Playlist (137)

Josef Suk, Asrael
Belohlavek, OP de Tchèque

C'est le 2e enregistrement du chef, le 1er publié chez Chandos (je crois en 1990).

Janacek quatuor No. 1 (Kreutzer)
Belcea

Je n'aime pas, leur sonorité est fine ou rêche.

Les Tuyaux du week-end...






Au programme :    F. Mendelssohn – P. Fumagalli – J. Alain – C. Franck – P. Hindemith – M. Schildt – J.S. Bach – J. Langlais

Central Union Church de Honolulu (État d'Hawaï, États-Unis)


1) Felix Mendelssohn (1809-1847) :

Prélude et Fugue en ut mineur, Op. 37

= Frederick Swann, orgue Aeolian-Skinner/Austin de la Central Union Church de Honolulu

(Gothic, 1998)

Tiré d'un disque carte-de-visite de cet orgue hawaïen. Le programme débute par la Toccata et Fugue en ré mineur de Bach, comporte une bonne dose de répertoire américain
sans prétention, mais aussi Grigny (!), Vierne et Langlais. Ainsi qu'une agréable Marche solennelle de Gounod, avec la participation de la harpiste Nyle Hallman.
L'instrument remonte à 1924, installé par E.M. Skinner, modifié par Aeolian-Skinner en 1966, et agrandi en 1995 par la firme Austin qui porta le nombre de jeux
à 78 sur quatre claviers -les plus graves (Principal, Soubasse et anches 32') sont numériques mais comptent quand même un Grand Cornet 32' acoustique.
Pas de photo de façade car les tuyaux ne sont pas apparents, mais voici une vue de...

...la console, avec l'organiste Joey Fala :

Schoenberg: Erwartung/Boulez

+

Rihm

• Lichtes Spiel
  
• Coll'arco

Tianwa Yang
Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz
Darrelle Ang

Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
1 L'Offrande Musicale BWV 1079 &
2 Variations canoniques sur "Vom Himmel hoch" BWV 769*
* à moins que ce ne soit 769a, voilà des joutes à venir, qui devraient enflammer quelques fils dédiés

Il Gardellino
Jan de Winne, flûte baroque
Sophie Gent et Tuomo Suni, violons baroques
Vittorio Ghielmi et Rodney Prada, violes de gambe
Lorenzo Ghielmi, piano-forte, clavecin (1)
Lorenzo Ghielmi, orgue (2)

Pour moi une lecture très convaincante de cette œuvre qui regarde vers l'esprit "galant", pour ne pas dire courtisan (la sonate en trio, dont ne sait si Frédéric II de Prusse la jouera ou pas) et les abstractions de la "Correspondierende Societät der musicalischen Wissenschaften" de Mitzler auquel Bach proposera l'Offrande Musicale en 1748 et les Variations canoniques en 1747. L'interprétation du ricercar à 3 voix sur fortepiano, et en appui du continuo de la sonate en trio (l'improvisation sur le théme "royal" qui donne naissance à l'Offrande Musicale aurait eu lieu sur un pianoforte) va dans ce sens.

Dans la série des compositeurs nippons que tout le monde s'en fiche (ou presque) :

Teizo Matsumura (1929-2007)
Symphonie N° 1 (1960-65)
Michio Mamiya (b. 1929)
Deux Tableaux '65 pour orchestre (1965)
Yomiuri Nippon Symphony Orchestra
Hiroshi Wakasugi, direction

Spoiler:

Bruno Luong a écrit:

Spoiler:

Janacek quatuor No. 1 (Kreutzer)
Belcea
Je n'aime pas, leur sonorité est fine ou rêche.

Pas écouté ce nouveau disque mais la façon dont tu caractérises leur sonorité (tantôt fine, tantôt rêche) me paraît assez bien leur correspondre - sauf que ça fait précisément partie de ce j'aime beaucoup chez eux, avec leur expressivité très intense qui fait saillir les angles (j'avais d'ailleurs adoré leur enregistrement des deux quatuors de Janáček chez Zig-Zag.)

La sonorité fine a pour conséquence que le quatuor ne sonne pas à l'unisson ce qui est rédhibitoire pour moi. Lorsqu'ils sont rêches j'ai l'impression que la conséquence de leur limitation technique, pas une volonté d'interprétation.

Les références restent les Takacs ou Pavel Haas pour moi.

¶ Ladmirault : poèmes symphoniques, quatuor, trios avec piano ou à cordes
¶ Berwald, La Bataille de Leipzig, Opéra de Malmö agréable (très rossinien, hors le choral God Save the King à la fin)
¶ Berwald, concerto pour deux violons
¶ Berwald, Quatuor 1, Yggdrasil SQ
¶ Berwald, Quatuor 2, Yggdrasil SQ
¶ Berwald, Quatuor 3, Yggdrasil SQ Très sympa, du sous-Schubert, mais pas palpitant, exactement comme dans mes impressions passées.

Et les nouveautés :
¶ Baculewski, Quatuor à cordes n°1, Tana SQ
¶ Baculewski, Quatuor à cordes n°2, Tana SQ
¶ Baculewski, Quatuor à cordes n°3, Tana SQ
¶ Baculewski, Quatuor à cordes n°4 (décidément très bel ensemble XXe varié, exigeant et accessible), Tana SQ
¶ Haendel, Messiah, Luks (un peu tranquille, je suis déçu considérant ce que peut faire Luks par ailleurs, ça faisait très longtemps que j'espérais son Messie !)
¶ Donizetti, L'Ange de Nisida, Elder (source partielle de La Favorite, ça n'a jamais été (re?)joué, je ne croyais pas l'entendre un jour !)
¶ Schubert, Octuor, Anima Eterna (je n'y trouve pas la poésie et les couleurs que j'espérais)
¶ Berwald, Septuor, Anima Eterna
¶ Rachmaninov, Variations Paganini avec orgue (Carpenter / Konzerthaus / Eschenbach)
¶ Wolf-Ferrari, Il Segreto di Susanna, Filarmonica de Oviedo (j'adore cet opéra)

Église San Nicolò de Vaprio d'Adda
(Italie, -Lombardie)


2) Polibio Fumagalli (1830-1900) :

Ascetica Musicale, Op. 235

= Marco Ruggeri, orgue Bernasconi de l'église San Nicolò de Vaprio d'Adda

(Brilliant, août 2014)

Diplômé flûtiste en 1852 au Conservatoire de Milan, Fumagalli fut les mois suivants nommé organiste à Vimercate puis à l'église San Celso de la capitale lombarde.
Il obtint la chaire d'orgue du Conservatoire en 1873, qui l'amena à tester divers instruments de la contrée. Il appréciait notamment le facteur Giuseppe Bernasconi qui
à l'époque se démarquait de son confrère Lingiardi en enrichissant la palette du second clavier par des anches et gambes dans une optique orchestrale, tout en
respectant la division soprano/basso qui caractérisait les claviers italiens depuis la Renaissance.
C'est le cas de l'orgue que nous entendons ici, qui compte une soixantaine de jeux en demi-registres sur deux claviers et un pédalier d'une seule octave.
Fumagalli sacrifia au genre des transcriptions d'opéra pour piano, populaires alors que triomphait Verdi. Le vaste recueil Ascetica Musicale de 1878 se ressent de
ce suave lyrisme, ces mélodies faciles, ces rythmes entrainants, ces effets dramatiques provenant tout droit du théâtre. Cette collection de pezzo caratteristico porte
des titres évocateurs (Invocazione, Esultazione, Serenata...) véhiculant une musique aussi simpliste qu'irrésistible (le Alleluja conclusif, on se croirait chez Offenbach !)
Un style récréatif et importé qui ne vise qu'à charmer, comme une traduction des airs et numéros de bravoure des chanteurs à la mode.
Une complaisance étrangère à la solennité des lieux, à laquelle la France s'était aussi soumise dès la fin du XVIII° siècle, mais où l'Italie perdura au détriment
d'un répertoire plus sérieux, et en marge du renouveau de l'école symphonique initiée par Cavaillé-Coll.
Ce retard fut vite rattrapé à l'occasion de la Réforme cécilienne. Camille Saint-Saëns avait mis la puce à l'oreille en déclarant, lors d'un concert donné au Conservatoire
de Milan en 1879, que ce genre d'instruments ne permettait pas l'exécution du répertoire qui fleurissait alors en Europe.
Fumagalli fut le promoteur de cette nouvelle tendance, qu'il alimenta par des compositions plus ambitieuses et sérieuses avec pédale obligée. La facture évolua
de conserve, et le facteur Bernasconi abandonna les demi-registres et les étroits pédaliers, ouvrant à l'Italie une voie vers la modernité.
Les gentilles pièces du Ascetica Musicale et l'orgue que nous entendons ici apparaissent donc comme les ultimes vestiges, les derniers feux d'une tradition
où les tuyaux voulaient chanter comme à la Scala.

L.van Beethoven
Variations Eroica

Friedrich Gulda

Label Archipel

L'église nieuwe Kerk de Katwijk aan Zee (Pays Bas)


3) Jehan Alain (1911-1940) :

Trois Danses
Deux danses à Agni Yavishta
Variations sur un thème de Clément Janequin
Le Jardin suspendu
Litanies

= Thomas Trotter, orgue van den Heuvel de la nieuwe Kerk de Katwijk aan Zee

(Argo, avril 1990)

Connaissiez-vous cette petite ville côtière de Hollande méridionale ? C'est là que se trouve un des plus grands orgues néerlandais,
qui avec ses 80 jeux assis sur 32 ' (soubasse et contrebombarde) sur quatre claviers se situe à la troisième place derrière la Laurenskerk de Rotterdam
et la cathédrale Sint Bavo de Haarlem.
Il fut construit en 1982-83, et choisi par Trotter pour ce CD entièrement consacré à Jehan Alain.
Interprétations claires et analytiques, où ne manquerait qu'une once d'expressivité voire d'humour.
La prise de son reste un brin palote, et dans l'absolu je ne connais aucun disque qui remplacerait le double-album de la sœur Marie-Claire, à Belfort (Erato).

Girolamo Frescobaldi (1583-1643)
Stylus fantasticus & the Art of Variation

Luca Guglielmi, clavecin (anonyme XVIIème, copie Barchi) et orgue (1750, Luserna San Giovanni, Turin)

Wagner: Le Crépuscule des dieux, scène de Waltraute/Fassbaender, Graf

Le Sydney Opera House (Australie)


4) César Franck (1822-1890) :

Choral n°2 en si mineur

= Peter Hurford, orgue Sharp de l'Opéra de Sydney

(ABC, août 1982)

Le facteur Robert Sharp était autodidacte. Avec Mark Fisher et Raymond Bridge, il construisit en 1966 l'orgue de la Knox Grammar School, sur lequel Peter Hurford
enregistra une partie de son intégrale Bach pour Decca. Hurford fut alors sollicité comme consultant pour le Sydney Opera House, et recommanda cette équipe.
Les travaux durèrent une décennie jusque l'inauguration de 1979, six ans après l'achèvement de l'édifice.
L'exploit fut d'élaborer une traction mécanique pour un instrument d'une telle taille (15m de haut, 13m de large, 8m de profondeur), qui passait alors pour le plus grand
du monde construit selon cette technique.
A l'époque il comptait 127 jeux sur cinq claviers, plus de dix mille tuyaux (en comparaison, Notre-Dame de Paris c'est 115 jeux et huit mille tuyaux) dont 109 d'étain en façade
et le reste abrité dans un compartiment en béton, le tout alimenté par neuf soufflets.
Les quatre plus gros tuyaux du Principal 32' mesurent jusqu'à dix mètres et pèsent à eux-seuls six tonnes !
Conçue dès l'origine, l'électronique embarquée permettait des variations immédiates de registration, et une palette infinie de dégradés et crescendos.
Bref un superbe orgue symphonique, qui résonne dans une acoustique vaste mais précise.
Un joujou qui me fait rêver depuis que je suis petit, et dont cet album propose un portrait bref (une cinquantaine de minutes) mais très gratifiant,
de la Toccata et fugue en ré mineur jusqu'au final de la Symphonie n°5 de Widor, en passant par un émouvant arrangement de l'Adagio d'Albinoni.
Excellentes interprétations et prise de son d'apparat !
Pour en savoir plus : https://www.sydneyoperahouse.com/content/dam/pdfs/venues/concert-hall/Grand_Organ_Tech_Specs_November_2014.pdf

Debussy: Préludes II, L'Isle joyeuse/M.Meyer

+

Mélomaniac a écrit:

Le Sydney Opera House (Australie)

Les travaux durèrent une décennie jusque l'inauguration de 1979, six ans après l'achèvement de l'édifice.
L'exploit fut d'élaborer une traction mécanique pour un instrument d'une telle taille (15m de haut, 13m de large, 8m de profondeur), qui passait alors pour le plus grand
du monde construit selon cette technique.
A l'époque il comptait 127 jeux sur cinq claviers, plus de dix mille tuyaux (en comparaison, Notre-Dame de Paris c'est 115 jeux et huit mille tuyaux) dont 109 d'étain en façade
et le reste abrité dans un compartiment en béton, le tout alimenté par neuf soufflets.
Les quatre plus gros tuyaux du Principal 32' mesurent jusqu'à dix mètres et pèsent à eux-seuls six tonnes !
Conçue dès l'origine, l'électronique embarquée permettait des variations immédiates de registration, et une palette infinie de dégradés et crescendos.
Bref un superbe orgue symphonique, qui résonne dans une acoustique vaste mais précise.
Un joujou qui me fait rêver depuis que je suis petit.

Spécial Troll

C'est sûr que ça a plus de gueule que l'orgue de poche du, pourtant, si magnifique projet de Jørn Utzon (architecte de l'Opéra de Sidney) : Ensemble paroissial Bagsvaerd (banlieue de Copenhague)

https://blog.la76.com/2014/04/happy-birthday-jorn-utzon/

Debussy orchestration Coppola: Cloches à travers les feuilles/Coppola



Bizarre.

Debussy: Nocturnes/Monteux Boston 1955

+

Ancienne commanderie des chevaliers teutoniques et
Marienkirche de Göttingen (Allemagne, Basse-Saxe)


5) Paul Hindemith (1895-1963) :

Sonate n°1
Sonate n°2
Sonate n°3 nach alten Volksliedern

= Roman Summereder, orgue Mahrenholz-Furtwängler de l'église Sainte Marie de Göttingen

(Ambiente, septembre 2011)

Un instrument conçu par Christhard Mahrenholz et réalisé par la manufacture Furtwängler & Hammer en 1926, qui recyclait des tuyaux du précédent orgue de
Carl Giesecke, qui lui-même empruntait au matériel du XVIII°-XIX° siècles. Restauré en 2003 par la maison Hillebrand.
Une cinquantaine de jeux sur trois claviers (dont un en boîte expressive) et pédalier avec anches en 32'.
Sonorité moelleuse dans les fonds, mais globalement très claire et acidulée, ce qui correspond parfaitement au langage de ces sonates,
qui en tirent une lisibilité maximale, des couleurs douces-amères, des textures franches et discernées (auxquelles concourent de scintillantes mixtures),
expertement gérées par l'interprète autrichien, spécialiste de la facture et du répertoire du XX° siècle.
Magnifique disque, capté dans une acoustique réaliste, qui fait le tour du corpus organistique de Hindemith (les Zwei Stücke de 1918 figurent aussi au programme).

Szymanowski, concerto pour violon No. 1
Shizuka Ishikawa
Jan Krenz, OP de Tchèque

Andrei Eshpai (1925-2015)
Concerto grosso (1967)
Concerto pour piano N° 2 (1972)
Symphonie N° 7 (1991-92)
Andrei Eshpai, piano
Orchestre Symphonique de l'Etat de l'URSS
Evgeny Svetlanov

Spoiler:

Mélomaniac a écrit:

= Peter Hurford, orgue Sharp de l'Opéra de Sydney[/size]

(ABC, août 1982)

Et la salle est extraordinaire aussi, une cathédrale de bois. Je serais vraiment curieux d'y entendre un concert – mais le simulteur du transilien ne m'indique pas de solution commode.

De mon côté, aujourd'hui :

¶ Åke Hermanson, Lyrical Metamorphosis pour quatuor. Très belles variations.
¶ Hilding Rosenberg, Quatuor n°4. Sombre et dense, splendide.

¶ Shoka, disque de comptines japonaises orchestrées dans un style debussysto-puccinien (Damrau, OSM, Nagano)

¶ Daquin, Noëls, Pierre Bardon
¶ Daquin, Noëls, Tchebourkina
¶ Balbastre, Concerto, Tchebourkina
¶ Balbastre, Magnificat, Tchebourkina
¶ Balbastre, Noëls, Tchebourkina
¶ Balbastre, Marseillaise & Ça ira, Tchebourkina

¶ Johan Wikmanson, Quatuor n°2. Du premier romantisme très archaïsant (un côté Bach)
¶ Eskil Emberg, Zona rosa pour quatuor.
¶ Hans Eklund, Quatuor n°4.

DavidLeMarrec a écrit:

Et la salle est extraordinaire aussi, une cathédrale de bois.

Par les temps qui courent, j'espère qu'ils ont investi dans une bonne alerte-incendie...

La Stadtkirche de Bückeburg (Allemagne, Basse-Saxe)


6) Melchior Schildt (1592-1667) :

Magnificat du premier ton

= Ulfert Smidt, orgue Hammer/Janke de l'église de Bückeburg

(Thorofon, juin 1999)

Ulfert Smidt, organiste de l'église Marktkirche de Hanovre, rendait avec ce disque un hommage à son lointain et prestigieux prédécesseur à cette tribune : Melchior Schildt,
qui y fut nommé à vie dès 1629. C'est là qu'il avait été initié avec son père, avant de partir à Amsterdam recevoir l'enseignement de Sweelinck, de 1609 à 1612.
Déployé sur une vingtaine de minutes, ce Magnificat est une des élaborations liturgiques les plus élaborées de l'époque, notamment le second des cinq versets,
longue fantaisie de choral qui occupe la moitié de l'œuvre.
L'orgue de la Marktkirche fut construit par Esaias Compenius, tout comme celui de Bückeburg que nous entendons ici. Construit derrière le buffet original, l'instrument actuel
date de 1994-1995 et recyclait un précédente installation de 1965. La petite cinquantaine de jeux sur trois claviers et pédalier permet de couvrir un large spectre de répertoire,
du baroque hanséatique (grâce à ses anches abrasives et ses mixtures typées) jusqu'au romantisme et au néoclassicisme, comme l'atteste le programme de ce CD
qui valorise l'instrument et ses vastes capacités, de Schildt à Brahms en passant par Georg Böhm et les Bach (Johann Sebastian et le rococo de Car Philipp Emanuel).
Superbe prise de son, réaliste, cohérente, et qui inscrit l'étagement des tuyaux dans leur juste perspective acoustique.

JS Bach, les sonates en trio
Multiple interprètes

La Jacobijnerkerk de Leeuwarden (Pays-Bas, -Frise)


7) Johann Sebastian Bach (1685-1750) :

Six Chorals Schübler, BWV 645-650

= Ton Koopman, Chœur Baroque d'Amsterdam, Orgue Müller de l'église Jacobijnerkerk de Leeuwarden

(Teldec, septembre 1994)

Les Préludes pour orgue sont alternés aux chorals chantés.

Église Saint-Martin de Dudelange (Luxembourg)


8.) Jean Langlais (1907-1991) :

L'Annonciation
La Nativité
Les Rameaux

= Naji Hakim, orgue Stahlhuth/Jann de l'église Saint-Martin de Dudelange

(Aeolus, mai 2002)

Debussy: 3 ballades de F.Villon/Maurane, Fournet

Xavier a écrit:

Debussy: Préludes II, L'Isle joyeuse/M.Meyer
+

Xavier a écrit:

Debussy orchestration Coppola: Cloches à travers les feuilles/Coppola

Bizarre.

Xavier a écrit:

Debussy: Nocturnes/Monteux Boston 1955
+

Xavier a écrit:

Debussy: 3 ballades de F.Villon/Maurane, Fournet

Je croyais que tu avais du mal avec les vieux enregistrements?

Beethoven, Triple concerto
Alexandra Conunova, violon
David Kadouch, piano
Natalie Clein, violoncelle
Insula Orchestra, Laurence Equilbey

J'ai une tendresse pour cet oeuvre mal aimé, qui annonce du Schubert (le derniere mouvement)
Ici les trois solistes sont complices et joueent avec délicatesse. Le Pleyel de Kadouche sonne délicieux avec des aigues comme une cloche et rétablie un bon équilibre avec les autres.

Keiko Harada : F.fragments II pour accordéon et piano        2014-16 / Ruck, Meguri

Keiko Harada : midstream+ pour trombone et accordéon        2004-08 / Svoboda, Ruck

Keiko Harada : The 5th season pour guitare et accordéon        2008-12 / Hussong, Ruck

Keiko Harada : Zero hour pour flûte alto (ou basse) et koto japonais à 13+17 cordes        2005-08-10 / Levine (C.), Kikuchi
 +
Keiko Harada : In pour flûte basse et piano        2000 / Levine (C.), Meguri
 +
Keiko Harada : Third ear deaf II-b' pour flûte et accordéon        2003 / Levine (C.), Hussong

Benedictus a écrit:

Xavier a écrit:

Debussy: Préludes II, L'Isle joyeuse/M.Meyer
+

Xavier a écrit:

Debussy orchestration Coppola: Cloches à travers les feuilles/Coppola

Bizarre.

Xavier a écrit:

Debussy: Nocturnes/Monteux Boston 1955
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Xavier a écrit:

Debussy: 3 ballades de F.Villon/Maurane, Fournet

Je croyais que tu avais du mal avec les vieux enregistrements?

Ca dépend, et puis il y a là de belles curiosités!
Les Nocturnes par Monteux sont remarquables et ça sonne très bien (même en stéréo), idem pour le dernier.
Et puis même quand je n'aime pas, j'écoute au moins par curiosité.

Isang Yun : Symphonie n°1 pour orchestre        1982-83 / Filharmonia Pomorska Bydgoczsz (Ukigaya)
 
Isang Yun : Symphonie n°3 pour orchestre        1985 / Filharmonia Pomorska Bydgoczsz (Ukigaya)
 +

Debussy: Fêtes galantes II/Bathori (1929)

Debussy: Arabesques/Long (1930)

+

Debussy: La soirée dans Grenade/Debussy (1913)
Jardins sous la pluie/Viñès (1930)

+

Debussy: Pelléas et Mélisande, extraits/Truc (1928)

Emeryck a écrit:

Isang Yun : Symphonie n°1 pour orchestre        1982-83 / Filharmonia Pomorska Bydgoczsz (Ukigaya)
 
Isang Yun : Symphonie n°3 pour orchestre        1985 / Filharmonia Pomorska Bydgoczsz (Ukigaya)
 +

Laurent Martin : Poèmes japonais pour voix et deux guitares en quarts-de-ton        2002 / Tahara, Delume, Hoogewerf
 
Floy Krouchi : Couvre-feux pour bande magnétique        2011 / -
 +
Xu Yi : Gu yin pour flûte et percussions        1995 / Daroux, Verly
 +
Xu Yi : Écho de la terre profonde pour cinq percussions        1997 / Percussions claviers de Lyon

Xu Yi : Le plein du vide pour quatorze instruments et électronique        1997 / Ensemble Orchestral Contemporain (Kawka)

Xu Yi : Wang pour flûte, trio à cordes et percussions        1993 / Ensemble 2e2m

Xu Yi : Yi pour trio à cordes        1992 / Ensemble 2e2m
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Xu Yi : Xiao yao you pour douze instruments et électronique        1996 / Ensemble Orchestral Contemporain (Kawka)

Ces jours ci: A la recherche de Louis Couperin
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Girolamo Frescobaldi (1583-1643)

Pierre Hantaï, clavecin (Philippe Humeau, Barbaste 1980)

Spoiler:

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Johann Jakob Froberger (1616-1667)

Alina Rotaru, clavecin (Ruckers, 1623, ravalement 1745, Neuchâtel)
C'est beau mais le parti pris (peut-être du à une prise de son, ou une acoustique, excessivement réverbérée) d'un clavecin tout en résonances et opulence, après une séduction immédiate, n'est peut être pas, au long cours, adapté à cette musique.

Spoiler:

Gustav Leonhardt, clavecin (Bruce Kennedy, 1985, d'après M. Mielke 1703)

Spoiler:

Cras: Quatuor n°1 "A ma Bretagne"/Quatuor Midi-minuit

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Bartok: Deux danses roumaines opus 8a/Boffard

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Franz Liszt (1811-1886) :

Fantaisie sur des airs populaires hongrois en mi bémol, S. 123

= Claudio Arrau, piano ; Eugene Ormandy, Orchestre de Philadelphie

(Columbia, février 1952)

Schumann, sonate pour violon et piano WoO 2 (No. 3).

Eriikka Maalismaa
Emil Holmström

Instrument "d'époque". N'empêche qu'ils massacrent quand même cet oeuvre singulier, qui est le petit frère du concerto pour violon. Restons à Tetzlaff/Vogt pour qui nous font rentrer dans la tournante Schumanienne.

Dietrich-Schuman-Brahms, sonate FAE
Faust Melnikov