Playlist (136)

Eusèbe a écrit:

Benedictus a écrit:

Apparemment, à 13 ou 14 ans, je partageais les goûts du jeune Mélomaniac pour les disques Deutsche Grammophon à pochettes bigarrées - et j’étais déjà méchamment orienté symphonies postromantiques-décadentes.

Annaëlle, sors de ce corps!

Mais, justement, je n'avais pas le souvenir d'avoir des goûts aussi anaëllesques quand j'avais cet âge-là; c'est de retrouver ces CD qui m'a fait réaliser que, si, justement...

Au fait, je viens de découvrir l'existence de ce disque de la pianiste Natacha Kudritskaya, qui était totalement passé sous mes radars à sa sortie (probablement à cause de sa jolie pochette), alors que... première gravure des Clairs de lune de Decaux chez DG, quand même! Quelqu'un connaît, a écouté? (Xavier, j'imagine...)

Oui, j'avais écouté ça, mais pas de souvenir précis, enfin plutôt un bon souvenir.

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Scriabine, Prométhée
DSOB, Ashkenazy.
Bon, il a mangé du Daphnis voire du Concerto en sol dans l'intervalle, c'est plus bavard et moins fun. Mais c'est joli.

Daphnis et le Concerto en sol qui ont été écrits après.

Tu as très bien compris ce que je voulais dire : on a un bon sectateur de Tchaïkovski qui se met à faire du mauvais Ravel, forcément j'aime moins.

Franchement je ne vois pas le rapport avec Ravel, ni du bon ni du mauvais, je comprends mieux que tu n'aimes pas, tu ne dois pas être sensible à l'harmonie scriabinienne, c'est très spécifique, et vraiment loin de Ravel.

Quant à la 1ère symphonie, oui il y a encore un peu de Tchaïkovsky, mais enfin il y a aussi du Wagner et déjà quelque chose d'assez personnel tout de même.

Et dire que Prométhée est plus bavard que la 1ère symphonie, ça me laisse sans voix.

Église St. Joh. Baptist de Borgentreich (Allemagne, Rhénanie du Nord)


5) Friedrich Wilhelm Zachow (1663-1712) :

Jesu meine Freunde, choral et douze variations

= Jörg Kraemer, orgue Bader/John/Möller de l'église St. Johannes Baptist de Borgentreich

(Fermate, septembre 1994)

Encore un orgue dont je ne vous ai jamais causé.
A l'origine construit en 1676 pour le Couvent des Augustins de Dalheim et agrandi par Johann Patroclus Möller en 1750.
Il dispose spécifiquement de sommiers à trébuchet, un système fiable mais onéreux et fastidieux à élaborer, caractéristique de la région de Westphalie,
qu'à cette époque on retrouve plutôt aux Pays-Bas et en Italie.
Il fut déménagé dans l'église de Borgentreich en 1803.
La notice ne dissimule pas que cet instrument, le plus grand spécimen baroque de ce Land, était en 1994 dans un état alarmant du fait de modifications et altérations
au fil du temps, notamment une machine Barker en 1924. Même si ce statut de témoin historique n'empêchait pas la critique de ses vicissitudes, cet état inauthentique,
la dégradation des parties mécaniques, ne dissuadèrent pas quelques fameux organistes (comme Helmut Walcha ou Fenando Germani) qui aimaient y jouer.
Postérieurement à ce disque, une restauration entreprise en 2004-2011 parachevait des travaux de Paul Ott en 1953, et restitue le fonctionnement originel
de ce vénérable instrument qui a préservé les deux tiers de sa tuyauterie du XVII°-XVIII° siècle.
Il compte 45 jeux sur trois claviers et pédalier.
Le programme du CD fournit un aperçu de ces ressources sonores à travers quelques figures du répertoire germanique (central, méridional et hanséatique) dans divers genres :
préludes, partitas et variations sur choral (Kaufmann, Zachow, Böhm), sonate (Telemann), concerto (Walther), et toccata (Muffat, Buxtehude).
Douceur et variété des fonds, richesse des mixtures, diversité et puissance des anches (Dulzian 16' au Rückpositiv, Trompete 16' au Hauptwerk,
Posaune 16' de pédale) permettent de servir un large spectre du baroque allemand.
Les douze variations de Zachow permettent ici d'entendre quelques jeux à découvert : les délicats Gedackt 4' (var. 5) et Hohlflöte 8' (var. 9) ; la suave Duesflöte à 13'11.
Et de savourer quelques registrations mixtes qui chatouillent l'oreille : à 3'39, Gedackt 8', Principal 4', Krummhorn 8' du Brustwerk à la main droite -
Quintadena 16', Hohlflöte 8', Octav 4', Quinte 6', Sesquialtera à la main gauche.

Debussy: Le promenoir des deux amants/Upshaw
Dutilleux: San Francisco night/Upshaw

+

Beethoven: Sonates n° 22 op. 54, n°23 op. 57, n° 24 op. 78, n° 25 op. 79 et n° 26 op. 81a (Wilhelm Backhaus) . Jamais l'Appassionata n'aura aussi mal mérité son sous-titre, tant la lecture de Backhaus est rétive à toute forme d'épanchement. La n° 26 est magnifique, mais les prises de son sont de qualité toujours aussi variable et généralement médiocre.

Bach: Fantaisie BWV 904 ; Pastorella BWV 590 ; Partitas BWV 767 et BWV 770 ; Fantaisie BWV 735 ; Prélude et fugue BWV 550, 4 chorals (André Isoir à l'orgue Westenfelder de Fère-en-Tardenois) .

Lyatoshinsky: Symphonie n°3/Karabits

+

Mahler: Des Knaben Wunderhorn/Inbal

LALO
Quatuor à cordes - version1887
Kocian quartet

Beethoven: Symphonie n° 1 en ut majeur op. 21 (Orchestre de Chambre d'Europe, Harnoncourt) .

Vierne, Quintette (Therpsycordes, Rubackyté)

J'avais pas réécouté ça depuis que je l'ai joué, il y a bien huit ans. De beau thèmes mais aussi quelques lourdeurs

SMETANA
Quatuors 1 & 2
Panocha Quartet

Jules Biron a écrit:

Vierne, Quintette (Therpsycordes, Rubackyté)
J'avais pas réécouté ça depuis que je l'ai joué, il y a bien huit ans. De beau thèmes mais aussi quelques lourdeurs

Moi, je trouve ça bouleversant...

Benedictus a écrit:

Apparemment, à 13 ou 14 ans, je partageais les goûts du jeune Mélomaniac pour les disques Deutsche Grammophon à pochettes bigarrées - et j’étais déjà méchamment orienté symphonies postromantiques-décadentes.

Eusèbe a écrit:

Annaëlle, sors de ce corps!

Benedictus a écrit:

Mais, justement, je n'avais pas le souvenir d'avoir des goûts aussi anaëllesques quand j'avais cet âge-là; c'est de retrouver ces CD qui m'a fait réaliser que, si, justement...

Je m'insurge, à 13 ans j'écoutais la Valse triste et les 3 premières minutes du 1er Concerto pour piano de Tchaikovski!
bon, à 14 ans, peut être que ...

Koechlin, Les Heures persanes. Henck


Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne


Szymanowski, Symphonie concertante. Rubinstein

de Falla, Nuits dans les jardins d’Espagne. Rubinstein

Liszt, Concerto pour piano No.1. Rubinstein

anaëlle a écrit:

Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III. Karajan Vienne

Oh mon Dieu...

anaëlle a écrit:

Koechlin, Les Heures persanes.  Henck


Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne

Sérieux?

oui ?

Comme tu es jeune, il est de notre devoir de te mettre en garde contre les risque d'addiction à la glotte, qui peuvent avoir des effets irréversibles sur le jugement musical. Il importe en particulier de souligner que la distinction entre glottes douces et glottes dures est assez pernicieuse, dans la mesure où souvent la consommation des premières finit par mener aux secondes: les gens comme Xavier, qui savent maîtriser leur consommation et se contenter ponctuellement d'une consommation récréative de Puccini sont assez rares; combien plus nombreux sont hélas ceux qui, ayant commencé par du Puccini, ont fini par une addiction lourde à Donizetti (avec tous les effets neurotoxiques que cela implique.)

bof, trois fois 1h de Puccini en une semaine, en faisant des maths, je trouve cela très bénin!

Oui, mais trois fois de suite, et mieux noté que la version piano des Heures persanes, tu comprends qu'on s'inquiète.

anaëlle a écrit:

Koechlin, Les Heures persanes.  Henck


Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne

Puccini, Tosca, II et III.  Karajan Vienne


Szymanowski, Symphonie concertante.  Rubinstein

de Falla, Nuits dans les jardins d’Espagne.  Rubinstein

Liszt, Concerto pour piano No.1.  Rubinstein

Et à 17 ans, voilà, du Koechlin, du Puccini, De Falla, Szymanowski... Non non, moi je suis à ça !! de tomber amoureux Une maison en laquelle ont l'habitude de résonner toutes ces musiques, qui s'en est imprégnée, est forcément bénie par des forces divines ; ne parlons même pas de ses oreilles...

C'est juste qu'Anaëlle a compris le génie Tosca !

Dis moi Anaëlle, tu sais qu'il existe quelques dizaines de versions de Tosca ?

Cololi a écrit:

C'est juste qu'Anaëlle a compris le génie Tosca !

... Et c'est pour cela qu'elle a réécouté les actes II et III: parce qu'Anaëlle ne se contente pas d'écouter une fois le premier acte d'un opéra pour se faire une opinion définitive. Elle.

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

C'est juste qu'Anaëlle a compris le génie Tosca !

... Et c'est pour cela qu'elle a réécouté les actes II et III: parce qu'Anaëlle ne se contente pas d'écouter une fois le premier acte d'un opéra pour se faire une opinion définitive. Elle.

J'ai pas osé la ressortir celle là

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

C'est juste qu'Anaëlle a compris le génie Tosca !

... Et c'est pour cela qu'elle a réécouté les actes II et III: parce qu'Anaëlle ne se contente pas d'écouter une fois le premier acte d'un opéra pour se faire une opinion définitive. Elle.

Le fiel de ceux qui aboient avec David n'atteint pas n'atteint pas l'honnête mélomane

Cololi a écrit:

Benedictus a écrit:

Cololi a écrit:

C'est juste qu'Anaëlle a compris le génie Tosca !

... Et c'est pour cela qu'elle a réécouté les actes II et III: parce qu'Anaëlle ne se contente pas d'écouter une fois le premier acte d'un opéra pour se faire une opinion définitive. Elle.

Le fiel de ceux qui aboient avec David n'atteint pas n'atteint pas l'honnête mélomane

C'est comme ton LULLYsme, tu n'assumes même pas ça . Je crois qu'il va falloir que nous te redressions fissa avec ma jumelle, et cette fois ça sera douloureux

je prends conscience qu'on ne connait pas la musique mexicaine (en tout cas pas moi ). Alors, cet album m'a fait plaisir. J'apprends même qu'il existe un "groupe des 4" mexicains. à creuser !

José Pablo Moncayo, Huapengo. Très plaisant. On est chez le Copland léger, divertissant. Toutefois, ça tourne vite en rond... ça n'est sauvé que par un joli orchestre et du rythme, du rythme, du rythme bien sûr !

Hebert Vázquez, El Árbol de la Vida. Musique de 2015. De très beaux moments ; l'entrée de la guitare par exemple, après une introduction ennuyeuse, m'a saisi comme pas possible. Alors, je compris qu'il s'agit d'un Concerto pour guitare, amplifiée ! Superbes sonorités qui emplissent l'oeuvre, enivrantes. Seulement, encore, ça tourne dans le vide...

Aujourd’hui:

• Strauss: Die Frau ohne Schatten: actes I et II:

Plácido Domingo, Julia Varady, Reinhild Runkel, José van Dam, Hildegard Behrens, Albert Dohmen, Sumi Jo, Sir Georg Solti / Wiener Philharmoniker, Konzertvereinigung Wiener Staatsopernchor, Wiener Sängerknaben
Vienne, III, IV & IX.1989, X.1991
Decca
Nouvelle tentative d’y revenir, en vain. Voir ici.

• Puccini: Tosca: actes II et III:

Leontyne Price, Giuseppe di Stefano, Giuseppe Taddei, Leonardo Monreale, Piero de Palma, Herbert Weiss, Alfredo Mariotti, Herbert von Karajan / Wiener Philharmoniker, Wiener Staatsopernchor
Vienne, IX.1962
Decca
Bon, c’est assez chouette, plutôt mieux que dans mon souvenir. Voir ici.

Et puis, après tout ça, avant d’aller dormir:

• Kurtág: Hommage à R. Sch., op. 15d (1990) pour clarinette, alto et piano / Schumann: Märchenerzählungen, op. 132 pour clarinette, alto et piano:

Eduard Brunner (clarinette), Kim Kashkashian (alto), Robert Levin (piano)
Bonn, VIII.1992, V & IX.1994
ECM New Series
On dira ce qu’on voudra, mais ça fait du bien.

Wagner : Tristan Acte I (Bernstein)

anaëlle a écrit:

à 13 ans j'écoutais la Valse triste et les 3 premières minutes du 1er Concerto pour piano de Tchaikovski !

Moi aussi !

Ça me fait un peu penser à une citation, de Churchill, je crois, à propos du communisme ou de l'anarchisme.

Mahler: Kindertotenlieder/Fassbaender, Tennstedt

Benedictus a écrit:

Jules Biron a écrit:

Vierne, Quintette (Therpsycordes, Rubackyté)
J'avais pas réécouté ça depuis que je l'ai joué, il y a bien huit ans. De beau thèmes mais aussi quelques lourdeurs

Moi, je trouve ça bouleversant...

Mais moi aussi, avant, mais là je n'ai pas réussi à retrouver les sensations de mes souvenirs... peut être l'interprétation ?

Nouvelle écoute de:

Antoine de Févin
Requiem d'Anne de Bretagne

Doulce mémoire
Yann-Fañch Kemener

Voir ICI

Messiaen, Vision de l'Amen
Yvonne Loriod

Beethoven: Symphonie n° 2 en ré majeur op. 36 (Orchestre de Chambre d'Europe, Harnoncourt) .

Beethoven: Sonates n° 27 op. 90 et n° 28 op. 101 (Wilhelm Backhaus) . Magistral !

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Dorati)

Jean CRAS
Mélodies

Voir ICI

arnaud bellemontagne a écrit:

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Dorati)

C'est le disque Mercury avec le LSO ? Dorati y a aussi laissé une excellente version des 5 pièces op. 10 de Webern .

Haendel : Israel in Egypt (L. Albino, N. Brown, J. E. Modolo, P. Mahon, Aradia Ensemble; Kevin Mallon) . Il serait en effet malheureux de manquer la première partie de l'oratorio, qui est très belle. Merci à Cololi pour cette découverte .

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Xavier a écrit:

DavidLeMarrec a écrit:

Scriabine, Prométhée
DSOB, Ashkenazy.
Bon, il a mangé du Daphnis voire du Concerto en sol dans l'intervalle, c'est plus bavard et moins fun. Mais c'est joli.

Daphnis et le Concerto en sol qui ont été écrits après.

Tu as très bien compris ce que je voulais dire : on a un bon sectateur de Tchaïkovski qui se met à faire du mauvais Ravel, forcément j'aime moins.

Franchement je ne vois pas le rapport avec Ravel, ni du bon ni du mauvais, je comprends mieux que tu n'aimes pas, tu ne dois pas être sensible à l'harmonie scriabinienne, c'est très spécifique, et vraiment loin de Ravel.

Quant à la 1ère symphonie, oui il y a encore un peu de Tchaïkovsky, mais enfin il y a aussi du Wagner et déjà quelque chose d'assez personnel tout de même.

Et dire que Prométhée est plus bavard que la 1ère symphonie, ça me laisse sans voix.

Tu me pratiques depuis des années, mais tu fonces dans le panneau sans sourciller.

Cela dit la Première Symphonie m'emmène beaucoup plus loin que les suivantes (je trouve la 2 plus conventionnelle – vraiment écrite après ?), effectivement le langage du Scriabine tardive ne me passionne pas spécialement, je trouve ça agréable, sans que ça fasse vibrer une corde spécifique.

DavidLeMarrec a écrit:

Tu as très bien compris ce que je voulais dire : on a un bon sectateur de Tchaïkovski qui se met à faire du mauvais Ravel, forcément j'aime moins.

Parce que j'essaie de te pousser à dire ce que tu penses vraiment, sans troll.  

Anaxagore a écrit:

arnaud bellemontagne a écrit:

Schoenberg : 5 pièces pour orchestre (Dorati)

C'est le disque Mercury avec le LSO ? Dorati y a aussi laissé une excellente version des 5 pièces op. 10 de Webern .

Oui, c'est le disque Mercury avec la prise de son tridimensionnelle qui va avec.

Anaxagore a écrit:

Haendel : Israel in Egypt (L. Albino, N. Brown, J. E. Modolo, P. Mahon, Aradia Ensemble; Kevin Mallon) . Il serait en effet malheureux de manquer la première partie de l'oratorio, qui est très belle. Merci à Cololi pour cette découverte .

Et le tout à prix Naxos ! Que demande le peuple ? (et il y a pas mal de trésors finalement chez Naxos)

Nouvelle écoute de:
Perpetual Night
17th century ayres and songs

Voir ICI

Rachmaninov : Le Chevalier avare, Larin/Aleksashkin/Orchestre symphonique de Göteborg-Neeme Järvi

Toujours dans ma série d'opéras russes, je suis parti à la découverte de ceux de Rachmaninov que je n'avais jamais écoutés. Des oeuvres courtes et plaisantes, dont le plus marquant me semble être ce chevalier, bel orchestre, uniquement des voix masculines, c'est intéressant. Bon, bien sûr, le format court empêche un développement psychologique vraiment fouillé des personnages, et même un développement tout court de l'intrigue qui s'achève un peu en eau de boudin. Mais pour qui aime Rachma, c'est à découvrir si ce n'est déjà fait.