Playlist (52)

Mariefran a écrit:

Vinomaorinsky a écrit:

Edit : C'est le jour de mon anniversaire !

T'es né en 1939, maintenant ?

S'il est né en 1939, il ne peut pas fêter son anniversaire la même année. Donc Vino est né en 1938 au plus tard.

ça grésille pas, ça sature un peu de temps en temps, mais presque pas, tu serais étonnée
L'évangéliste et Jésus sont prodigieux… Et Mengelberg donne une version d'une intense spiritualité.

Mariefran a écrit:

discobole a écrit:

Mariefran a écrit:

Bruckner, Symphonie 8. Jochum à Hamburg, 1949. C'est moins bien que Furt. C'est tout de même une très belle version. Mais je n'ai pas pleuré dans l'adagio, alors c'est moins bien…

Je savais que tu allais me battre, c'est pour ça que je l'ai écrit en tout petit

Un grand sacrilège, même écrit en tout petit, reste un grand sacrilège.

Pour le reste, on règlera les comptes en écoute comparée

Sauf que c'est pas une version authentique T'as pas honte ??

calbo a écrit:

@ polyeucte : Z'êtes tous fous .

@ Marie : Mais le concertgebouw a certainement réalisé de très belles interprétations depuis 1939 et moins grésillantes

Premièrement Polyeucte n'est pas fout mais a toujours le modèle AE-W214 Gramophone Stereo-space que voici :

Spoiler:

Et deuxièmement, tu as raison sur un point : le Concertgebouw est (seulement) génialissime après 1957.

Cololi a écrit:

Sauf que c'est pas une version authentique T'as pas honte ??

Version authentiquement chiante, si si. Il y a même la boîte à punaises de Landowska dans le fond

@ Col Tu parles de Bach, là ? Bach transcende tout…

@ Discobole Tu trouves la Passion par Mengelberg chiante Je te parle plus

Mariefran a écrit:

Bach transcende tout…

Amen!

Bah oui, il y a des œuvres tellement géniales (et tellement rares) qui pourraient presque se passer d'interprètes, c'est de toute façon beau et grand...

_____________________
Chostakovitch : 8e quatuor, Emerson

Scriabine: Le poème de l'extase (Muti, Philadelphie)

Scriabine: Prométhée (Muti, Philadelphie)

Muti ne se défend pas mal mais c'est un peu trop pâteux ...

Schoenberg : 2e quatuor, Lasalle/Price

Tchaïkovsky : 5e symphonie, Mravinsky

Mendelssohn, concerto pour violon, Gil Shaham, Giuseppe Sinopoli, Philarmonia Orchestra

Mariefran a écrit:

@ Discobole Tu trouves la Passion par Mengelberg chiante Je te parle plus

Même pas cap

Michael Jarrell : Cassandre

Andrew Lawrence King : La harpe royale

Quelques sonates de Mozart par Lili Kraus Deux jours que je n'avais pas écouté de piano

Parce que Lili Kraus c'est du piano ?

aroldo a écrit:

Parce que Lili Kraus c'est du piano ?

Non, Lili Kraus c'est une pianiste.

Bach : Partita pour violon BWV 1004 - Heifetz

Debussy: Le Martyre de Saint-Sébastien (Munch)

Große Fuge : une dizaine de versions aujourd'hui... et j'aime de plus en plus

En général dans les préécoutes, je constate que les 5-10 premières versions passent facilement, puis l'intérêt semble s'amenuiser pendant une autre dizaine de versions, puis il se met subitement à remonter en flèche pour ne plus faiblir (au point de créer une sorte de dépendance : le truc trotte dans la tête du matin au soir, et on entend ledit morceau dans l'interprétation parfaite dans ses rêves, ou la partition passe par flashes devant les yeux). Cet état dure quelques jours. En revanche, dès qu'on interrompt le rythme d'écoute, l'intérêt retombe très vite à zéro et c'est difficile de s'y remettre, de fait la fatigue ou le quasi dégoût (passager heureusement, et pas sur n'importe quelle œuvre, plus Strauss que Beethoven quoi...) n'est que la résultante de l'arrêt de la « prise » quotidienne.
Il doit y avoir une caractéristique neurologique à étudier là-dessous.

Lorsque tu t'organises de telles sessions d'écoute, Discobole, y a-t-il aussi un effet de fatigue qui t'amène à, instinctivement, être plus dur avec les versions plus la session avance ? En d'autres termes, deviens-tu plus exigeant au fil de tes écoutes, au risque de favoriser les premières versions ?

A part ça, ce que tu dis sur l'intérêt lors des écoutes comparées fait merveilleusement écho à ce que j'ai pu constater pendant les dernières écoutes Mahler et Schumann : une fois que la machine est lancée, on est réellement atteint d'une fièvre musicale - c'est selon moi le meilleur terme pour décrire cet état ; on saisit plus de détails, on analyse mieux ce qui se passe, on est plus critique et pénétrant au niveau interprétatif. Bref, on écoute mieux .

Horatio a écrit:

Lorsque tu t'organises de telles sessions d'écoute, Discobole, y a-t-il aussi un effet de fatigue qui t'amène à, instinctivement, être plus dur avec les versions plus la session avance ? En d'autres termes, deviens-tu plus exigeant au fil de tes écoutes, au risque de favoriser les premières versions

C'est un risque, comme celui de juger durement ou favorablement une version en fonction de ce qu'on a écouté juste avant ou juste après. C'est pour ça que je réécoute beaucoup de versions en entier ou par morceaux, que je compare, que je confronte, que je reviens parfois sur une élimination comme sur une qualification, même les plus évidentes a priori. Maintenant je fais sûrement des petites erreurs ou des choix discutables. La seule fois où je suis resté insatisfait c'est pour le trio de Ravel, mais ça doit être à cause de la sélection initialement trop serrée, ce qui m'avait amené à élargir le nombre de candidats au dernier moment en ajoutant un groupe. Sinon j'ai toujours eu l'impression que mes choix étaient confirmés par la suite pendant l'écoute : ainsi lorsque pour Strauss j'ai sélectionné Celibidache et Previn un peu au feeling, même chose dans Schumann avec Keilberth et Boult (au détriment par exemple de Marriner ou Dohnanyi).
Seules des versions approchant une forme de perfection échappent à ça, ou de grandes versions qui manqueraient au comparatif. Et encore, là par exemple je passe une grande version de la GF, par un grand quatuor, dans une grande intégrale, dans le groupe "à réécouter", parce que je n'en suis pas vraiment satisfait. C'est à la fois une des lectures les plus bouillonnantes et les plus anarchiques. Le couperet peut tomber aussi sévèrement d'un côté que de l'autre...

Milhaud, Cantate de l'enfant et de la mère - Madeleine Milhaud, Hambro, Juilliard, D. Milhaud

Un enregistrement fascinant

Bartok: Le Château de Barbe-Bleue/Kuhn-Fura dels Baus



Koechlin: Sonatines pour hautbois, avec flûte, clarinette, harpe et quatuor à cordes, sonate pour hautbois et piano/Lencsés

Xavier a écrit:

Bartok: Le Château de Barbe-Bleue/Kuhn-Fura dels Baus



Koechlin: Sonatines pour hautbois, avec flûte, clarinette, harpe et quatuor à cordes, sonate pour hautbois et piano/Lencsés

Tes smileys équivalent à des notes?

Schmitt, Suite en rocaille - Mirage Quintet

Tournier, Suite op. 34 - Mirage Quintet

Musique idéale pour la nuit.

Ben. a écrit:

Tes smileys équivalent à des notes?

Oui, sur les oeuvres, pas les interprètes, je précise. (enfin, je ne "note" pas les oeuvres, j'évalue le plaisir que je prends à les écouter, 5 étant le maximum, réservé à quelques oeuvres seulement)
Voir ici: https://classik.forumactif.com/t3378-nos-systemes-de-cotation

Mompou: Paysages, Crèches, Impressions intimes/Maso

Mompou: Dialogues/Maso



Fêtes lointaines/Maso

Debussy: Suite bergamasque orch.Cloez-Caplet/Märkl

Beethoven: Sonate à Kreutzer Op.47 (Grumiaux - Haskil)

Mendelssohn:

- Quatuor à cordes op. 44/3
- Scherzo. Allegro leggiero
- Tema con variazioni. Andante
- Quatuor à cordes op. 80

(Leipziger Streichquartett )

Debussy orch. Holloway: En blanc et noir/Märkl

Pierné, Trio pour piano, op. 45 - Bela Banfalvi, Gergely Matuz, Norber Szelecsenyi

Rhené-Baton, Trio pour piano, op. 31 - Trio Hochelaga

Duparc, La vie antérieure - Groves, Vignoles

Duparc, Extase - Stokowski

De très belles choses.

Mompou orch.Tansman: Scènes d'enfants/Pons

Lutoslawski / Ravel. Quatuor. LaSalle Q. Ce quatuor de Lutoslawski est vraiment une expérience bouleversante ! Heureusement qu'il y a celui de Ravel ensuite pour reprendre pied.

Strauss: Vier letzte lieder (Janowitz - Celibidache)
Penderecki: Magnificat (Penderecki)
Extraordinaire, cette musique!

Percy Bysshe a écrit:

Strauss: Vier letzte lieder (Janowitz - Celibidache)
Penderecki: Magnificat (Penderecki)
Extraordinaire, cette musique!

Mieux que Karajan/Janowitz, la version avec Celibidache?

Les deux me paraissent être des versions de référence, bien qu'assez différentes. Celibidache marque des tempos plus lents, qui donnent à entendre des passages d'une manière tout à fait nouvelle, avec des intentions très cohérentes. Dans les deux cas, Janowitz est miraculeuse.
Mais les deux versions sont un peu trop différentes à mon sens pour que l'on puisse en établir une meilleure que l'autre: les deux sont le fruit d'une démarche interprétative valable et sont parfaitement abouties.

Aller, Celibidache-Janowitz quand même.

Percy Bysshe a écrit:

Les deux me paraissent être des versions de référence, bien qu'assez différentes. Celibidache marque des tempos plus lents, qui donnent à entendre des passages d'une manière tout à fait nouvelle, avec des intentions très cohérentes. Dans les deux cas, Janowitz est miraculeuse.
Mais les deux versions sont un peu trop différentes à mon sens pour que l'on puisse en établir une meilleure que l'autre: les deux sont le fruit d'une démarche interprétative valable et sont parfaitement abouties.

Aller, Celibidache-Janowitz quand même.

Della Casa - Böhm

Grümmer, Popp... les versions d'exception sont tellement nombreuses.

Beethoven, Grande Fugue. Barylli / Artémis / Prazak / Lindsay / Fine Arts quartets. Je m'entraîne un peu avant l'écoute de Discobole

Mariefran a écrit:

Beethoven, Grande Fugue. Barylli / Artémis / Prazak / Lindsay / Fine Arts quartets. Je m'entraîne un peu avant l'écoute de Discobole

J'ai découvert Artemis dedans aujourd'hui !

Sinon,

Liszt, Trois sonnets de Pétrarque - Quasthoff, Zeyen

Il est temps d'éclairer le vulgaire, fut-ce par une sainte croisade !

Hindemith (encore), quatuors 4-6-7 par le Juilliard.

Prière de jeter un oeil ici (sur ce même forum).


PS (pour Ben) : interdiction d'écouter la grande fugue sans le reste du quatuor n°13

Bartok : Suite de danses, Boulez

Tchaïkovsky : 5e symphonie, Bernstein (Sony)

Bernstein confère un élan remarquable à cette symphonie (le I !), j'aime mieux cette vision que celle, plus "contemplative" et résignée de Mravinsky.

Mozart, Symphonie n°37, Böhm 43

Schubert, Sonate D.959, Guilels

Beethoven, Concerto pour piano n°4, Richter / Ančerl

Mozart: Symphonies n°21, 22, 23, 24 et 25 (Krips, Concertgebouw). Magnifique !

Franck: Symphonie en ré mineur (Giulini, Berliner). Vision très personnelle, brucknerienne; ... ce qui est tout à fait défendable. Et j'adore.

Bellini ~ I puritani (Serafin, Callas, Di Stefano)
Wagner ~ Walküre Akt I (Janowski)

Maintenant :
Schoenberg ~ Pelleas und Melisande (Mehta)

Ca a été productif, aujourd'hui

L'Incoronazione di Poppea, Prologue et Acte I, production Lille Sivadier-Haïm, arte live web

C'est sorti ?

Mozart: Symphonie No.41 (Krauss - Brême)
Quelle réussite!