Flood

Tu t'es surpassé pour celle-là, Chris.

Ne trouvez-vous pas une certaine ressemblance faciale entre Véronique Gens et Matthieu Gallet ?

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Vous me direz que M Gallet est bel homme. Certes, et il me semble même pouvoir être comparé aux grandes stars du café en dosette. Et bien évidemment au tombeur de ces dames, l'incontournable Georges Clooney !

Spoiler:

Et quels sourires de séducteurs !

Spoiler:

Fin de la minute de méchanceté gratuite mensuelle.

Entre lui

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et lui

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y'a pas photo (si j'ose dire !!)


Comment faire le bon choix ? Suffit de garder les yeux ouverts

Petite pause pour récupérer d'hier...

Qui a dit que les sportifs n'étaient pas mélomanes ? Ou comment récupérer tranquillement après un bon match de foot !!

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Et pour ceux qui veulent prendre leur pied en musique :

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Histoire de la musique 28 :

Parlons un peu de ce compositeur d’origine suédoise qui connut un succès planétaire avec une seule de ses œuvres :

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Parmi les 7 mouvements  que comporte cette grande fresque orchestrale, le plus célèbre est sans nul doute le premier, sous-titré « celui qui apporte la guerre » : cette pièce chaotique et dissonante, d’une grande violence rythmique, est source d’énergie pour celui qui l’écoute. Du reste, souvent le mélomane s’écrie, à son écoute : Un coup de barre, Mars, et ça repart !

A propos, saviez-vous qu’on avait trouvé une souris (non vivante) sur Mars ?

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Venues de Vénus (qui n’est pas une œuvre de Milhaud, contrairement à ce que croient les jeunes esthètes qui fréquentent un peu trop le Louvre), de douces mélodies suscitent ensuite une atmosphère sereine, apaisante. Que les pauvres hommes livrés au large contemplent Vénus ! A noter que certains experts estiment que la vie proviendrait d’un sommet de cet astre :

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La planète Mercure, au chrome grisé, symbolisant le dieu des messagers zélés,  est une sorte de scherzo qui personnifie la vitesse et la fluidité (alors que paradoxalement son temps de rotation est très lent) :

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O, tel Mercure,

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le Vol du Bourdon (lequel n’a jamais fait l’objet d’aucune plainte, même quand c’est André Rieu qui s’y colle, lui qui rend les gens baba en jouant 40 vols/heure) à qui il fait songer se joue lui aussi sur un rythme très rapide.

La suite de cette suite demain…

Histoire de la musique 28 bis :

Atmosphère joviale avec le 4è mouvement de la suite : Jupiter, pourvoyeur de joie qui apporte bonne humeur à ceux qui ont les leurs et vitalité pour requinquer ceux qui sont vite alités.

Spoiler:

Mélodies mémorables où il est facile de guetter la gaîté, et qui rappelle que dans la mythologie le roi des dieux luttait contre Janus tout en exigeant que Junon batte Saturne…

Pour vous donner une idée : /watch?v=eQlsrJY7dKQ


...Saturne, justement, qui évoque ici la vieillesse, ce combat contre un ennemi qu’on bat trop rarement. Même celui qui se planque dans sa turne ne peut échapper au temps qui passe et quand il regarde l’horloge il voit que ça tourne sans s’arrêter jusqu’à la mort ; c’est ce qu’exprime le compositeur dans un fracas oppressant de violons, percussions et carillons. Ce passage s’achève sur une partie plus calme, comme un cortège funèbre pour ceux qui gisent car destin et repos éternel (bref, ce qui nous fait néant) sont inéluctables.

Spoiler:

Uranus avec sa magie mixe différents ingrédients : majestueuse ouverture cuivrée puis apparition d’une fantasmagorique créature qui nous montre que ce bel Uranus n’est pas vierge de tout être ; elle déploie ses grandes ailes de feu avant de disparaitre dans une apothéose orchestrale grandiose faite de multiples fragments que la fermeture éclaire (une sorte de braguette magique, en somme) : Uranus, une œuvre à aimer !

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Neptune conclut cette composition dans une ambiance

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Pièce impressionniste et vaporeuse créant une impression d’éternelle rêverie par le biais de volutes dans ces pages qui s’évanouissent dans le vide sidéral. Nous avons là l’antithèse absolue de Mars, comme si Holst avait fait le tri dans Neptune pour ne garder que le côté le plus intimiste de son art.


Ainsi s’achève ce petit commentaire sur des Planètes qui firent de leur auteur, très sensible aux faits cosmiques,  une star et mirent sur orbite sa carrière de musicien.

Et pour ceux qui voudraient en savoir plus sur les rapports qui régissent certains astres froids entre eux, voici un conseil bibliographique :

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Histoire de la musique 29 :

Il n’est pas né dans le Rhône, Poulenc, mais à Paris. En dépit de cette fin de phrase, il était d’un caractère très gai et quand il se faisait de nouveaux amis, leur relation Durey toujours fort longtemps.

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Mais sans aucun doute, son véritable alter ego est Milhaud (avec qui il fera plus d’un bon repas !). Voici retranscrit l’un de leurs dialogues (sans carmélite) :
- Alors, ça biche ?
- Oh oui, j’écris un conte musical sur Babar.
- Dis donc, tu aimes bien prendre les animaux en modèle !
- C’est vrai, plus que la fiction des éléments. Là, j’en suis au moment où la vieille dame voit un éléphant incontrôlé dans sa mante.
- Laisse un peu ton travail et viens plutôt sur la Tour Eiffel. Y’aura Germaine et tous les autres copains, ce serait bien que t’ailles faire la fête avec nous !

Lui qui se levait au chant du coq – tôt –, adorait prendre des cocktails avec Cocteau (et non l’inverse, en dépit de la règle du pluriel) dans sa maison de campagne, baptisée le Grand Cocteau, et ensemble ils composèrent La voix humaine, un monodrame lyrique (dont le précurseur a été Arnold Schönberg, qui fut sans se gourrer leader en la matière).

Ce fervent catholique écrivit également un

Spoiler:

à ne pas confondre avec d'autres oeuvres pareillement intitulées, dues sans nul doute à de sacrés compositeurs, mais où l'on sent poindre de manière moins flagrante une profonde expression de la foi en Dieu :

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Pour le diriger, Poulenc fit évidemment appel à Georges Prêtre.

On lui doit aussi, d'après Apollinaire, Les mamelles de Tirésias, opéra bouffe dont quelques mauvaises langues dirent qu’il fut composé pour des raisons alimentaires. En réalité, le surréalisme (comme le prouvent par exemple nombre de ses chansons) était l'un des dadas de Poulenc.

Attention : même si certains trouvent Francis laid, ce n’est pas lui qui a composé la musique du film « Un homme et une femme »... A ce propos, Auric de déplaire à certains, il afficha ouvertement ses préférences sexuelles et resta inconsolable à la mort de son compagnon, d’où son surnom de « veuf sur le toit ».

A noter qu’il avait une sœur, Tatiana (et non Amélie !) qui vécut longtemps en Afrique où elle se consacra à aider les plus démunis et à combattre les préjugés racistes des colons blancs qui, se croyant supérieurs, traitaient les noirs de « Schwarz » et « Negger ». Ainsi, un jour, elle s’écria devant quelques anglophones un peu trop arrogants : « Oh, negger is not the appropriate word ; you’d better say coloured people !». Du reste, aujourd’hui encore là-bas son nom est synonyme de générosité, comme l’exprime si bien un proverbe local : Quand Tatiana Poulenc, y’en a pou’ l’aut’.

Ainsi s’achève cet hommage à Poulenc dont toute la vie eut pour toile de fond un univers Cythère (pour lequel il s’embarqua plus d’une fois !).

Histoire de la musique 30 :

Mon tonton Pierre, RIP, était un violoncelliste amateur mais distingué qui allait régulièrement écouter son idole, Pau Casals, au festival de Prades. Un soir qu’il jouait de son instrument favori dans sa chambre d’hôtel, il entend frapper à la porte. Un peu inquiet et s’attendant à des remontrances, il va ouvrir ; en fait, c’était son voisin de chambre qui venait lui faire des compliments sur son vibrato. Le lendemain, il revoit cet homme au concert où il se trouvait : il était sur scène, c’était Paul Tortelier…

Pourquoi vous parler de mon cher oncle ? Parce que durant toute mon enfance, il m’a bercé de commentaires qui commençaient tous ainsi :
Bax est… (un génie, prodigieux, le plus grand, sublime, le meilleur, un géant, extraordinaire, et autres propos élogieux du même tonneau, selon son humeur et l’œuvre qu’il écoutait).

Sauf que vers l’âge de 12 ans je me suis rendu compte que le type qui avait composé Les Variations Goldberg et Le Clavier bien tempéré s’appelait en fait Bach ; j'ai même appris plus tard qu’il y en avait encore d’autres du même nom qui bossaient aussi dans cette branche professionnelle.

Du coup, pour réparer cette erreur qui remonte déjà à quelques décennies, je vais vous entretenir du brave Arnold.



Né ni à Dax, ni à Sfax ou en Saxe, mais dans la banlieue de Londres, il passe avec son frère Willy une grande partie de sa jeunesse en Irlande, qui lui inspirera de nombreuses œuvres, notamment ses poèmes symphoniques tels que Spring fire, The Garden of Fand, November Woods, The Happy Forest. Il parle du reste couramment le gaélique (mais pas le vlax).

D’une grande piété, il compose un double motet, Mater ora Filium, dans lequel on perçoit bien toute la complexité du chant polyphonique Bax. Mais apparemment très au fait de l’évolution musicale de son temps, il écrit également la musique d’un film sur le Twist intitulé Oliver.

Amoureux d’une Ukrainienne qui refuse sa demande de Pacs, il finit par épouser la sœur d’un célèbre pianiste espagnol, Carlos Sobrino.

D’un naturel fort émotif, il se mettait souvent en colère. Et quand il était un max furax, ses amis ne cessaient de lui répéter : Relax, Bax ! En effet, ses accès nerveux avaient des répercussions négatives sur ses articulations, qui devenaient laxes.

En dépit d'un certain succès, il essuya (ce qui prouve sa grande propreté) de vives critiques : on reprochait à son art d'être peu original, voire dénué d'intérêt. A l'écoute de ses oeuvres, quelques allergiques ont eu même parfois des idées un peu extrêmes...

Spoiler:

Très influencé par certains compositeurs comme Debussy ou Sibelius, il joua également un rôle important dans l’histoire musicale de son pays, à tel point qu’un de ses confrères musiciens aurait prononcé ces paroles sur son lit d’agonie : « I’m dying, but I’ll be Bax ! »

Devinette
Tinta et Tintin font une croisière dans l’océan Arctique ; Tinta tombe à l'eau, que lui arrive-t-il ? Tinta gèle, bien sûr !

Je n'ai pas pu résister... En même temps, c'est de la famille de Francis !!

Avant de terminer ma série, petite revue d'instruments de transport :

Compliqué de se connecter à ce forum ce soir !

Spoiler:

Du coup, improvisons et entrons dans l'intimité des grands compositeurs. Si je vous dis que pour moi, la plus belle est celle de Schubert, les plus moches celles de Beethoven (elle est vraiment rachitique) et de Haydn (toute tordue), à quoi pensez-vous ?

Je rassure les âmes chastes : il ne s'agit aucunement d'un organe physique !

Si vous ne voyez pas, je vous donne la clé ici :

Spoiler:

Histoire de la musique 31 :

Tout créateur le sait bien, avant de produire un chef-d'oeuvre, on commence d'abord par tâtonner, on se teste avec des esquisses, des brouillons, des tentatives plus ou moins fructueuses. Tenez, prenez Beethoven : sa 9è symphonie se retrouve notamment en germe dans un lied de jeunesse puis de manière encore plus évidente dans la Fantaisie pour chœur, piano et orchestre opus 80.

De même, Dieu (qui n'est pas n'importe qui bien que certains le considèrent comme le premier venu, mais ce n'est pas le sujet) dans la Genèse a d'abord fait l'homme avant de se surpasser avec la femme.

Vous n'êtes pas encore convaincus ? Vous voulez un autre exemple ? En voici un qui devrait faire taire les plus réticents !

Spoiler:

La suite à demain (où je parlerai entre autres de quatre mains )...

Chris3 a écrit:

Vous n'êtes pas encore convaincus ?

Mais si.

Pipus a écrit:

Chris3 a écrit:

Vous n'êtes pas encore convaincus ?

Mais si.

Je réclame une supplément sur Messiaen !

'ment n'importe quoi.

Ouais ben je suis pas très inspiré ce soir

Mais quand même :

Le français est une langue odieusement sexiste, non ?

Un gars : c'est un jeune homme

Une garce : c'est une pute

Un courtisan : c'est un proche du roi

Une courtisane : c'est une pute

Un masseur : c'est un kiné

Une masseuse : c'est une pute

Un coureur : c'est un joggeur

Une coureuse : c'est une pute

Un rouleur : c'est un cycliste

Une roulure : c'est une pute

Un professionnel : c'est un sportif de haut niveau

Une professionnelle : c'est une pute

Un homme sans moralité : c'est un politicien

Une femme sans moralité : c'est une pute

Un entraîneur : c'est un homme qui entraîne une équipe sportive

Une entraîneuse : c'est une pute

Un homme à femmes : c'est un séducteur

Une femme à hommes : c'est une pute

Un homme public : c'est un homme connu

Une femme publique : c'est une pute

Un homme facile : c'est un homme agréable à vivre

Une femme facile : c'est une pute

Un homme qui fait le trottoir : c'est un paveur

Une femme qui fait le trottoir : c'est une pute

Un péripatéticien : c'est un philosophe

Une péripatéticienne : c'est une pute

Un homme galant : c'est un gentleman

Une femme galante : c'est une pute

Un créateur : c'est un artiste

Une créature : c'est une pute

Un gagneur : c'est un battant

Une gagneuse : c'est une pute

Un coco :c'est un communiste

Une cocotte : c'est une pute

Un boucanier : c'est un flibustier

Une boucanière : c'est une pute

Un trimardeur : c'est un vagabond

Une trimardeuse : c'est une pute

Tout ça parce que l'homme a deux cerveaux : Un petit et un gland...

Pour les géographes :


Entre 18 et 20 ans, une femme est comme l’Afrique : à moitié sauvage, naturellement belle et pleine de mystérieux deltas à la fertilité certaine.

Entre 21 et 30 ans, une femme est comme l’Amérique : développée et ouverte au commerce, spécialement avec ceux qui ont du pognon.

Entre 31 et 35 ans, une femme est comme l’Inde : sensuelle, relaxée, épanouie, convaincue de sa beauté.

Entre 36 et 40 ans, une femme est comme la France : délicieusement mûre, elle reste un agréable territoire à visiter.

Entre 41 et 50 ans, une femme est comme les Balkans : la guerre est aujourd’hui perdue et les erreurs du passé la hantent. Il faudrait prévoir de gros travaux de rénovation.

Entre 51 et 60 ans, une femme est comme la Russie : étendue aux limites incontrôlées avec un climat très froid qui décourage les visiteurs.

Entre 61 et 70 ans, une femme est comme la Mongolie : un glorieux passé de conquêtes mais hélas aucun futur.

Après 70 ans, une femme est comme l’Afghanistan : beaucoup savent ou ça se trouve mais personne ne veut plus y aller.

COMMENT SÉDUIRE UNE FEMME :
Faites-lui des compliments,
entourez-la de vos bras puissants,
embrassez-la, caressez-la,
câlinez-la, aimez-la, amusez-la,
excitez-la, réconfortez-la,
protégez-la, réchauffez-la,
soyez patient avec elle,
offrez-lui des fleurs,
emmenez-la au resto,
écoutez-la, écoutez la encore,
écoutez la vraiment,
encouragez-la,
prenez soin d'elle, restez près d'elle,
soyez son meilleur ami,
allez jusqu'au bout du monde pour elle...

COMMENT SÉDUIRE UN HOMME

Foutez-vous à poil...

J'adore ma langue !

Anthony a écrit:

J'adore ma langue !

Ah! Pourquoi? Elle a une forme particulière?

Jaky a écrit:

Anthony a écrit:

J'adore ma langue !

Ah! Pourquoi? Elle a une forme particulière?

Oui, comme chaque langue elle a ses particularités. Mais surtout, comme l'a bien montré Chris, elle est très inventive avec les putes.

Comme c'est cocasse.

Ah, j'avais oublié ceux-là :

Un aventurier : c'est un baroudeur

Une aventurière : c'est une pute

Un coq : c'est un gallinacé

Une poule : c'est une pute

Histoire de la musique 31 (suite et fin) :

Il était une foi... la sienne !

Sauvage par sa  mère,  et catholique par son père (il mettra souvent le Messie en… musique, comme dans La nativité du Seigneur ou Vingt regards sur l’enfant-Jésus), ce grand compositeur né en Avignon servit de pont entre les musiciens qui bercèrent son enfance (Debussy, Albéniz ou Ravel) et ceux qu’il forma (Boulez, Xenakis, Murail, Stockhausen…).
Dès l’âge de 11 ans, le jeune Olivier, bien décidé à montrer de quel bois il se chauffe,  entreprend de brillantes études au Conservatoire de Paris.  En hommage à ses trois grands professeurs, Dukas, Dupré, Widor (lequel, en dépit de son nom, n’en avait pas), il devient organiste à la Trinité durant plus de 60 ans.

Prisonnier dans un stalag durant la deuxième guerre mondiale (il y composera Quatuor pour la fin du temps), il devient pacifiste. Dès lors, il était normal que ce non-violent, cet homme qui était un doux soit inspiré par des rythmes connus sous le nom de decî-tâlas en créant des œuvres comme Couleurs de la cité céleste. C’est l’Est encore, et  plus précisément le Japon, qui l’inspira pour ses Sept Haïkaï (mot qui signifie en langue nippone : Peste, comme il fait froid !)

Ce fut également un ornithologue distingué, capable non seulement de créer des symphonies comme la Turangalîla mais aussi de repérer à dessein faux nids et vraies couvées.
Il va identifier phoniquement plus de 300 espèces différentes et ses recherches le conduiront dans le monde entier, jusqu’au Québec bien que ce pays soit l’exacte antithèse d’un oiseau, puisqu’il commence par un Q et finit par un bec. Pourtant, alors qu’il était très sensible au chant de piaf, il n’écrira jamais pour cette grande interprète.

Spoiler:

Marié en seconde noces à une pianiste dont il était le compère depuis 20 ans, et à qui l’on donnait comme par hasard un nom d’oiseau, il forme avec elle un remarquable duo pianistique interprétant de nombreuses pièces pour 4 mains ou 2 pianos, comme Visions de l’Amen, ce qui l’amène encore à voyager dans de nombreux pays. Scarlatti, Mozart, Chopin et Rameau d’Olivier sont les principales sources d’inspiration.

On lui doit aussi notamment un opéra, Saint François d’Assise, qui malgré ce titre, n’est pas court.

Professeur au Conservatoire de Paris, il se heurte à l'hostilité de collègues nescients qui trouvaient son art messéant. Mais si en… dépit de son talent Messiaen ne peut au départ qu’enseigner la philosophie de la musique, avec l'évolution des années et sa renommée grandissante, on finit par lui attribuer officiellement une classe de composition en 1966.

Ce grand synesthète qui décalait les sons en couleur décède le 27 avril 1992, et il se murmure qu’en apprenant sa mort le peintre Francis Bacon eut une attaque fatale lors d’un séjour à Madrid.

Ah oui, il était chouette, Messiaen !

Spoiler:

Aaron ?!?!

Histoire de la musique 32 :

Voilà une liste de compositeurs auxquels vous avez échappé :

- Monteverdi et La Monte (Verdi par contre y figurait)
- Même si j’aime bien ce que Glück ose, je n’en parlerai pas
- Il est solaire et pourtant point de padre.
- Ni d’Indy ni d’hindous
- Hermann et Scherchen non plus (trop speed)
- Zéro Gould (Morton ou Glen)
- Je ne vous entretiendrai pas du cas de Paul
- Pablo ou Casals, nada !
- Reich n’y sera pas, parce que depuis 1933 j’ai une dent contre lui
- Les Scarlatti ne me donnent pas de boutons, mais rien sur eux
- Je tourne le dos à Rossini
- C’est peut-être une perte, mais pas d’Arvo pour autant
- Absence de Widor, bien qu’il fût un King à l’orgue
- Goude is good, but…
- Il ne rentrera pas dans l’arène, Victoria
- N’ayez pas les boules si John n’y est pas
- J’omets aussi CPE, WF, JCF, JC et Offenbach
- Després, Dupré, Marais, Duparc, Duchamp, Dubois… trop campagnards
- J’ai écrit sur la 2è école de Vienne mais pas sur François
- J’ai également mis Chausson à pied  
- La cavalerie légère, j'en ai soupé, alors pas de Franz
- Great Britten : out.
- Ne cherchez pas Bieber et Biber on ne les aura pas

Cependant :

Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass - Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass - Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass – Y’aura Glass (ad lib.)

Au grincheux Choux-Man :

ovni231 a écrit:

Aaron ?!?!

Bon, à la demande générale et à celle de Vino en particulier,

Histoire de la musique 33 :

Né non pas à Copland, le quartier new-yorkais où sévissent les policiers en toute impunité ainsi que nous l’apprend le cinéma, mais à Brooklyn, tout comme son frère Moïse, Copland apprend le piano auprès de Wittgenstein (Victor, pas Paul) puis en France avec Boulanger (Nadia, pas Lily). De retour aux Etats-Unis, il compose des pièces qui le rendent vite célèbre, inspirées par le jazz, et qu’il joue lors de sessions organisées avec un ami éponyme.

Après ce début en fanfare, cet homme hors du commun – par ailleurs très introduit dans le petit cercle des jeunes musiciens américains, ce qui eut une influence certaine sur sa vie privée –, se mit à travailler à un tempo effréné et produisit sans relâche symphonies, concertos et musique de chambre.

Mais beaucoup de ses œuvres phares sont d’abord consacrées à l’Ouest, lui dont les parents venaient de l’Est (Lituanie), et il s’impose définitivement, dans  un style qui lui est propre, à grand coup de ballets, tels Billy the Kid, Rodeo ou Appalachian Spring. Parallèlement, il écrit pour le cinéma, et reçoit notamment un Oscar pour la bande originale du film L’héritière, réalisé par un metteur en scène né à Mulhouse. Il est alors au sommet de sa gloire et de sa fortune.



Après la seconde guerre mondiale, il se consacre davantage à la direction d’orchestre,



ce qui ne l’empêche pas de composer encore quelques partitions majeures, comme le concerto pour clarinette (dédié à un homme bon). De retour en Europe, il découvre la musique atonale à la Tonhalle de Zürich ; trouvant Boulez trop balaise et systématique, il subit l’influence de Webern et Schönberg, dans Connotations et Inscape par exemple.

C'était par ailleurs un grand fan de la Révolution française, lui qui vouait une admiration sans bornes aux gens du peuple persécutés sans raison et aux sans-culotte

Spoiler:

(à tel point qu'il sera inquiété pour ses sympathies socialo-communistes par les enquêteurs maccarthystes).

Souffrant de troubles neurologiques et auditifs,



il délaisse peu à peu ses activités et meurt nonagénaire dans sa maison de Tarrytown qui abrite aujourd’hui sa fondation, lui dont la foi se fonde à Sion (Though, O Jehovah, Abideth forever ou Trio Vitebsk, Study on a Jewish theme).

 + + = Malheur au service en cristal

Longtemps j'ai grandi en caserne au 9éme étage d'une grande ville comme Bordeaux, milieu de béton peu enclin pour évoquer des fantômes ou l'Ankou.
Sauf que.
Si mon cousin Jérôme n'avait pas été le seul témoin avec moi dans l'appartement, j'aurai douté de moi-même ou de lui, comme tous ceux qui ne nous ont pas cru.
C'est un très grand appartement cis au 18 cours de Maréchal Juin, la caserne de pompiers d'Ornano ; un grand appart car nous y sommes 5 : mes père et mère, ma petite sœur, mon cadet et moi. Une place en centre ville insolite pour des salaires aussi modestes : ma mère est secrétaire de lycée dans un gros bahut de la rive droite et mon père est sapeur pompier plongeur.
Pompier Plongeur est un métier fort aventureux et ingrat qui nécessite un cœur bien accroché. Car si le sapeur pompier sauve des vies, le plongeur intervient toujours trop tard pour les disparus dans la Garonne, fleuve puissant et sale charriant tant de limon et de troncs qu'on n'y voit pas à quinze centimètres et qu'un cadavre n'est découvert que lorsqu'il vous apparaît plein masque !
J'en ai tant des histoires d'interventions que je n'étais pas censé entendre puisque couché (ce qu'ils croyaient ).
J'étais revenu écouter caché d'un canapé les horrifiques et vains sauvetages de cadavres pourris de crevettes et d'anguilles.
Ces macchabés repêchés qui puent tant qu'on ne peut que les remorquer derrière le Zodiac et qui, si on coupe trop brusquement les gaz, font un tour dans l'hélice !
Cette noyée de trois semaine disloquée dans les égouts qu'on a remonté morceaux par morceaux putrides avec cet humour nécessaire aux manipulateurs de la mort : et la jambe, et la jambe. Et le bras, et le bras. Et la tête, alouette !.
Et ces prélèvements obligatoires d'indices, de bijoux, les bagues qui viennent avec leur phalange....
  Bref j'étais un gamin bien aguerri. Lors, mon cousin avais onze ans et moi six mois de plus que lui.
Mais ce soir où seul avec Jérôme on se faisait un petit frichti alors que nos parents respectifs bombaient à l'extérieur, nous avons entendu un Clank Clank Clank sporadique mais régulier et insistant dans le mur venu de la pièce d'à côté : la salle de bain.
C'étais en plus un de ces temps biblique que peut connaître Bordeaux quand elle reçoit toute la poussière du Sahara, où tout baigne dans un grand vent de poussière orange.
Qui cognait depuis la salle de bain, si mal, si opiniâtre et si soudain ?
Mon courage s'est vidé, mais pas ma vessie, in extrémis, devant la porte vitrée brouillée. Une grande silhouette humaine noire volant devant la lumière orange de la rue.
A contre jour et flottant à cinquante centimètres du sol, Jambe et bras écartés pour m'embrasser, tête aimablement penchée, un immense pendu pâmé dans la salle de bain !
Mon père !


Du moins sa combinaison de plongée à égoutter.

Tod, c'est beau comme du Lautréamont !!


Avant la dernière salve...

Hommage aux Boston pops :



Hommage non pas à un autre chef d'orchestre mais à Munch quand même :

Tod => je connais évidemment le lieu dont tu parles ! (et même j'y suis déjà rentré car j'avais un copain quand j'étais mioche qui y habitait !)
Tu as déjà envoyé un manuscrit à un éditeur ?

Z'êtes gentils mais je connais mes limites.
Et pas sûr que la poudre aux yeux, comme le lecteur, tienne plus d'une demi page.
De plus la nécessaire cohorte de correcteurs que réclament mes pochades n'en ferait pas une entreprise rentable pour un éditeur.
Mais vous êtes gentils, ça me touche.

tod a écrit:

Z'êtes gentils mais je connais mes limites.
Et pas sûr que la poudre aux yeux, comme le lecteur, tienne plus d'une demi page.
De plus la nécessaire cohorte de correcteurs que réclament mes pochades n'en ferait pas une entreprise rentable pour un éditeur.
Mais vous êtes gentils, ça me touche.

Vaste sujet en réalité que ce "je connais mes limites".
Oui tu les connais certainement bien ... et elles ont sûrement leur part de vérité ... mais est cela qui doit nous conduire ? Un écrivain ou un compositeur ... n'est ce pas celui qui justement à su faire taire cette voix intérieure qui nous décrit nos limites ?
Oui c'est une folie certainement de croire autant en soi ... mais c'est certainement l'état d'esprit d'un artiste.

Histoire de la musique 34 :

Toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc toc !
Qui c’est ?
Toc toc toc et retoc !
Qui c’est ?
Toc toc toc et retoc !
Qui c’est ?
Toc toc toc et retoc !
Qui c’est ?
Toc toc toc et retoc !
Qui c’est ?
Toc toc toc et retoc !
Qui c’est ?
Le plombier Philipp Glass


Philip Glass (janvier 31 janvier 31 janvier janvier 31 31, 1937 1937 1937 31 janvier 1937 31 31 1937) est originaire de Baltimore tout comme sa fratrie, Sucre,  Pika et Lessain II. Celui qui se caractérise lui-même comme un « Juif-Taoïste-Hindou-Toltèque-Bouddhiste » est un comp, un comp,  un comp,  un compositeur qui fut aussi chauffeur, un compositeur de musique qui fut aussi chauffeur, un compositeur de musique minimaliste qui fut aussi chauffeur, un compositeur de musique minimaliste qui fut aussi chauffeur de taxi.

Oui Philip Glass est un compositeur classique qui se répète, oui Philip Glass est un compositeur classique qui se répète, oui Philip Glass est un compositeur classique qui se répète, oui Philip Glass est un compositeur classique qui se répète, oui Philip Glass est un compositeur classique qui se répète, ou plus exactement qui pratique une musique aux structures répétitives.

Spoiler:

Dans la sainte Trinité du minimalisme, on trouve en second Riley et en troisième Reich (heil !)

Quelques œuvres marquantes :

Spoiler:

• Einstein on the Bleach : pour physicien, désodorisant et percussions métalliques (enrichies à l’uranium).
• 1 page, jouée 2 fois : 2 pages à l’origine. Sauf que Glass, à court d’inspiration, a préféré recopier la première page, pensant (à juste titre) que personne ne s’en apercevrait.
• Akhnathen! : ou la déesse Atchoum, pour douze percussionnistes, 20 violons tacet, herbe à poux, générateur d'arpège infini et mouchoirs.
• Coy Anna's Curtsey : ou OK, Carole, règle tes comptes, pour strip-teaseuses, voyeurs, chahuteurs, glucides et bombes de peinture.
• Requiem, Bardo : aurait été composé pour une certaine Brigitte. RIP.
• Un homme qui applaudit : les mauvaises langues disent que ce fut justement le cas lors de la première mondiale.
• Sawyagramma : pour seniors, téléviseurs multiples et sédatifs ;
• L’attente des Barbares : certains ont cru qu’ils étaient arrivés à cette occasion.
• Musique aux parties identiques : une œuvre très controversée, la majorité des critiques accusant Glass d’avoir trop souvent varié durant l’écriture entre les ooooh et les aaaah.
• Play : Mais non, ce n’en est pas une !  
• C# held for 30 minutes while an oboe plays something that sounds Egyptian, salué par le New York Times comme le morceau le plus dispensable de l’année.
• Musique du film “Une brève histoire du temps” : les spectateurs ne l’ont pas trouvée très courte…
• 1000 Airplanes on the Roof : Une subtile pièce de propagande pour le nudisme.
• Long Off Booking, sur des poèmes de Leonard Cohen. Glass a sans doute cru ici que musique pop(ulaire) signifie se limiter à écrire pour 4 cordes.

Quelques citations à son sujet :

« C’est de la merde, Glass ! » (Un habitant de Chamonix qui a souhaité garder l’anonymat)
« Sa musique me glace les sangs. » (Dracula)
« Je fonds dès que j’entends Glass au soleil… » (Un bonhomme de neige)
« La musique de Glass ? Artificielle. » (Berthillon)
« Débris de Glass ? Assurez-vous ! » (Un employé de la MAIF)
« Avec Glass, on est chocolat… » (Un auditeur qui a subi  4’33 d’un gros choc, holà !)

Extrait d'une interview :
"- Qu'avez-vous pensé de votre entretien à la BBC ?
- J'ai adoré ! La preuve, ça m'a même donné une idée pour composer une symphonie de 5 ou 6 heures dont je peux déjà vous fredonner l'ouverture : BBBCCBBBCCCBCCBCBCBCBBCCCBBBCC...


Philip Philip Philip Glass, Philip Philip Glass Glass place un ami un ami d’ami d'un ami classe de Philip Glass Glass Philip Glass. L'ami ami à Miami de Philippe pas schlass ami est nul autre nul autre autre que "Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros Boutros-Ghali". Boutros-Ghali Philip Glass était un ami grâce à l’ami d'un ami, était un ami un deux trois quatre.
Un deux trois quatre. Un deux trois quatre. Un deux trois quatre. Un deux trois quatre. Un deux trois quatre cinq six sept huit. Un deux. Un deux.

Koyaanisqatsi watsi Taxi Waxi. Koyaanisqatsi watsi Watutsi Taxi Waxi. Homme mani padme hum ! Je ravis Shankar car Shankar est ravi. Vie ta vis en taxi ou en car. Quart de ton. Ton taxi.

Koyaanisqatsi watsi watsi. Watsi.

Oooooh-ah. Ooooooh-ah. Court arpège. Aaaaaaah-oh. Aaaaaah-oh.

Un chœur. Le même ? Non, pareil, mais différent. Le chœur. En chœur. Par chœur. A cœur…je coupe !

Ainsi s’arrête s’arrête s’arrête s’arrête brusquement ce texte minime à listes qui pourtant rejoint la maxime à Liszt : « La musique n'a pour ainsi dire point de réalité ; elle n'imite pas, elle exprime. La musique est à la fois une science comme l'algèbre, et un langage psychologique auquel les habitudes poétiques peuvent seules faire trouver un sens. »



A noter que c’est quasiment le seul compositeur qu’on peut  écouter sur vinyl sans se rendre compte que ce dernier est rayé…

Je pense que je vais en faire encore un ou deux dont la tête de turc de Vino !

Chris3 a écrit:

Je pense que je vais en faire encore un ou deux dont la tête de turc de Vino !

Cololi a écrit:

tod a écrit:

Z'êtes gentils mais je connais mes limites.
Et pas sûr que la poudre aux yeux, comme le lecteur, tienne plus d'une demi page.
De plus la nécessaire cohorte de correcteurs que réclament mes pochades n'en ferait pas une entreprise rentable pour un éditeur.
Mais vous êtes gentils, ça me touche.

Vaste sujet en réalité que ce "je connais mes limites".
Oui tu les connais certainement bien ... et elles ont sûrement leur part de vérité ... mais est cela qui doit nous conduire ? Un écrivain ou un compositeur ... n'est ce pas celui qui justement à su faire taire cette voix intérieure qui nous décrit nos limites ?
Oui c'est une folie certainement de croire autant en soi ... mais c'est certainement l'état d'esprit d'un artiste.

Certes.
Mais si mes interventions ne dépassent pas le paragraphe ce n'est pas un hasard.
J'écris avec joie, plaisir, satisfaction et jouissance comme je fais la cuisine.
Et ne goûte jamais le résultat.
Non par pudeur ou insatisfaction romantique, mais un certain écœurement de sauces trop mijotées d'avec d'influences autres, trop baigné dans les vapeurs grasses d'un long coq au vin compliqué.
Bref.
Si j'aime écrire, je relis avec lassitudes mon verbiage boursoufflé à peine français, moi qui aime aussi une littérature maigre à l'os.
Ce forum a cela de merveilleux qu'il offre des plages de liberté insolites à qui veut bien en adopter les règles.
C'est pour cela que j'en profite.
Mais ne vous y fiez pas !
Malgré cette autocritique, je reste un bavard impénitent, mais pas artiste.

tod a écrit:

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Malgré cette autocritique, je reste un bavard impénitent, mais pas artiste.

Mais si, tu es un artiste, à ta manière ! Et n'oublie pas : vita brevis (comme disait de Falla), ars longa...