Playlist (47)

Percy Bysshe a écrit:

La vidéo de la Sonate de Buniatishvili est complètement surréaliste, entre la pianiste qui joue toute la Sonate le visage entièrement couvert par ses cheveux, la caméra qui se permet des gros plans d'une sensualité incroyable en glissant lentement le long du profil des seins...

Ah qu'entends je là ?? Me voila de retour ^^ ça m'interesse, j'ai été appelé par la ... sonate de Liszet
...

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Berlioz: Les Nuits D'été - Duparc: Mélodies. Bernadette Greevy, mezzo soprano et Yan Pascal Tortelier à la direction. Pour les Nuits D'été, j'ai toujours un faible indefectible pour Véronique Gens, mais celle-ci, est très bien tout-de-même.

Rach-phaël06 a écrit:

Percy Bysshe a écrit:

La vidéo de la Sonate de Buniatishvili est complètement surréaliste, entre la pianiste qui joue toute la Sonate le visage entièrement couvert par ses cheveux, la caméra qui se permet des gros plans d'une sensualité incroyable en glissant lentement le long du profil des seins...

Ah qu'entends je là ?? Me voila de retour ^^ ça m'interesse, j'ai été appelé par la ... sonate de Liszet
...

Si c'est pour la Sonate de Liszt, tu seras déçu parce qu'en vérité c'est assez désagréable et même gênant quand on pense à Buniatishvili qui n'a rien demandé. Du reste, si tu ne vas voir la vidéo rien que pour ce plan, tu seras aussi déçu. Ne regarde pas cette vidéo.

Octavian a écrit:

Strauss : lieder (Schwarzkopf / Szell)

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Octavian a écrit:

Je ne suis pas sûr de comprendre l'articulation des citations et des réponses... Tu trouves l'Et expecto... plus hard que Chronochromie ??

Exactement.

Il va falloir que je réécoute, parce que ça ne correspond vraiment pas du tout au souvenir que j'en ai...

Fume la moquette comme l'ami Vino et ça te fera pareil qu'à lui.
Les sonates de Boulez c'est tout mignon et Et Exspecto c'est ultra-hard.

Poulenc: Sinfonietta, Concert champêtre/Dutoit

Beethoven, sonate n°23, Guilels (live Brilliant)
Quel cinglé

Beethoven, Sonate n°23, Gieseking (Hessichen Rundfunk)
Complétement allumé, je ne sais pas à quoi il carburait Walter ce soir là, mais c'est un délire total. Balancer le finale en 4'17 c'est solide (bon, il y a des reprises manquantes tout de même), mais en plus ça tient tellement il est hallucinant digitalement.

Xavier a écrit:

Octavian a écrit:

Strauss : lieder (Schwarzkopf / Szell)

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Octavian a écrit:

Je ne suis pas sûr de comprendre l'articulation des citations et des réponses... Tu trouves l'Et expecto... plus hard que Chronochromie ??

Exactement.

Il va falloir que je réécoute, parce que ça ne correspond vraiment pas du tout au souvenir que j'en ai...

Fume la moquette comme l'ami Vino et ça te fera pareil qu'à lui.
Les sonates de Boulez c'est tout mignon et Et Exspecto c'est ultra-hard.

Je me disais aussi.

Percy Bysshe a écrit:

Spoiler:

Si c'est pour la Sonate de Liszt, tu seras déçu parce qu'en vérité c'est assez désagréable et même gênant quand on pense à Buniatishvili qui n'a rien demandé. Du reste, si tu ne vas voir la vidéo rien que pour ce plan, tu seras aussi déçu. Ne regarde pas cette vidéo.

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Biber : autant de Sonates du Rosaire que le temps jusqu'à maintenant m'a permit d'enchainer et d'écouter.

Webern

Passacaille pour orchestre
6 pièces pour orchestre
5 mouvements
5 pièces pour orchestre
Symphonie op.21

Herbert Kegel + Orchestre de la radio de Leipzig



Janacek

Reminiscence
Sonate 1.X.1905
Dans les brumes

R.Firkusny

alexandre. a écrit:

Beethoven, Sonate n°23, Gieseking (Hessichen Rundfunk)
Complétement allumé, je ne sais pas à quoi il carburait Walter ce soir là, mais c'est un délire total. Balancer le finale en 4'17 c'est solide (bon, il y a des reprises manquantes tout de même), mais en plus ça tient tellement il est hallucinant digitalement.

Il y a deux choses compréhensibles dans le jeu de Walter Gieseking, et une incompréhensible. Les choses compréhensibles, c'est le fait qu'il est un des maîtres de la couleur (en redistribuant sans cesse l'énergie et le poids entre les différentes notes des accords, il parvient à colorer la phrase comme peu en sont capables, et c'est d'ailleurs un des aspects sur lesquels il insistait dans son enseignement) et que, par ses tempos en général très enlevés dans les mouvements vifs, il parvenait à déployer des textures hallucinantes (des rivières, des cataractes).

L'incompréhensible, c'est qu'il fasse les deux en même temps.

Ceci dit, il n'y a qu'une seule reprise (centrale) dans le III de l'Appassionata, n'est-ce pas ? La plupart des interprètes que j'aime dans cette sonate n'observent d'ailleurs pas la reprise centrale (Ernst Levy, Vladimir Sofronitsky), lui donnant un aspect de coulée continue irréversible. Mais il y a des exceptions (Edwin Fischer dans les années 1930).

jibv a écrit:

Cololi a écrit:

Arnaud va venir t'embrasser je pense

D'accord mais pas sur bouche

TragicSymph a écrit:

Oui, il n'y manquera pas, c'est certain !
Ca me fait penser qu'il faut absolument que je découvre ça au plus vite, ça fait tellement de temps que je me dis que je dois l'écouter !

C'est Vino qui en parlait tout le temps il n'y pas longtemps...

Comme le dit Cololi c'est un peu moi l'archi-toqué de cette oeuvre mirifique.

Ravi de ta decouverte en esperant que ton emerveillement donnera envie à d'autres d'essayer (il y a déjà pas mal de convertis sur le forum)

Ah les Gurre...

Schoenberg : les lieder op. 8 (orchestrés)
Puisqu'on en parle. Une atmosphère poisseuse et sombre comme les Gurre, très post-rom, je crois entendre du Strauss parfois. Très beau, un peu lourd quand même. Ne pas en abuser.

Schoenberg - op11


Liszt - Sonate - Buniatishvili


Hindemith - Sonates pour alto solo - Kashkashian

antrav a écrit:

Schoenberg : les lieder op. 8 (orchestrés)
Puisqu'on en parle. Une atmosphère poisseuse et sombre comme les Gurre, très post-rom, je crois entendre du Strauss parfois. Très beau, un peu lourd quand même. Ne pas en abuser.

Oui ils sont tres Straussiens ces lieders...une preuve de plus de la maitrise absolue du jeune Schoenberg dans le registre du postromantisme.

Ophanin a écrit:

Liszt - Sonate - Buniatishvili

Scherzian a écrit:

alexandre. a écrit:

Beethoven, Sonate n°23, Gieseking (Hessichen Rundfunk)
Complétement allumé, je ne sais pas à quoi il carburait Walter ce soir là, mais c'est un délire total. Balancer le finale en 4'17 c'est solide (bon, il y a des reprises manquantes tout de même), mais en plus ça tient tellement il est hallucinant digitalement.

Il y a deux choses compréhensibles dans le jeu de Walter Gieseking, et une incompréhensible. Les choses compréhensibles, c'est le fait qu'il est un des maîtres de la couleur (en redistribuant sans cesse l'énergie et le poids entre les différentes notes des accords, il parvient à colorer la phrase comme peu en sont capables, et c'est d'ailleurs un des aspects sur lesquels il insistait dans son enseignement) et que, par ses tempos en général très enlevés dans les mouvements vifs, il parvenait à déployer des textures hallucinantes (des rivières, des cataractes).

L'incompréhensible, c'est qu'il fasse les deux en même temps.

Je commence justement à lire son ouvrage sur la technique pianistique, en anglais mais j'arrive à me débrouiller.

Luis de Briceño, El Fenix de Paris, (Poème Harmonique, Dumestre)

Monteverdi : Vespro Della Beata Vergine (Herreweghe : Vincent Darras, Howard Crook, William Kendall, Gerard O'Byrne, Peter Kooy,
Agnès Mellon, Guillemette Laurens, David Thomas)

Berlioz - Benvenuto Cellini John Nelson: French National Orchestra, French Radio Chorus
5 T

arnaud bellemontagne a écrit:

jibv a écrit:

Cololi a écrit:

Arnaud va venir t'embrasser je pense

D'accord mais pas sur bouche

TragicSymph a écrit:

Oui, il n'y manquera pas, c'est certain !
Ca me fait penser qu'il faut absolument que je découvre ça au plus vite, ça fait tellement de temps que je me dis que je dois l'écouter !

C'est Vino qui en parlait tout le temps il n'y pas longtemps...

Comme le dit Cololi c'est un peu moi l'archi-toqué de cette oeuvre mirifique.

Ravi de ta decouverte en esperant que ton emerveillement donnera envie à d'autres d'essayer (il y a déjà pas mal de convertis sur le forum)

Ah les Gurre...

Puis-je devenir ton secrétaire privé ?

Elliot Carter : Concerto pour piano

antrav a écrit:

Schoenberg : les lieder op. 8 (orchestrés)
Puisqu'on en parle. Une atmosphère poisseuse et sombre comme les Gurre, très post-rom, je crois entendre du Strauss parfois. Très beau, un peu lourd quand même. Ne pas en abuser.

Tu crois entendre du Strauss dans ses lieders, dans sa musique ?



Depuis le temps que j'entends parler de ce Schoenberg, va bien falloir que je m'y mette un de ces jours.

Vinogradovboulezvsky a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

jibv a écrit:

Cololi a écrit:

Arnaud va venir t'embrasser je pense

D'accord mais pas sur bouche

TragicSymph a écrit:

Oui, il n'y manquera pas, c'est certain !
Ca me fait penser qu'il faut absolument que je découvre ça au plus vite, ça fait tellement de temps que je me dis que je dois l'écouter !

C'est Vino qui en parlait tout le temps il n'y pas longtemps...

Comme le dit Cololi c'est un peu moi l'archi-toqué de cette oeuvre mirifique.

Ravi de ta decouverte en esperant que ton emerveillement donnera envie à d'autres d'essayer (il y a déjà pas mal de convertis sur le forum)

Ah les Gurre...

Puis-je devenir ton secrétaire privé ?

Non, vraiment extraodrinaires ces Gurrelieder de Schönberg. J'ai été complètement tombé (d'ailleurs j'ai renversé mon jus de fruit par terre...) de mon fauteuil la première fois que je l'ai entendu.




Enfin presque...

Oui ça fait ça à quasiment tout le monde.

atomlegend a écrit:

antrav a écrit:

Schoenberg : les lieder op. 8 (orchestrés)
Puisqu'on en parle. Une atmosphère poisseuse et sombre comme les Gurre, très post-rom, je crois entendre du Strauss parfois. Très beau, un peu lourd quand même. Ne pas en abuser.

Tu crois entendre du Strauss dans ses lieders, dans sa musique ?



Depuis le temps que j'entends parler de ce Schoenberg, va bien falloir que je m'y mette un de ces jours.

Oui le Schoenberg post-romantique est un des plus beaux secrets de la musique classique.

Bon sang, je suis vraiment impatient de découvrir ces Gurrelieder ... En tout cas, on peut dire que vous vendez bien la marchandise...

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Britten : 1e et 2e suites pour violoncelle seul, Rostropovitch


Quelle maîtrise ! Il n'est pas le plus méditatif, mais il est juste inarretable !

Veinard, tu vas poudroyer dans le firmament!

"[...] Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !"

Percy Bysshe a écrit:

"[...] Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !"

c'est du Goethe ?

Mallarmé

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

J'aimerais bien savoir comment tu as pu penser à Goethe !

Berlioz - Benvenuto Cellini "Sur les monts les plus sauvages"

Trop frustrant de distribuer des tartelettes. Tellement beau et frustrant d'avoir la sensation d'entendre de tels monuments seul.

Bartoli : The Salieri album

arnaud bellemontagne a écrit:

Veinard, tu vas poudroyer dans le firmament!

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Horatio a écrit:

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

J'aimerais bien savoir comment tu as pu penser à Goethe !

Voilà comment Goethe énoncerais la chose!

"Ose monter plus haut avec tes cordes pures
Et tu chanteras l'hymne éternel des sphères!"

Tiré de: Aigle tenant une lyre et s'élançant vers les hauteurs

Spoiler:

Scherzian a écrit:

alexandre. a écrit:

Beethoven, Sonate n°23, Gieseking (Hessichen Rundfunk)
Complétement allumé, je ne sais pas à quoi il carburait Walter ce soir là, mais c'est un délire total. Balancer le finale en 4'17 c'est solide (bon, il y a des reprises manquantes tout de même), mais en plus ça tient tellement il est hallucinant digitalement.

Il y a deux choses compréhensibles dans le jeu de Walter Gieseking, et une incompréhensible. Les choses compréhensibles, c'est le fait qu'il est un des maîtres de la couleur (en redistribuant sans cesse l'énergie et le poids entre les différentes notes des accords, il parvient à colorer la phrase comme peu en sont capables, et c'est d'ailleurs un des aspects sur lesquels il insistait dans son enseignement) et que, par ses tempos en général très enlevés dans les mouvements vifs, il parvenait à déployer des textures hallucinantes (des rivières, des cataractes).

L'incompréhensible, c'est qu'il fasse les deux en même temps.

Pour le 2ème aspect, ça me fait penser aussi aux réalisations straussiennes et wagneriennes de Böhm, c'est-à-dire que plutôt que de détailler infiniment la partition (ce que certains musiciens considèrent aujourd'hui comme très important, comme Chailly), ils cherchent à donner le maximum d'expressivité, et cela passe par une sorte de figuralisation, le mouvement doit être irrésistible, tout emporter tout en mettant au premier plan les inflexions harmoniques et thématiques. Et je trouve ça bien plus abouti et difficile à réaliser que de souligner tel trait de flûte ou telle appogiature.

Pour la capacité à colorer une phrase, je trouve ses Mozart extrêmement aboutis, ses gammes sont incroyables.

Horatio a écrit:

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

J'aimerais bien savoir comment tu as pu penser à Goethe !

Ben Goethe c'est germanique et vu que les Gurrelieder c'est LE chef-d'oeuvre germanique par excellence...

Percy Bysshe a écrit:

Horatio a écrit:

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

J'aimerais bien savoir comment tu as pu penser à Goethe !

Voilà comment Goethe énoncerais la chose!

"Ose monter plus haut avec tes cordes pures
Et tu chanteras l'hymne éternel des sphères!"

Tiré de: Aigle tenant une lyre et s'élançant vers les hauteurs

Spoiler:

Àh oui, ça sonne plus comme du Goethe ça... En plus d'être un vers d'un magnifique poème lyrique.

alexandre. a écrit:

Scherzian a écrit:

alexandre. a écrit:

Beethoven, Sonate n°23, Gieseking (Hessichen Rundfunk)
Complétement allumé, je ne sais pas à quoi il carburait Walter ce soir là, mais c'est un délire total. Balancer le finale en 4'17 c'est solide (bon, il y a des reprises manquantes tout de même), mais en plus ça tient tellement il est hallucinant digitalement.

Il y a deux choses compréhensibles dans le jeu de Walter Gieseking, et une incompréhensible. Les choses compréhensibles, c'est le fait qu'il est un des maîtres de la couleur (en redistribuant sans cesse l'énergie et le poids entre les différentes notes des accords, il parvient à colorer la phrase comme peu en sont capables, et c'est d'ailleurs un des aspects sur lesquels il insistait dans son enseignement) et que, par ses tempos en général très enlevés dans les mouvements vifs, il parvenait à déployer des textures hallucinantes (des rivières, des cataractes).

L'incompréhensible, c'est qu'il fasse les deux en même temps.

Pour le 2ème aspect, ça me fait penser aussi aux réalisations straussiennes et wagneriennes de Böhm, c'est-à-dire que plutôt que de détailler infiniment la partition (ce que certains musiciens considèrent aujourd'hui comme très important, comme Chailly), ils cherchent à donner le maximum d'expressivité, et cela passe par une sorte de figuralisation, le mouvement doit être irrésistible, tout emporter tout en mettant au premier plan les inflexions harmoniques et thématiques. Et je trouve ça bien plus abouti et difficile à réaliser que de souligner tel trait de flûte ou telle appogiature.

Pour la capacité à colorer une phrase, je trouve ses Mozart extrêmement aboutis, ses gammes sont incroyables.

Eh oui, et pourtant d'un point de vue stylistique c'est quand même une des bases, structurer trame et ornementation.

De retour il y a quelques heures avec une nouvelle fournée de Cds fraichement choisis à la médiathèque, j'en ai écouté quelque uns :

Liszt :
- Harmonies Poétiques et Religieuses
Je n'ai pas écouté sa version de la Sonate en si mais si quelqu'un la connais je serais heureux d'avoir son avis à l'avance



Diverses oeuvres de Liszt transcrites par Liszt ou autre pour Violoncelle et Piano (par exemple sa version transcrite de la consolation N°3 qu'ils ont agrémenté d'une magnifique partie pour la clarinette).


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Poulenc :
- Sonate pour violoncelle et Piano
- Bagatelle en ré mineur
- Sérénade
- Suite Française
Génial !! Après le superbe concert que j'ai vu d'Alexandre Tharaud il y a quelques Week ends, j'avais envi de prendre un de ses Cds et j'ai bien choisi, et je n'en doutais pas, n'en déplaise à certain ^^ (je ne sais pas si il y a des Tharaudophile parmi vous ... c'est vrai que il ne fait pas que des trucs bien ...).


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Moussorgski :
Quelques chansons de ce Cd :

Brahms: Intermezzos Op.117 (Yudina)
Ravel: Jeux d'eau (Argerich); Sonatine (Haskil)
Debussy: deux Etudes (Haskil)
Liszt: Sonate en si mineur (Kentner)
Bach/Busoni: Prélude du Choral "Nun komm..." (Haskil)

Tout cela est merveilleux. Il faut que je réécoute les Brahms de Yudina.

Schoenberg ~ Gurrelieder une nouvelle monomanie en perspective... Y'a des collègues de bureau qui vont souffrir, surtout ceux qui écoutent Rondo Veneziano

Glass ~ Satyagraha Pas si mal, c'est curieux.
Et mon chef de service passe à côté et me dit qu'il a failli s'acheter "Einstein on the beach" le week-end dernier...

Percy Bysshe a écrit:

Brahms: Intermezzos Op.117 (Yudina)
Ravel: Jeux d'eau (Argerich); Sonatine (Haskil)
Debussy: deux Etudes (Haskil)
Liszt: Sonate en si mineur (Kentner)
Bach/Busoni: Prélude du Choral "Nun komm..." (Haskil)

Tout cela est merveilleux. Il faut que je réécoute les Brahms de Yudina.

C'est peut-être dans Brahms que Yudina est la plus indiscutable, c'est proprement fabuleux.

Je suis devenu complètement dingue de ses variations Duport aussi : watch?v=uh9-VHrvqLo
Plus personne n'oserai jouer Mozart de cette façon, et en plus c'est d'une classe incroyable.

Rachmaninov : All-Night Vigil par Paul Hiller Quelle oeuvre !!

Cololi a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Veinard, tu vas poudroyer dans le firmament!

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Horatio a écrit:

Vinogradovboulezvsky a écrit:

Mariefran a écrit:

Mallarmé

Oulà, j'suis tombé de la dernière pluie moi, hein ?!

J'aimerais bien savoir comment tu as pu penser à Goethe !

Ben Goethe c'est germanique et vu que les Gurrelieder c'est LE chef-d'oeuvre germanique par excellence...

Oui c'est une sorte de compendium du post-romantisme.

jibv a écrit:

Schoenberg ~ Gurrelieder une nouvelle monomanie en perspective... Y'a des collègues de bureau qui vont souffrir, surtout ceux qui écoutent Rondo Veneziano

Je continue de découvrir Messiaen, je deviens vraiment mordu. Aujourd'hui :
- Hymne ;
- L'Ascension (à l'orgue) - Hans-Ola Ericsson ;
- L'Ascension (à l'orchestre) - Jurowski ;
- Les Offrandes Oubliées ;
- Trois petites liturgies de la présence divine - Couraud ;
- Quatuor pour la fin du temps - Friedemann Amadeus Treiber, Markus Raus, Thomas Lukovich et Roman Kühn.
Tout ça plusieurs fois

En ce moment :
Schütz, Oratorio de Noël - Grischkat 1960
aussi. Merci à Jakus !

Je suis plongé dans l'écoute du premier acte de "Saul" l'oratorio de Haendel. je passe un pur moment de plaisir, c'est tout se que j'avais envi de dire, ne pouvant pas attendre la fin des 1 heures 30 pour vous en faire part

Beethoven:Concerto pour piano n°4 (Arrau/Davis)

Quel Concerto!Les sequences pianistiques sont d'une inspiration renversante.

arnaud bellemontagne a écrit:

jibv a écrit:

Schoenberg ~ Gurrelieder une nouvelle monomanie en perspective... Y'a des collègues de bureau qui vont souffrir, surtout ceux qui écoutent Rondo Veneziano

Ah ben ça y est je viens de comprendre les astuces et du pseudo et du rang d'Arnaud...
Bon je vais me pieuter, cet effort intellectuel m'a crevé. Je crois que je ne vais même pas finir l'acte II de la Walkyrie

Abnegor a écrit:

Je continue de découvrir Messiaen, je deviens vraiment mordu. Aujourd'hui :
- Hymne ;
- L'Ascension (à l'orgue) - Hans-Ola Ericsson ;
- L'Ascension (à l'orchestre) - Jurowski ;
- Les Offrandes Oubliées ;
- Trois petites liturgies de la présence divine - Couraud ;
- Quatuor pour la fin du temps - Friedemann Amadeus Treiber, Markus Raus, Thomas Lukovich et Roman Kühn.
Tout ça plusieurs fois

Oui tout ça c'est du Messiaen très inspiré.
Moi je reste fasciné dont la façon que l'orgue arrive à imiter le tapis de corde de l'Ascension.