Playlist (92)

Bart a écrit:

T'as déjà terminé le Crépuscule ?

si tu mettais plutôt une voiture de la gendarmerie en avatar ?

Mélomaniac a écrit:

Non, je n'ai réécouté que le Prologue et l'Acte I ; le Götterdämerrung c'est un peu trop lourd à avaler d'une traite, du moins pour un estomac délicat comme le mien.

Et puis après mon goûter en guise d'entracte, je n'avais plus envie d'opéra.

Ok... ça va pour cette fois.

Lucien a écrit:

si tu mettais plutôt une voiture de la gendarmerie en avatar ?

lucien a écrit:

Bart a écrit:

T'as déjà terminé le Crépuscule ?

si tu mettais plutôt une voiture de la gendarmerie en avatar ?

Et toi, celui d'un pasteur protestant?

York Höller, Antiphon für Streichquartett auf Tonband (1976).  Saarbrücker SQ
Wolfgang Rihm, Im Innersten, dritte Streichquartett (1976).  Arditti SQ

Mélomaniac a écrit:

Non, je n'ai réécouté que le Prologue et l'Acte I ; le Götterdämerrung c'est un peu trop lourd à avaler d'une traite, du moins pour un estomac délicat comme le mien.

Et puis après mon goûter en guise d'entracte, je n'avais plus envie d'opéra.

Ah oui la fameuse accusation de lourdeur
Goût délicat

JSBach - Matthäus-Passion - Gabrieli Players_Paul McCreesh

Jean-Féry Rebel



Sonates pour violon et basse continue
Andrew Manze, violon ; Richard Egarr, clavecin ; Jaap ter Linden, viole de gambe.
Harmonia Mundi, 1999

Beethoven : Sonate pour piano n°23    1805 / Paraskivesco
 
Manoury : Inharmonies    2008 / Equilbey

Murail : La barque mystique    1993 / Ensemble Court Circuit

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Symphonie n°3 en mi bémol majeur Op. 55 (transc. Liszt)

= Cyprien Katsaris, piano

(Teldec, 1985)

Prokofiev : Sonate pour piano n°7    1943 / Richter

Ludwig van Beethoven (1770-1827) :

Sonate n°23 en fa mineur Op. 57

= Friedrich Gulda, piano

(Amadeo, 1968)

Antonio Vivaldi - Les quatre saisons (Janine Jansen)



Peut-être ma version de référence.... ou pas

=> Spohr — Faust — Arp
Nettement mieux que la version CPO (assez moyenne). Une des plus belles œuvres de Spohr, et la première adaptation de Faust (pas d'après Goethe d'ailleurs) en opéra.

Pipus a écrit:

Antonio Vivaldi - Les quatre saisons (Janine Jansen)



Peut-être ma version de référence.... ou pas

Une des plus belles, je suis d'accord (même si c'est au sein d'une bonne vingtaine d'autres excellentissimes versions).

Pour moi, c'est Onofri-Antonini auxquels je reviens sans cesse mais aussi Mutter-Karajan et Corigliano-Bernstein.

oh là ! pitié... la 15 000ème version discographique des Saisons...

Pourtant, s'il y a bien une œuvre qui justifie son statut, aussi bien par son succès auprès du grand public que par son originalité musicale intrinsèque, et qui se prête à toutes les fantaisies et variations possibles…

C'est pas le premier mouvement de la « Sonate au Clair de Lune » ou le « Premier Prélude », quoi.

oui, mais là, ça commence à bien faire... Je ne vois pas bien ce que l'on peut découvrir de neuf dans ces partitions (dont je ne nie pas du tout les qualités). L'idée du "passage obligé" pour un musicien m'horripile et me parait être aux antipodes d'une vision artistique valable.

Haydn: L'anima del filosofi, ossia Orfeo ed Euridice (actes III-IV)
Orfeo : Herbert Brandt
Euridice : Judith Hellwig
Creonte : Alfred Poell
Genio : Hedda Heusser
Plutone : Walter Berry
Orchester der Wiener Staasoper, dir. Hans Swarowsky

L'opéra est sympa.

bassonbaroque a écrit:

oui, mais là, ça commence à bien faire... Je ne vois pas bien ce que l'on peut découvrir de neuf dans ces partitions (dont je ne nie pas du tout les qualités). L'idée du "passage obligé" pour un musicien m'horripile et me parait être aux antipodes d'une vision artistique valable.

C'est pourtant la façon dont le classique fonctionne, ainsi que l'indique son nom : on commence en général (à part dans le baroque, où à part Bach et les Quatre Saisons, le public attend largement des découvertes) par travailler les œuvres canoniques, et ensuite on va explorer si on veut (ou si on peut, parce que lorsqu'on est chanteur spécialiste du XIXe ou du lied, pas évident de pousser la porte de nouvelles œuvres…).

Ce que tu dis n'est certes pas faux... mais justement, en musique baroque, on est censé être animé par un esprit d'aventure plus propice au défrichage (déchiffrage aussi, sans faire de jeux de mots vaseux et approximatifs) d'oeuvres à redécouvrir. Surtout au disque...

Feinberg: Sonate n° 9 / Samaltanos

 Etrange.  Mais quelle virtuosité et quelle fulgurance du pianiste !

Isaac Albéniz (1860-1909) :

Suite espagnole n°1 Op. 47 : Granada - Cádiz

Chants d'Espagne Op. 232 : Asturias - Córdoba

= Oleg Boshniakovitch, piano

(Denon, archives de la Radio de Moscou, 1982)

Parsifal- Knappertsbusch 51

Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas écouté Parsifal, j'avais le souvenir de m’être ennuyée, plus ou moins, a chaque fois.. Bon, cette fois ci, dès la fin je me cherchais une autre version a écouter C'est marrant comme j'ai des déclics comme ça sur certaines œuvres (bon, pour Wagner ça s'est presque toujours passé comme ça a vrai dire).

A présent:
Rangström - Symphonie n2 -Jurowski 1995

Johannes Brahms (1833-1897) :

Ballades Op. 10

= Arturo Benedetti Michelangeli, piano

(DG, février 1981)

Eduard Erdmann (1896-1958): Symphonie no. 3, op. 19. Capricci op. 21, Ein Kleines Kaleidoscop für Orchester.

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Israel Yinon. Label: CPO

Mélomaniac a écrit:

Johannes Brahms (1833-1897) :

Ballades Op. 10

= Arturo Benedetti Michelangeli, piano

(DG, février 1981)

(Note : je ne parle que des Ballades)

Et alors, on écoute des non-chefs-d'oeuvres ?  

Avouons que c'est quand même pas mal. En fait, je me le suis quand même repassé, compte tenu du sujet récemment ouvert. J'ai été surpris par l'intensité des réactions émotionnelles que ça a provoqué chez moi. A la limite des poils qui se dressent. On va donc ouvrir une enquête : "avez-vous les poils qui se dressent à la shushu avec ce truc ?"  

Pour moi, la musique c'est l'émotion avant tout.

Schoenberg, Pelléas et Mélisande, Boulez (DG)
+

bassonbaroque a écrit:

oui, mais là, ça commence à bien faire... Je ne vois pas bien ce que l'on peut découvrir de neuf dans ces partitions (dont je ne nie pas du tout les qualités). L'idée du "passage obligé" pour un musicien m'horripile et me parait être aux antipodes d'une vision artistique valable.

Il me parait plus intéressant de savoir ce que l'on peut découvrir chez les violonistes, qui interprètent les quatre saisons. Voir comment ils approchent cette partition est peut-être assez révélateur.

DavidLeMarrec a écrit:

Une des plus belles, je suis d'accord (même si c'est au sein d'une bonne vingtaine d'autres excellentissimes versions). Pour moi, c'est Onofri-Antonini auxquels je reviens sans cesse mais aussi Mutter-Karajan et Corigliano-Bernstein.

Onofri-Antonini est arrivée seconde lors de l'écoute, une version pour le coup très expressive.

Bart a écrit:

Schoenberg, Pelléas et Mélisande, Boulez (DG)
+

Cololi a écrit:

Bart a écrit:

Schoenberg, Pelléas et Mélisande, Boulez (DG)
+

J'aime à peu près tout du jeune Schoenberg, mais cette oeuvre, je dois le reconnaître, ne me parle pas trop...

Bart a écrit:

Cololi a écrit:

Bart a écrit:

Schoenberg, Pelléas et Mélisande, Boulez (DG)
+

J'aime à peu près tout du jeune Schoenberg, mais cette oeuvre, je dois le reconnaître, ne me parle pas trop...

A réécouter

Que oui, c'est un pur chef d'oeuvre!!!!

A réécouter avec Karajan ou Thielemann à la baguette!

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Beethoven:Variations Diabelli (Anderszewski)

Mais ou diable va-t-il chercher tout ça?

Cette oeuvre est un monument.

lucien a écrit:

Luc Brewaeys (1959–),

  Symphonie nº2 “Komm ! Hebe dich...” (1987)
  Symphonie nº1 “...E poi c’era...” (1985)
  Réquialm voor sopraan en orkest (1989) *
  Symphonie nº3 “Hommage” (1991)

        * Mireille Capelle, soprano
        Orchestre Philharmonique Royal des Flandres
        Arturo Tamayo, direction

Bonsoir, lucien (et ton bike?), nr. 6 le prochain 09.12.14 à Late night, Klara.be 22 h.

Beethoven - Symphonie n°9 - PO_Furtwängler (Lucerne 54)

W.A..Mozart
Die Zauberflote
Arrangement pour vents de Joseph Heidenreich et Andreas Tarkmann
Cosi fan Tutte
Arrangement pour vents de Andreas Tarkmann

Linos ensemble

Label Capriccio c/o Naxos

A la lecture de D.L.M chez lui

Cololi et Arnaud : Le problème, c'est que je n'en suis pas à ma première tentative (je connais également Karajan, et il y a quelques années j'ai vu un concert d'Abbado sur Arte). C'est vraiment virtuose comme écriture, il y a une densité assez remarquable dans l'utilisation des motifs, l'orchestration est riche et somptueuse - donc ça correspond à ce que j'aime d'habitude. Mais je ne sais pas, je trouve que le côté postromantique est presque forcé, les mélodies sont jolies mais ne me touchent pas... je ne ressens pas la même chose avec La Nuit transfigurée ou les Gurrelieder.

Alifie a écrit:

Monteverdi: L'Orfeo. Version Gabriel Garrido. Très joli, mais un brin ennuyeux.

Anders Eliasson: quintette pour clavecin et cordes (1985).

Mahler: symphonie no 8. BBC, Boulez (1982)

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) :

Symphonie n°38 en ré majeur K. 504

= Joseph Krips, Orchestre du Concertgebouw d'Amsterdam

(Philips, novembre 1972)

Mozart + Krips + Concertgebouw =

Bart a écrit:

Cololi et Arnaud : Le problème, c'est que je n'en suis pas à ma première tentative (je connais également Karajan, et il y a quelques années j'ai vu un concert d'Abbado sur Arte). C'est vraiment virtuose comme écriture, il y a une densité assez remarquable dans l'utilisation des motifs, l'orchestration est riche et somptueuse - donc ça correspond à ce que j'aime d'habitude. Mais je ne sais pas, je trouve que le côté postromantique est presque forcé, les mélodies sont jolies mais ne me touchent pas... je ne ressens pas la même chose avec La Nuit transfigurée ou les Gurrelieder.

Bizarre parce que généralement lorsque on aime La Nuit et les Gurre on est aussi sensible à Pelleas.Laisse passer du temps puis réessaie.


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Monteverdi:Orfeo (Harnoncourt)

Que c'est beau!!!

Va falloir que j'approfondisse ça séance tenante!!!

Buxtehude: - Préludes en ré mineur, do majeur et la mineur, BuxWV 140, 137, 153, 138
- Toccata en ré mineur, BuxWV 155
- Chorals "Erhalt uns, Herr, bei deinem Wort", BuxWV 185 & "Eine feste Burg ist unser Gott", BuxWV 184
Helga Schauerte (orgue Schnitger de St-Jacob, Hambourg)

Ah ouais !
Délirant ! Beaucoup de bons enregistrements pour Buxtehude !

Feinberg: Sonate n° 10 / Samaltanos

Il dégage une de ces puissances avec des notes simples (sans accords ni octaves).
Par contre, c'est vraiment étrange comme musique, quand on sait ce qu'il a écrit avant.