Playlist (40)

Siegmund a écrit:

En tout cas, si même le si mesuré David peut être d'une hostilité si tranchée ; je réalise à quelle point Mortier & Co ont du traumatiser bon nombre !

En ce qui me concerne, je n'ai vu de l'ère Mortier quasiment que ce qui a été vidéodiffusé (sinon, en salle, Lady Macbeth et la Fiancée Vendue). Rien de traumatisant dans ce que j'ai vu, des choses pas forcément mauvaises mais discutables (Marthaler), de la transposition en fait très conservatrice (Matthias Hartmann) voire d'une vacuité insondable (Simmons), des transpositions fortes (Kušej), des lectures épurées gentilles (Engel, le Deflo du Bal, Bondy) voire faibles (le Deflo de la Fiancée), des ratages (Dodin pour la Dame de Pique, si c'était bien Mortier et pas Gall)...

Je n'ai pas vraiment le même goût en matière de transposition que Mortier (je suis plus sensible à l'épure qu'à la surcharge prolétarisante), mais c'était globalement assez peu effrayant, à défaut d'être agréable pour les yeux (Ariane, franchement...). En revanche, je n'ai pas vu beaucoup de mises en scène particulièrement réussies, parmi celles qui ont été diffusées, mais ça n'était pas davantage le cas pour Gall et n'est pas non plus le cas pour Joel (qui est au contraire assez mou dans ses choix visuels).

Je fais une exception pour Warlikowski, tout simplement parce que l'oeuvre était rare (donc pas la possibilité de la revoir avant des années, et la majorité du public ne l'avait jamais entendue, et peut-être même rien du compositeur) et qu'on l'a volontairement dénaturée. J'ai trouvé ça nul (ni plus, ni moins), mais le problème, que ce soit piteux ou génial, est que ça masquait totalement l'oeuvre. Ca, ça ne me paraît pas acceptable dans la mesure où on vend des billets pour une oeuvre.

J'avais prévu de me déplacer à Paris rien que pour voir le Roi. Après la retransmission, j'ai tout annulé.

Après, j'ai entendu dire qu'Iphigénie était atroce, mais je n'y étais pas, et mon ressenti est souvent très différent de ce que je lis, donc je me prononce seulement sur ce Roi Roger : Warlikowski est peut-être par ailleurs un grand metteur en scène.

Rheinberger: 19e Sonate en sol mineur, op. 193 pour orgue. Par l'excellent Clemens Ganz aux grandes orgues Klais de la Cathédrale de Cologne. Cette sonate est à mon avis un des chefs-d'oeuvres de l'orgue Post-Romantique.

DavidLeMarrec a écrit:

Siegmund a écrit:

En tout cas, si même le si mesuré David peut être d'une hostilité si tranchée ; je réalise à quelle point Mortier & Co ont du traumatiser bon nombre !

En ce qui me concerne, je n'ai vu de l'ère Mortier quasiment que ce qui a été vidéodiffusé (sinon, en salle, Lady Macbeth et la Fiancée Vendue). Rien de traumatisant dans ce que j'ai vu, des choses pas forcément mauvaises mais discutables (Marthaler), de la transposition en fait très conservatrice (Matthias Hartmann) voire d'une vacuité insondable (Simmons), des transpositions fortes (Kušej), des lectures épurées gentilles (Engel, le Deflo du Bal, Bondy) voire faibles (le Deflo de la Fiancée), des ratages (Dodin pour la Dame de Pique, si c'était bien Mortier et pas Gall)...

Je n'ai pas vraiment le même goût en matière de transposition que Mortier (je suis plus sensible à l'épure qu'à la surcharge prolétarisante), mais c'était globalement assez peu effrayant, à défaut d'être agréable pour les yeux (Ariane, franchement...). En revanche, je n'ai pas vu beaucoup de mises en scène particulièrement réussies, parmi celles qui ont été diffusées, mais ça n'était pas davantage le cas pour Gall et n'est pas non plus le cas pour Joel (qui est au contraire assez mou dans ses choix visuels).

Je fais une exception pour Warlikowski, tout simplement parce que l'oeuvre était rare (donc pas la possibilité de la revoir avant des années, et la majorité du public ne l'avait jamais entendue, et peut-être même rien du compositeur) et qu'on l'a volontairement dénaturée. J'ai trouvé ça nul (ni plus, ni moins), mais le problème, que ce soit piteux ou génial, est que ça masquait totalement l'oeuvre. Ca, ça ne me paraît pas acceptable dans la mesure où on vend des billets pour une oeuvre.

J'avais prévu de me déplacer à Paris rien que pour voir le Roi. Après la retransmission, j'ai tout annulé.

Après, j'ai entendu dire qu'Iphigénie était atroce, mais je n'y étais pas, et mon ressenti est souvent très différent de ce que je lis, donc je me prononce seulement sur ce Roi Roger : Warlikowski est peut-être par ailleurs un grand metteur en scène.

Gégé doit être le premier surpris qu'il existe des gros malins pour trouver que cette mise en scène a une portée esthétique, alors que ce n'était qu'une bouffonnerie destinée à montrer tout l'amour qu'il porte à son public. A chaque fois qu'il part, il nous fait la même chose, ultime provocation, mais finalement la moins rigolote parce-qu'ayant volontairement perdu tout sens esthétique et pourrissant gratuitement une œuvre (et là où je rejoins David, c'est qu'on n'a encore moins le droit de pourrir une telle oeuvre alors que le public n'est pas familiarisé avec). Moi non plus je n'aime pas les rombières, mais ce n'est pas pour autant que je vais trouver par principe bon tout spectacle fait pour emmerder les rombières.

Chostakovitch : 10eme symphonie (Karajan)
Sibelius : Concerto pour violon

Je viens de passer un moment délicieux en compagnie de Mr Abbado et du philharmonique de Berlin pour une superbe interprétation de la 9eme symphonie de Dvorák sur la chaine Brava
Maintenant c'est Fidélio par Rattle et Berlin une version de 2003, vais tacher d'y laisser trainer une oreille mais pas sur que j'accroche l'opéra et moi c'est pas encore çà

stefff a écrit:

Je viens de passer un moment délicieux en compagnie de Mr Abbado et du philharmonique de Berlin pour une superbe interprétation de la 9eme symphonie de Dvorák sur la chaine Brava
Maintenant c'est Fidélio par Rattle et Berlin une version de 2003, vais tacher d'y laisser trainer une oreille mais pas sur que j'accroche l'opéra et moi c'est pas encore çà

J'osais pas m'abonner à cette chaine parce que j'avais l'impression dans le programme qu'ils ne passent que des bouts d'oeuvres (comme un seul mouvement de symphonie)... Je commence à regretter de pas m'être abonné.

Charpentier : Médée
prologue & acte premier
Hunt, Padmore, Deletré
Christie II



Cette Médée pour l'instant à mes yeux se meut dans les plus hautes sphères de la tragédie lyrique française.

Bruckner : Symphonie n°9 (Giulini)

Beethoven : 9eme par Karajan

Meyeurbière - Les Huguenots (Acte I jusqu'à Raoul et la viole d'amour) - Minkowski 2011
Jusque là ça va.

Siegmund a écrit:

Ce sont des souriards Mortier, c'est ça ?

Guillaume a écrit:

Charpentier : Médée
prologue & acte premier
Hunt, Padmore, Deletré
Christie II



Cette Médée pour l'instant à mes yeux se meut dans les plus hautes sphères de la tragédie lyrique française.

En effet. La fin de l'acte a dû te faire bondir de bonheur, je suppose.

Oui, tu connais mes goûts douteux. Je me repasse en boucle Que d'épais bataillons.

Mais le reste de l'oeuvre est superbe, j'ai été surpris d'accrocher au Prologue que tu désignais dans un fil comme peu exaltant.

Ophanin, reviens nous voir à la fin de la Saint-Barth.

Guillaume a écrit:

Oui, tu connais mes goûts douteux. Je me repasse en boucle Que d'épais bataillons.

C'est un mal dont beaucoup ont été atteints.

J'ai beaucoup aimé tout le I,1 et l'arioso de Jason "Que peut me demander la gloire", et puis toute la fin à partir de l'arrivée de Deletré de Créon pardon.

Et tu n'as pas entendu le plus beau : les deux grands duos d'amour et l'invocation des enfers.

Janacek : Sinfonetta / Taras Bulda (Neumann - CPO)

Messiaen - Nativité - Thiry

DavidLeMarrec a écrit:

Et tu n'as pas entendu le plus beau : les deux grands duos d'amour et l'invocation des enfers.

J'en frémis de loin !

=> József Simándy, récital d'airs traduits en hongrois.
Grand Dieu ! Jamais entendu un ténor chanter comme ça. J'aimais déjà Simándy, mais là, il est miraculeux. Quelque part entre Kónya, Melchior et Crook...

...et il y a des intégrales avec ce ténor miraculeux ?

Guillaume a écrit:

...et il y a des intégrales avec ce ténor miraculeux ?

Oui : Bánk bán d'Erkel et Székely Fonó de Kodály.

Sinon, il a beaucoup chanté Radamès, Lohengrin et Don José. Ses extraits de Don José (en hongrois) chez Hungaroton sont impérativement à découvrir (j'avais posté un extrait sur Carnets sur sol il n'y a pas longtemps).

Mais attention, lorsqu'il change de langue, sa voix devient toujours plus farineuse.

Ce n'est pas miraculeux au sens du potentiel vocal, mais un peu comme Kónya, c'est un format viril avec un clarté de timbre extraordinaire, comme s'ils avaient greffé le timbre de Vanzo sur la machinerie de Melchior. (toutes proportions gardées, hein, parce que l'aigu n'a jamais été très beau)


Au programme (en hongrois) :
=> Lucia, perdona
=> Récit du Graal
=> Bánk bán
=> Aida (en italien mais Molinari-Pradelli est déchaîné )
=> Kuda, kuda
=> Mamma, quel vino è generoso
=> Recitar ! (Celui-là fait un peu mal, il vibre de partout, tessiture trop tendue pour lui.)
=> In un coupé
=> Lieber Bismarck, schaukle nicht (en allemand)
=> Franchigia a Floria Tosca



Je donnerais cher pour avoir son Siegmund en hongrois... Ce serait une orgie.

Szymanowski: Roi Roger; Ono/Warlikowski
ce qui aurait du être annoncé:
Warlikowski: Roi Roger, d'après Szymanowski; Ono

Le problème que me pose cette représentation est qu'elle est mensongère: il ne s'agit pas d'une mise en scène du Roi Roger, mais d'un spectacle d'après le Roi Roger.

En tant que mise en scène du Roi Roger, c'est une absurdité sans intérêt.
En tant que spectacle doté d'annonces mensongères, comme c'est si souvent le cas, j'ai trouvé ça très bien: c'est du vrai théâtre, il y a un propos, il y a une excellente direction d'acteur, on ne s'ennuie pas. Bref, pour un spectacle qui joue dans la même cours que le Fierrabras de Guth et le Pelléas de Bechtholf à ma gauche et le Mathis der Maler de Py à ma droite, j'ai nommé la cour des metteurs en scène qui ne savent pas mettre en scène, j'ai trouvé ça bon.

Je ne suis pas contre ces spectacles, par contre je suis contre le mensonge, et faire porter à Szymanowski ou à un compositeur des propos qu'il n'a pas tenu tout en opposant un mépris nihiliste et dévastateur à ce qu'il exprime réellement, ça n'est pas légitime et c'est intenable d'un point de vue éthique - ici, c'est bien de cela dont il s'agit. Ces gens-là sont porteurs d'un obscurantisme tout à fait détestable.

Le propos en lui-même n'a rien de révoltant (il serait peut-être temps que les artistes arrêtent d'essayer de nous choquer bêtement et qu'ils communiquent enfin avec nous), mais c'est la forme qui l'est.

Percy Bysshe a écrit:

c'est du vrai théâtre, il y a un propos, il y a une excellente direction d'acteur, on ne s'ennuie pas.

Ah. Il faut vraiment que je m'y remette alors.

Schumann: les Études en forme de canon, op.56, par la regrettée Michèle Leclerc au superbe instrument de Den Haag aux Pays-Bas.

DavidLeMarrec a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

c'est du vrai théâtre, il y a un propos, il y a une excellente direction d'acteur, on ne s'ennuie pas.

Ah. Il faut vraiment que je m'y remette alors.

Par exemple, au début on comprend sans que ça soit formulé évidemment une liaison entre Roxane et le berger.

Grieg: Holberg Suite; Grinberg

Que penses-tu du pianiste scandinave Einar Steen-Nokleberg ?

ysov a écrit:

Que penses-tu du pianiste scandinave Einar Steen-Nokleberg ?

Je ne connais pas.

Ah bon C'est à mon sens une des meilleures versions. C'est la collection du label Naxos en 13 volumes! C'est vivant, sensible, poétique et de plus comme réalisation discographique c'est proche de la perfection à un prix très abordable.

Quelques extraits sur Quobuz ----- ICI

Si je croise le disque j'y jetterai une oreille. La version de Grinberg est déjà formidable, et pourra me suffire d'ici là.

Tchaikovsky : Souvenir d’un lieu cher
Capricio Italien

Pendant ces vacances...

Joyce DiDonato l : Diva, Divo
Wagner : Die Meistersinger, Acte III (Jochum 79 : DFD, Domingo, Ligenza, Ludwig)
Pauline Viardot and Friends : Mélodies de et pour Pauline Viardot (Anna Caterina Antonacci, Frederica von Stade, Vladimir Chernov)
Charpentier : Actéon (Christie : Paul Agnew, Sophie Daneman, Stéphanie d'Oustrac...)
Julia Lezhneva : Airs de Rossini (La Donna del Lago, Guillaume Tell, Semiramide, Otello, La Cenerentola, L'Assedio di Corinto)
Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)
LULLY : Atys (Christie 87, en direct : Bernard Deletré, Howard Crook, Agnès Mellon, Guillemette Laurens, Nicolas Rivenq, Noémi Rime...)
Massenet : Le Roi de Lahor (Bonynge : Joan Sutherland, Luis Lima, Sherrill Milnes, James Morris, Nicolaï Ghiaurov, Huguette Tourangeau)
Gounod :Roméo et Juliette (Marc Minkowski, Amsterdam 2010 : Luybov Petrova, Ismail JOrdi, Nicolas Testé, Philippe Rouillon...)
Cecilia Bartoli : Opera Proibita
Gounod : La Nonne Sanglante (Osnabrück 2009)
Sondra Radvanovsky : Airs de Verdi (Il Trovatore, Un Ballo in Maschera, Il Corsare, La Forza del Destino, Ernani, Aïda, I Vespri Sicilianni)
Meyerbeer :Les Huguenots (Marc Minkowski, Bruxelles 2011 : Eric Cutler, Marlis Petersen, Mireille Delunsch, Yulia Lezhneva, Jérôme Varnier, Jean-François Lapointe, Philippe Rouillon...)

ça fait du bien toute cette musique!

Carlo Gesualdo - Sesto libro di madrigali - Ensemble Métamorphose
Génial

Polyeucte a écrit:

Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)

La distribution bien homogène. Le plus intéressant serait que chacun le chante dans sa langue.

Liszt: Rhapsodie espagnole; Grinberg
Là d'accord!

=> Du bist der Lenz en hongrois. Un peu décevant, la chanteuse articule mal et chante très lourdement en mégère. Extrait de vieille bande de toute façon, et je n'ai pas pu trouver l'acte complet ni même le duo depuis Der Männer Sippe.

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)

La distribution bien homogène. Le plus intéressant serait que chacun le chante dans sa langue.

Mais c'est ce qu'ils font

(je m'étonne franchement que tu ne l'es pas faite celle là ... tu baisses David ... tu baisses )

Mais je ne découvre que maintenant les miroirs pour piano de Ravel ! Mais c'est magnifique, comment ais-pu le laisser de coté jusqu'à là ?! La transcription d'une barque sur l'océan fonctionne vraiment très bien.

(actuellement PL-Aimard au piano)

Charpentier : Médée
acte II
Christie / Hunt

Le duo Médée / Créon est une épique joute verbale très stimulante. Le divertissement de fin d'acte s'alanguit un peu par contre.

J'attends beaucoup du III et des invocations infernales.

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)

La distribution bien homogène. Le plus intéressant serait que chacun le chante dans sa langue.

Mais c'est ce qu'ils font

(je m'étonne franchement que tu ne l'es pas faite celle là ... tu baisses David ... tu baisses )

Non, non, il n'y a que des [a] et des [o], c'est bien de l'italien. Enfin, je suppose.

Guillaume a écrit:

Le duo Médée / Créon est une épique joute verbale très stimulante. Le divertissement de fin d'acte s'alanguit un peu par contre.

Chez Niquet ça ne baisse pas d'intensité. (Ok, c'est coupé. )

Mahler:Le Chant de la Terre (Klemperer)

Toujours aussi génial.

Bon alors là, c'est parfait, peut être pas plastiquement mais pour tout le reste :

Lutoslawski - Concerto pour violoncelle ( Lutoslawski / Rostropovich / Orchestre de Paris )

Debussy : Printemps
et diverses pièces de poème mis en musique par ci par là
Ravel : Miroirs + version orchestrale (Boulez)
Ravel : Ma Mère l’Oye (Abbado)

Berg:Wozzeck (Boulez)

Ce qu'on appelle une oeuvre parfaite.

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)

La distribution bien homogène. Le plus intéressant serait que chacun le chante dans sa langue.

Mais c'est ce qu'ils font

(je m'étonne franchement que tu ne l'es pas faite celle là ... tu baisses David ... tu baisses )

Non, non, il n'y a que des [a] et des [o], c'est bien de l'italien. Enfin, je suppose.

Ah oui Ghiaurov et Böhm c'est vachement italien

DavidLeMarrec a écrit:

Cololi a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Polyeucte a écrit:

Verdi : Don Carlo (Gavazzeni, Munich 76 : Veriano Luchetti, Radmila Bakochevich, Wolfgang Brendel, Nadine Denize, Nicolai Ghiaurov, Kurt Böhme)

La distribution bien homogène. Le plus intéressant serait que chacun le chante dans sa langue.

Mais c'est ce qu'ils font

(je m'étonne franchement que tu ne l'es pas faite celle là ... tu baisses David ... tu baisses )

Non, non, il n'y a que des [a] et des [o], c'est bien de l'italien. Enfin, je suppose.

Mais que vous êtes laids au fond de vous-même!
Non, c'est pas génial au final... on a trouvé beaucoup mieux.

(enfin je remarque que sur le lot, vous n'avez qu'un truc qui vous permet de vous moquer! )

Siegmund a écrit:

Bon alors là, c'est parfait, peut être pas plastiquement mais pour tout le reste :

Lutoslawski - Concerto pour violoncelle ( Lutoslawski / Rostropovich / Orchestre de Paris )

C'est vrai, on fait difficilement mieux... Go on, Rostro !

Vivaldi : Gloria, Boston Baroque.

Liszt: Les préludes