Playlist (71)

Guillaume a écrit:

Les résultats sont déjà tombés ; quand je dis "mission accomplie", j'entends ça au sens plein du terme. Deux mois de vacances, et pas de nouvelle khâgne, étant donné que je suis entré.  

Félicitations! 

adriaticoboy a écrit:

Mozart: Die Zauberflöte / Wiener Philharmoniker, dir. Karl Böhm (1955 Decca)

Je découvre cette version, rarement citée comme une référence. C'est vrai qu'il manque les dialogues et qu'au premier abord ça semble un peu dirigé à la truelle par le père Böhm, ce qui est surprenant, mais je crois que ça vient vraiment de la production stéréo Decca de l'époque, qui grossissait les traits, car on retrouve cette même sonorité revêche des Viennois dans le Don Gio de Krips et les Noces de Kleiber. (Je suis persuadé que Walter Legge et sa mono auraient rendu ces productions studio viennoises encore plus incontournables qu'elles ne le sont déjà.)
Bon, une fois qu'on a fait abstraction de ça, on peut savourer le plateau vocal: Léopold Simoneau, Walter Berry, Wilma Lipp, Hilde Güden, Kurt Böhme... tous au sommet de leur art. Je laisse les glottophiles dire ce qui cloche ici ou là mais pour moi c'est le bonheur !

Je ne trouve plus le spoiler dans la nouvelle configuration

Tu as raison sur toute la ligne concernant les productions Decca de l'époque, l'orchestre et la distribution. C'est un plateau quasi idéal et somme toute le meilleur jamais assemblé quand on le considère dans son ensemble. Et les raisons de son relatif oubli sont: 1) l'absence de dialogues. 2) le fait que Zauberflöte attire les producteurs comme le miel attire les mouches. Le poids accumulé de toutes ces productions tend à écraser les plus anciennes sous la pile... 3) la tendance lourde vers des Flûtes dégraissées qui fait paraître à tort ce Böhm 1955 comme le produit d'une autre époque.

Guillaume a écrit:

Les résultats sont déjà tombés ; quand je dis "mission accomplie", j'entends ça au sens plein du terme. Deux mois de vacances, et pas de nouvelle khâgne, étant donné que je suis entré.  

Quelle spé ?

Guillaume a écrit:

Les résultats sont déjà tombés ; quand je dis "mission accomplie", j'entends ça au sens plein du terme. Deux mois de vacances, et pas de nouvelle khâgne, étant donné que je suis entré.  

Même si je ne doutais pas de toi, je ne peux que te dire chapeau ! Bravo, Guillaume !!!!  

Bruckner, Symphonies 8 et 9. Berliner Philarmoniker, Kna

Mariefran a écrit:

Bruckner, Symphonies 8 et 9. Berliner Philarmoniker, Kna

C'est dans le coffret Andromeda ?

Villa-Lobos: Forest of the Amazon. Une bien belle suite de musique de film. Du VL typique. Renée Fleming scintille dans chacune de ses interventions

Ohana: Llanto por Ignacio Sanchez Mejias/Peintre-Hayrabedian

    

Chef d'oeuvre!

A noter qu'on peut trouver le texte mais aussi une traduction française ici: http://www.pierdelune.com/Garcia%20Lorca3.htm

André a écrit:

Villa-Lobos: Forest of the Amazon. Une bien belle suite de musique de film. Du VL typique. Renée Fleming scintille dans chacune de ses interventions

Oui, quel voyage!!!  

André a écrit:

Mariefran a écrit:

Bruckner, Symphonies 8 et 9. Berliner Philarmoniker, Kna

C'est dans le coffret Andromeda ?

C'est dans un double Tahra  

Xavier a écrit:

Ohana: Llanto por Ignacio Sanchez Mejias/Peintre-Hayrabedian

    

Chef d'oeuvre!

A noter qu'on peut trouver le texte mais aussi une traduction française ici: http://www.pierdelune.com/Garcia%20Lorca3.htm

Sur un poème magnifique de Garcia Lorca  

Wagner : Die Walküre (Christian Thielemann, 2008 : Siegmund , Endrik Wottrich ; Hunding , Kwangchul Youn ; Wotan , Albert Dohmen ; Sieglinde , Eva-Maria Westbroek ; Brünnhilde , Linda Watson ; Fricka , Michelle Breedt ; Gerhilde , Sonja Mühleck ; Ortlinde , Anna Gabler ; Waltraute , Martina Dike ; Schwertleite , Simone Schröder ; Helmwige , Edith Haller ; Siegrune , Wilke te Brummelstroete ; Grimgerde , Annette Küttenbaum ; Rossweisse , Manuela Bress)

Vraiment chouette!!

Heifetz : Enregistrements de 1917-1924 ( ave maria, la capricieuse....)

 

Guillaume a écrit:

Les résultats sont déjà tombés ; quand je dis "mission accomplie", j'entends ça au sens plein du terme. Deux mois de vacances, et pas de nouvelle khâgne, étant donné que je suis entré.  

Normale sup, je suppose? Tu gardes ta spé secrète?

Beethoven _ Symphonie n° 3
Ataúlfo Argenta : Orquesta Nacional de España
Beethoven _ Sonate pour violon et piano n° 8
Arthur Grumiaux [ violon ] Ataúlfo Argenta [ piano ]

Mahler _ Symphonie n° 8
Inga Nielsen, Daniela Šounová, Christa Ludwig, Věra Soukupová, Libuše Márová, Thomas Moser, Wolfgang Schöne, Richard Novák ... Václav Neumann : Czech Philharmonic Orchestra . Prague Radio and Philharmonic Choir . Kühn Children’s Choir

Martinů _ Symphonies n°s 1, 2, 3 et 4
Jiří Bělohlávek : BBC Symphony Orchestra

Je découvre enfin les symphonies de Martinů ! Génial   

Reynaldo Hahn, Le rossignol éperdu
 à  

Earl Wild, piano

Ivory Classics, 2001

Ohana: Syllabaire pour Phèdre/Hayrabedian

   

Sibelius: 4 Légendes Op. 22 - Philadelphia Orch. - Ormandy.

Beethoven, Symphonie 3 / Barber, Adagio. Boston SO, Munch, 21/09/1956
Brahms, Symphonie 2 / Debussy, La Mer. Boston SO, Munch, 19/19/1956
Berlioz, Harold en Italie, la Symphonie fantastique. London SO, Scherchen

OHANA Maurice
Tombeau de Debussy.

Ohana: Concerto pour guitare/Yepes-Frühbeck de Burgos

   

Je pars à l'assaut des 27 de Miaskovsky.

Miaskovsky: Symphonie n°1 (Svetlanov)

Berlioz - La damnation de Faust - Gedda/Veasey/Bastin/Van Allan/LSO-Davis

         
Et dire qu'il parait que Markevitch est encore mieux...

Couperin: Concerts Royaux & les Goûts Réunis - Ens. Stradivaria

LIGETI György
Apparitions
Lux Aeterna

 

sebby a écrit:

"Un jour quand j'étais tout enfant, j'ai fait un rêve. (…) Toute la chambre était emplie d'une toile aux filaments très fins, extrêmement serrés et enchevêtrés, ressemblant assez à la sécrétion des verre à soie. (…). A côté de moi, d'autres êtres, d'autres objets restaient accorchés dans cette toile gigantesque, des teignes, des coléoptères, de toutes sortes. (…) Chacun de leurs mouvements provoquait un tremblement qui se communiquait au système tout entier. (…) De temps à autre les vagues devenaient si fortes que le filet se déchirait. (…) Les transformations du système étaient irréversibles, tout état passé du système l'était à jamais. Quelquechose d'indiciblement triste se dégageait de ce processus. L'écoulement du temps qui, en produisant irrémédiablement le passé, interdit toute espérance."

  Il a écrit ça quand et où ?

yamaw a écrit:

sebby a écrit:

"Un jour quand j'étais tout enfant, j'ai fait un rêve. (…) Toute la chambre était emplie d'une toile aux filaments très fins, extrêmement serrés et enchevêtrés, ressemblant assez à la sécrétion des verre à soie. (…). A côté de moi, d'autres êtres, d'autres objets restaient accorchés dans cette toile gigantesque, des teignes, des coléoptères, de toutes sortes. (…) Chacun de leurs mouvements provoquait un tremblement qui se communiquait au système tout entier. (…) De temps à autre les vagues devenaient si fortes que le filet se déchirait. (…) Les transformations du système étaient irréversibles, tout état passé du système l'était à jamais. Quelquechose d'indiciblement triste se dégageait de ce processus. L'écoulement du temps qui, en produisant irrémédiablement le passé, interdit toute espérance."

  Il a écrit ça quand et où ?

G. Ligeti, "Zustände, Ereignisse,Wandlungen" (Bemerkungen zu meinen Orchesterstück Apparitions), in Blätter und Bilder, N°11, Vienne, 1960, p. 50.

 Traduit et cité dans "György LIGETI" par Pierre Michel (éditions Minerve, collection Musique Ouverte), p39, que je recopie partiellement ici.

Boulez:Sonate n°2 (Pollini)

Compliqué.  

A jouer, oui.

A aimer, oui, encore plus.  

Ohana: Trois contes de l'honorable fleur/Chabrun

   

Purcell : Dido and Aeneas (Geraint Jones, 1952 : Kirsten Flagstad, Elisabeth Schwartzkopf, Thomas Hemsley,...)
Chouette comme version! Et assez surprenant question style...

Tchaikovsky, Roméo et Juliette, Ouverture 1812, Marche slave, Capriccio italien. London SO, Scherchen
Rimsky, La grande pâque russe, Antar, Capriccio espagnol.  London SO, Scherchen

Ballif: Un coup de dés/Jouineau

    

Ohana: 4 études chorégraphiques/Percussions de Strasbourg

   

Takemitsu: Vers, l'arc-en-ciel, Palma/Salonen

    

Takemitsu: To the edge of dream/Salonen

    

Tchaikovsky: concerto op. 23 joué par Noel Mewton-Wood et Walter Goehr. Puis par Nikita Magaloff et Willem van Otterloo. Dans les deux cas l'orchestre est néerlandais et l'enregistrement plus très jeune. Mais ce sont d'excellentes interprétations.

Takemitsu: Winter, Marginalia, Gitimalya/Iwaki

    

Takemitsu: Autumn/Numajiri

    

Saariaho: Solar/Lintu

   

Polyeucte a écrit:

Purcell : Dido and Aeneas (Geraint Jones, 1952 : Kirsten Flagstad, Elisabeth Schwartzkopf, Thomas Hemsley,...)
Chouette comme version! :DEt assez surprenant question style...

Omg  

Oui je n'ose pas imaginer, déjà que les premières versions baroqueuses me paraissent un peu lourdes, là ça doit être pesantissime. En plus les grandes orgues flagstadiennes...  

Mozart symphonie n°20 N Marriner

Je copie Xavier et je réécoute donc un coup de dé de Ballif.

Villa-Lobos:Symphonie n°10 (St.Clair)

EPIQUE

Boulez:Le Marteau sans Maître (Himself)

C'est la première fois que je remarque la proximité avec Le Pierrot Lunaire.  

Stockhausen, ensemble
C'est quand même magnifique Stockhausen !

Les yeux qui fascinent a écrit:

Je copie Xavier et je réécoute donc un coup de dé de Ballif.

Pareil.

Ainsi que les espaces acoustiques de Grisey.

BANCQUART Alain
Habiter l'ambre.

sebby a écrit:

BANCQUART Alain
Habiter l'ambre.

"La relative grisaille et l'indétermination de l'harmonie résultante du sérialisme ne me semblaient pas satisfaisantes. En revanche, les trois parties micro-tonales du Visage nuptial de Pierre Boulez (avant qu'une malencontreuse révision n'abartardise cette musique fulgurante) furent une découverte. La lecture de cette partition , et la reflextion que l'échelle des demi-tons égaux avait été instaurée pour permettre l'existence d'une harmonie tonale modulante, et non le contraire, furent déterminantes."

Eh ben tiens, le contenu de cette citation me convainc d'enchaîner sur l'oeuvre en question, malgré la pédanterie repoussante du titre.  

Concernant le Ballif, c'est très "rideau de fumée", ça me parle beaucoup moins que Grisey, qui est plus gourmand dans ses sonorités.