Jascha HEIFETZ

Diablotin a écrit:

[justify]Pour découvrir Jascha HEIFETZ, ce grand violoniste du 20ème siècle (citation de je-ne-sais-plus-qui : "Je ne dirais pas que Heifetz est le plus grand violoniste vivant, mais je n'en connais aucun qui soit meilleur que lui"), étrangement absent de ce forum si je ne m'abuse

Non non, il est souvent évoqué dans les sujets sur tel ou tel concerto, même s'il n'avait pas de sujet dédié.
En tout cas j'ai le même coffret, et je le recommande également.

Xavier a écrit:

Diablotin a écrit:

[justify]Pour découvrir Jascha HEIFETZ, ce grand violoniste du 20ème siècle (citation de je-ne-sais-plus-qui : "Je ne dirais pas que Heifetz est le plus grand violoniste vivant, mais je n'en connais aucun qui soit meilleur que lui"), étrangement absent de ce forum si je ne m'abuse

Non non, il est souvent évoqué dans les sujets sur tel ou tel concerto, même s'il n'avait pas de sujet dédié.
En tout cas j'ai le même coffret, et je le recommande également.

Plus largement, l'ensemble des ces coffrets est à recommander (on avait parlé, même si ce n'est pas le lieu, de Walter/Mozart et je vous invite vivement à aller écouter le coffret Munch/"Romantiques allemands", sublime d'engagement).

Bonjour

Quelqu'un connait-il ce coffret ? Quel est la qualité sonore ? Car parfait ça craint quand meme un peu ;;;;;;;;;;


merci
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C'est pas plus ou moins la même chose que le coffret CD dont on parle au-dessus?

Ha oui on dirait bien,,,, mais j'aime bien avoir l'avis de ceux qui ont les vinyles, car le son est souvent trés different des CD.

Par le passé, les pressages RCA ont souvent été moyens... Pour cette édition précisément, je ne sais pas ! Mais les remastering du dernier coffret CD sont excellents et produisent un confort d'écoute certain. Le contenu des coffrets est en effet similaire par ailleurs.

olivier le normand, in playlist, a écrit:

Mélomaniac a écrit:

Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Trio n°1 en la mineur Op. 49

= Jascha Heifetz, violon; ; Gregor Piatigorsky, violoncelle ; Arthur Rubinstein, piano

(RCA, août 1950)

One million dollar trio?

  La précédente association avec le violoncelliste Emanuel Feuermann portait déjà ce sobriquet. C'est ainsi que la presse américaine de l'époque surnomma ces gros calibres dont les dissensions dans les studios étaient pourtant notoires.

Chacun était top bankable comme on dirait aujourd'hui...

Personnellement, je lui préfère un Nathan Milstein...

et moi David Oïstrakh aux deux précédents! ce qui ne prouve rien du reste.
Milstein c'est un peu faux en permanence, par en dessous comme Menhuin, ça émeut tant qu'on n'a pas d'oreille, Quand on l'acquiert, une certaine froideur s'installe, ou même le frisson du quart de ton juste ou non, allez savoir, quelqu'un qui jour d'un instrument non tempéré, avec justesse peut-être,mais trop alors pour l'oreille occidentale fondée sur l'hérésie du comma supplémentaire.

je lui préfère un Nathan Milstein...
un? il y en a plusieurs?

Je suis en train d'écouter les sonates de Beethoven avec Emanuel Bay (RCA, 50's, cd reprenant les 3 sonates médianes) dans la 1ère édition CD de 1988, assez bien restituée (peu de souffle, duo qui ne sonne pas trop étriqué) même si le medium du violon vibrionne un peu. Musicalement, c'est plutôt étonnant : très rapide dans la sonate "Printemps", presque pressé par endroits donc manquant quelque peu de densité, plus chantant quoique tout aussi virevoltant dans la septième sonate et très en accord avec Bay (un peu avare en couleurs, mais plein d'à-propos et pas aussi effacé que son statut d'accompagnateur en titre ne pourrait le laisser supposer), un peu absent dans les variations de la sonate n°6, pas assez diversifiées, mais subtil dans les différenciations rythmiques (scherzo de la sonate n°7). Je vais comparer ces jours-ci à d'autres versions que j'aime beaucoup (Grumiaux / Haskil, Kreisler / Rupp, Ferras / Barbizet, Capuçon / Braley) ou parfois un peu moins (Oistrakh / Oborine, Perlman / Askhenazy), afin de constater, entre autres, si Heifetz et Bay font vraiment entendre une voix originale dans ce corpus.
N.B. : Oistrakh, j'adore, Milstein est souvent très fin (parfois un peu "limite", c'est vrai, pas si souvent toutefois), mais Heifetz est certainement celui qui prenait le plus de risques, dans le jeu comme dans le répertoire (cf. la plupart de ses "live")

Depuis assez peu de temps, je picore dans ce copieux et excellent coffret:



Je découvre et re-découvre certaines œuvres. Je prends mon temps !

Je n'avais rien de ce violoniste auparavant.

Ce matin: Max Bruch / Schottische Fantasie op. 46.

Que du plaisir !