyable complexité du propos, c'est la beauté de cette musique (orchestration, timbres, équilibres instrumentaux) : un vrai festival pour les oreilles.

Clarence Barlow ( 1945-2023): Ludus Ragalis (1974-2006)


« Ludus Ragalis » pour piano seul est un ensemble de 13 Préludes et Fugues du compositeur britannique d’origine indienne Clarence Barlow. Son nom a été inspiré par le « Ludus Tonalis » de Paul Hindemith. Les pièces ont été composées sur une période d’environ trois décennies, à partir de la prise de conscience par Barlow des similitudes entre les gammes occidentales et certains ragas indiens. Les pièces suivent diverses conventions baroques, comme dans sa dynamique, son articulation et sa polyphonie, tout en évitant d’autres, comme dans l’assouplissement de certaines règles contrapuntiques et l’inclusion de rythmes syncopés inhabituels.YT

Barlow, d’origine britannique et portugaise, est né à Calcutta, en Inde. Il a étudié à l’Université de Calcutta en Inde, au Trinity College of Music en Grande-Bretagne, à l’Université de musique de Cologne en Allemagne et à l’Institut de sonologie de l’Université d’Utrecht aux Pays-Bas. Il est ensuite devenu directeur artistique de l’Institut de sonologie, a enseigné la composition au Conservatoire royal de La Haye et a dirigé le département de composition de l’Université de Santa Barbara. Bien que Barlow soit un pionnier dans le domaine de la musique électroacoustique, il préfère le son des instruments traditionnels.YT

Date : 1974-2006
Table des matières : 0 :00 N° 1 - Ŧilakkámóđ : 0 :24 N° 2 - Bihág : 1 :59 N° 3 -  Yamankalyán : 3 :29 N° 4 -  Gòrsárang : 4 :57 N°  5 - Hamír : 6 :30 N° 6 - Kéđár : 8 :04 N° 7 - Kámóđ : 9 :35 N° 8  - Cháyanat    : 11 :07 No. 9 - Jhinjhóti : 12 :45 No. 10 -  Khamáj : 14 :31 No.  11 - Ðéš : 16 :00 No.  12 - Bilával : 17 :33 No. 13 - Gòrmalhár : 19 :13 Interprète : Hermann Kretzschmar au piano
 
Barlow a écrit des pièces pour piano, d'une difficulté innouie, mais qui sont magnifiques par leur originalité.Là ,comme c'est écrit plus haut, il a un guide ,d'abord pour la forme,le  Prélude et fugue et aussi le Ludus Tonalis d'Hindemith, qui lui même ,se réfère à Bach.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/Dqh4YvYDWio?si=LpawNVb-CrLvVAMz

Poulenc: Concerto en sol mineur
Michael Murray, orgue
Atlanta / Shaw (Telarc)

Clarence Barlow (1945-2023)Orchideae ordinariae (1989)


Orchideae Ordinariae (1989) · SWR Symphonieorchester, Ingo Metzmacher
Barlow : Musica Algorithmica
℗ 2018 Maria de Alvear World Edition

Algoritmes ou pas,ou IA en jeu ou en action, c'est une musique qui ne laisse pas indifférent.

Pour l'écouter / https://youtu.be/thC3QvHtIEQ?si=fIQ849gBe2IXcCWr

Sibelius: Symphonie no.4
San Francisco / Blomstedt

Béla Bartók
* Concerto no. 3
Russell Sherman, piano
SWF / Michael Gielen (Arte Nova)

Ravel: Ma Mère l'Oye
Boston / Osawa (DG)

Stravinsky - Le Sacre du Printemps (Ozawa)

On dira ce qu'on voudra, c'est quand même pas mal.

Elle est même fabuleuse cette version.
Quelle danse sacrale!

Popov : Symphonie de chambre (Titov)
Britten : A Ceremony of Carols (Walker)

Albéric Magnard: Quatuor à cordes en mi mineur, Op. 16 (Quatuor Ysaÿe)
0:00 Sonate: Animé
13:16 Sérénade: Vif
19:34 Chant funèbre: Largement, sans lenteur  
30:03 Danses: Vif, populaire

Pour moi, le quatuor de Magnard n'a jamais eu le succès populaire qu'il mérite.C'est vrai aussi, que c'est une oeuvre ambitieuse et complexe , comme toutes les oeuvres de Magnard, qui écrivait ,aussi bien en musique de chambre, qu'en musique orchestrale.C'est une oeuvre personnelle ,qui se détâche du quatuor de Debussy et encore plus de celui de Franck.Dans sa musique de chambre ,Magnard fait preuve de beaucoup d'inventivité et ne cède à aucune facilité.Il a toujours peut être ,un ton sévère et particulier,mais pas du tout ennuyeux.Tout vient de loin, avec la reprise de thèmes folkloriques,chez lui,chaque forme lui sert d'exutoire , pour promouvoir son propre discours personnel .En celà, il se rapproche aussi, d'un Maurice Emmanuel.Il se sert formidablement des ressources du quatuor,pour en faire ressortir toute la richesse.C'est sûr que les quatuors en activité ne se bousculent pas pour le jouer.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/LPnapWzUEIM?si=1ZrljP5a9m19Naqm

Chostakovitch: Symphonie no. 5
Royal Philharmonic Orchestra
Vladimir Ashkenazy (Decca)

Beethoven
* Ouverture Leonore III
* Symphonie no. 6 'Pastorale'
Gewandhaus de Leipzig
Franz Konwitschny (edel classics)

Schmidt : Symphonie n°1 (Berman)


Entre Brahms et Strauss.  

La péroraison polyphonique du final.  

Hâte d'écouter la suite de cette intégrale.

Consort of Musicke by William Byrd and Orlando Gibbons - Glenn Gould

bambou a écrit:

Consort of Musicke by William Byrd and Orlando Gibbons - Glenn Gould

Schmidt: Symphonie n°2 (Berman)

A la fois bucolique et hymnique.

C'est vraiment exaltant.

( arnaud !)

Schmidt, Symphonie No.1. Berman

Schmidt, Symphonie No.2. Berman

Schmidt, Symphonie No.3. Berman

Schmidt, Symphonie No.4. Berman


Une grande réussite! J'en dirai quelques mots en discographie.

Scriabine: Rêverie, Symphonies 2 et 3, Poème de l'extase/N.Järvi

à

Dommage pour la prise de son Chandos qui rend tout cela trop vaporeux et flou, sinon ce sont de belles versions.

arnaud bellemontagne a écrit:

Schmidt : Symphonie n°1 (Berman)


Entre Brahms et Strauss.  

La péroraison polyphonique du final.  

Hâte d'écouter la suite de cette intégrale.

La 2 est exceptionnelle.

Tchaïkovski: Variations sur un thème rococo
Rostropovitch / Osawa (Erato)

Paganini: 24 Caprices
Midori, violon (CBS)

Brahms: Variations sur un thème de Haydn
Vienne / Böhm (DG)

Symphonie n°4 ''Autochtone'' - William Grant Still
L’Orchestre symphonique de Fort Smith dirigé par John Jeter.

I - Modérément rapide : 0 :00 II - Lentement - Plus vite - Tempo I : 6 :11 III -  Modérément rapide  : 13 :08 IV - Lentement et avec révérence - Avec une ferveur croissante - Tempo I -  Avec une ferveur croissante - Tempo I : 16 :12  

La Symphonie n° 4 de Still a été composée en 1947 à Los Angeles, en Californie. Il s’agit en fait de la troisième dans l’ordre de composition, créée le 18 mars 1951, interprétée par l’Orchestre symphonique d’Oklahoma City sous la direction de Victor Alessandro.Elle est dédiée à l’un des premiers professeurs du compositeur, Maurice Kessler d’Oberlin.YT

Plus de renseignements sur le compositeur et sur l'oeuvre sur YT.
Pour l'écouter / https://youtu.be/Fx6cZmfEOGU?si=-KIy-s43drZ5cYPL

Symphonie n° 2 en sol mineur « Chant d’une nouvelle race » - William Grant Still
Orchestre symphonique de Détroit dirigé par Neeme Järvi.

I - Lentement - Plus vite - Plus lent - Tempo I : 0 :00 II - Lentement, avec une expression profonde - Beaucoup plus rapide - Plus lent - Tempo I - (attacca) : 9 :56 III - Modérément rapide : 18 :18 IV -  Modérément  lent - Plus rapide - Tempo I : 22 :01

La Symphonie n° 2 de Still a été composée entre 1936 et 1937, et a été créée le 10  décembre 1937, interprétée par l’Orchestre de Philadelphie sous la direction de Leopold Stokowski.  Comme la première, elle a été très bien accueilli. Les critiques de l’époque l’ont trouvé « d’un intérêt absorbant, indubitablement racial dans les matériaux thématiques et les rythmes, et triomphalement articulé dans l’expression des humeurs, allant de l’exubérance du jazz à la mélancolie maussade ».YT

Pour l'écouter/ https://youtu.be/8pNM7nWuc5U?si=ogQ_xDdAPH0BOjxq

Corelli: Concerto op.6 no.8 'pour la Nuit de Noël'
Karajan / Berlin (DG)

Haydn : Symphonie n°45 "Les Adieux" (Mackerras)

Britten / Holst / Ireland / Bridge : diverses oeuvres chorales dont A Ceremony of Carols (Ross)

Après des tentatives avortées d’écoute du quatuor pour la fin des temps et de la Turangalîla de Messiaen (j’ai trouvé ça froid et moche, sans « liant », et je n'ai réussi à écouter en entier, ni l'un ni l'autre ) :

F. Schmidt :
- Symphonie n°2. Très belle en effet. J'ai été frappé par l’usage très marqué des silences.
- Symphonie n°4. Celle-ci prend son temps et se déploie beaucoup plus. J’ai été un peu gêné par les percussions en premier plan, dans le second mouvement notamment (on a l’impression qu’elles ont été rajoutées par-dessus : elle ne se fondent pas dans la matière sonore de l’orchestre. Peut-être est-ce voulu ? Cela m'a paru incongru.). A ce détail près, j'ai trouvé cette oeuvre admirable (j'ai même réussi à écouter les 2 symphonies en entier, l'une après l'autre, c'est dire !).

@xoph : je n'ai pas eu le temps d'écouter le Kuhnau et le caprice de Bach, du coup ....

Ah, et pour finir, pour celles et ceux (rares, hélas) qui aimeraient le pure noise    : je recommande Double Live Bitche par Zbigniew Karkowski et Julien Ottavi, paru ce jour sur Bandcamp : .

Mahler :
Kindertotenlieder, Lieder eines Fahrenden Gesellen
(Baker, Barbirolli/NY)
Une interprétation très poignante. Et c'est pourtant assez rare que j'accroche autant sur des versions avec voix féminine

Mahler : Das Lied von der Erde
(Lewis, Forrester-Reiner/Chicago)
Un orchestre fluide et ciselé et de superbes voix. Une interprétation qui me plaît beaucoup

Un mélomane du dimanche a écrit:

Après des tentatives avortées d’écoute du quatuor pour la fin des temps et de la Turangalîla de Messiaen (j’ai trouvé ça froid et moche, sans « liant », et je n'ai réussi à écouter en entier, ni l'un ni l'autre ) :

Pour ce qui me concerne, tu es mille fois pardonné

Messiaen fait partie de ces compositeurs que je n'arrive absolument pas à comprendre, et donc à apprécier

Symphonie n°5 ''Hémisphère occidental'' - William Grant Still
L’Orchestre symphonique de Fort Smith dirigé par John Jeter.

I - Les forces vigoureuses et vitales de l’hémisphère. Vivement : 0 :00 II - Les beautés naturelles de l’hémisphère. Lentement et avec la plus grande grâce : 3 :24 III - L’énergie nerveuse de l’hémisphère. Énergiquement : 10 :02 IV - L’esprit de bonté et de justice qui éclipse l’hémisphère. Modérément : 12 :54

La Symphonie n° 5 de Still a été composée en 1945, étant à l’origine la troisième avant qu’il ne la retire. Après avoir écrit la Symphonie n° 4 en 1947, il a révisé l’œuvre sous le nom de Cinquième Symphonie. L’épouse du compositeur, Verna Arvey, s’exprimant en son nom, a donné des titres descriptifs aux quatre mouvements de la symphonie. Elle a été créée lors de la célébration du 75e anniversaire du compositeur le 9 novembre 1970, interprétée par l’Oberlin College Orchestra sous la direction de Robert Baustian

Still a écrit le texte préparatoire suivant : « Un jour dans l’éternité est arrivé à sa fin. Une puissante civilisation a commencé, a atteint son apogée et a décliné. Dans l’obscurité, le passé est balayé. Lorsque le jour nouveau se lève, les terres de l’hémisphère occidental s’élèvent du sein de l’Atlantique. Ils sont dotés par la Grande Intelligence qui les a créés et qui dirige leur destin avec des vertus comme il n’y en a jamais eu auparavant : des qualités qui trouveront des équivalents dans les caractères des hommes qui les habiteront éventuellement, et qui en feront la demeure des libertés, de l’amitié, du partage des ressources et des réalisations de l’esprit et de l’esprit. Ce sont nos compatriotes américains d’Amérique latine, du Canada et des îles des mers de l’Ouest, qui travaillent aujourd’hui avec nous pour transformer nos idéaux en réalités.YT


Sûrement la plus stimulante des 3 symphonies de William Grant Still que j'ai écouté, mais toutes ont un intèrêt particulier et valent vraiment le coup.Il serait temps de rendre enfin justice à ce grand compositeur afro-américain.

Pour l'écouter/ https://youtu.be/ZZMPaM8ROhQ?si=avXhcGO5An92bJZa

Lutoslawski - 20 chants de Noël polonais

Mahler : Septième Symphonie (Abbado/Chicago)

Beethoven: Sonate no.17 'La Tempête'
Wilhelm Kempff, piano (DG)

kegue a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

Après des tentatives avortées d’écoute du quatuor pour la fin des temps et de la Turangalîla de Messiaen (j’ai trouvé ça froid et moche, sans « liant », et je n'ai réussi à écouter en entier, ni l'un ni l'autre ) :

Pour ce qui me concerne, tu es mille fois pardonné

Messiaen fait partie de ces compositeurs que je n'arrive absolument pas à comprendre, et donc à apprécier

Les œuvres orchestrales de la première moitié des années 1930 sont plus accessibles et sont d'une beauté inextinguible, amha.

Scriabine: Symphonie no.1
Toczyska / Myers
Westminster Choir
Philadelphie / Muti (EMI)

Première écoute ...

Анастасия231 a écrit:

kegue a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

Après des tentatives avortées d’écoute du quatuor pour la fin des temps et de la Turangalîla de Messiaen (j’ai trouvé ça froid et moche, sans « liant », et je n'ai réussi à écouter en entier, ni l'un ni l'autre ) :

Pour ce qui me concerne, tu es mille fois pardonné

Messiaen fait partie de ces compositeurs que je n'arrive absolument pas à comprendre, et donc à apprécier

Les œuvres orchestrales de la première moitié des années 1930 sont plus accessibles et sont d'une beauté inextinguible, amha.

Ne pas être d'accord avec un jugement négatif sur un compositeur , et sur plusieurs de ses oeuvres, fait partie d'un forum, bien que je ne sois pas d'accord du tout ,avec les deux intervenants, concernant le quatuor et la Turangalila,qui sont pour moi, le premier, un chef-d'oeuvre et pour la Turangalila, une oeuvre particulièrement originale , mais le dire ne va pas faire aimer plus ces 2 oeuvres ni faire changer d'avis ces 2 membres du Forum.Alors ,il faut faire avec et laisser passer.Que de chefs-d'oeuvres chez Messiaen pourtant.

Анастасия231 a écrit:

Les œuvres orchestrales de la première moitié des années 1930 sont plus accessibles et sont d'une beauté inextinguible, amha.

Je note. Wikipedia mentionne :
- Simple chant d'une âme, pour orchestre [Paris, 1930]
- Les Offrandes oubliées, méditation symphonique [Fuligny, Aube, 1930 > 19 février 1931]
- Le Tombeau resplendissant, pour orchestre [Fuligny, Aube, 1931]
- Hymne (Hymne au Saint Sacrement), pour orchestre [Paris, 1932 > 13 mars 1933]
- L'Ascension, pour orchestre [Paris /Neussargues, mai /juillet 1932 puis Monaco, mai /juillet 1933 > 9 février 1934]

Est-ce à cela que tu fais référence ?

@ gluckhand : moi aussi ça m'arrive de ressentir de l'agacement lorsque je lis un commentaire négatif sur une oeuvre ou un(e) interprète que j'adore. Du mépris, même, si le ton me paraît un peu "poseur". Mon commentaire sur ma tentative Messiaen est sincère, et je regrette vivement de ne pas réussir à entrer dans ces oeuvres, qui sont par ailleurs appréciées par nombre de contributeurs de ce forum dont l'avis compte pour moi.

kegue a écrit:

Un mélomane du dimanche a écrit:

Après des tentatives avortées d’écoute du quatuor pour la fin des temps et de la Turangalîla de Messiaen (j’ai trouvé ça froid et moche, sans « liant », et je n'ai réussi à écouter en entier, ni l'un ni l'autre ) :

Pour ce qui me concerne, tu es mille fois pardonné

Messiaen fait partie de ces compositeurs que je n'arrive absolument pas à comprendre, et donc à apprécier

Dans pareil cas, il faut te renseigner sur les circonstances dans lesquelles le Quautuor a été composé, ça aide à mieux comprendre, aussi passer en lecture rapide les différents mouvements, il y en a qui sont plus accrocheurs que d'autres comme, par exemple le très beau duo violoncelle/piano que l'on retrouve dans le cinquième mouvement: Louange à l'Éternité de Jésus.