Playlist (21)

Liszt : Tasso, lamento e trionfo (Masur)

Chris Merritt : Récital de 1987 (I Puritani, Anna Bolena, Les Huguenots, Guillaume Tell, La Fille du Régiment...)

Sigurd...

Bassani : La morte delusa

Berlioz - Symphonie Fantastique (Munch)

M de Sainte-Colombe, pièces pour viole

Lully -> Amadis prologue, acte I et II

Lully : Isis

Sibelius, quatuors à cordes (1885-1889).
J'ai peur que ce ne soit trop scolaire pour moi.

Penderecki : Symphonie n°1 (Wit)
Webern : Im Sommerwind - Symphonie (Sinopoli)

En ce moment :

R. Strauss : Elektra (Solti)

Sibelius, King Christian

Mondonville -> Grands Motets Christie-Agnew

Ah, le CD est passé chez la soeur.

Tchaïkovsky> suites 1 et 2 Svetlanov

Elvira a écrit:

Ah, le CD est passé chez la soeur.

Et oui, ce que je peux être faible parfois

Sibelius, symphonie n°6, Berglund.


Je crois que je vais prendre cette intégrale à la médiathèque.

Sibelius : Symphonie n°6 (Vänska)

WoO a écrit:

R. Strauss : Elektra (Solti)

J'ai déja écouté d'ailleurs ce machin, et on m'avait assurés que les cuivres étaient dévastateurs. En fait, c'est tellement mal enregistré que les cuivres sont tous mous. Dommage, surtout qu'avec ce grand amateur de chorals cuivrés, il y avait matière à s'amuser....

Guillaume a écrit:

En fait, c'est tellement mal enregistré que les cuivres sont tous mous.

Ah bon ? Je n'ai pas trouvé. Tu as écouté en entier ? Il y a quelques effets spéciaux et les hurlements / rires hystériques sont particulièrement marqués (pour mon plus grand bonheur)

Par rapport à Böhm/Borkh et sa prise de son agressive (pas mal de saturations aussi), je trouve ça tout mou du genou. Une technique un peu dépassée d'enregistrement, mais un volume sonore impressionnant, avec des plans et des gros cuivres.

Et les hurlements, forcément, avec Stolze, il fallait s'y attendre. Mais je veux me divertir ce soir : je vais écouter Solti.

C'est surtout Nilsson et Collier qui sont endormies en fait. C'est vrai que les cuivres détruisent tout, mais pas tellement plus que Böhm, où l'agressivité d'Inge Borkh et de Jean Madeira renforce le propos.

Ici, c'est la fête aux cuivres, mais pas un drame absolument affreux, poisseux, épuisant.

Les symphonies de Mahler données lors du Festival Mahler d'Amsterdam en 1995! Grande 1ère de Chailly, et -oh surprise-la 4ème de Muti et Vienne est superbe!!!

Mondonville -> Pièces de clavecin avec voix ou violon -Christie

Impossible de prévoir quand je vais basculer de 1900 à 1600, ça me prend toujours par surprise.

De Rore : Passio Domini Nostri J S secundum Johannem - Huelgas
Monteverdi : Quinto libro - Alessandrini

Une oeuvre de Ravel que je connaissais pas, la Berceuse sur le nom de Fauré pour violon et piano.

http://www.musicme.com/Clara-Bonaldi/albums/Ravel:-Trio,-Sonates-Et-Berceuse,-Tzigane-0028947674368.html?play=08

Guillaume a écrit:

C'est surtout Nilsson et Collier qui sont endormies en fait. C'est vrai que les cuivres détruisent tout, mais pas tellement plus que Böhm, où l'agressivité d'Inge Borkh et de Jean Madeira renforce le propos.

Ici, c'est la fête aux cuivres, mais pas un drame absolument affreux, poisseux, épuisant.

Genre le gars qui fait croire qu'il est spécialiste d'Elektra depuis 1972 alors qu'il a écouté une version et demi...

jerome a écrit:

Impossible de prévoir quand je vais basculer de 1900 à 1600,

Petit joueur !

Antoine Brumel (1460-1520): Missa "et ecce terrae motus" a 12 voci - Van Nevel

Ah oui tu m'éclates, moi ce n'est qu'à 5 voix...

Schütz : Opus Ultimum - Herreweghe

Rameau : Anacréon, Minkowski.

jerome a écrit:

Ah oui tu m'éclates, moi ce n'est qu'à 5 voix...

Schütz : Opus Ultimum - Herreweghe

Tout compte fait je t'envie ton Schütz, on se fait sûrement moins suer avec.

C'est casse-pieds Brumel ?
Le nombre de voix le limite au niveau harmonique, peut-être.

Oui, c'est assez monotone rythmiquement en dehors de quelques pièces de cette messe en 6 parties de 50 minutes et c'est finalement assez homophonique. De rares chromatismes inopinés (comme dans le consort du premier Byrd) mais l'ensemble dégage une certaine élégance, quelques envolées superbes. Mais 12 voix c'est en effet juste pour suivre. C'est limite pâteux parfois malgré la belle réalisation des Huelgas.

Hidraot a écrit:

Rameau : Anacréon, Minkowski.

Sibelius : Symphonie n°7

Boismortier - Sonates à deux flûtes traversières sans basse - Perreau, Gaspon

WoO a écrit:

Hidraot a écrit:

Rameau : Anacréon, Minkowski.

Tiens, je ne connais pas.

Les choeurs les plus laids de l'histoire du disque.

Tu as écouté Guercoeur de Magnard? (enregistrement de Plasson)
C'est assez fort dans le genre choeurs horribles.

Aujourd'hui j'ai écouté:

-Bartok: Le Château de Barbe-Bleue / Boulez I



Lors de cette écoute, c'est surtout la distribution qui m'a épaté. (ça faisait un moment que je n'avais pas écouté cette version)

-Mompou: Chants magiques / Colom



-Rimsky-Korsakov: La Grande pâque russe / Svetlanov



-Shore: The Brood



-Saariaho: Orion

jerome a écrit:

Schütz : Opus Ultimum - Herreweghe

J'y viens.

Je ne suis pas allé au bout. J'ai l'impression que le choeur d'Herreweghe est un peu trop fourni à mon goût.

Anonymous : messe de Tournai, XIVe - Organum

Octavian a écrit:

WoO a écrit:

Hidraot a écrit:

Rameau : Anacréon, Minkowski.

Tiens, je ne connais pas.

Anacréon ou la version Minkowski ?

WoO t'a déjà répondu :

WoO a écrit:

Les choeurs les plus laids de l'histoire du disque.

Xavier a écrit:

Tu as écouté Guercoeur de Magnard? (enregistrement de Plasson)
C'est assez fort dans le genre choeurs horribles.

Vous êtes gentils, mais je crois que j'ai nettement plus professionnel dans le genre. Les choeurs de Gercoeur sont opaques, mais ce n'est pas du tout vilain par rapport à ce qu'on peut trouver.
Pour Anacréon, j'aime beaucoup les timbres, c'est surtout la finition qui laisse à désirer (les mélismes ).

La Naissance d'Osiris par exemple... soir de refroidissement et de confusion manifeste pour d'excellents choeurs. Déroute poignante. J'ai aussi un Requiem de Salieri chanté tout en voix naturelle (par des amateurs mal dirigés, apparemment, puisque j'ai entendu un certain nombre de chorales de quartier infiniment plus professionnelles...).

Et franchement, les Choeurs de l'Opéra de Paris dans la dernière reprise des Troyens, en terme d'horreur, ça se pose... Certes, ça n'a pas été publié au disque.

Je suis sûr aussi que des choeurs italiens en déroute dans Weber ou Wagner, ça doit pouvoir fournir des choses intéressantes (déjà, l'orchestre de Parme dans Don Carlo était dans les choux...).

DavidLeMarrec a écrit:

WoO t'a déjà répondu :

WoO a écrit:

Les choeurs les plus laids de l'histoire du disque.

Xavier a écrit:

Tu as écouté Guercoeur de Magnard? (enregistrement de Plasson)
C'est assez fort dans le genre choeurs horribles.

Vous êtes gentils, mais je crois que j'ai nettement plus professionnel dans le genre. Les choeurs de Gercoeur sont opaques, mais ce n'est pas du tout vilain par rapport à ce qu'on peut trouver.

N'empêche que la fin de Guercoeur est sublime, même dans cette version.

WoO a écrit:

Les choeurs les plus laids de l'histoire du disque.

Jamais écouté, mais c'est étrange car en général Minkowski tout aussi bien que Christie bossent avec des bons choeurs.

DavidLeMarrec a écrit:

WoO t'a déjà répondu :

WoO a écrit:

Les choeurs les plus laids de l'histoire du disque.

Xavier a écrit:

Tu as écouté Guercoeur de Magnard? (enregistrement de Plasson)
C'est assez fort dans le genre choeurs horribles.

Vous êtes gentils, mais je crois que j'ai nettement plus professionnel dans le genre. Les choeurs de Gercoeur sont opaques, mais ce n'est pas du tout vilain par rapport à ce qu'on peut trouver.

C'est quand même carrément faux!

Schumann: Scènes de la forêt / Arrau

Rimsky-Korsakov : Le Coq d'Or (1962, Aleksey Kovalev & Yevgeny Akulov) (je m'arrête pour pas faire une ligne complète, mais j'adore l'œuvre et l'enregistrement!)

Hidraot a écrit:

Octavian a écrit:

Tiens, je ne connais pas.

Anacréon ou la version Minkowski ?

Ni l'un ni l'autre en fait, mais vu ce qu'on m'a dit de la version Minko...

Puccini Ritrovato :

Joyce DiDonato : Furore à Pleyel

Je ne m'en lasse pas

Par contre, impossible de me rappeler dans quoi est repris le thème du 1er mvt du concerto pour piano : musique de film, générique d'émission...

Cela m'agace

Lully -> Acis et Galaté prologue,acte I et II Minkowski-Crook-Fouchécourt