Playlist (19)

Cleme a écrit:

Guillaume a écrit:

Cleme a écrit:

Guillaume a écrit:

Pourquoi tu n'a pas commencé par l'Or du Rhin ?

Parce que je l'ai pas (ou peut être en CD) et ma grand mère m'avait dit que c'était nul.
.

Et MusicMe, c'est fait pour les chiens ?

Je préfère les DVD

Tu as bien raison : commencer Wagner en CD je dis franchement bon courage !

Cololi a écrit:

Tu as bien raison

Tu veux peut-être juste dire qu'elle est de ton avis ?

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Tu as bien raison

Tu veux peut-être juste dire qu'elle est de ton avis ?

Oui, mais c'est évident non (que c'est mon avis)

Lully : Phaëton

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Tu as bien raison

Tu veux peut-être juste dire qu'elle est de ton avis ?

Oui, mais c'est évident non (que c'est mon avis)

C'est juste qu'on est beaucoup, ici, à avoir découvert Wagner avant l'ère du DVD... c'est donc tout à fait possible.

Bartoli the salieri album

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

Tu as bien raison

Tu veux peut-être juste dire qu'elle est de ton avis ?

Oui, mais c'est évident non (que c'est mon avis)

C'est juste qu'on est beaucoup, ici, à avoir découvert Wagner avant l'ère du DVD... c'est donc tout à fait possible.

Je ne vais pas réamorcer le débat pour ou contre le DVD

Rachmaninov : concerto pour piano n°2

Cololi a écrit:

Je ne vais pas réamorcer le débat pour ou contre le DVD

Ben, sans DVD, ça permet tout de même d'investir davantage son imaginaire… Je préfère rencontrer une œuvre par le CD

Brahms, Symphonie n°1. Kempe

Et ça permet d'avoir un contact direct et précis avec le livret et sa langue, pas simplement une traduction vaguement indiquée.

Mais je signalais surtout le fait que c'est matériellement possible - même si ça demande un effort intellectuel plus important, c'est incontestable.

Je ne suis pas du tout contre le DVD cela dit, parce que dans certains cas, lorsqu'on est rétif à une esthétique, ça peut vraiment débloquer des choses. Ou même, certaines oeuvres vivent mal au disque seul.
Mais lorsqu'on connaît un répertoire, c'est peut-être un peu de dommage de découvrir de nouveaux opéras par lui.

Surtout que les DVD nous offrent un paysage discographique incomplet, étant donné que la majorité d'entre eux est postérieure à 1980.

Le disque nous a légué tellement de choses miraculeuses avant...

Guillaume a écrit:

Surtout que les DVD nous offrent un paysage discographique incomplet, étant donné que la majorité d'entre eux est postérieure à 1980.

Et comme on sait que tous les interprétes d'après 1970 sont des nazes, n'est-ce pas...

Il faut reconnaître cela dit, Xavier, que la publication de DVDs est avant tout fonction des accords économiques, et totalement anarchique sur le plan artistique : ça ne reflète absolument pas le meilleur des plus grandes scènes...

Maintenant, ça vient, parce que tout le monde s'y met.

Oui, ce n'est pas tout à fait ce que Guillaume disait, mais c'est pour ne pas qu'on s'aperçoive qu'il s'agit de mon second compte.

Mais évidemment que le DVD n'est pas représentatif de tout ce qui existe, comme le CD d'ailleurs. (même si c'est bien sûr plus large pour le CD)
Mais on a pour la plupart des oeuvres suffisamment de bonnes versions pour avoir le choix de prendre le DVD plutôt que le CD sans être vraiment lésé.

Pas pour tout. Lorsqu'il n'y a qu'une version en particulier.

Mais mon propos était surtout de dire que contrairement au CD qui immortalise des soirées cotées, le DVD n'est pas du tout ordonné : certaines soirées prestigieuses sont absentes, et certaines scènes provinciales sont commercialisées.

Mariefran a écrit:

Cololi a écrit:

Je ne vais pas réamorcer le débat pour ou contre le DVD

Ben, sans DVD, ça permet tout de même d'investir davantage son imaginaire… Je préfère rencontrer une œuvre par le CD

Brahms, Symphonie n°1. Kempe

L'imaginaire ... ok.
Mais :

1/ Comment on faisait pour aborder un opéra avant les disques ?? Fallait aller dans un théâtre ... Faut il le rapeller ... le disque est un mirage ... l'opéra c'est du théâtre et c'est dans une salle que ça se déroule !!!

2/ Après je ne dit pas que le CD ne développe pas l'imaginaire, mais moi j'ai pas envie de perdre toute mon attention à lire un livret en essayant de synchroniser sans arrêt avec ce que disent les chanteurs. C'est pour ça que pour aborder un opéra je commence par une version DVD, car au moins on a le texte (dans toutes les langues en plus) qui défile au fur et à mesure, et on comprend bien mieux l'action.
APRES seulement ça ne me dérange pas bien au contraire d'écouter cet opéra en CD, quand je connais le livret.

Cololi a écrit:

1/ Comment on faisait pour aborder un opéra avant les disques ??

On utilisait les réductions couramment commercialisées...

Mais en fait, même si le cahier des charges ne "colle" pas toujours avec le disque, je trouve que ça donne une dimension supplémentaire, presque supérieure au théâtre réel. Un peu comme de lire une pièce de théâtre chez soi plutôt que d'aller la voir.

Citation :

2/ Après je ne dit pas que le CD ne développe pas l'imaginaire, mais moi j'ai pas envie de perdre toute mon attention à lire un livret en essayant de synchroniser sans arrêt avec ce que disent les chanteurs.

Tu te sous-estimes : tu es bien capable de suivre une suite phonétique.

Cololi a écrit:

1/ Comment on faisait pour aborder un opéra avant les disques ?? Fallait aller dans un théâtre ... Faut il le rapeller ... le disque est un mirage ... l'opéra c'est du théâtre et c'est dans une salle que ça se déroule !!!

Les exécutions familiales autour du piano étaient assez répandues, je crois.

Xavier a écrit:

Guillaume a écrit:

Surtout que les DVD nous offrent un paysage discographique incomplet, étant donné que la majorité d'entre eux est postérieure à 1980.

Et comme on sait que tous les interprétes d'après 1970 sont des nazes, n'est-ce pas...

Tu t'adresse à un fan inconditionnel de Domingo et Raimondi, pour rappel.

Citation :

Mais mon propos était surtout de dire que contrairement au CD qui immortalise des soirées cotées, le DVD n'est pas du tout ordonné : certaines soirées prestigieuses sont absentes, et certaines scènes provinciales sont commercialisées

+1

Brahms, Symphonies 3 et 4. Berliner, Kempe.

Honegger : symphonies n°4 et 5 - Luisi
Divers : Natrav's Finest
Lindberg : concerto pour orchestre

Puisque je me suis fait insulter par Zip aujourd'hui…
Varèse : Arcana - Intégrales - Déserts. J'aime vraiment bien Avec moi, c'est la nécrophilie ou le XXème pur jus

Déserts, c'est franchement space… mais rigolo. Il a dû bien se marrer…

C'est pas à deserts que les gens se sont battus à la création? Ou qu'il n'y avait plus personne dans la salle?

Y a e qulque chose à la création de Déserts!

Là, Symphonie fantastique de Berlioz par l'Orchestre de Lucerne dirigé par Abbado!

Quel orchestre! Les interventions solistes sont fabuleuses, et s'intègrent bie au mouvement d'ensemble de la symphonie

Ils ont déserté la salle.

Excellent

L. Rysanek - Macbeth (scène du I)

Je me découvre de plus en plus fan de cette chanteuse : un timbre charnel, puissant, qui ne laisse pas indifférent.
OK, ça n'est pas Sutherland, c'est parfois laid, mais quelle présence !

Ca me fait penser à Callas : le timbre n'est pas specifiquement beau, mais il y a la tragédienne, et la voix fascinante...

Oui, il y a un côté Callas... Mais Callas allemande : timbre laid, chante faux, braille sans contrôle.

olivier le normand a écrit:

C'est pas à deserts que les gens se sont battus à la création? Ou qu'il n'y avait plus personne dans la salle?

Oui, ça hurlait au point qu'on n'entendait presque plus la musique (et Dieu sait qu'elle n'est pas discrète !). Il reste une bande-son de la création, c'est fascinant, émouvant et... convaincant !

DavidLeMarrec a écrit:

olivier le normand a écrit:

C'est pas à deserts que les gens se sont battus à la création? Ou qu'il n'y avait plus personne dans la salle?

Oui, ça hurlait au point qu'on n'entendait presque plus la musique (et Dieu sait qu'elle n'est pas discrète !). Il reste une bande-son de la création, c'est fascinant, émouvant et... convaincant !

Et beh, ca éxiste encore des créations qui provoquent de telles réactions ?

On a tellement tout fait que c'est devenu fichtrement rare. Des scandales de ce type, l'histoire de France a retenu Hernani pour le théâtre, le Sacre du Printemps pour la chorégraphie et Déserts pour la musique. Guère plus.

Maintenant, si un metteur en scène exécutait sur scène des enfants, ça causerait peut-être une réaction dans ce goût.

Armide (live TCE) acte II et V C'est à cause d'Era

Normal, il est errationnel.

*rires façon Jean Madeira (Klytämnestra)*

Elvira a écrit:

Normal, il est errationnel.

T'es en forme toi ce soir !!

Oui, mais en forme de quoi?

olivier le normand a écrit:

Oui, mais en forme de quoi?

De petite patate.

Banane.



dans le langage elvirien, banane est un terme affectueux.

Cleme a écrit:

Elvira a écrit:

Normal, il est errationnel.

T'es en forme toi ce soir !!

Ah. Tu es la deuxième à me le dire.

Lully : Atys

Turandot +3

... Arrivée de Cybèle

Je dois m'animer d'une ardeur nouvelle
S'il faut honorer Cybèle, il faut encore plus l'aimer

=> Alceste de LULLY - Malgoire (le dernier disque, début des années quatre-vingt-dix). C'est vraiment pas terrible, alors que la partition est bien belle...

Bach: Die Kunst der Fuge moitié Goebel, moitié par les Keller. Pour voir à distance de ma plongée dans la partition ce qu'il en reste. C'est plus que concluant, j'entends mieux.

Dowland: Lute Songs

Ouf ! après une forte dépression, ce fil remonte enfin...

Monteverdi : Vespro - Tragicomedia, Stubbs

Lully -> Atys Christie-Crook

Cleme a écrit:

Lully -> Atys Christie-Crook

Bonne idée



Gus Viseur, valses à l'accordéon.

Wagner : Siegfried Idyll (Maazel)
Wagner : Rienzy, Ouverture
Wagner : Lohengrin Prélude Acte 3
Wagner : Ein Faust Ouverture
Wagner : Die Meistersinger, prélude

(Maazel)